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Ma femme, sa belle-soeur et son papa (1)

Ma femme, sa belle-soeur et son papa (1)



Avec la famille, nous nous réunissons chaque année en Provence où le papa de la belle-soeur (la femme de son frère) de ma femme possède une immense propriété.
A chaque fois, c’est entre 15 et 20 que nous sommes et c’est toujours un plaisir immense.
Chacun a des nouvelles à raconter, des histoires de travail ou de vie quotidienne. Et je ne vous dis pas les litres de rosé que nous buvons l’après-midi et le soir !!
Il y a maintenant 2 ans, nous avons vécu une soirée inoubliable que je vais vous narrer du mieux que je le peux.
Ma femme m’en a expliqué une partie (celle où je n’étais pas présent) et je la compléterais par ce dont j’ai assisté.

Un soir, alors que nous étions encore 5 dehors à terminer la soirée qui avait été copieusement arrosée, ma femme est rentrée pour aller se coucher. La femme de son frère l’a suivie en disant qu’elle aussi était exténuée et se réjouissait de retrouver son lit.
Nous sommes donc restés au jardin, le frère de ma femme, le papa et moi-même, à terminer (prétexte) les bouteilles ouvertes.
Bien vite la conversation s’est dirigée sur le travail (il faut dire que mon beau-frère et moi avons le même métier), ce qui n’a plus intéressé le vieil homme.
Il nous a donc quitté pour rejoindre sa chambre également.

Voici donc ce que m’a raconté ma femme:

– Comme tu le sais, Audrey est bi et m’a déjà fait des avances. Je te l’ai aussi avoué, une fois nous nous sommes embrassées et caressée intimement.
Alors que j’étais dans la salle de bain en train de me déshabiller, Audrey est arrivée et nous avons parlé un peu. Tout en parlant, elle s’est approchée de moi et m’a caressé le dos puis les fesses. A ce moment, je ne portais plus que mon petit string et elle avait tout loisir de profiter de la surface entière de mon fessier.
Elle m’a fait faire un demi-tour et m’a embrassée goulûment, sa langue a le don de vous transporter au 7ème ciel.
Excitée par ce baiser et ses mains qui pétrissaient mon petit cul, j’ai moi aussi commencé à la caresser.
En voulant plus, elle m’a invitée à monter au grenier. Tu sais que là il y a le vieux canapé que son père a remisé avec une partie de ses anciens meubles.
Installées sur le canapé, nous avons commencé à nous donner du plaisir. D’abord gentiment, puis de plus en plus fort.
J’aime cette façon qu’elle a de fouiller mon intimité avec 2 doigts, de jouer avec mon clitoris du bout de sa langue.
J’ai dû jouir bruyamment car son père a été alerté par mes cris et est venu voir ce qu’il se passait.
Quand il est entré, j’étais allongée les jambes écartées et Audrey avait sa tête entre mes cuisses et sa langue en moi.
A un moment donné, j’ai ouvert les yeux et je l’ai vu qui nous regardait toutes les 2.
Il était appuyé au chambranle de la porte et semblait apprécier le spectacle que nous lui offrions.
J’aurais pu me redresser, demander à Audrey d’arrêter, mais j’avais tellement bon que je suis restée ainsi à me faire racler la chatte tout en regardant François (le père) nous mater.
Quand son regard à croisé le mien, il m’a souri puis s’est approché.
Tandis que sa fille me broutait, il s’est mis à genou et m’a embrassée tout en me pinçant les tétons. J’ai refermé les yeux et ma jouissance a décuplé.
Audrey a abandonné ma chatte (sans doute voulait-elle venir m’embrasser) et a découvert son paternel me roulant une pelle magistrale. Cela ne l’a pas dérangée (c’est après qu’elle m’a avoué avoir de temps en temps des relations avec son papa et cela depuis plus de 15 ans) et elle est venue mélanger sa langue avec les nôtres.
François s’est relevé et s’est déshabillé puis a sorti une couverture, de la malle, qu’il a étendue à même le sol.
Il s’est allongé dessus et nous à invitées à le rejoindre.
J’avais un peu peur, j’appréhendais que quelqu’un arrive et nous surprenne tous les 3. Heureusement, quand cela est arrivé, c’était toi.
Donc nous l’avons rejoint et, tandis que j’embrassais François, Audrey s’est mise à le sucer. De ses mains, François m’a poussée et dirigée vers son sexe où ma langue a accompagné celle d’audrey. C’était bizarre comme situation, ma belle-soeur et moi en train de faire une fellation à son père !
Bizarre mais terriblement excitant. Peut-être un des plus grands moments de ma vie sexuelle.

C’est à ce moment que je suis arrivé et voici ce que j’ai vu:

– Ma femme et ma belle-soeur jouant avec le braquemart du papa de cette dernière tout en se masturbant réciproquement l’une et l’autre. La scène valait le coup d’oeil, jamais je n’aurait imaginé cela !!
Etant libertin et adorant voir ma femme dans toutes les situations sexuelles, je me suis assis dans le canapé pour y suivre leurs turpitudes.
Toute la maisonnée dormait et mon beau-frère, complètement ivre, ronflait sur sa chaise-longue au jardin. Mes 3 cochons pouvaient s’en donner à coeur-joie, nul ne viendrait les déranger.
Le papa, bien que d’un âge avancé (64 à l’époque) était dans une forme physique étonnante. Il était monté comme un cheval (je dirai aux alentours des 22 cm) et sa queue aussi droite et raide qu’une barre d’acier.

Tour à tour il les chevaucha l’une et l’autre, puis c’est ma femme qu’il fit mettre à genoux. Il avait constaté ma présence et ne s’en soucia guère, allant même jusqu’à me faire un clin d’oeil.
Il écarta les fesses de ma femme puis cracha à 2 reprises sur son petit trou avant d’y enfoncer un doigt afin de bien humecter l’intérieur. Quelques mouvements puis son doigt se retira pour laisser la place à son sceptre qu’il introduisit d’un mouvement sec.
Ma salope émit un petit cri, mais comme elle est habituée et aime ça c’est elle qui commença à bouger son bassin dans des mouvements saccadés.
Audrey était venue s’allonger entre les jambes de son père et lui mangeait les couilles avec gourmandise.
Ensuite elle est venue se placer derrière lui et c’est le trou du cul de son père qu’elle attaqua de sa langue.
Moi je n’en pouvait plus, la scène était vraiment ultra excitante et mon sexe menaçait de percer mon boxer et mon short.
N’y tenant plus, je me suis levé et déshabillé à mon tour.
Je me suis placé derrière Audrey, l’ai reculée de son père, l’ai agrippée par la taille et me suis introduit dans son divin petit cul qui était déjà inondé de la salive de ma femme et de son papa à elle.
Il ne m’a fallu que quelques courtes minutes avant d’exploser en elle, j’étais trop excité par ce à quoi je venais d’assister.
Quelques instants plus tard son père s’est dégagé d’entre les fesses de ma femme et s’est relevé en se dépêchant pour amener sa queue dans la bouche de ma femme où il a déversé tout son contenu.
Tandis que lui et moi nous rhabillions, ma femme et Audrey ont continué à se caresser mutuellement tout en s’embrassant à pleine bouche.
Ma femme m’a dit qu’elle avait gardé la semence du père pour embrasser Audrey, les femmes sont vraiment des salopes (dans le bon sens du terme) quand elles se lâchent !

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