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Douce à l’hotel(fin) livree à p

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2 hommes que je crois reconnaître entrent, viennent directement vers moi.
« Nous venons te chercher, ton homme vient avec toi ».
Je les suis à la voiture, toujours assise derrière, mon homme devant sur le siège passager, moi entourée des 2 hommes. Sans doute 20 bonnes minutes de route, un chemin différent, nous arrivons sur un parking qui longe une grande route. La voiture se gare au milieu d’autres, pas loin des camions. On me laisse seule à l’arrière. Petit à petit des hommes viennent aux vitres de l’auto, nous sommes sous un lampadaire, la lumière extérieure doit bien leur montrer ma nudité. L’homme au volant parle pour la 1° fois « caresse-toi, chacun ici veut te voir jouir, rapproche toi aussi des vitres. »
Ma cuisse droite colle à la portière, je devrais toujours garder les cuisses écartées en fait et je commence, une nouvelle fois à me caresser. De sentir les yeux qui me zieutent, les lampes électriques qui éclairent mon corps, je ne tarde pas à me sentir bien, très bien. Mon homme est resté assis devant, mais tourné vers moi.
La vitre à ma droite se baisse, ouvrant le passage à des mains qui viennent, sur ma tête, mon cou, mes seins, mes cuisses, jusqu’à ma chatte qui est ainsi tripotée, sans v******e pourtant. J’entends une vois « reculez-vous » la portière s’ouvre, une main prend la mienne, je sors au milieu de tous ces hommes, on me guide à l’avant de l’auto, cul appuyé au capot (encore chaud), tête posée en arrière. Des mains vigoureuses écartent mes cuisses, mon habit ne sert à rien. Ils ont tout prévu puisqu’un puissant projecteur m’éclaire. Quelques hommes me photographient, tous ont leur sexe dehors, ils se masturbent vivement. S’approchant à tour de rôle, ils éjaculent sur ma chatte, mes cuisses. Des mains me font tourner, écartent mes cuisses et ma raie du cul est aspergée elle aussi, je me tends encore plus en arrière.
« On part, tes amis de la semaine dernière t’attendent ».
Encore en voiture, nous arrivons dans une zone pavillonnaire ; arrêt, on descend.
Des aboiements nombreux me font comprendre que c’est un chenil à l’arrière.

Nous entrons dans le garage aménagé comme une salle de spectacle, une estrade, couverte d’un matelas, des fauteuils, tous occupés par des hommes en arc de cercle.
« C’est à toi maintenant » je sens la surprise dans les yeux de mon homme qui m’a suivi pas à pas. Je monte l’estrade, me mets sur le dos, cuisses écartées, chatte vers la porte du fond.

Une certaine agitation dans l’assemblée … puis les hommes se taisent, un homme en tenue de vigile approche, il tient dans chaque main comme une laisse. Je lève la tête …au bout des laisses 2 chiens, des gros et roux, je ne sais la race … un homme prend une laisse en main et s’approche de moi. Les mains qui me tiennent se resserrent encore plus. Je sens son museau sur mon sexe, la langue râpeuse lèche toute ma chatte, son museau me renifle et me lèche dedans. J’ai peur et c’est divin. On me pose une petite couverture sur la poitrine, laissant mes seins visibles ; mais pourquoi ? Je ne vais pas tarder à le savoir.
Le chien entre mes cuisses quitte ma chatte de son museau, je le sens essayer de me grimper dessus, il y arrive et un sexe auquel je ne m’attendais pas me pénètre d’un coup, ses coups de boutoir s’accélèrent. « Ouvre les yeux »et j’ai une langue râpeuse qui me lèche, la couverture de fait me protège des griffes de ses pattes avant, ce n’est donc pas la première fois que ces hommes agissent ainsi.
C’était la première fois pour moi. Les yeux ouverts, sa langue me léchant, ma chatte labourée en profondeur, tout cela sous les appareils photos et la webcam.
Ayant déjà vu des chiens s’accoupler je craignais que ce mâle, mon mâle, n’envisage de me trainer à travers toute la pièce ! Non, il devait avoir l’habitude lui aussi. Il accélère, sa bite grossit encore en moi …je le sens se vider et me remplir par la même occasion. Le chien se retire et se lèche sa bite toute rouge.

Mes spectateurs ne manquent pas d’imagination …. Je me retrouve à 4 pattes, le cul cambré. Le cinéaste me prévient « demain tu seras sur tous les sites et forums de cul, ton homme va aimer ; ce soir il n’y a que mes amis qui te voient ».
A 4 pattes, même si j’ai le cul cambré le sperme du chien coule entre mes cuisses, je regarde derrière, la caméra est posée au sol entre mes cuisses, on approche le 2° chien, on me met la couverture sur le dos, un nouveau museau me renifle…le chien me grimpe dessus, même scénario, sa bite s’enfonce directement et profondément dans ma chatte
Je réalise que la caméra filme mon sexe pénétré par le chien, en gros plan. Je ne peux pas dire que je jouisse d’être ainsi prise, c’est plus d’imaginer les spectateurs s’exciter en me voyant.
Combien cela dure ? Je ne sais plus ; quand le chien se retire, je n’en peux plus.
Un jus épais, mon foutre et leur sperme, coule entre mes cuisses ;

Et d’un coup un museau, très large qui se pointe à mes fesses ; la langue du chien me parcourt de haut en bas, un sursaut, je suis une nouvelle fois protégée par une couverture, et un sexe fort et puissant me laboure déjà la chatte. Je me sens remplie, pleine. En levant la tête je vois tous les hommes les yeux fixés sur moi ; un ronronnement surprenant entre les halètements du chien et je m’aperçois que je suis filmée, par au dessus, mais aussi par en dessous.
Je suis trempe, tout dégouline de mon sexe. Sur le dos de nouveau !

Je sens les hommes se lever, s’approcher, baisser leur froc, se couvrir d’une capote et la ronde commence. Chacun veut sa bouche sur la mienne, me pétrir les nichons, m’enfiler bien profond, un moyen de se différencier des chiens qui les ont précédé.

Mon excitation est due à ceux qui se retirent et aux nouveaux qui me pénètrent ; je n’ai jamais été baisée ainsi, si longtemps, par autant d’hommes !
Et au cas où je puisse croire à la fin, un des 2 hommes « on va retourner à l’hôtel, Raymond nous attend. « quel jour, quelle heure sommes-nous ? » « Jeudi 2 heures du matin ».
Encore 20 minutes de route, j’ai perdu ma liquette, à non, c’est mon homme qui la tient, bon elle ne sert pas à grand-chose
Parking de l’hôtel … quelques hommes dehors ; je rentre toujours nue, plein d’hommes dans le hall ; des vivats et applaudissements.
Raymond me prend la main, me guide dans la salle, me recule, je me retrouve sur le dos sur une table, plein d’hommes autour de nous. « Levez-lui les cuisses » et je me retrouve chatte et trou du cul offert aux regards de tous ; il s’agenouille et entreprend une léchouille de mon anus, c’est divin …je sais ce qu’il veut. Me pensant assez humide il présente sa bite à mon petit trou, je vérifie de la main, oui il a une capote. Et ma pénétration, ma sodomie, aux yeux et aux oreilles de tous commence. Sa bite est de belle taille, il attend un peu, s’enfonce à fond, recule lentement, je soupire. Le voulant encore plus profond, ce sont mes propres mains qui écartent encore plus mes fesses. Je crie de jouissance, il accélère et me laboure le cul réellement, je crie encore plus fort quand je le sens décharger au plus profond de moi. « Tes 2 accompagnateurs en auto ont droit aussi à te prendre par le cul, tous les autres non ! »
Je ne change pas de position, le premier se présente bite dressée et couverte, si tôt arrivé au fond de moi, il me saisit les seins à pleines mains, serrant mes tétons entre index et pouces, je halète, il se couche plus sur moi, sa bouche saisit la mienne, je cède, nos langues se mélangent, je crie …je jouis !
Sitôt éjaculé au fond de moi, il se retire, son compère le remplace … puis le troisième et dernier ! Tous 3 m’ont ainsi enculé sous les yeux de leurs comparses.
Raymond, mon veilleur approche, me prend pour me porter dans la chambre.
« Je laisse la porte ouverte, il peut y avoir des retardataires, ils ont droit à un rattrapage ».
Je me suis endormie aussitôt, je ne me souviens pas avoir eue de visite nocturne, n’empêche que j’ai dormi nue, porte ouverte, dans cette chambre face à l’entrée.
Levée tard au matin, mon homme déjà en train de petit déjeuner, en grande discussion avec Raymond. C’est alors que je réalise qu’ils sont en train de fixer de nouveaux rendez-vous ; cela m’indiffère !

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