Irlande – Anno 1667
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Je m’appelle Wilhelmina et je suis née en Irlande. Mon père est un Seigneur qui possède un château et beaucoup de terres, dans le Connaught.
Mes parents ne se sont jamais beaucoup occupés de moi. La plupart du temps, ils sont à la Cour ou à diverses occupations.
Ah oui, on utilise le diminutif de mon prénom, Mina, enfin seulement mes parents ou ma proche famille.
Des gouvernantes se sont succédées auprès de moi, dès ma naissance. Depuis trois mois, il s’agit de Madame Murphy, que j’ai baptisé Murph. Elle est chargée de veiller à ce que j’ai tout ce que je désire.
Mes parents me demandent de temps en temps si je suis satisfaite de Murphy. Et, oui, je suis satisfaite. Elle fait tout ce que je veux. Elle a compris que c’était la condition pour garder son emploi. Par contre, elle est très sévère avec le personnel et particulièrement avec les servantes.
Mon père a droit de haute et basse justice, sur ses terres. Il ne manque jamais de faire fouetter les domestiques ou les paysans quand il le juge nécessaire. J’avais été très impressionnée de voir de très jeunes femmes déshabillées et fouettées en publique. Pour une jeune fille, la honte d’avoir ses fesses dénudées me semblait une punition pire que le fouet. Il faut dire que je ne l’ai jamais reçu!
Les punitions corporelles se pratiquent à tous les niveaux.
Les professeurs, souvent des curés, punissent les élèves, depuis la réprimande jusqu’à la canne. Les maîtres fouettent les domestiques. Il existe une loi, qui s’appelle « the rule of the thumb » (la règle du pouce), qui autorise un mari à battre sa femme à condition que le bâton qu’il utilise soit d’un diamètre inférieur à un pouce. *
Petite, je me suis vite rendue compte, que moi aussi, je pouvais punir à ma guise les servantes et les paysannes, soit parce qu’elles avaient commis une faute, soit parce que cela m’amusait. Murphy, ma gouvernante, est une experte dans ce domaine et a fortement encouragé mon penchant naturel. C’est une forte femme et elle manie le fouet avec beaucoup d’habileté. Elle m’a expliqué que le fouet se manie de façon à faire le plus mal possible, sans blesser, de façon à pouvoir recommencer souvent et à ne pas laisser de marques.
La Bible cautionne ses pratiques. Dans la lettre de Paul aux Hébreux, il est dit au verset 7 « Car le Seigneur châtie celui qu’il aime, Et il frappe de la verge tous ceux qu’il reconnaît pour ses fils. »
Plus jeune, j’ai fait part de mon goût pour punir les jeunes servantes, à mon confesseur. Il m’a dit que c’était tout à fait normal et que c’était la seule façon de faire travailler les servantes ou les paysannes qui sont naturellement paresseuses. Rougissante, je lui ai avoué que je repensais à ces punitions et qu’il m’était arrivé de rêver à ça… et que c’était agréable… trop agréable. L’abbé, un homme d’un certain âge ne comprenait pas bien pas ce que je voulais dire. Il m’a posé beaucoup de questions… nécessaires, pour me donner l’absolution. Je lui expliquai que voir relever les jupes d’une servante, pour dénuder ses fesses, puis de les voir rougir sous le fouet, ça me troublait.
Il me demanda, « À part ça, vous n’avez pas de pensées impures mon enfant? »
« … euh… non… mon père. »
« Vous aimez simplement les voir punies? »
« Oui, mon père. »
« Alors, ce n’est pas grave. Ces filles du peuple sont généralement des dévergondées et ce n’est que justice qu’elles soient punies. Il s’agit, d’une innocente petite distraction. »
Personnellement je me conduis avec la retenue due à mon rang. Récemment, la seule chose que j’ai permise à celui qui va devenir mon fiancé, c’est de prendre ma main… et… de la porter à ses lèvres. Nous avions échappé un instant à notre chaperon.
Je me suis confessée le lendemain matin. L’abbé m’a grondée et m’a donné l’acte de contrition à réciter 20 fois à genoux. Je dois attendre d’être fiancée pour me laisser accepter ce genre de privauté.
L’abbé m’a dit, « Amusez-vous à punir vos servantes, mon enfant, mais ne faites pas de jeux de ce genre avant le mariage, Dieu vous regarde! »
Bon. J’obéis à mon confesseur et quand il m’arrive d’avoir un semblant de pensée impure au sujet de Geoffrey, mon futur fiancé, je me défoule sur les servantes. Il y en a une vingtaine dans le château.
J’aime aussi me promener sur nos terres, pour punir les jeunes paysannes.
De toute façon c’est dans l’ordre des choses et je ne suis pas cruelle, loin de là. J’ai même fait donner une dot à une jeune servante que j’aimais bien, afin qu’elle se marie avec un des palefreniers. Mais comme le dit Murphy, il faut que les servantes sachent où est leur place.
Elle a peut-être des pensées moins pures que les miennes. Je sais qu’elle fait souvent coucher une servante dans sa chambre, pour lui masser les pieds si elle a des crampes la nuit. Entrant, dans sa chambre à l’improviste, j’ai plusieurs fois remarqué qu’une servante était dans son lit, sous les couvertures. J’ai fait semblant de ne rien voir.
Murphy aime obliger une servante à se mettre nue pour vérifier qu’elle n’a rien volé ou plus simplement, parce qu’on… se réjouit toutes les deux de la honte de la fille.
Il y a beaucoup de raisons pour donner le fouet à une servante : l’insolence, la paresse, les maladresses, un visage pas souriant… Oserais-je ajouter, pour s’amuser?
Tous les jours, on punit quelques servantes. Comme il y en a une bonne vingtaine, ça veut dire qu’elles ont le fouet deux fois par semaine, ce qui n’est pas excessif. De cette façon, elles sont extrêmement attentives et obéissantes. J’aime ce pouvoir! Cependant, comme je l’ai déjà dit, je suis une maîtresse accommodante. À part des gifles et le fouet de temps en temps, elles n’ont pas à se plaindre. Je sais que c’était pire chez leurs parents à la ferme!!
Une bonne idée de Murphy a été d’installer un pilori dans la salle de garde. Le climat n’étant pas clément, il était cruel de mettre des gens au pilori en hiver.
Mes parents ont trouvé l’idée excellent, les soldats aussi.
De cette façon, celle qui a été punie a le temps de réfléchir à sa faute.
Pas plus tard que ce matin, j’ai été obligée de sévir. Une servante… euh… en vérité, je ne me souviens plus de ce qu’elle avait fait ou pas fait!
De son côté Murphy désirait punir une servante qui ne lui avait pas assez bien… massé les pieds.
Personnellement je suis contre cette promiscuité. Je suis très pudique et je refuse que les servantes me voient nue quand je me lave ou que je m’habille. Murphy trouve ça incroyable, mais mon confesseur pense que j’ai raison.
Ce matin, je fais donc venir les deux coupables. Elles sont jeunes et jolies… les laides sont dans les champs.
Murphy leur dit, « A genoux! La Maîtresse va décider, qu’elle sera votre punition. »
C’est à moi de décider… alors… « Voici votre punition… »
C’est un moment de grâce, j’ai tous pouvoirs. « Vous passerez la soirée au pilori du corps de garde de 6 h ce soir à minuit et vous serez fouettée demain matin à 11 h. »
« Très bien, Princesse. », me dit Murphy les yeux brillants.
Les servantes supplient un peu… rampent un peu à nos pieds.
« Au travail! », dit Murphy, « ou on double la punition. »
Le soir, nous passons par la salle de garde. Les deux jeunes servantes sout là, penchées en avant, les poignets et le cou prit dans les orifices du pilori.
On a relevé leurs jupes et leurs fesses sont nues. Les soldats ont bien le droit de s’amuser aussi. Comme il y a en deux qui… leur content fleurette, je détourne pudiquement le regard.
Le lendemain matin, je m’étire dans mon lit. Je suis de bonne humeur en pensant aux deux servantes qu’on va fouetter ce matin et qui ont dû passer une mauvaise nuit!
Les punitions se passent dans la salle de garde et il y a toujours des spectateurs, des soldats, des domestiques…
Et puis, je me dis, ce sera plus amusant ce soir!!
Les servantes nous attendent, en chemise, les pieds nus.
Je dis à Murphy, « On fera ça ce soir Murph. »
« Bien, Princesse. »
C’est amusant de différer une punition!
L’après-midi, nous avons des visites… c’est d’un ennui!!
J’attends le soir pour me distraire.
Enfin, ils s’en vont. Mes parents et les gens de la cour ont leurs occupations, moi je file dans la salle de garde.
Les filles sont là, pieds nus et en chemise comme ce matin.
Murphy va les fouetter.
« Enlevez vos chemise » dit Murphy.
Elles obéissent aussitôt. Leur peau est très blanche et elles tremblent de froid… et de peur.
« Vous n’allez pas avoir froid longtemps, leur dit Murphy, je vais vous réchauffer.
Avec l’aide de deux soldats, elle attache les filles, l’une contre l’autre, les bras tendus vers le haut de façon à ce qu’elles soient sur la pointe des pieds.
Murphy fait claquer son fouet. À ce bruit les filles poussent un cri… Elles se pressent l’une contre l’autre. La position les oblige à bouger, dans l’espoir vain de trouver un appui pour leurs pieds tendus. Leurs jambes se tendent pour essayer de diminuer la tension dans les épaules. Leurs fesses nues frémissent, blanches dans la lumière des bougies et des torches…
Murphy commence, d’un geste souple mais plein de force et… de grâce. Elle déploie le fouet qui décrit un cercle et vint claquer sur les fesses des filles. Elles poussent un cri aigu en contractant leurs fesses qui s’ornent d’une première marque rouge. Murphy attend quelques secondes, puis la lanière vient mordre le haut des cuisses… Ensuite, elle fouette le dos depuis la nuque jusqu’au haut des fesses, puis les jambes et les mollets… Les filles agitent leurs jambes, ce qui ne fait qu’accroire la douleur dans les épaules…
Murphy envoie un méchant coup de fouet qui vient s’enrouler sur les mollets des filles. En poussant des cris aigus, elles lèvent leurs jambes, immédiatement Murphy envoie le fouet de bas en haut entre les jambes des filles, les lanières viennent claquer sur leurs… enfin vous voyez ce que je veux dire. je détourne pudiquement le regard.
Il y a des rires et des bravos venant des spectateurs…
Je lui dis, « Encore quelques coups sur leurs fesses Murph. » C’est vrai quoi, il faut rester correct. et puis le bruit fouet qui vient claquer sur les fesses, mêlé aux plaintes des filles, cela fait une musique si agréable…
Elles se poussent en avant, comme pour diminuer l’ampleur de leurs fesses, impossible. Elles ont toutes les deux de belles fesses, on nourrit bien nos domestiques.
Les meilleures choses ont une fin, enfin je veux dire pour les spectateurs,! On arrête la punition. Les filles continuent à crier, ça devient franchement pénible!
Murphy leur dit, « Vous voulez une bonne raison de crier… »
Non!!! Elles ne veulent pas! On entend plus que des gémissements étouffés…
Murphy et l’intendant les détachent. Elles viennent rapidement et péniblement se mettre à genoux devant moi…
C’est le moment du repentir et des bonnes résolutions, ça donne à peu près ceci, « Pardon, Maîtresse, on ne sera plus paresseuse ou insolente… »
Je leur abandonne mes mains qu’elles couvrent de baisers et de leurs pleurs…
C’est un peu dégoûtant, mais… grisant!
Je leur demande, « Ce sera suffisant comme punition? »
Alors là c’est un concert de supplications… abjectes… mmmmhhhh…
Je fais signe à Murphy, que j’en ai fini.
Elle leur dit, « Reprenez le travail. »
Les filles n’en demandent pas plus. Elles enfilent leurs chemises et quittent le corps de garde.
Je me sens, comment dire… un peu troublée, mais aussi apaisée.
Murphy me dit, « Pour demain, il y a une nouvelle servante, qui… »
Et, là oui, là, tout bascule!!! On entend des cris des coups de feu. Des hommes en armes arrivent dans le corps de garde… Ils sont très bruns de peaux avec des barbes noires. Ils ont aussi des pistolets et de grands sabres recourbés
J’entends crier, « Au secours, les pirates Barbaresques!!! »
Oooh non…
À suivre.
* rule of the thumb : authentique.
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