Premières coquineries avec Fanny
Fanny est partie de la maison peu de temps avant mon divorce. Elle avait rencontré un garçon, très baba-cool, et ensemble, sont partis faire le tour du monde (bon, avec une camionnette toute pourrie, on peut dire tout simplement le tour d’Europe)… Elle avait été une adolescente très rebelle, très précoce, un peu comme moi. Il a fallu attendre quelques années pour que l’on se rapproche. Quand elle est tombée enceinte, déjà installée en Allemagne, on s’est commencé à voir de plus en plus. Et j’ai eu l’impression de redécouvrir ma fille… Petit à petit, la confiance s’est installée entre nous, au point que nous nous confions des détails de notre intimité comme jamais auparavant on l’avait fait…
Elle était enceinte de huit mois, ou presque… Il pleuvait des cordes et on était seules à la maison. Elle se plaignait d’avoir mal partout et je lui avais proposé de lui faire un de mes massages… Ce n’était pas le premier, mais celui ci allait être très différent. J’avais commencé par lui masser les pieds, longtemps… Elle était allongée sur notre lit; elle portait une petite culotte, de laquelle on pouvait voir ses poils déborder par les coutures latérales (trois mois sans s’épiler, m’avait-elle dit) et avait gardé son soutien-gorge. Après les pieds, très lentement, je lui avais massé les jambes et les cuisses… C’est en m’approchant de son sexe que j’ai commencé à sentir un changement dans ses réactions… Elle était en silence, mais je pouvais apprécier comme sa respiration devenait plus saccadée…
Elle s’est dégrafé son soutien gorge et m’avait demandé si elle pouvait enlever la culotte. Dans la chambre, il faisait très chaud, et je lui avais dit qu’il n y avait aucun souci. Moi, par contre, je restais avec mon t-shirt et une culotte. Je me suis arrêté un instant. Je la regardais bouche-bée…Elle était magnifique, avec son ventre énorme, ses seins extraordinairement gonflés… J’étais troublée par sa beauté, troublée, aussi, par mon excitation croissante… Alors, j’ai mis une bonne dose d’huile de fleur d’oranger sur la paume de mes mains et je me suis mise à lui masser le ventre, un bon moment, avec des mouvements ondulatoires, de l’extérieur jusqu’au nombril saillant… Fanny avait fermé les yeux et gémissait doucement… Je me souviens de lui avoir demandé si elle voulait que je lui masse les seins…Elle avait opiné avec un simple « oui, maman ». Dans ma vie, j’ai eu l’occasion d’en avoir eu dans mes mains d’aussi gros, même de plus gros encore, mais je n’avais jamais senti les mêmes sensations que ce jour là, avec les seins de ma fille.
A chaque fois que mes doigts lui caressaient les mamelons, Fanny émettait un léger couinement de plaisir… Quelques mois auparavant, dans une de ses confidences, elle m’avait dit qu’elle avait les tétons tellement sensibles que ça lui arrivait d’atteindre l’orgasme, rien que en les tortillant… Ce c’est que j’ai fait, ensuite. Elle avait réagi en ronronnant un « oh, maman, que c’est bon! »… Ma surprise était majeure quand je l’ai vu déplacer ses mains vers son sexe et commencer à se masturber… Du coup, pendant un petit instant, mes mains toujours sur ses seins, j’avais stoppé mon massage… Elle m’avait prié de continuer, chose que j’avais fait en augmentant la pression de mes doigts sur ses tétons… Et soudain, l’air de la chambre s’est inondé d’une série de petits cris aigus qui sortaient de sa bouche entrouverte, longs, perçants, lancinants…
Une fois l’extase retombée, elle s’est mise à rigoler comme une dingue et à répéter, avec un drôle de vulgarité: Oh, putain! Oh, putain! Quel orgasme!
Ce jour là, nous en sommes restées là… Nous n’en avons jamais reparlé… Aussi elle que moi, nous étions convaincues de n’avoir rien fait de mal; mais, aussi convaincues, qu’il valait mieux de garder notre coquine intimité pour nous seules. Entre ce premier contact intime et le jour de son accouchement, nous avions renouvelé l’expérience cinq autres fois… Et ce n’est que la troisième fois, que Fanny a voulu s’occuper de sa maman…
A suivre, si vous le voulez bien!
Ajouter un commentaire