Chapitre 4 : le gamin les veut toutes sur sa queue
Je me suis approché. J’ai envie une folle putain d’envie de caresser le cul de ma mère, de plonger mes doigts entre ses fesses si délicieusement exposées. Tout au contraire, pour mon père, je n’avais qu’une sale envie, lui faire aussi mal, si ce n’est plus, que la fois où il m’avait fouetté pour avoir oublié un mot dans une prière. Et c’est exactement ce que je fais en commençant par son entrecuisse velu et moche. Je le frappe aussi fort que mon bras le peut et il le peut par esprit de vengeance. La ceinture s’abat et sur son cul, ses couilles et s’achève sur sa bite. Il serre les dents pour ne pas crier le bougre, mais il va crier, j’en fais le serment. Puis, c’est autour de ma mère, cela laisse le temps à la douleur de s’estomper sur mon père. Je frappe aussi durement que je le peux. J’entends ses larmes, ses gémissements, ses pardons. Derrière moi, une main se glisse dans mon pantalon, elle caresse mes fesses et la bouche se dépose sur ma nuque. Une douce voix me susurre d’y aller franco en pensant à mes supplices subis en pension. Oooh, ma sœur, que voilà une bien belle suggestion. Il n’y a pas à dire, il est des demandes qu’on ne peut décemment refuser. Je sais que cette nonne se branle et l’idée me fait bander que davantage.
Je frappe violemment mon père, un violent gémissement sort de sa bouche, je devine aussi des larmes et ça me fait bander à un point, vous ne vous imaginez même pas. La main de sœur Clothilde se fait bien plus voluptueuse encore. Je frappe ma mère, je bande davantage, comme si c’était possible. Vingt coups que j’assène à tour de rôle et à chacun. Peu avant le dernier sur l’entrecuisse de ma mère, sœur Clothilde m’embrasse tendrement. Si mes vieux pouvaient nous voir… Mais bon, il me faut asséner cet avant dernier coup. Il est le plus puissant, je crois. Ma mère en tombe à plat ventre, en pleure, son corps tremble de partout. Comme bonus, c’est mon père qui reçoit le tout dernier. Sauf que j’ai tourné la ceinture et c’est la boucle qui tape ses couilles bien bleues déjà et sa petite bite violette et enfle. Il pousse un de ces hurlements qui me fait éjaculer quand sœur Clothilde me caresse la bite. De sa langue, elle lèche sa main, nous nous embrassons dans le dos de mes vieux. Enfin, pas ma mère, elle me parait encore si jeune. C’est que nous n’avons que seize petites années de différence et quand on sait qu’elle n’a que trente-deux ans…
– Mes enfants, la volonté du tout puissant s’est accomplie par la main de votre enfant. Mes enfants, vos pêchés vous sont pardonnés. Relevez-vous et prenez place que nous bavardions de votre enfant. Non mon fils, sans le remettre. S’il pardonne, il tient à vous voir comme au premier jour de votre vie, vous aussi, ma fille
– Ma mère, permettez que je baise la main de celui qui m’a, à très juste titre, punie avec toute la sévérité que ma faute requérait.
– Ma fille, il ne peut en être autrement, baisez donc. Mais après ses mains, ses joues méritent votre tendresse de fille du tout puissant.
– Amen, s’écrie mon père.
Sœur Clothilde fusille mon père du regard alors que ma mère m’embrasse tendrement mes joues en m’enlaçant de ses bras. Une main perdue me guide sur son sexe endolori.
– Mille merci, mon fils, tu viens de me faire jouir.
Et c’était vrai ! l’humidité de son sexe, me le prouvait.
– Ma chère mère, vous vous doutez qu’un tel aveu équivaut à quémander une autre punition tout aussi méchante. Elle doit même être loin des yeux de ce monde de pêcheur.
– Oui mon fils, et je la mérite amplement si c’est vous qui me l’administrer. Vous ne pourrez que me sauver.
– Ma sœur, pardon, ma mère, que faire après cet aveu envers moi ? demandais-je
– Que vous, mon fils, son époux, son père, vous filiez prier pour votre salut jusqu’à l’aube. Allez, délaissez-nous, mon fils. Je vous conseille d’aller visiter le père Cutteur. Il se trouve être d’excellent conseil. Il siège non loin, à l’église Notre Dame du Purgatoire. Il sera vous remettre sur le droit chemin, mon fils. Donnez-lui le bonjour de ma part.
– Grand merci, ma mère. J’ai à parler, à confesser, le moment m’apparait comme bien choisi. Adieu, mon fils.
Cet adieu avait une sonorité de non-retour, de définitif. Mon père nous quitte dans la précipitation. Je devine la peur que cette nonne lui inspire Puis, seul devant ma mère, sœur Clothilde entreprend d’achever de la dénudé sans douceur. Nue, ma mère laisse ses mains se croiser dans son dos, sa tête se pencher en avant et de tomber à genou devant mes pieds.
– Ma mère, serait-ce mon vit qui vous intéresse donc de voir ?
– Oui mon fils, je le devine tendu, long, épais. Il me plairait que vous me fourriez après m’avoir sévèrement punie comme la pêcheresse que je suis le mérite.
– Mais ce serait pêcher que de poser votre regard dessus mon sexe.
– Oui, je le concède. Mais vous venez vous aussi de pêcher en faisant jouir votre mère, ma merveilleuse progéniture. Ma mère, il est grand temps de lui dévoiler mon passé, ne croyez-vous pas ?
– Oh que oui, ma fille. Je vais même le faire pour toi pendant que ta bouche engloutira son superbe chibre. Tu vois, Christian, ta mère et moi, nous sommes cousines germaines et du même âge à deux mois près. Nous avons même fait toutes nos études dans ce pensionnat. Très vite, ta mère nous a montré des signes évident de docilité malgré son caractère bien tempé. Non pas qu’elle était faible, pas du tout. Aussi, je ne me suis jamais privée de l’humilier en public, de la punir parfois, de la dénoncer pour des fautes que moi, je commettais. Si tu l’avais vue jouir à chaque fois je m’attaquais à elle. Sa jeunesse n’en était que plus magnifique. Soumise, elle est devenue l’esclave du pensionnat, des nonnes s’entend. Seulement, promise à cet homme, ton père, elle dût se résoudre à renoncer à ses pieux vœux, le principal étant de nous servir d’esclave. Voilà, maintenant, tu sais pourquoi tu y es et pourquoi tu t’y trouve encore. Seulement, il nous faut te dire que si tu as si souvent été puni, c’est à cause de ton mécréant de père. Il a expressément exigé la plus grande sévérité à ton égard auprès de la mère sup. Pour ta mère, elle n’avait émis qu’un désir, prendre son fils, en faire un homme, un vrai, pas un homme pervers comme ton père. Elle voulait surtout t’éloigner de ton père en signant. Maintenant, dis-moi qu’elle te suce bien, elle ne veut que ça, n’est-ce pas ma fille !
– Oui ma mère et qu’il m’encule comme je le mérite, à sec et aussi brutalement qui lui sera possible. Mon fils, je me donne à vous afin de me faire pardonner de toutes les humiliations que vous avez subies jusqu’à peu. Aussi, vous me voyez heureuse de savoir que depuis peu vous n’êtes plus l’humilié. Mais celui que j’ai rêvé de voir, un homme qui sera faire jouir ses compagnes que je vous souhaite aussi nombreuse au pensionnat ainsi qu’en dehors de ce lieu. Oui, je sais tout de vous, jour après jour, par ma très sainte cousine.
J’avoue que ces nouvelles me font sacrément plaisirs. L’envie de baiser ma mère est puissante depuis qu’elle me montrait son cul. Près de moi, sœur Clothilde, après avoir soigneusement fermé l’appartement à double tour, retire sa robe. Nue, elle attire brutalement le visage de ma mère sur mon sexe tendu.
– Mon fils, désormais, ne vois plus en cette femme comme ta mère, mais une soumise qui désire subir le pardon dans la soumission la plus dure. Tu n’es plus son enfant, mais son Maître, tel est la volonté profonde de ta mère. Aussi, j’ai pris la peine de communiquer cela au prêtre qui va accueillir ton père. Si cela se trouve, à l’aube, il pénétrera à genou, baisera tes pieds avant de se soumettre à tes sévices. Ta nouvelle soumise est-elle bonne suceuse ?
– Mouais, j’ai vu mieux, tu sais, Martine ou la future sœur Marie-Gabrielle de Saint-Eutrope par exemple. Et puis, il y a sœur Gisèle de la Compassion.
– Ah, celle-là, mon fils, c’est une belle cochonne bien dans son rôle d’esclave de notre congrégation. On en voudrait tellement d’autres comme elle.
– Je crois savoir que la future Marie-Gabrielle n’est pas loin de le devenir après l’avoir enculée pendant les matines.
– Ainsi c’est vrai, tu l’as fait ! Enfoiré, là, tu mérites tout mon respect, mon fils.
– Merci ma cousine ou tantine.
– Hein ! Oh oui, c’est vrai que je suis un peu ta tante. Une bien méchante tante qui n’a eu de cesse que de te punir et tout le reste. Dis-toi que c’était pour ton bien futur.
– Si tu commençais ton pardon en exposant ton cul à cette ceinture. Après ça, on pourrait envisager l’avenir, tu ne crois pas ?
Et elle se met en position. Mais avant d’appliquer la sentence, il me faut enculer ma mère comme supplié, à sec et sauvagement. Si elle ne crie pas, son regard humble et en larme est un régal à regarder. Ma ceinture en main, je vois sœur Clothilde prête à me subir. Dès le premier coup, je réunis les deux cousines par leurs bouches et je frappe encore plus fort. Ma mère retient le visage de sa cousine tout contre le sien. Durant toute la punition, jamais les visages ne se séparent. Mais après mon très violent dernier coup. Je jouis dans le cul maternel. Une divine victoire pour moi, son fils.
– Alors, chienne, ma bite te plait ?
– Oui mon Maître. Si ma cousine, mon confesseur et guide m’y autorise, je voudrais rejoindre le pensionnat et y finir ma vie en esclave de la congrégation.
– Mais le divorce n’est pas autorisé par notre chrétienne église.
– Je le sais que trop ma cousine. Mais il le faut, mon mari ne parvient plus à me satisfaire dans le devoir conjugal et pire que tout, je sais maintenant qu’il détourne de jeunes adolescents du droit chemin, sans aucune distinction de sexe en de sadique sévices du temps où il officiait en tant que diacre d’une paroisse.
– Au passage, apprenez que jouir, vous n’y êtes autorisée que si votre époux vous le permet. Ma fille, en ce qui te concerne, je me dois d’en référer à notre mère supérieure. Et puis, au pensionnat, je ne suis qu’une sœur parmi les autres. Il n’y a qu’en dehors que je deviens mère supérieure. Je vais téléphoner immédiatement.
– Quoi, à plus de minuit ?
– Non, tu as raison, mon fils, il est bien trop tard. Baise ta cousine et s’il t’en reste, tu rendras heureuse ta mère.
– Si tu me le demande, ma cousine, je vais obtempérer.
Putain, je rencontre une femme qui est la cause de mon internement dans ce pensionnat, qu’elle fut responsable de mes punitions, jouissances et je découvre qu’en plus d’être une nonne sensée être en Afrique, elle est ma petite cousine, ma tante de substitution. Alors, si c’est la baiser après l’avoir magistralement punie, autant sauter sur l’occasion. Je la baise, collant le visage de ma mère entre mes fesses. La belle se sent soudainement rajeunie et nous le rugit. Ma douce amante du moment me sourit, me dit merci pour elle. Moi, je veux juste qu’elle jouisse, cette méchante nonne. Pour ma mère, enfin, comme elle le dit, ma soumise, je ne sais encore que penser. Je baise une chatte étroite mais si chaude, si humide que je dois faire de gros effort pour ne pas éjaculer sur le champ. Mais quand cela survient, pour moi, c’est l’un des moments les plus intenses de ma vie. Puis, je passe à ma mère, elle se montre encore meilleure que sa cousine. À elle, je lui fais l’amour parce qu’elle est ma mère. Son manque visible de sexe n’est pas pour me contrarier, bien au contraire, il m’encourage à l’aimer davantage, à lui donner plus encore.
– Mon fils se montre tendre avec sa mère, sois bénit mon fils et pardonne tout ce manque d’affection que ton père m’a imposée.
– Je te pardonne toutes tes fautes, mère. Je souhaite sincèrement que tu puisses rejoindre le pensionnat pour y vivre intégralement tes fantasmes.
– Là, il me faut appeler, Christian, il faut que ta mère puisse divorcer.
– Parce que mon père est un fanatique religieux ?
– C’est ça, mais si le père Cuteur fait bien son travail, cela devrait nous faciliter la tâche.
– Alors appelle sans tarder.
Alors que ma mère jouit, je lui donne tout de mon encore jeune être. Elle va jouir bien des fois avant je ne m’achève dans son corps, incapable de lui en donner davantage.
Dès l’aube, mon père rentre, ne trouve rien, aucune trace des plaisirs vécus. Comme j’ai laissé mon lit à sœur Clothilde, je dors sur le canapé, donc mal. J’entends mon père vaquer dans l’appartement. Puis, dans le salon, il écrit une longue lettre sans voir que je l’observe d’un œil. Après son départ, je m’assure déjà qu’il est bien loin de la maison et, seulement en suite, je vais lire sa missive. Ce que je lis me fait presque vomir. Mon père n’est qu’un monstre encore plus pervers que toutes mes nonnes réunies. C’est aussi un sadique de la pire espèce puisque qu’il confesse avoir battu des enfants alors qu’il était diacre dans une paroisse. Sans oublier qu’il en profitait pour se faire jouir par eux, filles et garçons, sans autre considération que son seul plaisir, Grand dieu, c’est exactement ce que me disait ma mère et c’est à peine si je l’ai crue. Il me faut réveiller ma mère, ma nonne de cousine, leur montrer cet immonde lettre. Cependant, si je ne l’ai tenue entre mes doigts, je la prends maintenant avec une pince. Ben oui, je réfléchis divorce vu qu’il semblerait que mon père va se rendre à la justice des hommes d’après son écrit. Il me faudra remercier ce prêtre, il fut d’une aide inestimable.
Devant la lettre, au téléphone, sœur Clothilde la lit à la mère sup. Aussitôt après, ma mère file en faire une copie. C’est ensemble que nous allons trouver une avocate pour mettre en route cette longue procédure, celle du divorce. Mais devant la lettre, la confirmation que mon père est bel et bien en cellule sous les accusations de pédophilie, de v******e sur mineurs et j’en oublie, la procédure n’en sera que plus courte. Deux semaines suffisent pour que ma mère fasse ses valises et quitte cet appartement en abandonnant notre passé. Dans un taxi, nous gagnons la gare où nous attend sœur Clothilde. Dans notre compartiment, après le contrôle des billets, les rideaux sont tirés.
Sur les sièges couchette, la nonne et moi couchons ma mère enfin libre de jouir de son corps à sa guise. Nous la baisons jusqu’à qu’elle nous supplie de la laisser mourir de plaisir. Puis, pouvant encore avoir une belle et dernière érection, je fais jouir ma nouvelle amie adorée, ma nonne de cousine. Du train, nous passons au car, ce vieux car postal qui nous conduit jusqu’au terme de notre voyage de retour, le pensionnat. Une fois en ses murs, ma mère est immédiatement prise à part pour revêtir son dernier habit, celui de nonne esclave. Moi et sœur Clothilde, nous nous retrouvons dans le bureau de la mère sup, une novice, oh, une nouvelle, entre ses cuisses, cul nu qui suce son chibre, lèche sa chatte.
– Tu peux, mon fils, si tu le désires, enculer cette petite. Là, elle me suce la bite, elle n’en oublie pas de me laper ma chatte. Fais-toi plaisir, tu viens d’accomplir un exploit avec ta mère.
– Je ne crois pas avoir rien fait de telle, ma mère. Je l’ai juste sortie de son piège. Maintenant, je veux juste qu’elle puisse vivre pleinement tous ses fantasmes.
– C’est ce à quoi nous allons répondre, mon cher Christian. Alors, comment ce petit cul ?
– Étroit mais diaboliquement accueillant.
– Et toi, ma chère sœur, comment est ce jeune homme.
– Baiseur infatigable, bourreau sans cœur quand il s’agit de punir, il a tout pour plaire, nous plaire.
– Oui, c’est aussi notre conclusion. Ce soir, c’est le dernier avant la rentrée, dimanche, ils seront en grande partie de retour, les derniers arriveront lundi matin. Oh, nous avons fait quelques modifications qui te concernent, jeune Christian. Mais il te faudra être encore plus discret. Pour commencer, nous t’avons changé de chambre. Elle se trouve au fond de l’aile Ouest. Sœur Emmanuelle t’y attend, c’est elle qui t’expliquera le pourquoi. Mais du calme, jouis dans son cul auparavant. Ce serait pêché que d’abandonner pareil cul sans en jouir.
– Je regrette juste de n’avoir pas votre bite dans le mien, ma mère.
– Ne t’inquiète donc de rien, ce soir est notre avant-dernière nuit sans élève. Oh, mauvaise nouvelle, oui, il s’agit de Martine, elle ne pourra nous rejoindre, il parait que la voilà mariée à un homme.
– Hein ?!?
– Oui, un mariage arranger de longue date. Je crains que sa vie ne soit ainsi gâchée à tout jamais. De plus, il apparait qu’elle ne vit plus dans notre pays.
– Mais où alors ?
– Ça, mon fils, nous l’ignorons, ses parents ne nous répondent plus depuis qu’ils nous ont écrit pour nous signifier ce mariage.
– Les enfoirés. Je voudrais bien les tenir et te les fouetter jusqu’au sang.
– Miam, j’en connais qui devrait adorer, mon fils.
Je jouis dans ce cul en imaginant fouetter ce couple jusqu’à voir leurs culs en sang et les enculer encore plus sauvagement après. Je crois que je deviens encore plus sadique, plus vicieux jour après jour au sein même de cette congrégation du Saint Supplice. Martine partie, il ne me reste que mes nonnes et mes larmes. C’est ainsi que je rejoins sœur Emmanuelle. Auprès d’elle, je trouve la compassion, la tendresse, le réconfort aussi. Elle a bien changé, cette nonne, envers moi. Puis, me guidant telle une amante dévouée, elle me montre ma nouvelle chambre et sa différence. Quand elle pousse une porte dissimulée dans le mur du fond, je découvre un passage qui me conduit directement dans l’infirmerie, là où tout avait débuté si merveilleusement. Rien que de voir cette table, mes larmes coulent à nouveau quand je la caresse. Sœur Emmanuelle me les lèchent d’autant plus tendrement que sa main caresse mon chibre.
– Ne te fais pas de tracas, nous avons une fille qui devrait beaucoup te plaire. Viens, suis-moi à la réception, bel étalon.
C’est par ma bite tendue qu’elle m’attire au rez de chaussé. Là, elle me montre le visage de cette demoiselle au caractère bien trempé. En gros, une pouliche terriblement sauvage qu’il va falloir dressée, éduquer. Qui plus est, elle porte le titre officiel de princesse de sang. Ma nonne me raccompagne à ma chambre, retire mes vêtements, les siens, me couche, me suce avant de s’empaler sur mon sexe tendu. Elle se fait lascive à souhait, je dirais même plus, elle se fait chatte ronronnante. Oui, je sais, le mot ronronnant n’existe pas au féminin, ben maintenant si, NA !
Au matin, elle est encore collée à moi, sa tête sur mon ventre, elle fixe ma bite. Je caresse sa très courte chevelure, notre nuit, il est vrai, fut sauvage, parfois douloureuse en ce qui la concerne. Son corps porte encore les nombreux stigmates de mes sévices. Elle en a joui, mais pas de tous. Oui, à chaque nonne m’ayant fait mal, humilié ou autre, je me venge en reproduisant leurs sévices sur elle.
Dehors, le soleil d’hiver est arrivé. Ensemble, nous nous lavons prestement, pas le temps d’un long bain. Ah oui, j’ai même ma salle de bain privative dans ma piaule, le top du top avec ce large lit. Mes nonnes, ou elles veulent réellement que je reste, ou elles cherchent mon pardon. Dans les deux cas, je les bénits. Elles savent aussi que je vais leur pardonner leurs offenses à mon encontre en les punissant en utilisant leurs vicieuses méthodes sadiques.
Dehors, ce n’est pas encore la cohue de nos récréations ou de la rentrée. Sœur Clothilde arrive, toute souriante.
– Je viens prendre congé, mon petit cousin adoré. Voici mon adresse, tu la connais déjà puisque c’est ton ancien appartement. Oui, je le garde en t’attendant, aux prochaines vacances. Et puis, il te faudra bien un logement dans deux ans. Dis, pendant que nous ne sommes que tous les deux, tu m’en voudrais si je change toute la déco. Moi toutes ses images pieuses, ces crucifix, ça me fout le bourdon.
– Une nonne qui ne supporte plus les images pieuses, faut le voir pour le croire. Cela dit, change ce que tu veux, fais comme bon te semble. Encore une chose, merci pour ce que tu fais pour moi et maman. Cette fois, je peux enfin prétendre que je me réjouis de quitter l’école pendant mes vacances.
– Autant que je suis déjà impatiente de te retrouver. Il me reste encore bien des choses à accomplir avant d’être en paix avec moi-même.
– As-tu donc tant que ça à te faire pardonner.
– Oh que oui, et à presque cinquante ans, il ne me faut plus tarder. Et puis, il en est un à qui je me dois de beaucoup me faire pardonner, toi. Alors, ne sois pas trop surpris en revenant chez toi, mon fils.
– Bien ma sœur.
– T’es choux, tu le sais ça ?
– On me le dit souvent depuis quelques mois. Aller, file, tu vas rater le car.
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