Je suis dans un salon, assis confortablement dans un canapé. Le repas fut agréable, le vin délicieux, et le verre de whisky calé dans le creux de ma paume, est plutôt pas mal.
Ce soir, je suis chez un couple, ami d’amis, que j’ai croisé quelques fois et qui ont eu la gentillesse de m’inviter à dîner à l’occasion d’un déplacement professionnel. D’habitude, c’est plutôt hôtel de troisième catégorie, repas seul et tristounet, bref tout ce qu’il y a de plus glauque. Alors me retrouver dans ce grand canapé Chesterfield à savourer un superbe whisky… c’est le bonheur. D’autant que mes hôtes sont charmants. Surtout madame. Séverine. Une petite brune, un peu fade lors de nos premières rencontres, mais bien plus pétillante ce soir, après le champagne et la bouteille de vin. Elle est amusante en fait, presque frétillante à l’autre bout du canapé, dans sa petite robe noire, moulante et courte. Elle est bien faite, ni fine, ni pulpeuse, un visage doux, un style discret, un peu réservée. Je pense que c’est ça son problème en fait. Réservée, manquant de folie, de peps, d’audace. Sûrement un peu coincée dans sa condition de femme de son mari. Bruno, lui, est un mec gentil aussi. Qui a réussi à force d’heures supplémentaires et de fidélité à son patron, mais qui n’a pas un grand charisme. Un peu mou.
Surtout en cet instant où je le vois s’effondrer doucement au fond de son fauteuil, posé du côté de sa femme.
La conversation sombre un peu. Finalement ils m’ennuient. Je préférerais finir mon whisky tranquillement en écoutant de la musique. Sans qu’il n’y ait de raisons qui le justifient vraiment, j’ai envie de leur foutre des baffes, de les secouer.
Il me demande comment j’ai connu Marc et Emmanuelle, nos amis communs. Sans réfléchir, je réponds :
— Je les ai croisés en vacances. Le soir même, Marc m’a demandé de baiser sa femme.
Bien sûr, c’est absolument faux. Mais j’avais besoin de trash.
Je n’ai pas manqué mon coup. J’ai l’impression que mon hôte a la mâchoire qui touche le sol sous l’effet de la surprise. Elle, a carrément poussé un petit cri strident de surprise. Je reste impassible, mais au fond de moi, je suis mort de rire. Silence.
Ils se regardent, ne savent pas comment réagir. Ont-ils bien entendu ? Ils ont laissé passer trop de temps pour se permettre de me demander de répéter.
— Quoi ? Mais, mais… mais pourquoi ? finit-il par demander.
À l’autre bout du canapé, je devine Séverine, suspendue à ma réponse. Mes derniers mots ont été comme un séisme pour elle. Quelle provocation, quelle déviance !
Lui aussi est choqué, je le vois presque trembler. Je prends mon temps pour réfléchir à ma réponse. J’ai voulu faire mon malin, mais il va falloir assurer maintenant.
— Vous savez, il y a beaucoup d’hommes qui aiment voir leur femme dans les bras d’un autre homme, prendre du plaisir.
Puis en me tournant vers elle :
— Et pour une femme, s’abandonner à un autre devant son mari est une source de plaisir incroyable. Croyez-moi, c’est très fort et ça témoigne d’un amour réciproque incroyable…
Satisfait de mon effet, je vide mon verre de whisky et m’installe confortablement au fond du canapé. Tous deux sont en état de choc. Je les sais profondément troublés par l’existence de ces jeux qu’ils n’ont jamais imaginés, et qu’ils ne peuvent que trouver d’une perversité indicible. Pourtant aucun ne montre qu’il est scandalisé. Je les sens accrochés à mes paroles, dans l’attente d’en savoir plus. Ils se regardent, cherchent dans le regard de l’autre une réaction qu’ils ne trouvent pas…
C’est alors que m’approchant de Séverine, j’interroge Bruno :
— Par exemple toi, qu’est-ce que ça provoque en toi de me voir poser ma main sur la cuisse de Séverine ?
Elle a sursauté quand ma main s’est posée sur le bord de sa robe, mais n’a pas bougé, considérant qu’on ne lui avait rien demandé. Bien plus que moi encore elle attendait la réponse de son mari, pour qu’il mette fin à cela au plus vite.
Ce qu’il ne fit pas.
Bruno était incapable de dire quoi que ce soit, le regard bloqué sur ma main posée sur la cuisse de sa femme, les yeux perdus, à la recherche d’une réaction qui ne venait pas.
— Et quand je caresse sa jambe ainsi ? dis-je en glissant ma main vers l’intérieur de sa cuisse, sans même la regarder.
Mon absence d’intérêt à son égard devait la déstabiliser. Elle n’était que la femme se son mari, stupéfaite par la non-réaction de celui-ci.
— Avoue que c’est troublant n’est-ce pas ? lui dis-je encore.
Toujours aucune réponse. Ce « non » qu’il cherche au fond de sa gorge ne sort pas.
Je continue mon petit jeu et plonge ma main entre ses deux cuisses.
— Regarde, elle se laisse faire, elle est troublée elle aussi, mais ça lui plaît. Pourquoi lui refuser ?
Je me tourne vers elle, lui aussi. Le sang lui monte aux joues, elle est écarlate. Elle sent sur elle nos regards qui scrutent sa réaction. Elle réalise soudain que son mari attend maintenant qu’elle stoppe le jeu, lui qui en a été incapable. Cet instant doit leur sembler cruellement long à tous deux. Elle non plus ne s’en sent pas capable. Je le sais déjà.
— Allonge-toi, lui dis-je en accompagnement mes mots d’une pression de ma main sur son épaule.
Soulagée de ne plus avoir à répondre, elle s’exécute et se coule au fond du canapé. J’att**** sa jambe et la passe par-dessus la mienne, offrant l’intérieur de ses cuisses nues et sa culotte à nos yeux. Elle s’est laissé faire sans résistance, subjuguée par sa passivité qu’elle sait liée à l’excitation de ce moment. Ce n’est même pas de l’excitation sexuelle à ce stade. Rien que l’excitation de braver la morale, de faire quelque chose d’extraordinaire, elle qui n’a jamais osé… Lui aussi est passif, étouffé entre son trouble, sa jalousie, sa honte, sa curiosité, son excitation… c’en est beaucoup trop pour retrouver ses esprits.
Tous ces sentiments atteignent leur paroxysme lorsqu’il voit sa femme pencher la tête en arrière alors que mes mains remontent le long de ses cuisses et att****nt sa culotte pour la faire glisser doucement jusque sur le tapis. Je crois qu’aucun des deux ne s’était imaginé qu’on en arriverait là. Et ils prennent conscience que la suite est déjà écrite.
Elle a gardé les jambes légèrement fermées, mais ma main a vite fait de ratt****r sa cuisse et d’offrir sa toison à nos regards. Pour elle, ce sont bien plus que nos regards à qui elle offre sa chatte, c’est à ce que l’on décidera, son mari et moi, de faire avec. Car pour elle, il est trop tard… elle a déjà abandonné toute résistance. Après tout, c’est à son mari de s’interposer, c’est lui l’homme. C’est lui généralement qui guide leur vie : pour les sorties, les loisirs, les achats importants, mais aussi leur vie sexuelle. Elle se contente de le satisfaire du mieux qu’elle peut, et dans les limites de la bienséance qu’il attend de la femme qui partage sa vie.
Bruno est hypnotisé par le spectacle de l’entrecuisse de sa femme. Il ne l’a sûrement jamais vue ainsi, cambrée dans le canapé, la chatte à l’air sous sa petite robe noire.
— Que penses-tu du spectacle, Bruno ?
Je demande cela pour le faire sortir de sa rêverie, mais ne m’attendant pas pour autant à ce qu’il soit capable de me répondre.
— N’est-elle pas magnifique, ta femme ? Si, bien sûr, elle est splendide quand elle s’abandonne. Je suis sûr qu’à cet instant précis, tu la trouves plus belle que jamais. Je me trompe ? C’est parce que la voir être désirée par un autre homme la rend encore plus désirable à tes yeux. Tu réalises que tu ne la désirais pas comme elle le méritait jusqu’alors. N’est-ce pas ? Elle aussi le pense, tu sais. Mais maintenant tout cela va changer, dis-je en continuant à caresser l’intérieur des cuisses de Séverine du bout des doigts.
Sa peau est douce, froide et chaude en même temps… la peur et l’excitation mêlées. Je passe mon bras derrière sa nuque pour la prendre dans mes bras. Sa tête se pose naturellement sur mon épaule tandis que ma main caresse son bras. La voilà lovée contre moi, profitant de mes caresses douces et expertes, sous l’œil attentif de son homme.
J’écarte encore un peu plus ses cuisses et mes doigts glissent vers ses lèvres. Elle soupire, gigote du bassin, s’impatiente… enfin je passe le dos de ma main sur son sexe déjà bien ouvert…
— Regarde, Bruno, elle est trempée. Je suis sûr que tu peux le sentir toi aussi d’où tu es… tu sens son odeur… j’adore. Elle sent fort en plus, non ?
Oui, il sait qu’elle est excitée comme jamais. Il aurait sûrement préféré que ça ne soit pas le cas, qu’elle redevienne la femme qu’il connaît et qui aurait dû être choquée par tout cela. Il aurait voulu qu’elle ait la maîtrise d’elle-même pour ne pas laisser la soirée dé****r ainsi. Qu’elle ait cette force que lui n’a pas. Si ce n’est elle, alors c’est lui qui devrait stopper les choses. Mais ça serait décevoir Séverine. Ou bien c’est en ne faisant rien qu’il la déçoit, passif, lâche, docile, indifférent ? Non, pas indifférent c’est sûr, cette situation a trop d’impact sur lui pour parler d’indifférence. Mais surtout cette curiosité le ronge : jusqu’où ce salaud va-t-il aller ? Jusqu’où est-elle prête à se laisser aller ? Ce délicieux vertige aura-t-il une fin ?
Mes doigts prennent maintenant possession du sexe de Séverine. Je caresse son clito, ses lèvres, glisse mes doigts dans son sexe dégoulinant. Ah ça, pour dégouliner, elle dégouline. Elle me trempe la main. Elle gémit aussi, geint, se tortille. Impossible que cela s’arrête pour elle, elle sait qu’elle est partie sur la route de l’orgasme et il n’est absolument pas question de faire demi-tour. À ce stade, que ce soit un quasi-inconnu qui la doigte devant son propre mari n’a plus d’importance.
Mais il faut jouer fin malgré tout. Garder l’unité.
— Regarde Bruno, tu vois, c’est un cadeau magnifique qu’elle te fait là. Tu te rends compte de ce qu’elle est prête à faire pour toi, pour te donner du plaisir ? Elle s’abandonne devant toi, prête à jouir pour toi. Car oui, c’est pour toi qu’elle fait cela, tu sais, pas pour moi. C’est exactement ce qui s’est passé avec Emmanuelle et Marc. Et pour eux ce fut un intense moment de partage !
Ah, ah ! Je ne suis pas mécontent de ce coup-là. Maintenant s’il arrête le jeu, il passera pour le rabat-joie de service.
J’avance un nouveau pion en glissant deux doigts de ma main gauche qui lui serrait les épaules dans sa bouche. Je ne crois pas que ça soit dans ses habitudes, mais elle comprend le message rapidement. Elle enroule sa langue sur mes doigts, les humidifie, les suce avidement… Elle doit se sentir salope pour la première fois de sa vie.
— C’est un beau cadeau que tu lui fais là, toi aussi Bruno, tu sais ? La laisser ainsi profiter d’une situation unique. Pour la première fois de sa vie, elle peut enfin libérer la salope en elle qui ne demandait que ça visiblement. Je crois que tu l’ignorais, mais il y avait une sacrée salope au fond de ta femme. C’est merveilleux de la voir éclore ainsi, non ? Regarde-la comme elle est heureuse… Et toi Séverine, regarde-le ton homme, dis-lui avec tes yeux comme tu aimes ce que je te fais, dis-lui à quel point tu le remercies de me laisser faire !
Mes doigts toujours plantés dans son sexe et dans sa bouche, elle se redresse doucement et, des yeux, trouve son mari. Depuis un moment déjà, elle fuyait son regard. Elle est écarlate de honte, le supplie de ne pas la juger trop sévèrement, mais bon Dieu, qu’elle aime ça ! Plus langoureusement encore, elle lèche mes doigts et ondule du bassin.
— Regarde, elle veut montrer à son mari que oui, elle peut être une salope et qu’il est temps que tu le saches pour en profiter pleinement. Pour l’heure, elle a besoin d’un guide qui l’aidera à accoucher de la chienne qui dormait si profondément et qui après tant de temps à hiberner est prête à dévorer. À dévorer toutes les bites du monde. D’ailleurs il est temps désormais de lui donner ce qu’elle réclame.
Je joins le geste à la parole, et libérant mes doigts de leurs fourreaux, je dégrafe mon pantalon et ordonne à Séverine de me l’enlever. Elle s’exécute docilement, puis s’immobilise, attendant la suite. C’est moi qui baisse mon boxer, pour en dégager le locataire. Cela faisait un moment qu’il était bien à l’étroit. Tout concentré que j’étais, je ne m’étais même pas rendu compte à quel point ma queue et mes couilles me faisaient mal !
Je la vois qui observe ma queue avec envie. Sans être phénoménale, elle est de belle taille, avec une bonne largeur et surtout un beau gland bien rond.
— Tu en as envie, hein ? Demande donc à ton mari si tu peux y goûter.
Je les vois tous les deux rougir plus encore. Je comprends.
— Elle n’a t’a jamais sucé, n’est-ce pas ? Oh, quel gâchis ! Tu n’as jamais osé lui demander, je parie ! Ce n’est pas grave, tu vas voir, ce n’est pas si compliqué.
N’attendant pas que l’un d’eux réagisse ou me donne un avis sur la question, j’appuie doucement sur la tête de Séverine :
— Allez, mets-la dans ta bouche.
Bien plus docilement que je ne l’espérais, elle s’exécute, approche son visage, ouvre les lèvres et avale mon gland. Oh putain que c’est beau, une jolie bouche vierge qui se referme sur une queue, il n’y a rien de plus beau. Maladroite au début, le temps de s’habituer, elle finit par comprendre. Elle se couche doucement sur moi, pour poser sa tête sur mon ventre, offrant le spectacle de sa première fellation à son mari. Je suis aux anges. Bruno lui, semble vert de rage.
— Hummm, c’est tellement bon. Elle est déjà très douée, tu sais. Ne fais pas cette tête, Bruno. Tu devrais me remercier. Grâce à moi à partir de demain, tu vas pouvoir te faire sucer tous les jours ! Tu te rends compte ? Tu allais peut-être passer ta vie à attendre ça. Ne me dis pas que tu n’en rêvais pas ! Bah, tu vois, visiblement elle en rêvait aussi. Il suffisait de savoir lui demander ! Allez, Séverine, lèche-moi bien la queue, montre à ton homme ce que tu sais faire.
Et elle sait y faire, dis donc ! Quelle pipe ! Elle me suce comme si c’était à la fois sa première et dernière chance. On peut dire qu’elle a compris que c’était maintenant ou jamais. C’est incroyable de la voir prendre autant d’initiatives, la voilà même qui me crache sur le gland avant de se le remettre au fond de la bouche. Elle bave, elle lèche, c’est un spectacle merveilleux dont Bruno ne perd pas une miette, paralysé, coincé entre la jalousie et la colère, et la joie de savoir que oui, maintenant il va pouvoir se faire sucer la bite !
Pour Séverine, à l’instant T, il n’y a pas de demain. Ce soir est son dernier soir sur Terre et elle compte bien en profiter pour faire tout ce qu’elle n’a pas pu faire jusqu’à aujourd’hui. À commencer par bouffer de la bite !
Hum, cette petite salope me fait prendre un pied pas possible. Et voir son con de mari profiter du spectacle n’est pas pour me déplaire. Je saisis ma bite, la sors de la bouche chaude et trempée, et commence à passer mon gland tout baveux de nos jus sur ses lèvres, son visage. Je regarde son homme, et commence à branler ma bite sur la bouche de sa femme.
— Elle va me faire jouir, ta femme, tu sais. Tu vas voir, elle va être magnifique avec du sperme plein la bouche.
À ces mots, je la sens qui ouvre goulûment sa bouche, et avance sa langue pour la passer partout sur mon gland.
— Regarde comme elle en veut ! Dis-lui que tu veux du jus, dis-lui que tu veux mon sperme dans ta bouche.
Elle continue son ballet obscène avec sa langue, mais ne dit rien. Elle ne peut rien dire, rien avouer. Elle veut continuer à se faire passer pour celle qui accepte tout, cela uniquement parce que son mari ne s’interpose pas. Elle ne fait qu’obéir à son mari finalement, elle ne peut pas se permettre d’avouer qu’elle fait ça par plaisir et que c’est bien elle qui crève d’envie de se faire baiser comme une pute !
— Elle n’ose pas, la timide ! dis-je à l’attention de son mari. La pauvre, elle en crève d’envie bien sûr, mais elle n’ose pas l’avouer. Je crois qu’elle attend que ça soit toi qui lui demandes, Bruno. Elle veut que ça soit toi qui lui dises de se faire remplir la bouche. Tu ne vas quand même pas la laisser dans cet état, Bruno ? Regarde comme elle a soif, regarde un peu comme elle a envie de me faire cracher dans sa petite bouche de salope… Allez, regarde-la bien dans les yeux. Tu crois qu’elle en a envie ou pas ? Hein, qu’est-ce que tu en penses ?
Les deux se regardent, complètement perdus… ça doit être un sacré bordel dans leurs cerveaux respectifs ! Finalement, au bout d’une dizaine de longues secondes, les yeux toujours rivés sur ceux de Séverine, Bruno finit par faire un petit mouvement de tête, un imperceptible acquiescement.
C’est bon, c’est gagné pour moi. Je vais lui en foutre plein la bouche à cette petite pute, et avec le consentement de son mec en plus ! De savoir que je vais dégorger dans une bouche vierge pourtant mariée depuis des années, ça m’excite à mort. J’ai les couilles et la queue qui continuent de gonfler, j’ai l’impression que je vais cracher des litres, que je vais l’inonder !
Je m’astique de plus en plus vite, et ma queue gonflée et pleine de sa bave n’en demandait pas tant !
— Alleeeez, prend çaaaaaaaaaahhhhh, putain de salope de puuuuute.
Je crie longuement, le jus est monté si fort et si doucement à la fois que l’orgasme a été ahurissant ! Je ne sais combien de temps ça a duré, la grande lumière blanche, j’ai presque perdu pied alors que je sentais les vagues de foutre jaillir du bout de ma queue pour s’écraser sur la langue et le visage poupon de Séverine.
Quand enfin je baisse les yeux, je la découvre le visage maculé de jus et se délectant de mon foutre et de ma queue encore grosse qu’elle a reprise dans sa petite bouche serrée.
Oh, putain, le pied, bordel ! Je pense, mais n’ose plus rien dire, de peur de gâcher cet instant de grâce. Wahooo ! Eh ben elle aime ça, la bite, cette salope, finalement ! Je me sens vraiment vidé, incapable de bouger, elle m’a tué !
Alors que Séverine continue langoureusement de me nettoyer la bite en souriant, les yeux plongés dans ceux de son mari, je regarde vers Bruno. Il est fasciné par le spectacle, et ne peut dissimuler la trique qu’il caresse lentement de sa main à travers son pantalon qu’il vient de maculer, bouleversé par le sourire de sa femme, plein de mon sperme.
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