L’attitude indécente et les propos clairement provocateurs de la jeune femme ont pour effet instantané d’ôter toute inhibition aux quatre hommes présents autour d’elle, chacun d’eux décidant d’oublier toute la retenue dont ils avaient fait preuve jusqu’alors. D’ailleurs, à peine a-t-elle mis au défi ses assaillants qu’ils la soulèvent du sol à l’unisson, lui arrachent par la même occasion son chemisier et son soutien-gorge pour ainsi libérer deux magnifiques petits seins aux formes parfaites.
Louise sent le bout de ses tétons durcir instantanément d’excitation au point de lui faire mal, surtout que ses agresseurs s’amusent à tour de rôle à les gifler, les pincer, les tirer comme si c’était du caoutchouc ! Elle crie de douleur… à moins que ce soit de jouissance ?!
La jeune avocate est ainsi transportée puis jetée sans ménagement sur le canapé orange situé au bout de la pièce, près des grandes baies vitrées donnant sur l’extérieur. Elle se sent dans un état second, comme si son corps ne lui appartient plus vraiment, des doigts s’introduisant dans tous ses orifices sans qu’elle puisse faire quoique ce soit. Elle mouille comme une fontaine, à son plus grand désarroi…
A peine sur le canapé, Louise essaye néanmoins de se relever mais déjà l’un des hommes lui saisit les cheveux et la tire violemment vers lui, le visage contre son sexe bandé d’excitation. Elle sait ce qu’attend son agresseur et ouvre donc instinctivement sa bouche pour happer la colonne de chair et ainsi éviter toute v******e supplémentaire.
– Oh oui, petite pute… pompe-moi comme ça ! T’as tout compris… t’es vraiment une bonne petite salope !
– Eh les mecs, regardez ce petit œillet tout tendre et serré qui n’attend que de se faire défoncer à grands coups de bites ! Je suis sûr qu’il est capable d’en accueillir au moins deux grosses en même temps. Tu en penses quoi, Louise ? Tu veux sentir deux belles queues dans ton petit cul de pute ?
Louise, qui sent des doigts s’activer frénétiquement dans son anus, se contente d’un bref signe de la tête, incapable de dire le moindre mot avec toujours une bite qui lui taraude la bouche. Elle ne sait pas quel signe elle a fait mais, en tout cas, ses violeurs l’ont pris comme une carte blanche à tous leurs fantasmes.
Le cerbère de tout à l’heure s’est déjà positionné au-dessus de la jeune avocate le sexe bandé d’excitation et, d’un coup sec, il la pénètre de tout le long de son pieu. Louise a l’impression de se faire littéralement déchirer le cul mais la queue qui lui baise la bouche lui empêche toute protestation. D’ailleurs, a-t-elle vraiment envie de protester alors qu’elle a un nième orgasme encore plus violent que les précédents… ce même si elle a une véritable appréhension car elle ne voit pas comment son petit trou tout serré pourrait accueillir deux bites en même temps ?!
De toute façon, ses agresseurs ne lui laissent pas le temps de poursuivre sa réflexion, l’un des deux inconnus du tramway s’étant allongé sur le canapé et obligeant la jeune avocate à venir s’empaler le cul sur son vis tendu vers le ciel.
Louise, consciente de l’objectif de la manœuvre, essaye néanmoins d’accueillir la colonne de chair dans son vagin mais elle est tout de suite ré aiguillée par une violente gifle du patron des lieux. Le petit gros rajoute avec un rire sardonique :
– Ecoute, petite pute, si tu continues à jouer les rebelles, c’est trois que tu vas te prendre dans le cul… t’as bien compris ?!
– Prends déjà celle-là, ma jolie coquine !
Le deuxième homme du tramway, celui qui l’avait embrassée dans le cou peu de temps avant, vient de se positionner derrière la jeune femme, son énorme queue lui labourant le sillon entre ses deux fesses. Elle sent alors une pression de plus en plus forte au niveau de son petit œillet qui, après avoir résisté un moment aux assauts, s’ouvre un peu plus encore pour accueillir ce deuxième phallus gonflé d’excitation.
Louise suffoque, halète, crie… alors que le monstre poursuit sa progression au plus profond du cul de la jeune avocate, rejoignant ainsi l’autre bite déjà bien installée. Pour autant, Louise n’a pas mal, comme anesthésiée… comme si son corps ne lui appartenait plus vraiment et que son esprit était maintenant inféodé aux volontés perverses de ses violeurs.
Elle jouit d’ailleurs une fois de plus d’un orgasme d’une rare v******e, juste à la pensée d’être complètement soumise et sous l’emprise de ces quatre hommes, alors que l’hôte des lieux lui a saisi la bouche et joue maintenant avec les deux langues de façon frénétique, aspirant tantôt celle de sa compagne de jeu, glissant tantôt la sienne ou ses doigts entre les dents cristallines de la jeune femme.
Malgré l’haleine fangeuse de son Don Juan et les crachats de celui-ci dans sa propre bouche, Louise se laisse entrainer dans ce balai exacerbé. Elle ne veut surtout pas que cela s’arrête, ne s’étant jamais fait baiser la bouche avec autant de fougue, d’ardeur.
– Attention, Monsieur Jean… je vais lui remplir sa petite gueule de pute !
– Vas-y, Eric… elle ne demande que ça, notre jolie invitée !… répond le petit homme trapu en se reculant un peu tout en maintenant toujours la tête de la jeune femme relevée.
La jeune avocate a tout juste le temps de réaliser qui vient de parler qu’elle voit un gros gland turgescent s’approcher de son visage et lui gicler en pleine face. Sans la moindre hésitation, elle ouvre grand la bouche et tire la langue pour essayer de récolter un maximum de ce liquide chaud et visqueux. Elle aime cette sensation d’être souillée ; elle adore également ressentir les deux grosses queues se mouvoir et coulisser au plus profond de son petit cul offert, parfois indépendamment l’une de l’autre, parfois de concert. Louise est toute proche de l’extase… ne contrôlant absolument plus rien des réactions de son corps.
Malgré le fait que Monsieur Jean a recommencé à lui baiser la bouche, à lui bouffer la langue, Louise crie maintenant de toute sa jouissance à chaque coup de boutoir lui défonçant son joli petit cul. Tant pis si tout le bâtiment entend qu’elle se fait baiser comme une petite pute ! Tant pis si l’autre pimbêche de secrétaire à l’entrée est confortée dans son jugement la concernant ! La jeune femme se fout de tout ce qui pourrait advenir par la suite, seul l’instant présent et sa propre jouissance comptant pour elle.
D’ailleurs, elle n’entend plus depuis un petit moment déjà les sarcasmes et autres remarques graveleuses que les quatre mâles s’autorisent à son égard. Tout son environnement est devenu flou et lointain… Par contre, quel bonheur de sentir les deux grosses queues se décharger par de violentes saccades et lui remplir le cul.
Bien sûr, Louise n’a pas vu l’homme qui est entré dans la pièce et qui s’avance maintenant vers eux.
– Mademoiselle !!!
Le ton impérieux de cette voix stoppe instantanément Louise dans sa fougue, tout son corps se glaçant d’effroi. Elle lève le regard même si elle sait qui est en face d’elle.
– Monsieur Piossenger ?!… bafouille-t-elle pour se convaincre qu’elle est bel et bien réveillée et qu’elle ne cauchemarde pas.
– Mademoiselle… enfin… Louise ! C’est quoi ce baisodrome ?!… Je vous envoie chez un très important client pour un contrat non moins important, et je vous retrouve dès le premier matin les cuisses écartées, à vous faire baiser comme une véritable chienne en chaleur !… Vous avez sans aucun doute des explications à me donner !?
– …
– Alors, j’attends, mademoiselle l’avocate !
– Bernard…
– Non, Jean ! Elle doit assumer ses actes, la petite pute. Je ne paie pas mes salariés pour qu’ils s’envoient en l’air pendant leurs heures de boulot… sauf si bien sûr ça rapporte à l’entreprise.
Louise est au bord des larmes ; elle se sent humiliée comme jamais elle ne l’a été de toute sa vie. Qu’est-ce qu’elle aurait aimé être invisible à cet instant. Tout son avenir professionnel qui semblait pourtant radieux, s’effondre d’un seul coup. Les deux hommes se sont retiré de son anus et elle git prostrée au pied du canapé.
Dans ce qu’elle pense être un instant de lucidité, elle se redresse et se jette aux pieds de son patron, tentant de lui déboutonner le pantalon pour lui faire une fellation. Mais ce dernier la repousse avec dégoût…
– Vous allez me foutre du sperme sur mes vêtements, petite conne !
– Je vous en supplie, Monsieur Piossenger !… Laissez-moi une chance de me ratt****r, afin de vous prouver que je peux bien faire mon travail ! Je ferai tout ce que vous voulez !
Toujours nue comme un vers, la jeune femme se tient à genoux devant son employeur, sa tête entre ses mains, et elle pleure à chaudes larmes. Les quatre autres hommes, eux-aussi debout et leur sexe toujours à l’air, l’entourent également… l’un d’eux se permettant même de passer sa main dans les cheveux collés par le sperme.
– Je vous en supplie, Monsieur Piossenger !… répète-t-elle d’une petite voix toute effacée.
– Arrêtez de me supplier, Louise ! Vos jérémiades m’insupportent au plus haut point… Allez plutôt prendre connaissance du contrat commercial qui est sur la table puisqu’il vous concerne directement. Soit il vous convient et vous le paraphez avant de le donner à Jean pour qu’il le signe également, soit vous me faites votre courrier de démission sur le champ !
La jeune avocate se redresse et cherche du regard ses habits disséminés un peu partout dans la pièce. Alors qu’elle s’apprête à aller récupérer sa jupe, son patron l’att**** par le bras…
– Vous n’avez pas besoin de vous rhabiller pour lire le contrat ! Pas de fausse pudeur avec moi et mes amis !… D’ailleurs, Louise, je vais vous aider à prendre la bonne décision !
– A grands coups de bite dans le cul !… ajoute le fameux Monsieur Jean avec un rire gras pour ponctuer son intervention.
Effectivement, à peine Louise s’est-elle positionnée pour lire les feuillets disposés sur la table en verre qu’elle sent deux mains masculines lui tirer les fesses vers l’arrière, puis l’une d’elles l’oblige à écarter ses cuisses et ses jambes jusqu’à l’indécence… Un véritable sentiment de honte lui traverse l’esprit, de se retrouver dans cette position, sa croupe et sa chatte juvénile offertes ainsi à son propre patron.
Celui-ci déboutonne son pantalon et sort une belle grosse queue déjà bandée d’excitation qu’il fait glisser à plusieurs reprises le long des petites lèvres charnues de sa salariée. Et puis, sans prévenir sa subordonnée, l’homme force l’entrée du doux puits d’amour encore tout liquoreux suite aux nombreux orgasmes de tout à l’heure. Louise pousse un petit cri de plaisir qu’elle ne parvient pas à réprimer…
Néanmoins, la jeune femme commence à lire le document… Comme elle pouvait le craindre, les premières lignes sont sans aucune équivoque possible.
– Je ne peux pas accepter ça, Monsieur Piossenger ! Je ne suis pas une prostituée… Hmmm !
– Comme vous voulez, Louise… mais réfléchissez bien ! Il n’est aucunement question pour vous de vous prostituer mais d’être une jeune avocate d’affaire très ambitieuse qui sait user de tous ses atouts pour répondre aux besoins de nos clients. D’ailleurs, vous avez déjà démontré l’étendue de vos compétences à mon amis Jean et à ses collaborateurs.
Le sieur Bernard en profite alors pour accélérer la cadence et faire buter son bas-ventre contre les fesses de son amante.
– Hmmmm ! Oh ouiiii !…
– Tu vois que tu aimes ça, de te faire baiser comme une chienne !… Putain, c’est un véritable bonheur, ta petite chatte toute dégoulinante de cyprine. Ça glisse tout seul à l’intérieur. Allez, dépêche-toi de signer ce foutu contrat pour que nous puissions tous fêter ça dignement !
Les quatre autres mâles se sont rapprochés d’eux et se branlent méthodiquement comme s’ils attendaient leur tour. La jeune avocate a d’ailleurs bien du mal à se concentrer sur ce qu’elle lit, obsédée qu’elle est par ces belles bites à portée de sa bouche. Elle parcoure donc en travers les paragraphes où il est notamment question de son obligation de se soumettre aux exigences du client, de la possibilité de partir plusieurs jours en séminaire de travail, de la fréquence des réunions de synthèse avec le client et son propre patron…
Louise s’arrête néanmoins sur le paragraphe concernant sa tenue vestimentaire de travail, avec le port de la jupe courte obligatoire et l’interdiction stricte d’avoir une culotte en dessous, afin d’être toujours ouverte aux volontés du client. Comment devait-elle interpréter cette clause du contrat commercial ?! Qu’à n’importe quel moment de la journée, elle pourrait se faire baiser comme une petite pute sur le coin d’un bureau ou contre un mur… Elle était à la fois terrifiée et passablement excitée par cette pensée d’être ainsi offerte à la perversité du premier venu.
Elle ne savait vraiment pas quoi décider, son esprit étant complètement embrouillé, son patron continuant à lui pistonner le vagin à grands coups de queue comme si de rien n’était…
– Il y a quelque chose qui ne te vas pas dans ce contrat, Louise ? Tu préfères peut-être quitter l’entreprise et chercher du boulot ailleurs ?!… Oh, putaiiinnn… comme tu es bonne à baiser !
– Hmmmm !…
– Elle aime vraiment ça, la petite salope… rajoute le plus vieux des inconnus du tramway, en lui glissant un de ses doigts dans la bouche.
– Si tu refuses de signer ce contrat, ma petite cochonne, je peux toujours te proposer du boulot sur mes chantiers de BTP. Les ouvriers seront ravis d’avoir une collaboratrice comme toi pour occuper leur pause repas… renchérit Monsieur Jean avec toujours ce même rire sardonique.
Louise a bien conscience qu’elle est en train de faire la plus grosse connerie de sa vie mais, tel un automate, elle prend pourtant le stylo posé à côté d’elle et paraphe le document sous son propre nom en rajoutant la mention « Lu et approuvé. Bon pour accord ».
Elle s’en fout de l’aspect légal ou non de ce contrat commercial faisant d’elle la petite pute de son patron, à disposition des clients du cabinet d’avocats. La seule chose qui compte pour elle à cet instant est de profiter de ces belles bites gonflées d’excitation, de sentir le foutre chaud s’écouler sur son corps et même au fond d’elle-même.
D’ailleurs, à peine a-t-elle paraphé le contrat qu’elle sent son employeur se raidir, lui saisir les hanches encore plus énergiquement et de grandes saccades lui remplir son con.
– Oh ouiii !… Encore… Hummm !… Je suis votre petite pute soumise… je veux votre jus !…
La jeune avocate n’a pas le temps de rajouter le moindre mot que le dénommé Eric lui choppe les cheveux et la force à se mettre à genoux. Une première bite s’avance et lui gicle à la figure sans qu’elle puisse esquisser le moindre mouvement… puis une deuxième lui tapisse son front d’un foutre épais et visqueux. Louise a tout juste le temps de récupérer une partie de cette précieuse semence avec son doigt pour le porter à la bouche qu’un troisième lui éjacule en de longues giclées sur le nez et même un peu dans les yeux.
Elle est aux anges… elle sent sa chatte s’humidifier une fois de plus, à moins que ce soit le sperme lâché par son patron qui s’écoule, mais surtout son corps est de nouveau submergé par un violent orgasme.
– Regardez, les mecs… elle a inondé le sol, la petite salope ! Je n’ai jamais vu une telle trainée de toute ma vie de baiseur… ajoute le fameux Monsieur Jean tout en visant la bouche que la jeune avocate s’empresse d’ouvrir le plus grand possible.
– Allez Louise… ouvre ta bouche de salope aussi pour ton gentil patron et avale tout !
– Ouiii… Monsieur Piossenger… je veux votre grosse queue dans ma petite bouche de pute ! Hmmm !
A peine s’est-elle exécutée et a-t-elle dégluti tout ce qu’elle avait dans la bouche que la jeune femme reçoit en pleine figure ses propres vêtements…
– Allez, maintenant, tu nettoies le sol de tes cochonneries avec tes fringues, tu te rhabilles et tu rentres chez toi pour te laver !… Tu pues le sexe à cent mètres à la ronde…
– Mais…
– Il n’y a pas de « mais », Mademoiselle ! La partie de jambes-en-l’air est terminée et je vous rappelle que vous avez encore des obligations contractuelles à l’égard de votre employeur… Vous avez de la chance, je vous laisse votre après-midi… mais demain je veux vous voir dans mon bureau à la première heure, fraîche et dispos !
Louise ne cherche même pas à répondre… elle essuie le sol avec sa jupe qu’elle remet ensuite alors que celle-ci est toute trempée… Elle reboutonne son corsage et glisse son soutien-gorge dans son sac à main car l’attache a été arrachée… Elle enfile et lace ses bottines… Quant à sa culotte, elle n’insiste même pas pour la récupérer quand elle remarque que l’un des hommes du Tramway joue avec…
La jeune avocate quitte la pièce la tête basse, passe devant la secrétaire sans même oser lever les yeux pour ne pas croiser son regard. Elle se sent humiliée et honteuse… elle doit avoir du sperme partout dans les cheveux et sur le visage. Mais qu’est-ce qu’elle a aimé se faire baiser comme ça… se dit-elle au fond d’elle !
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