La journée avait été longue. La soirée aussi. Une grosse réunion comme cela, c’est toujours épuisant! J’étais dans ma voiture, la radio jouant de la musique plate de fin de soirée. Les fenêtres baissées, je profitais de la douceur de cet été qui tirait à sa fin en ce mois de septembre. Le feu était rouge, retardant momentanément mon retour à la maison. Bam! Collision alors que le feu venait de virer au vert, avec la voiture de devant. Après l’effet de surprise- je n’avais pas bougé!-, je compris que la voiture de devant venait de… reculer, percutant ma voiture. Je sortis voir les dégâts.
Comme on était dans le parc industriel, c’était peu éclairé donc je laissai les phares allumés. J’aperçus une femme sortir du véhicule de devant mais j’étais déjà rendu à observer les dégats. Des dégats, il y en avait peu. Mon pare-choc avait bien absorbé le choc, celui de la Mercedes n’avait que quelques égratignures. La dame m’avait rejoint et regardait elle aussi. Je put l’observer subtilement alors qu’elle se penchait pour voir le tout. Une belle brune, avec de belles courbes que son tailleur noir moulait très avantageusement. Elle dit sans me regarder « Tout est beau on peut repartir » puis elle perdit l’équilibre. Elle se rattrapa en s’accotant sur la voiture, évitant de s’écraser par terre. « maudits souliers » déclara-t-elle se retournant vers moi. C’est à ce moment que je vis son très joli visage et sentis son haleine qui empestait l’alcool. « Elle a trop bu c’est certain » me dis-je, tout en réfléchissant à ce que je devais faire pour lui éviter de reprendre la route et de se tuer. ou de tuer quelqu’un d’autre. « Madame, je crois qu’il va falloir appeler la police ». Elle me regarda, un peu secouée. Son regard se prolongea, m’observa longuement et finalement me demanda « Je ne vous connaîtrait pas par hasard? Je ne vous ai pas vu l’autre jour à la té.. » » Vous faites erreur madame. Je ne vous ai jamais vu avant ce soir » Elle prit quelques secondes pour analyser ma réponse et, alcool aidant, changea de sujet. À mon grand soulagement.
« Voyons monsieur, pas besoin de déranger les policiers pour cela. Tenez, je vous donne 500$ au cas-ou qu’il y ait une scratch sur votre bumper qu’on n’a pas vu et on s’en va. J’ai hâte de retourner à la maison ». 500$…. c’est quand même pas pire. Mais cela ne règle rien. Un autre accident possible? Non, je ne peux pas. »Écoutez, c’est bien gentil de votre part mais je crois que je vais appeler les policiers. J’ai l’impression que vous avez un peu trop bu et j’ai peur que vous ayez un autre accident. Elle me regarda, mortifiée. « Et si on montait cela à 1000$? » 1000$. On commence à parler. Mais je ne pouvais m’empêcher de penser à la possibilité de l’accident. Elle sentit mon hésitation et répéta… « 1000$…. pour juste rien faire… » « J’avoue que l’offre est intéressante. Mais vous pourriez encore avoir un accident. Vous n’êtes pas en état de conduire. Je n’ai pas le choix ». Elle s’avança vers moi. pensant qu’elle voudrait me retirer mon cellulaire, je le tint plus fort. Mais elle se colla et se frotta sur moi me disant « Et si on prenait un peu de bon temps ensemble… laisser l’alcool diminuer un peu, tu penses que cela serait une bonne option? » Elle déboutonna un peu sa blouse, dévoilant un décolleté à faire rêver et sa main se baladait sur mon pénis en érection qui formait une immense bosse sur mon short. Je ne m’étais jamais retrouvé dans une telle situation. Alors que des tonnes de questions éthiques, morales et autres surgissaient en même temps, je m’entendis dire « D’accord. Mais pas ici. » Nous étions beaucoup trop exposés sur le bord de la rue. J’ai pris ses clés, garé ma voiture dans un stationnement désert d’une petite entreprise et nous avons embarqué dans sa Mercedes. Que nous avons garée dans une cour arrière d’une autre entreprise. Un peu trop éclairée à mon goût, mais les bâtiments voisins étant plus longs, cela faisait comme une cour intérieure.
Une Mercedes c’est beau, mais c’est pas très logeable. Nous sommes donc sortis de la voiture. Elle a fait le tour (elle tenait quand même pas mal sur ses talons!), puis est venue m’embrasser langoureusement. Son haleine sentait l’alcool à pleine bouche. Personnellement, je trouve cela bien agréable! Elle continua tout en détachant ma ceinture et baissant ma braguette. J’étais super excité et j’en profitais pour passer la main sous sa blouse et lui caresser un sein. Son mamelon était très tendu…. cela m’excita encore plus. Mon autre main lui tripotait le postérieur. Elle descendit tranquillement et se mit à me sucer. D’abord passionnément. Sa technique me faisait perdre le contrôle, tellement que je me dis que je ne durerais que quelques minutes. Cependant, plus le temps passait, moins elle maitrisait la technique. Étais-ce l’alcool qui rendait la coordination plus difficile? ou un manque d’enthousiasme? Je n’aurais su le dire mais cela ne s’en allait pas dans la direction que je souhaitais. Je décidai de prendre les choses en main.
D’un geste doux mais ferme, je l’incitai à se relever. Elle le fit et restait là, juste devant moi, ne sachant pas ce que je ferais. Je l’embrassa à mon tour puis je déboutonna un peu plus sa blouse, laissant voir ses superbes seins. Dégrafant le soutien-gorge, je vis le tableau total. Superbe à l’oeil, mais aussi superbe au toucher. Surtout avec la bouche. Puis, je l’amenai à se retourner, dos à moi. Elle mis ses mains sur le capot de sa voiture, se penchant par le fait même, une position que j’adore tout particulièrement chez une femme. Je releva sa jupe, dévoilant les porte-jarretelles tenant les bas de nylon fermement en place. Je passais ma main dans sa petite culotte noire translucide, cherchant les endroits plus intéressants… que je trouvais sans peine. Ils étaient littéralement trempés. Utilisant habilement mes doigts, je la caressais. Ce à quoi elle répondit en bougeant langoureusement le bassin, respirant de plus en plus fort. Cela ne prit que très peu de temps pour que ces halètements ne se transformèrent en petits cris. Et que son corps ne soit en transe, tremblant comme une feuille. Je passai une main autour d’elle pour ne pas qu’elle s’écroule. J’étais un peu déconcerté par la vitesse et la puissance de l’orgasme. Nous sommes restés ainsi durant de longues minutes. Puis elle se retourna vers moi et me dit « prends-moi ». Je n’allais quand même pas refuser…. Elle repris position bien accotée sur le capot de la voiture, et cabra les reins, faisans ressortir son cul superbe. Puis je m’insérai en elle.
Un coup de bassin. Un gémissement. Un autre coup de bassin. Par le reflet de la vitre, des seins suivant le mouvement. Le tout s’enchainait, lentement, langoureusement. Je pris ses bras, la forçant à se relever un peu, tout en continuant mes mouvements, toujours aussi profonds. Je la rapprochai encore plus de moi, bloquant ses bras derrière elle avec mon bras. Ma main libre caressait son corps, ses courbes, ses seins. Je continuai plus bas, caressant son clitoris. Elle répondit en bougeant de façon frénétique, comme si elle était possédée. Elle ne se contrôlait plus, et moi aussi je perdit rapidement le contrôle. Elle jouit, m’entraînant avec elle vers l’orgasme. Un orgasme si puissant, si intense que je pensais m’écraser sur place. Cependant, instinct de survie oblige, je sus retenir le tout, évitant une chute malencontreuse.
Nous restèrent ainsi pendant quelques minutes. Puis après un autre baiser langoureux, un peu de nettoyage et d’habillage, nous refaisions le voyage inverse, retournant auprès de ma voiture. Alors que je m’apprêtais à sortir, elle me dit, un sourire en coin « je crois bien que je devrais prendre ton numéro en note, qui sait quand je pourrais avoir besoin de toi si j’ai trop bu! » Je déclinai poliment l’offre mais elle insista pour me donner ses coordonnées. Je les prit finalement et retourna tranquillement vers la maison, rejouant dans ma tête toute cette scène.
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