Je m’appelle Jean, j’ai 19 ans maintenant et depuis très longtemps je fantasme sur ma tante avec qui j’ai toujours été proche. Depuis tout petit je vais en vacances chez elle pour m’évader un peu de chez mes parents. Ma tante, que l’on appellera Milou, est une superbe femme mûre. C’est une blonde de 1.60 m pour 50 kg, son principal atout de charme est sa grosse poitrine : elle fait du 95 d. Elle est sportive et a donc un corps magnifique et bien entretenu. Milou a de très belles jambes fuselées et de belles fesses. Son ventre est plat et sa poitrine magnifique. Elle a 70 ans et en fait facilement 15-20 de moins.
C’est lors de mes premiers plaisirs solitaires que j’ai commencés à fantasmer sur elle. En effet ma tante a une poitrine des plus généreuses. Elle sait la mettre en avant dans de belles robes moulantes avec des jolis décolletés ou avec des beaux chemisiers. Elle reste toujours sexy et jamais vulgaire.
En grandissant j’aimais aller chez elle en vacances pour pouvoir passer du temps avec elle bien sur mais aussi pour pouvoir la mater. J’aimais particulièrement le matin car elle était en nuisette de nuit donc sans soutien-gorge et sans culotte. Elle avait un peignoir qui était largement ouvert. J’avais donc une grande vue sur ses seins et sur ses jambes. Je me suis mis à fantasmer d’autant plus qu’en fouillant un peu sur son ordinateur j’ai découvert des photos d’elle avec les seins nus chez elle ou à la plage. Vous ne pouvez pas imaginer dans quel état d’excitation j’étais. Mon séjour chez elle touchait malheureusement à sa fin, je décide de copier les photos pour les avoir chez moi pour me masturber dessus.
Je rentre donc chez moi, enfin chez mes parents et n’ai plus de nouvelles de ma tante jusqu’aux vacances scolaires. Celle-ci m’envoie un message pour savoir si j’étais disponible pour passer du temps avec elle, son mari étant parti avec des amis pour la semaine. Ni une ni deux je demande à ma mère, sa sœur, si je peux y aller. (On reparlera surement de ma mère dans une autre histoire). Ma mère accepte volontiers et Milou a tellement envie de me voir que c’est elle qui vient me chercher dans 30 minutes. Je suis tellement excité par la nouvelle que je prépare mes affaires très rapidement et me soulage avant qu’elle arrive. Elle frappe à la porte, je lui ouvre car mes parents sont partis travailler.
Là je reste ébahi par sa beauté, elle est en short de jean qui lui moule bien les fesses, ses jambes sont parfaites et bien bronzée, elle a un débardeur avec de très fines bretelles ce qui fait que je vois aussi les bretelles de son soutien-gorge noir. Son débardeur est lui aussi bien moulant et ouvert ainsi je peux largement voir ses beaux seins.
– Eh bien alors Jean ? Tu ne viens pas embrasser ta vieille tante ?
– Si bien sur excuse-moi ! Et arrête de dire ça de manière péjorative, tu es magnifique.
Milou et moi nous nous faisons un gros câlin en nous serrant fort l’un contre l’autre et des bisous comme à notre habitude. Je sens sa poitrine contre la mienne et je suis tellement excité que je ne peux pas m’empêcher d’avoir un début d’érection. Nous nous décollons à temps, je ne veux pas qu’elle le sente, du moins pas tout de suite.
– C’est gentil de bien vouloir passer la semaine avec moi, Hervé est parti avec ses copains.
– Oui maman m’a dit, c’est un plaisir pour moi, ça faisait longtemps !
– Oui c’est vrai le temps passe vite, monte vite dans la voiture.
Je mets toutes mes affaires dans la voiture de Milou et monte. Sur la route on discute de banalité et on arrive vite chez elle. J’installe mes affaires dans ma chambre et je vais là rejoindre dehors, le temps est magnifique. Milou me sourit
– Tu es bien installé ?
– Oui merci, je connais bien la maison maintenant.
– C’est vrai, ça me fait vraiment plaisir que tu sois là, tu fais bronzette avec moi ?
– Oui moi aussi Milou, tiens-tu as raison ça va pas me faire de mal, je vois que tu es bien bronzée.
– Oui j’en profite bien, ça te dérange pas si je me mets en maillot ?
– Oh non pas du tout, vas y vas y. Je vais me mettre torse nu moi.
Elle revient en maillot de bain, c’est la première fois que je la voyais comme ça, même si elle n’est pas pudique je n’avais jamais eu l’occasion de la voir en maillot. Excepté sur ses photos bien sûr. Son corps bronzé est encore plus beau avec ces deux petits bouts de tissu. Ses seins sont bien serrés et semblent encore plus gros. Son ventre et ses jambes sont magnifiques, ses fesses sont elles aussi mises en valeur. Je ne dis rien et me met sur le ventre car j’ai un début d’érection que je ne peux cacher dans mon short.
– Tu veux que je te mette de la crème chéri ? (Ma tante est souvent tactile et m’appelle rarement par mon prénom. Toujours par des petits noms affectueux et cela depuis très longtemps.)
– Oui je veux bien s’il te plait.
Milou se met à califourchon sur moi et me passe de la crème sur tous le dos, le cou et les jambes. Elle me fait des petits massages en même temps c’est très agréable.
– Retourne-toi je vais t’en mettre devant aussi.
– Non c’est pas la peine va, je le ferais après.
– Bah pourquoi ça ? Mes petits massages ne t’ont pas plu ?
– Ah si beaucoup, je vais garder le plaisir pour après, ne pas tout avoir d’un coup.
– D’accord, dit-elle en souriant, content que ça t’a plus.
Je souris aussi, une fois installée elle aussi sur le dos je prends mon courage à deux mains (car je suis très timide avec les filles, même si je les connais) et lui demande si elle veut elle aussi de la crème sur le dos, elle accepte volontiers.
Je m’installe à califourchon sur elle, elle est sur le ventre. Mon short est tendu par mon érection, d’ailleurs celle-ci me fait mal. Milou ne sens rien car j’ai mis mon sexe en l’air contre mon ventre. Elle dépasse du short mais ce n’est pas grave elle ne le voit pas.
Je lui mets la crème et lui masse le dos à mon tour, je peux voir un peu ses seins qui « déborde » sur les côtés, je les effleure pour voir la réaction de Milou. Elle ne dit rien pour moi qui n’ai jamais touché les seins d’une femme c’est la folie. Je suis à mon érection maximale (20 cm). Milou gémit tout doucement et me dis que c’est agréable. Je descends vers le bas du dos, en effleurant ses fesses. Elle me dit que je peux mettre de la crème sur ses fesses aussi si ça ne gène pas. Je ne réponds pas et lui masse les fesses, elles sont si douces. Je ne m’attarde pas plus que ça, pour éviter qu’elle me le fasse remarquer et termine par les jambes. Là aussi c’est un vrai plaisir, un régal. Milou me remercie et me dis que c’était très agréable. Je la remercie à mon tour et retourne sur mon transat avec mon érection de folie.
L’après midi se termine tranquillement et cela va être l’heure du dîner. L’air s’est rafraîchi, Milou a remis un pantalon et un petit gilet. Elle reste toujours aussi belle.
– C’était super bon le repas, comme d’habitude.
– Merci chéri t’es mignon va.
Je la prends dans mes bras et lui fait un bisou sur la joue, elle fait de même.
– Tu es câlin avec ta tante dis donc.
– Oui désolé Milou, ça faisait longtemps, tu m’avais manqué.
On s’assoit sur le canapé.
– Ne t’excuse pas mon garçon, ça me fait plaisir aussi tu sais. Tu as passé l’âge bête à pas vouloir faire de câlin ou de bisous.
– Ah oui je me souviens de ça effectivement. J’ai plus 14 ans.
– Oui tu as bien grandi, je n’ai pas osé de te le dire je ne voulais pas te gêner et faire la vieille tante chiante mais tu es devenu un beau garçon ! Je le pense sincèrement.
– Je.. eh bien.. Merci dis-je en rougissant.
– Tu n’es pas obligé de répondre, ne t’embête pas. Visiblement amusée que je rougisse. Oh et puis zut je ne veux pas t’embêter on doit te le dire tous le temps.
– Euh bah non pas tellement en fait..
– Comment ça jamais aucune fille ne te l’a dit ?
– Si une ou deux.
– Ah oui je me disais aussi, quand même ! Tu as une petite copine en ce moment ?
– Non je suis seul, ça s’est mal passé avec la dernière.
– Ah bon pourquoi ça ? Si cela ne gène pas d’en parler avec ta vieille tante
– On s’engueulait tous le temps, et arrête de dire ça !
– Arrête de dire quoi mon lapin ?
– Que tu es vieille, tu n’es pas vieille.
– J’ai 70 ans quand même tu sais…
– Tu es.. euh.. âgé on va dire. Tu dis vieille dans le sens péjoratif comme si tu étais une vieille femme aigrie dégueulasse.
– C’est un peu ce que je suis quand même, je n’ai plus 20 ans…
– Oui peut être mais tu restes une belle femme !
– Tu es trop mignon mon garçon, sur ces belles paroles je vais me coucher. Je suis exténuée, bonne nuit à demain !
Milou se lève, se penche pour me faire un bisou et s’en va dans sa chambre. Quelque temps après j’éteins la télé et je vais me coucher à mon tour. Bien évidemment avant de dormir je me masturbe en repensant à cette journée. Ma magnifique tante en maillot, avoir pu lui effleurer les seins, avoir pu lui caresser les fesses et les jambes. Sans oublier le nombre de fois que je l’ai maté. Je jouis assez rapidement, si vite débander je me remets à me branler car je suis trop excité. La deuxième fois est la bonne, la tension est redescendue. Je m’endors assez vite, déjà pressé de la voir au petit déjeuner…
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