Je n’ai pas l’habitude de raconter ma vie sur internet mais j’avais envie de vous raconter ça. J’ai 29 ans, je suis d’origine chinoise mariée à un Français depuis deux ans au moment des faits et cela faisait deux ans que j’étais comblée. Je n’aurais jamais cru qu’il m’arriverait de tromper mon mari.
Début janvier mon mari et moi sommes partis deux semaines en vacance au ski. Dans ma vie je n’étais montée qu’une seule fois sur des skis et j’en avais un très mauvais souvenir.
Dès notre arrivée je me suis inscris à des cours de ski et le deuxième jour pendant que mon mari partait se faire quelques descentes, je suis allée attendre mon moniteur devant l’école. Et là grosse surprise, un jeune homme d’une vingtaine d’année s’est pointé devant moi. Il s’appelait Julien. Il était bronzé, musclé, sexy…craquant. J’étais toute intimidée par son physique d’Apollon. Le feeling passait tellement bien entre nous que nous nous sommes dis-tu très rapidement. J’étais attirée par Julien, physiquement. Je le désirais.
Le lendemain, j’avais du mal à me concentrer pendant le cour. Chaque fois que Julien me touchait j’avais des frissons. J’essayais de masquer ma gène je n’étais pas très douée. Julien semblait aussi attiré par moi, je l’ai surpris à plusieurs reprises à mater mes fesses. Nous nous sommes arrêté dans un coin un peu à l’écart pour faire une pause et là Julien est devenu très familier et entreprenant. Il s’est rapproché de moi, m’a glissé quelques compliments d’une voix douce et a posé ses mains sur mes hanches m’attirant a lui. Je n’ai rien dit du coup il a poussé plus avant son avantage en m’embrassant d’abord timidement pour voir ma réaction puis plus fermement. J’ai encore laissé faire, il a compris qu’il pouvait aller plus loin et a commencé à baisser doucement la fermeture éclair de ma combinaison.
J’étais comme paralysée. J’avais envie qu’il me baise là tout de suite dans la neige, mais ma conscience hurlait dans ma tête qu’il ne fallait pas, qu’il fallait que je l’arrête toute de suite. Je bredouillais un faible « non je ne peux pas, c’est pas bien, je suis mariée », je tentais de le repousser sans grande conviction. « Je ne peux pas… »
Je n’ai pas achevé ma phrase car à nouveau il m’embrassa introduisant sa langue dans ma bouche. Ses mains firent descendre ma combinaison de ski au niveau de mes hanches puis remontèrent sur mes seins. Il dégrafa mon soutien-gorge qui tomba au sol dans la neige et commença à caresser mes seins et titiller mes tétons. Sa main se glissa alors dans ma culotte et ses doigts commençaient à explorer ma fente. Il était trop tard pour faire marche arrière, trop tard pour dire stop et j’en avais trop envie alors je me suis laissée faire. Sous l’impulsion du désir, je me suis cambrée légèrement pour lui donner un meilleur accès. Ses doigts se sont lentement introduis dans ma petite chatte humide. J’ai laissé échapper un gémissement de plaisir et je suis devenue dégoulinante. Julien m’a doigtée vite et fort, m’ouvrant de plus en plus. Il a soudain retiré ses doigts et a commencé à enlever sa combinaison. Il a sorti son sexe en érection. La nature l’avait vraiment bien gâté et jamais une queue ne m’avait fait autant envie.
Alors je me suis agenouillée et j’ai enfourné son membre dans ma bouche. Je l’ai sucé avec gourmandise, j’adorais le gout de son sexe sur ma langue et je ne me lassais pas de le faire aller et venir entre mes lèvres. Mais tout à coup il m’a demandé d’arrêter et il m’a aidé à me redresser. Il m’a retournée dos à lui et a baissé ma combi et ma culotte. Il a empoigné mes hanches, m’a penché en avant. J’ai pris appui contre un arbre et j’ai senti son sexe chercher l’ouverture et écarter les lèvres de ma fente. Il s’est enfoncé en moi doucement et a commencé des va-et-vient lent puis plus rapide. J’avais du mal à réaliser que je me faisais prendre dans la neige par ce moniteur de ski plus jeune que moi, la seule chose que je ressentais c’était cette queue qui me défonçait et me faisait jouir. Mes fesses claquaient contre le bas ventre de Julien qui s’acharnait dans mon vagin comme un fou.
Il gémissait de plus en plus fort, me traita de « salope », et accéléra encore le rythme me maintenant très fort par les hanches. Il me labourait le vagin et j’adorais ça. Il s’est enfoncé encore plus profond, et puis, dans un ultime coup de rein, il a explosé, s’immobilisant au fond de mon ventre. J’ai senti gicler en moi des jets chauds. Un, deux, trois, quatre puis cinq puissantes giclées. Il poussait des râles de plaisir. J’ai été prise d’un orgasme puissant et j’ai laissé échapper des gémissements de plaisir. Il est resté en moi pendant plusieurs secondes avant de se retirer. J’ai senti sa semence couler le long de mes cuisses.
L’excitation est redescendu, j’ai repris mon souffle et c’est là que j’ai réalisé pleinement ce que j’avais fait. Honteuse j’ai essuyé le sperme qui s’écoulait avec un mouchoir, je me suis rhabillée en vitesse et je suis partie en courant, vers l’hôtel pour prendre une douche.
Le soir, prise culpabilité, j’ai tout avoué à mon mari et …(suspens)
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