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Le Mâle de mer chapitre 2

Le Mâle de mer chapitre 2



Quand je me glisse sous ma couette, très vite je me rends compte qu’elle est occupée.

« Agathe ? mais tu t’es trompée de cabine
• Non non
• Mais enfin tu déconnes complètement, sort de la
• Dis moi, me répond-elle, si tu imagines que je ne t’ai pas remarqué cet aprèm en train de t’ajuster. C’était à cause de quoi ??? tu n’arrêtais pas de me mater
• Bon enfin oui mais il n’y avait aucune arrière pensée…..
• Tu vas faire croire cela à qui ?? à ma tante ??
• Et ton sexe qui grandissait a vue d’œil, et ton regard. A chaque fois que nos yeux se croisaient je te surprenais en train de détailler mon cul.
• Agathe, n’abuse pas de la situation.
• Je n’ai aucune intention d’en abuser mon cher capitaine, mais seulement d’en user. »

Tout en discutant, la diablesse s’est collée à moi. Nous sommes sur le coté, face à face. J’ai l’air d’une mobylette sur sa béquille. Les bras de l’allumeuse se sont glissés autour de mon cou. Je suis un peu tétanisé. Ma conscience ne cesse de me dire : «  mais mon pauvre vieux tu es complètement malade, une nana de 25 ans alors que tu en as 60. » Mon corps lui ne se pose aucune question. Mon cœur, ha mon cœur toujours prêt à s’emballer.

« N’imagine rien d’autre que ce moment, me dit elle. Toi, moi et notre désir, rien d’autre. Pas de promesses, pas de serments, pas de phrases toutes faites. Juste la vérité de nos envies. Je t’ai observé depuis ce matin, tu es « l’homme » que j’ai envie de posséder depuis pas mal de temps.

En ce qui concerne mes envies, il serait difficile de dire qu’elles ne sont pas la. De toute façon, la réticence initiale dont je faisais preuve s’est totalement diluée dans la fougue du baiser qu’Agathe vient de me donner. C’est un baiser plein, moelleux, entier, généreux. Ce n’est pas un de ces baisers du bout des lèvres, non. Elle s’est complètement collée à moi. Chaque muscle de son corps est venu contre ma peau. Les épaules, les seins, les jambes, le ventre, sont contre moi. Ses lèvres se sont ouvertes et sa langue s’est insinuée contre ma langue. Je ne sais pas combien de temps cela a duré mais j’ai sombré dans une sorte de comas de bonheur.

En ondulant de ses hanches agiles, sans même y toucher, elle guide mon pieu vers sa fente humide. Quand mon gland la pénètre, son souffle s’arrête, son baiser s’accentue encore, comme si elle voulait que j’entre en elle par la aussi. Elle bloque totalement les muscles de son corps. Seules nos langues se délectent l’une de l’autre et son bassin, quasiment bloqué mesure avec brio la vitesse et l’intensité de la « non pénétration ». Ma grosse fraise est à peine engagée et déjà je ressens cette sensation unique qui nous porte au bonheur.

Elle a pris l’initiative et maitrise son art à merveille. Nous roulons sur le coté. Elle se trouve sur moi, me chevauchant. Mon dard, que je tente de maitriser, connait une érection que je n’aurais pas imaginée il y a quelques heures. Je rajeunis à chaque minute.

Elle s’est à présent redressée. En appui sur ses bras, elle m’offre sa poitrine ronde, pleine, ferme. Je ne discerne que peu son visage mais je crois y voir une sorte de béatitude. Je n’ai encore rien fait que subir ; avec énormément de plaisir ; ses assauts. Cette liane use de toute sa souplesse pour me faire sentir a quel point elle attend une suite lente et profonde a sa quête.

A genoux cette fois, telle une cavalière, son bassin me fait sentir un besoin irrépressible de se laisser choir lourdement. Je suis prêt a la saillir, lentement, profondément. Elle semble cette fois s’abandonner.

Pour la planter bien verticalement, je pose mes mains sur ses seins. Ses pointes au creux de mes paumes, je pétri, j’écrase, je triture les sphères. Elle soupire et je la sens céder. Ses cuisses qui la retenaient en lévitation, juste au bout de mon pieu, sont en train de fléchir. Pour moi le moment est venu de me cambrer pour venir à la rencontre de son calice.

J’ai vingt ans.

« non, …… ta langue d’abord, tes doigts….. Tous tes doigts ….. partout. »

En se cambrant légèrement, Agathe fait dévier la trajectoire de mon sexe. Comme je suis d’une raideur très satisfaisante, elle frotte doucement ses lèvres trempées contre ma tige. Elle est d’une habileté extraordinaire.

D’une main j’ai saisi mon manche et je la caresse très précisément de son joli bouton a sa petite rondelle. Les va et vient sur ce chemin provoquent a chaque passage une coulée supplémentaire qui lubrifie a souhait le travail.

Nous avons calé nos mouvements sur les petites vagues qui nous bercent doucement.

Je n’en peux plus, il faut que je déguste son fruit juteux. Je me glisse sous elle. Elle s’ouvre et me tend sa fente baveuse. A petits coup de langue d’abord puis avec des pénétrations plus précises, j’ouvre le fruit. Son odeur est fraiche, iodée, comme une huitre que l’on avale d’un coup. Elle est quasiment assise sur moi. Son antre contre ma bouche. C’est une sorte de baisé mais les lèvres sont plus fines, plus frêles, plus détachées. Je les suce, les aspire, ma langue entre, fouille, découvre, investit, se retire.

Agathe semble jouir à répétition. Ses petits cris et ses gros soupirs sont couverts par les bruits ambiants du bateau. Elle a la bonne idée d’abandonner ma tige car, à la moindre caresse, je me répandrais en longs traits.

Quand la diablesse choisit de m’offrir sa petite rondelle, ma langue force le passage étroit et détend lentement les anneaux. Assez facilement j’entre et découvre la souplesse de ses muscles qui me laissent facilement le passage.

Tous ses mouvements semblent parfaitement contrôlés. Elle prend un plaisir très fort mais très bien dosé. Elle mène la chose à son rythme. C’est merveilleux.

Dans cet enchevêtrement, j’ai pu ramener un bras vers ses fesses. Je caresse et rapidement je deviens plus précis. Un pouce d’abord puis deux doigts entre dans la fente dégoulinante. Avec les autres doigts, je m’occupe de son clito. Ce petit appendice, caressé en même temps à l’intérieur et à l’extérieur, déclenche une nouvelle fois une série de contractions de son bassin.

Cette fois, la belle semble perdre pied. Elle s’empale sur ma langue. J’étouffe. Elle jouie une fois de plus, elle m’inonde. Elle vibre.

L’alarme du mouillage vibre aussi en émettant un sifflement strident. Cet outil est destiné a prévenir si le bateau tire sur son ancre au point de la faire dé****r et donc au risque que le bateau se mette sur les cailloux. Le signal est impératif et ma réaction doit être immédiate.

Un semblant d’explication et je m’extirpe de l’écheveau de jambes et de bras dans lequel je suis.
-Je reviens
-salop

Nu comme un bébé, je pousse le panneau et monte sur le pont. La fraicheur de la nuit me saisit et la tige légèrement fléchissante, je vais a l’avant. Doucement en limitant le bruit, je remets 7 ml de chaine à l’eau pour assurer une meilleure accroche de l’ancre.

Un coup d’œil circulaire me conforte dans l’idée que nous n’avons pas bougé beaucoup. Il n’est donc pas nécessaire de faire autre chose. La lune enfin, le premier quartier, éclaire la crique suffisamment pour que le doute ne soit pas permis.

Mes pieds, dans la pénombre, trouvent les premières marches de la descente.

• Que se passe –t-il

C’est Elodie qui vient de parler.
• la sonnerie m’a réveillé, il y a un problème ?
• heu non non enfin si…. Je suis à poil
• je vois
• excuses moi, c’est embarrassant
• ne sois pas gêné

La hauteur de la descente est telle que le visage d’Elodie se trouve à la bonne hauteur. Je suis assis en haut et mes cuisses ouvertes sont à la hauteur de son visage. La femme de mon copain a donc en face d’elle et a bonne hauteur, mon sexe détendu par le froid mais plein de ressource.

• laisse-moi passé que je mette mon pyjama
• pourquoi, je te trouve très ….. bien voir même appétissant
• Elodie, arrête. Agathe est juste a coté dans sa cabine
• Mais non a cet âge la, ça dort très bien et puis dis moi, ton sexe ne dit pas la même chose que toi. Vous ne semblez pas d’accord. Mentir c’est parler contre sa pensée et il faudrait être aveugle pour ne pas imaginer a quoi tu penses.

Cette femme que j’ai côtoyée de multiples fois, qui pour moi est le prototype de la mère de famille irréprochable, est en train de me caresser les couilles, méticuleusement, chaque cm² de peau est effleuré si bien que, malgré la fraicheur, ma tige, me trahissant, retrouve la forme ou l’avait laissée Agathe.

Ses lèvres s’approchent, avec une infinie douceur, elle décalotte ma fraise et constate avec plaisir qu’elle est déjà bien humide. La liqueur claire, qui suinte de ma petite fente, est vite lapée. Puis telle une couleuvre avalant un mulot, ma hampe disparaît très doucement entre les lèvres d’ Elodie. Le contraste entre la fraicheur ambiante et la chaleur buccale de ma piégeuse décuple la sensation.

Dans mon crane, les idées se télescopent. Il n’est pas possible qu’Elodie ne se rende pas compte que quelques minutes avant, cette chose qu’elle déguste avec avidité mais précautions, était engagée dans l’intimité de sa nièce . La liqueur qui s’est écoulée avant même qu’elle me sollicite, doit sans doute l’interroger.

• humm tu as une odeur de femme. Personne ne te l’avait dit avant ? C’est la première fois que je ….enfin… suce un homme avec une telle odeur. Je n’ai pas connu beaucoup d’hommes mais les autres avaient un parfum sexuel plus….. mâle.
• Je pense que chacun a son odeur, regarde les rousses, elles aussi ont une odeur particulière.
• Viens, descend.

Pour le moment, et dans ma position, je n’avais vu que la tête de ma partenaire. En me glissant dans le carré, je devine, dans la pénombre, le corps de celle qui quelques minutes auparavant n’était qu’une bonne équipière . Elle ne porte qu’une culotte assez ample et sa silhouette est agréable. Elle s’approche. Naïvement je tends mes lèvres mais elle détourne la tête et me susurre quelques mots a l’oreille. Je ne peux me retenir :
• non pas toi enfin tu déconnes
• aller, il ne me le propose jamais, j’ai bien essayé toute seule mais ce n’est pas pareil, les godes c’est froid. Paul n’a jamais le temps et sa culture, son éducation le fige complètement. Tu comprends, la position du missionnaire j’en ai marre
• Elodie, je ne peux pas, ta nièce est la à coté et ton mari ?
• On s’en fout, fait le quoi. Ton sexe a la bonne taille Ma nièce est tellement coincée la dessus qu’elle préférera faire semblant de ne rien entendre.

Tout en quémandant, ses mains n’ont cessé de flatter ma tige. En même temps, elle m’a tourné le dos et cette fois, les mains en appui sur la table du carré, elle me tend sa croupe. L’invitation est trop forte ou plus tôt je n’ai plus aucune volonté.

• Viens, encule-moi comme une ignoble salope. Baise moi, prend moi comme une bête. Tu me fais mouiller, passe ta main sur mes cuisses. Vas-y Je suis ton objet, fais toi plaisir, fais moi plaisir.

Elle a prononce ces mots dans un souffle. Sa respiration est courte. Elle se cambre encore. Ses fesses sont a la bonne hauteur. Je m’approche. J’agrippe ses épaules, je délaisse ses seins. J’aide de la main mon manche bien raide a se courber vers la fente dégoulinante. Effectivement, quelques brèves insinuations me font découvrir un marécage. Avec deux doigts je récupère le précieux liquide et tartine abondamment la raie et l’orifice duquel elle espère tellement le dépucelage.

C’est elle qui me guide. Elle répond a ma première pression par un coup de rein. J’ai oublié tout le reste, la Croustillante, Agathe, son mari. Je ne peux plus, je ne veux plus me défiler. Je vais la saillir comme un étalon entre dans une jument.

J’espère seulement que Agathe aura la pudeur de rester ou elle est. Elle ne peut pas ne pas entendre les craquements du plancher. Elle ne peut pas ignorer le rythme de ces bruits. Nos souffles ne peuvent que l’inciter a ouvrir la porte.

Très doucement, je sens le passage se faire. Enhardi par la résistance de ce bassin qui vient chercher mon dard, je saisis Elodie par les hanches. Elle soupir, j’ignore si c’est de la douleur ou du plaisir mais elle ne refuse pas. Elle s’arcboute cette fois.

Mon a****l fait son chemin. C’est plus difficile a présent. La liqueur lubrifiante n’est plus la et seule notre transpiration sert a la pénétration. A aucun moment « mon bilboquet » ne lâche la pression.

Durant cette prise d’otage, car il s’agit bien de cela puisque je n’étais pas consentant, j’ai gardé un œil sur la porte de ma cabine ou est cachée Agathe. Tout est calme.

Le plaisir de saillir ma jument est tel que plus rien ne peux nous arrêter. Cette fois je ne ménage plus ma partenaire. Je la poinçonne totalement, sauvagement. Elle voulait se faire saillir comme une bête, j’en suis une. Ses muscles enserrent ma tige très fortement. J’éprouve une sensation de puissance. Tenir cette paire de fesses et enfiler mon vit a l’intérieur. Ma partenaire a commencé a aller et venir sur mon coulisseau. Elle avance et recule sauvagement en venant taper mon pubis de plus en plus fort. Je réponds par un coup de reins puissant et nos chaires claques. Mes petites poires viennent battre son abricot.

Je le savais. Ca ne pouvait pas se passer autrement. La porte de ma cabine s’est entrouverte. Très silencieusement Agathe passe la tête dans le passage. Elle a le doigt posé sur les lèvres pour marquer sa volonté de ne pas perturber nos ébats. Tel un félin, elle se glisse contre moi.

La retenue dont je faisais preuve jusqu’à présent n’a plus lieux d’être. Moi aussi je ahane.

Agathe, s’est accroupie derrière moi. Auparavant, elle m’a fait gouter sa cyprine. Elle a glisse trois doigts bien lubrifiés, entre mes lèvres et j’ai pu lécher avec avidité ce suc ayant la fraicheur de sa jeunesse.

Elodie, tout a son plaisir, ne s’est rendu compte de rien. Elle se fait bourrer et bourrer encore. Ses petits cris à présent rythment nos coulissements successifs.

Agathe entre mes jambes, s’active de ses mains sur mes couilles malmenées par les battements. Ses doigts apaisent les battements. Son autre main s’occupe de la fente dégoulinante de sa tante. Quelques pénétrations habiles et furtives ajoutées a quelques pincements et frottement sur le bouton magique déclenchent la fureur lubrique de la tante.

Totalement déchainée, empalée sur mon membre, elle se mets a me traiter de cheval, d’âne, d’étalon. Tout a son plaisir et sans savoir que sa nièce est le détonateur de ce déferlement. C’est le moment que choisit Agathe pour passer deux doigts sur la face intérieure de son vagin, juste derrière la racine de son clito.

La réaction est immédiate. Elle crie cette fois. Elle est hors d’elle

Agathe, qui malgré son jeune âge, connaît bien les hommes, en a profité pour caresser et finalement pénètre ma rondelle la plus intime.

Cette sensation que j’adore, augmente encore la dureté et sans doute la grosseur de mon pal.
Je ne maitrise plus rien. Les contractions de mon périnée, la montée inexorable de la sève, les mouvements d’empalement d’Elodie me mène inexorablement vers une succession de spasmes délicieux auxquels répondent les gémissements de ma partenaire.

Je n’ai rien senti. Dans ce déferlement, Agathe s’est retirée. Elle a regagné ma cabine.

Elodie, épuisée s’est retirée. Elle se retourne. Il n’y a aucun amour la dedans du sexe, très fort et du respect.

• tu m’en veux ?
• tu en eu l’impression ?
• ho non tu m’as baisé comme je l’espérais. Je ne savais pas que ca pouvait déclencher autant de plaisir. J’ai même eu par moment l’impression que tu avais quatre mains.
• C’est un grand plaisir qui doit procurer cela je pense.
• Tu vois, Agathe n’a pas bougé, pourtant nous avons du faire un peu de bruit… humm quand j’ai senti que tu te vidais en moi…. Il me semble que j’ai crié.
• Ha tu sais moi aussi j’ai peut être crié, c’était tellement fort.
• Bon c’était purement sexuel
• C’était purement sexuel
• A demain

En me glissant dans ma cabine, je savais que ma nuit n’était pas terminée.

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