Je devais avoir 18 ans quand j’ai baisé Francine pour la première fois. C’était la mère d’un de mes meilleurs amis.
Francine est brune, des yeux bleus, 48 ans, 1m65 environ, une taille moyenne, des belles fesses encore très fermes et des seins lourds, du 95D. J’étais déjà très porté sur le sexe à l’époque et son corps parfait de femme mûre m’électrisait à chaque fois qu’on se côtoyait, et c’était très souvent. Son fils et moi pratiquions beaucoup de sports ensemble et elle nous accompagnait très souvent, faisant le taxi pour nous conduire ici et là. L’été était la saison la plus propice pour que je puisse la reluquer sans fin. Elle portait souvent un short très court qui lui moulait les fesses quand elle bricolait ou qu’elle binait son jardin. Ses seins généreux me fascinaient. J’ai commencé à fantasmer sur elle à l’âge de 16 ans environ et 2 ans sont passés avant que je puisse réaliser mon fantasme …
Le premier évènement marquant se déroula lors d’un week-end ski en Suisse. La famille de Stéphane mon ami était originaire de Montreux. Nous sommes arrivés le samedi matin tôt dans un chalet pour partir faire une randonnée à ski. Nous sommes montés à l’étage pour poser nos affaires et nous changer. Le père de Stéphane était déjà prêt lui et parti nous attendre en bas suivi par Stéphane qui s’était vite changer. Restait Cédric et Francine. J’étais excité et tendu à la fois, Francine avait enlevé son pull et dégrafé son jean qu’elle commença à descendre sur ses hanches et le long de ses cuisses, se penchant légèrement pour le faire coulisser jusqu’à ses chevilles. J’étais subjugué de voir son string noir fendre son si joli cul, son cul objet récurrent de mes fantasmes, de mes masturbations solitaires. Je regardais ce spectacle fascinant discrètement à son insu, elle me tournait le dos, et à celui de Cédric qui finit par s’habiller et descendre à son tour. Cédric disparu, Francine avait déjà ôté sa chemise. Elle me tournait le dos en sous-vêtement, j’étais presque paralysé lorsqu’elle s’est retournée. Elle se pencha vers l’avant pour saisir son collant de ski et une culotte plus adapté au ski, je vis ses seins lourds remplir son soutien-gorge et bondir vers moi. Elle leva les yeux et parut surprise de me voir planté là, pensant que j’avais déjà filé aussi.
– Oups excuse-moi, dit-elle, se relevant prestement.
– Ce n’est pas grave j’ai répondu, mes joues rougissants immédiatement je pense.
Francine me gratifia d’un sourire et parut se détendre immédiatement, elle n’était pas gênée du tout, elle avait été surprise de me voir. Mon regard s’échappa sur ses seins un bref instant. Elle le vit surement, et sourit encore, cette fois d’une façon un peu plus malicieuse. Quand elle ôta son string et que je vis apparaitre sa chatte, qui semblait assez poilue mais rasée de près au niveau des lèvres, je sentis ma queue se dresser immédiatement dans mon slip. Elle enfila sa culotte et la remonta sur ses hanches, ses seins rebondirent dans son soutien-gorge.
– Ça te plait ?
– Je ne sus que répondre à cette question soudaine, à part rougir encore plus.
– Oui ça te plait, je le sais bien, je sais comment tu me regardes dit Francine plantant ses yeux dans les miens.
Elle enfila ensuite sa combinaison et me demanda de venir remonter la fermeture éclair dans son dos. Je m’approchais derrière son dos quand Francine s’est soudainement retourné, m’a attiré vers elle par les hanches. Elle se cambra et je sentis son bas-ventre s’écraser contre ma queue dressée dans mon slip. Francine roula les yeux de plaisir et se frotta encore plus à moi tout en cherchant mes lèvres. Nos bouches se touchèrent puis je senti sa langue chaude et humide s’immiscer entre mes lèvres. Je lui suçai la langue et elle m’embrassa ensuite fougueusement en me caressant les fesses, le dos. Mes mains étaient également sur son cul, ses hanches. Je saisis ses gros seins par-dessus sa combinaison en les serrant très fort l’un contre l’autre, Francine poussa un petit gémissant tout en se dégageant lentement. Elle me sourit délicieusement.
– Polisson va, vilain garçon me dit-elle dans un clin d’œil malicieux.
– J’ai envie de toi Francine osais-je répondre.
J’étais en transe, je venais de la prendre dans mes bras et l’embrasser, j’avais pris ses seins dans mes mains, j’avais senti son cul bien ferme sous mes caresses. Je m’étais branler tellement de fois en pensant à tout ça que je ne pouvais interrompe ce moment sublime. Je la rattrapais par la hanche alors qu’elle s’éloignait et le serra de nouveau contre moi. Elle se laissa faire et vient me rouler une pelle mémorable, elle me bouffa la bouche avec passion puis s’écarta et m’avoua :
– Moi aussi, comme une dingue. Je te promets que tu vas me baiser. On trouvera un moment juste nous deux et tu me baiseras mon chéri.
Elle me claqua un baiser sur la joue et s’enfuit de la chambre en ramassant au passage son bonnet et ses gants. Voilà ma première expérience avec Francine. Elle fut suivie par beaucoup d’autres. J’ai du baiser avec Francine pendant 2 ans après mes 18 ans. J’ai tant de souvenir à raconter mais je vais continuer avec la deuxième expérience, qui fut unique, sublime.
De longs mois ont passé sans d’évènements notoires jusqu’à un soir d’été. Je jouais au tennis avec son fils et Francine venait souvent nous chercher à l’entrainement et me reconduisait chez mes parents ensuite. Un samedi donc, il était convenu que Francine viendrait nous chercher car j’étais seul pour le week-end, mes parents étant parti se balader chez des amis à eux. J’étais d’ailleurs ravi d’être tranquille. Mais ce samedi Stéphane était malade et n’a donc pas pu venir mais Francine est venu quand même me chercher et m’a raccompagné donc à la maison après l’entrainement à 19 heures. J’ai rejoint France qui m’attendait au volant de sa voiture sur le parking, je me suis installé à ses côtés et me suis penché pour lui dire bonjour. En lui faisant la bise j’ai respiré longuement son parfum, mon visage juste au-dessus de son décolleté plongeant. Je me suis adossé à mon siège en regardant ses jambes nues, elle devait sortir de son jardin, elle portait une robe très légère et très courte, je pouvais limite voir sa culotte si je me penchais un peu. Francine a du surprendre mon trouble. Elle me gratifia d’un sourire dont elle avait le secret et démarra rapidement.
– Tu vas bien mon chéri ?
Je fus grandement surpris qu’elle m’appelle chéri ainsi et immédiatement les souvenirs de nos ébats furtifs lors de la sortie au ski resurgirent. Je ne tenais pas en place sur mon siège, je regardais ses jambes à la dérobade, tentais de voir ses seins à travers sa robe légère.
Le trajet jusqu’à la maison fut très rapide et Francine gara sa voiture devant la porte d’entrée de la maison de mes parents. J’étais en ébullition, la maison était vide et c’était le soir rêvé pour passer du temps juste les deux, pour la prendre dans mes bras, pour l’embrasser de nouveau, pour la baiser ….
– Je ne rentre pas de suite, je vais au théâtre.
– Toute seule ?
– J’aimerais que tu viennes avec moi me dit Francine, tout en posant une main sur ma cuisse, son regard bleu plongé dans le mien.
J’eu tout de suite la confirmation qu’elle avait aussi une idée derrière la tête, qu’elle avait tout planifié. Son invitation était tentante, pour répondre à ses attentes, pour laisser glisser ma main entre ses cuisses pendant la représentation. Mais j’étais déjà très excité, et nous étions à quelques mètres seulement d’entrer dans la maison et de se retrouver seuls, j’avais trop envie d’elle, je la désirais plus que tout alors je m’enhardis beaucoup et je me suis penché soudainement vers elle, j’ai mis ma main sur son cou et je l’ai attiré vers moi pour l’embrasser fougueusement. Elle fut surprise et se recula dans son siège mais elle ne pouvait aller très loin alors j’ai glissé ma main entre ses cuisses et j’ai comprimé sa chatte doucement et de plus en plus fortement avec ma paume et mes doigts :
– Non viens j’ai envie de toi là maintenant.
Je lui frottais la chatte intensément et j’ai plongé mon visage dans son décolleté pour embrasser la naissance de ses seins.
– J’ai envie trop envie de toi Francine, j’ai envie de te faire l’amour
Francine était elle aussi très excitée car elle écartait les cuisses largement maintenant. J’avais dégagé les lèvres de sa chatte en glissant mes doigts sous son string et tentais maintenant de la doigter. Je glissai mon majeur aisément dans sa chatte, elle était trempée déjà et commença à soupirer fortement. Mon doigt claquait dans sa chatte pendant que je lui mordais le cou et l’embrassait fougueusement.
– Oh oui !!! c’est bon, allez descend Nicolas, on y va, j’en peux plus, t’as gagné, baise moi tout de suite
Francine ouvrit la portière rapidement et me devança devant la porte. Je mis fébrilement la clé dans la serrure pendant que Francine semblait sautiller à côté de moi, électrique, excitante, prête à tout. J’ouvris la porte et elle me poussa à l’intérieur en me prenant par la taille. Elle repoussa la porte avec ses hanches et la claqua avec son pied tout en m’attirant vers elle, contre la porte. Elle descendit ses mains sur ma bite et mes couilles et me les malaxa par-dessus mon short. Ma queue s’est mise à gonfler immédiatement, je sentais sa grosse poitrine s’écraser contre mon dos. J’ai jeté mon sac de tennis loin et je me suis retourné. J’ai enlacé Francine et l’ai embrassé longuement. Francine était très excitée, elle me demandait de la baiser, me soufflant à l’oreille de la prendre tout de suite, de la faire jouir. Je me suis demandé si son mari la baisait pour qu’elle soit si excitée que ça. Moi j’étais aux anges, j’ai commencé à déboutonné sa robe, j’ai défais les boutons jusqu’en bas et écarté les côté de sa robe pour la prendre par la taille. Je l’ai prise par la main et je l’ai attiré au salon. A l’entrée du salon il y avait un accumulateur assez imposant, genre de radiateur qui en été ne marchait pas forcément. Je l’assis dessus et fis tomber la robe de ses épaules. J’ai attrapé ses gros seins rapidement et j’ai plongé mon visage entre. Francine a elle-même dégrafé son soutien-gorge pour libérer ses gros nichons. Je les attrapé avec tellement de joie, comme un enfant qui att**** le sein de sa mère pour téter.
– Oh oui, Oh oui Nicolas !!
– J’ai toujours adoré tes seins, j’y crois pas de les avoir dans les mains. Je les ai toujours regardés avec envie.
– Je sais, au début cela me gênait et ensuite ça m’a plu et après ça m’a carrément excité. Humm oui vas-y lèche les.
J’ai serré ses gros seins dans mes mains et j’ai pressé ses mamelons pour faire pointer ses tétons. J’étais subjugué par ses grosses mamelles de femme mure, ma bite était en feu. Je me redressais devant elle et elle baissa rapidement la fermeture éclair de mon short et le fit glisser sur mes hanches. Mon gland dépassait de mon slip. Francine me baissa le slip jusqu’à mi-cuisse et s’empara de ma queue à pleine main. Je n’étais pas rassasié du tout de ses seins et me penchait à nouveau sur sa poitrine pour venir gober un à un ses mamelons foncés. Je les suçais jusqu’à la pointe, englobant ses tétons entre mes lèvres pour les pincer et les éjecter de ma bouche avec une succion bruyante.
Francine se tortillait assise sur le radiateur et fis passer ses bras par les manches de sa robe pour la faire tomber derrière son dos. Elle bombait la poitrine, m’invitant à continuer à lui caresser les seins, elle avait l’air d’adorer ça et était très sensible des tétons. Je commençais à lui arracher des soupirs qui devenaient de plus en plus semblables à des cris. Elle me repoussa et m’entraina sur le canapé, elle ôta son string devant moi et se laissa choir sur le canapé. Elle se mit à 4 pattes devant moi, se cambra tout en écartant les genoux.
– Vas y bouffe moi la chatte mon chérie, j’en ai trop envie.
Je me suis mis à genou derrière elle et j’ai saisi ses fesses dans mes mains. Je les ai écartés puissamment, les lèvres de sa chatte se sont décollées pour me faire entrevoir sa vulve rose. Je me suis baissé et j’ai plongé ma bouche dans sa chatte. Je lui ai léché la chatte avec passion et fougue à la fois, je ne pouvais croire ce que je vivais. Elle mouillait abondamment tout en gémissant et me suppliant de continuer. J’aurais pu lui sucer la chatte pendant des heures tellement j’en avais rêvé. Elle se cambrait et appuyait fort sa chatte contre ma bouche. Je léchais, suçais, buvais sa mouille qui sortait par flot de sa chatte, me couvrant le visage d’un liquide chaud et épais. Francine était une femme qui jouissait beaucoup et mouillait énormément. C’était un rêve pour moi, j’adorais ça chez elle, j’adorais lui bouffer la chatte et qu’elle jouisse dans ma bouche.
Ce jour-là quand elle connut ses premiers orgasmes alors que je lui bouffais le cul en levrette, je fus transporté au septième ciel, si bien, que je baissais mon jean furieusement pour atteindre ma queue qui était prête à exploser. Je le dégageais de mon slip et la serra fort. J’aurai pu déjà en quelques mouvements de ma main sur ma queue lui envoyer des flots de foutre sur la chatte, penché comme ça derrière elle, tellement j’étais excité
– Vas-y baise moi Nicolas
Sans tarder je me suis relevé et j’ai porté ma queue dressé vers sa chatte. Je lui ai lustré le con avec mes doigts, je lui ai bien écarté les lèvres et j’ai enfoncé un doigt profondément dans sa chatte. Elle coulait comme une salope. Elle poussa un long gémissement.
– Oh oui, je veux ta queue Nicolas, mets- moi ta queue entre les fesses mon chéri, j’en peux plus, allez vas-y prend moi prend moi, prend moi la chatte Nico !!
Je n’en revenais pas qu’elle puisse parler ainsi. Francine était une femme plutôt BCBG, menant sa famille de façon assez conservatrice. Toujours en tenue impeccable (sauf le mini short au jardin et les robes légères en été), je ne pouvais l’imaginer aussi dévergondée, aussi directe et vulgaire que la moindre salope. J’ai serré ma bite dans ma main et posé mon gland sur sa chatte, ses lèvres se sont écartées quand j’ai pressé le bout de ma queue plus avant pour laisser mon gland gonflé pénétrer son con humide. Je l’ai enfilé jusqu’à la garde, mon gland a cogné au fond de son vagin, à la limite de son utérus, mes couilles s’écrasant sur son clito dressé. Elle a poussé un cri rauque et s’est cambré, j’ai senti les lèvres de sa chatte se comprimé sur ma queue, elle me l’aspirait littéralement. D’un mouvement sec des hanches elle fit ressortir ma queue presqu’en entier, maintenant mon gland dans son antre en feu. Je n’en pouvais plus et je l’ai saisi par les hanches et j’ai commencé à la pilonner comme un fou.
– Vas y baise baise Nico, baise moi, baise ta Francine, baise moi la chatte, baise moi le cul, défonce moi avec ta queue.
Mes couilles claquaient sur sa chatte et son ventre, Francine criait maintenant comme une folle. Je la secouais comme un malade, la baisait vigoureusement. Mes mains étaient crispées sur ses fesses, je les ai écartés pour mieux voir ma queue lui déchirer la chatte et Francine s’est mise à haleter et jouir bruyamment. Sa chatte se comprimait sur ma queue merveilleusement pendant que je la sentais couler comme une fontaine. Elle n’avait pas fini de gémir et de me demander de la baiser encore et encore que je déchargeais dans sa chatte. Je sentis mon sperme sortir à longues giclées dans sa chatte trempée et la remplir immédiatement, je n’en pouvais plus de me déverser
– Oh cochon, cochon Nico tu me jouis dans la chatte, oh oui donne-moi tout ton sperme petit salaud. Oh ouiiiiiiiiiiiiiii c’est chaud, rempli moi Nico
Elle cambrait son cul comme une folle et m’arrachait des longs râles de jouissance. Ma queue était raide encore dans sa chatte, j’avais été tellement excité. J’avais tellement attendu ce moment, je venais de me vider les couilles dans la chatte de Francine, dans la chatte de la mère de mon meilleur pote, je sentais mon gland palpiter encore, je pris Francine par les fesses et m’enfonçait profondément en elle. Je l’ai à nouveau baisé rapidement, ma bite lui limant la chatte complètement dilaté et trempée. Je l’ai défoncé longuement, ma queue ne débandait pas et Francine hurlait à nouveau
– Oh oui je joui, je joui Nico !!!!!!
Je m’affalais sur elle, ma queue au fond de ses fesses. Elle gémit, se cambra, emprisonnant ma queue au fond de sa chatte humide. Je me lovais dans son dos et glissais mon bras autour de sa taille pour prendre ses seins dans ma main droite tout en l’enlaçant. Ma queue commençait à mollir dans sa chatte mais y étais toujours bien au chaud. On est resté silencieux un long moment, je lui caressais les seins, durcissait ses tétons, j’étais prêt à la prendre à nouveau, ma queue qui avait glissé hors de sa chatte était maintenant de nouveau raide et coincée contre ses fesses.
– Quelle santé miaula Francine alors qu’elle frottait ses fesses sur ma queue, je ne pensais pas que ça serait si bon Nicolas, dit-elle en se retournant vers moi.
Je saisis ses gros nichons à deux mains et l’embrassai à plein bouche. Je tétais ses tétons avec délice, j’étais au-dessus d’elle, ma main glissa entre ses cuisses pour sentir la chaleur toujours présente dans son antre d’amour. Francine se releva et me fit m’asseoir bien confortablement au fond du canapé. Ma queue était droite comme un i. Francine s’agenouilla auprès de moi et commença à m’embrasser le torse, fouettant mes tétons avec sa langue. Quand elle a attrapé ma queue dans sa main pour venir sucer mon gland, j’étais au paradis. Elle a commencé à me sucer longuement. Elle semblait y prendre beaucoup de plaisir, elle me pompait le gland puis s’enfonçait ma queue très loin dans la bouche. Elle en toussa même, retirant ma bite gluante de sa bave. Ses gros seins balançaient entre ses bras, j’en saisi un et emprisonnai son mamelon dans la paume. Elle grognait de plaisir tout me suçant la bite. Je tendis le bras pour le glisser mes doigts entre les lèvres de sa chatte. Je ne sentis aucun résistance tant elle dégoulinait déjà beaucoup. Elle écarta ses cuisses pour me donner plus d’espace pour lui caresser la chatte encore mieux. Elle me branlait maintenant tout en me suçant les boules.
– Si tu continues je vais jouir Francine
– Humm oui viens mon bébé, viens dans ma bouche
– Non j’ai envie de te faire l’amour encore, j’ai envie de te lécher la chatte
Je me suis laissé glisser le long du dossier du canapé pour venir m’allonger sur le dos le long de Francine qui a aussitôt passé sa jambe au-dessus de moi pour venir mettre son cul juste au-dessus de mon visage. Humm elle sentait fort de la chatte, je l’ai attrapé par les cuisses et j’ai plongé mon visage entre ses fesses. Elle résista pour que ma bouche, mon nez s’écrasent contre sa chatte. J’ai ouvert la bouche péniblement pour glisser ma langue dans son con alors qu’elle accentuait la pression jusqu’à me faire reposer la tête sur le canapé. Francine s’est presque assise sur moi. Elle cambrait les fesses, ses mains appuyés sur mes hanches et commença à se frotter d’avant en arrière sur ma bouche. Très rapidement, j’eu le visage couvert de sa semence dégoulinante. Francine haletait, soupirait, couinait comme une chienne, elle jouit très bruyamment, m’écrasant sa chatte trempée sur la figure.
– Hum c’est trop bon Nico, quel pied tu m’as donné, j’ai la chatte en feu
Elle se releva et grimpa sur le canapé, une jambe de chaque côté de mon corps, elle prit ses gros seins dans ses mains et joua avec tout en me regardant. Mon regard remonta le long de ses cuisses blanches et fermes. Les lèvres de sa chatte étaient grande ouvertes et pendaient légèrement. Je ne pouvais détacher mes yeux de ce spectacle sublime. J’avais connu qu’une seule aventure auparavant et celle-ci dépassait tous mes fantasmes les plus fous. Combien de fois avais-je rêvé au corps nu de Francine, combien de fois avais-je imaginé sa chatte… Je l’avais gouté, sucé, léché en secret pendant mes longues rêveries. Et maintenant Francine était là, en train de s’accroupir lentement, écartant les cuisses largement. Elle guida mon sexe bandé directement entre les lèvres de sa chatte et se laissa coulisser dessus jusqu’au fond. Elle râla de plaisir
– Mon dieu, que c’est bon, oh oui Nico
J’ai pris ses nichons dans mes mains alors qu’elle commençait à monter et descendre sur mon pieu. Je me rappelle avoir été hypnotisé par ses gigantesques mamelles qui rebondissaient devant moi au rythme de ses hanches. Je lui pinçais les tétons et ça la faisait gémir.
– Oh oui j’te sens bien là Nico, tu aimes mon lapin ?
– Oui tu es tellement belle
– Tu es gentil mon chéri, vas-y continue à me caresser les seins, j’adore quand tu le fais
– Ils sont géniaux
– Hummm ils aiment bien quand tu les suces, ça me rend folle Nico
Elle se pencha en avant les mains de chaque côté de ma tête, m’offrant ses deux gros obus que je m’empressai de gober. Ma queue tapait fort au fond de sa chatte, Francine était déchainée et s’empalait furieusement sur ma bite. Je lui bouffais les seins avec délectation, aspirant entièrement ses mamelons dans ma bouche, lustrant frénétiquement ses tétons avec ma langue. Sa chatte claquait sur ma bite, sur mes bourses, j’allais pas tarder à jouir. Je voulais tant jouir sur ses seins, je l’ai serré par la taille pour l’immobiliser sur ma queue.
– Oh tu vas jouir mon chéri, tu veux jouir où mon bébé, dans ma bouche ?
– Oui sur tes seins aussi
On s’est relevé et Francine s’est assise au bord du canapé. Elle a aussitôt avalé ma queue et m’a serré fort les boules dans sa main. J’ai immédiatement craché mon foutre sur ses lèvres, mon premier jet la fit se reculer, elle passa un bras sous ses seins pour les remonter tout en me branlant, mon sperme gicla sur la peau blanche de ses seins
– Oh tout ce sperme Nico, continue donne-moi tout mon bébé, joui, joui
Elle se pencha pour venir envelopper mon gland entre ses lèvres et suça les dernières gouttes de sperme chaud qui sortaient encore. Elle me suça longuement alors que mon corps tremblait littéralement. Elle étala mon sperme sur ses seins, sa peau luisait de ma semence
– Je n’aurai jamais cru que tu baiserais si bien. Tu as aimé Nico ? Tu es un sacré petit cochon, tu jouis dans ma chatte et maintenant dans ma bouche, c’est une belle première tu ne crois pas ?
– C’était parfait, comme dans mes rêves
– Tu fantasmes souvent sur moi ?
– Tout le temps, je rougis à nouveau en prononçant ses mots
Francine me tripotait toujours le sexe.
– Il va falloir que je rentre. Il faut que je prenne une douche. Tu peux aller chercher mon sac dans la voiture. Je l’a regardais perplexe :
– Oui j’avais pris un sac avec des affaires de rechange
– Tu avais tout prévu ?
– Oui mon cher, mais pas me faire baiser aussi bien
Elle me fit un baiser sur le gland en guise qu’encouragement. Je me suis habillé rapidement et suis allé chercher son sac. J’ai rejoint Francine dans la salle de bain qui était déjà debout dans la baignoire penchée en avant pour faire couler de l’eau chaude. Je m’arrêtais sur le pas de la porte. Je regardai ses seins lourds pendre sous ses bras. Elle se redressa et me fis face, elle mit le paumeau de douche au-dessus de ses seins et laissa couler l’eau sur son corps. Elle me regardait aussi intensément.
– Et toi tu ne te laves pas ?
J’ai enlevé mes vêtements et je l’ai rejoint dans la baignoire. J’étais de nouveau très excité d’être debout nu à côté d’elle. Je l’enlaçai et elle se laissa faire, je pris ses seins dans mes mains et commença à les embrasser passionnément. Francine avait attrapé ma queue et me branlait énergiquement. Elle écarta les cuisses et se laissa aller contre la paroi de la douche. Je compris vite cette invitation et je lui glissai ma main entre les jambes pour caresser sa chatte. Sous l’effet de l’eau, et aussi surement à cause de mon sexe qui l’avait ravagé longuement, mes doigts pénètrent facilement dans son antre. Nous nous branlons mutuellement et Francine râle toujours bien fort.
– j’ai envie de toi encore
– prend moi par derrière là
Francine se retourne et se cambre droite contre le mur, ses fesses rebondies et fermes cognent contre mes cuisses. Je me penche un peu vers l’avant, ma queue glisse sur sa raie et entre dans sa chatte trempée. Francine laisse échapper un cri aigu quand ma queue tape fort au fond de son vagin et entame aussitôt un va et vient puissant et rapide sur ma bite. Je suis au paradis et ne tarde pas à sentir que je vais jouir. Francine le sent aussi et souffle
– viens en moi, viens en moi encore, joui dans mon chatte Nico
Francine a les deux mains appuyées contre le mur et s’empale sur ma queue. Brutalement elle lâche un râle de jouissance et se met à gémir contre une folle. Elle jouit en criant comme une chienne. J’explose à nouveau dans son con dilaté. Ma queue s’électrise dans sa chatte et laisse échapper à nouveau des flots épais de foutre. Je m’étonne des quantités de sperme que je suis capable de libérer. Une fois encore je lui inonde le cul et les fesses.
– Humm mon petit cochon à moi qui se laisse aller dans ma chatte et sur mes fesses. Tu es un amour, me dit-elle.
Je me penche sur elle, saisit ses seins par derrière, ma queue est ressortie de sa chatte et je l’ai plaqué entre ses deux fesses. Je m’appuie fort contre son cul, je sens encore ma bite palpiter, je lui malaxe les nichons en l’embrassant dans le cou tendrement.
Et voilà la fin de notre première soirée ensemble. Francine a fini de prendre sa douche. Je l’ai regardé avec le sourire aux lèvres. Elle a remis des sous-vêtements propres et enfilé sa robe. Je l’ai aidé à boutonner les derniers boutons et j’ai posé un baisé au creux de ses seins. Francine est partie, très guillerette. Nous nous sommes ensuite revu et avons entretenu une relation pendant 2 ans. On se voyait régulièrement, chez moi, chez elle quand les maisons étaient libre, dans la nature, dans sa voiture, au cinéma …
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