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Première Partie de Sexe en Forêt. 2/3

Première Partie de Sexe en Forêt. 2/3



2- La première Pipe.

Cette nuit-là, j’ai eu beaucoup de mal à trouver le sommeil. En repensant aux événements de cette journée, j’avais une trique presque permanente, mais je ne voulais pas me masturber dans les toilettes pour pouvoir être en forme le lendemain. J’ai attendu patiemment que le jour se lève comme un gamin attend le matin de Noël. C’était encore une belle journée, mais les heures se trainaient. Enfin, j’ai laissé ma femme à la piscine et suis parti vers le haut de la colline. J’étais inquiet parce que je n’étais pas sûr de retrouver la petite clairière. Je me suis repéré et j’ai retrouvé l’endroit où j’avais quitté le sentier. Quelques minutes plus tard, j’étais de retour dans cette clairière où hier, j’avais eu un tel plaisir. J’ai vérifié que j’étais à l’heure. Mes genoux tremblaient d’impatience et j’avais une érection formidable.

Quelle déception ! Personne dans la clairière ! Je me dirigeai vers le bosquet où l’étranger était apparu, superbe, mais aucun signe de vie. J’étais sonné ! Je me suis assis sur un tronc d’arbre mort et je suis resté là pendant un bon quart d’heure. Toujours personne ! Je n’avais pas envie de me masturber tout seul, alors je me suis levé et j’ai commencé à repartir vers le sentier.
Juste à ce moment là, j’ai entendu quelqu’un courir et quelques instants plus tard, l’inconnu est apparu à travers les arbres et est entré dans la clairière. Il haletait, à bout de souffle :
« Désolé… Suis en retard…. » Il avait le souffle court :
« … Été retardé… Content vous m’avez attendu… Vais me faire pardonner ! »

Il était comme hier en tenue de running. Il posa son sac à dos et s’approcha de moi. Doucement, il m’embrassa sur les lèvres. Ce fut comme une décharge électrique et je me reculai vivement :
« …Désolé, je ne voulais pas vous choquer. J’aurais dû me douter que vous étiez novice. Est-ce que je peux vous demander… Vous êtes vierge ? »
Je rougis brusquement en hochant la tête.
« Ça ne fait rien. Je peux vous apprendre… si vous voulez bien ? »
Mon cœur battait la chamade quand j’ai hoché la tête une nouvelle fois. Il s’approcha tout près :
« Bien. Laissez-moi faire. »
Je sentais son odeur, un mélange de transpiration et d’après rasage. J’ai remarqué ses dents blanches et les tempes légèrement grisonnantes de sa courte chevelure noire. Il posa une main de chaque côté de mon visage, m’attira vers lui et m’embrassa à nouveau. Ses lèvres étaient si douces. Quand sa langue força mes lèvres entrouvertes et pénétra dans ma bouche, ce fut un pur délice. Le baiser me sembla durer une éternité. Il se retira, puis fit passer ma chemise par dessus ma tête. Ensuite, il s’agenouilla et descendit doucement mon short. J’avais un short ample et ma queue bondit comme un ressort en passant la ceinture. Il plaisanta :
« Ouaouh ! Vous avez l’air content de me voir ! »

Il se releva, posa soigneusement mes vêtements et me demanda :
« Voulez-vous me déshabiller ? »
J’ai retiré son maillot de jogging. J’ai encore constaté que son torse bronzé n’avait presque pas de poils. De toute évidence, il prenait soin de lui. Je me suis agenouillé et j’ai baissé son cuissard. Sa toison bien taillée de poils pubiens m’est apparue, puis sa queue magnifique. Elle n’était pas aussi raide que la mienne, et la pointe était à quelques centimètres seulement de mon visage. Je tendis la main pour la caresser et, en même temps, je pris ses boules. Immédiatement, son sexe se tendit et s’approcha tout près de mes lèvres. Un court instant, j’ai eu envie de le prendre dans ma bouche, mais en pensant au goût et à l’odeur qu’il pourrait avoir, j’ai hésité. Il le remarqua, et dans un petit rire, me dit :
« Il ne faut pas précipiter les choses »

Il me releva et m’embrassa encore une fois. Je sentais ma bite appuyer sur son ventre, et la sienne sur mon bas ventre. Sa langue fouillait délicieusement ma bouche et ses mains se déplaçaient le long de mon dos, jusqu’à ce qu’elles touchent mes fesses. Il les empoigna et je sentais qu’il les écartait doucement. Des gouttelettes de sueur se formèrent dans ma fente.

Le baiser terminé, il se recula légèrement :
« D’accord pour continuer ? »
Souriant à mon tour, je hochai la tête et sourit en retour. Il posa ses mains sur ma poitrine et caressa délicatement mes tétons. Je n’avais encore jamais expérimenté à quel point c’était érotique, et comme ça faisait du bien. Ensuite, il les embrassa doucement l’un après l’autre. Puis il donna de petits bisous sur mon ventre, et continua de descendre. Quand je sentis son souffle sur mes poils pubiens, mon excitation était à son comble… Puis sa langue effleura mon prépuce. Une autre décharge électrique ! C’était merveilleux. Je baissai la tête pour le regarder. Il leva les yeux et me sourit. Maintenant, il était à genoux devant moi. Il caressait mon pénis et mes couilles, puis il renifla mes bourses et embrassa les cotés de ma queue. Le sang battait dans mes tempes. Il me demanda :
« Vous avez envie ? »

La bouche toujours sèche, j’ai hoché la tête. Il a commencé à embrasser ma queue, partant de la petite touffe de poils jusqu’au gland gonflé. Il s’arrêta. Tendu, j’attendais avec impatience. Alors ma bite glissa dans sa bouche. Je poussai un râle de plaisir. Sa langue titilla mon gland, puis il l’avala toute entière. Je sentais ses lèvres chaudes faire des va et vient le long de mon pieu. Instinctivement, je fis onduler mon bassin. Il m’arrêta :
« Restez calme. Prenons notre temps. », et il reprit ses caresses lentes.
Il leva les yeux et vit mon visage radieux. Il cessa un instant pour dire :
« Vous avez l’air d’adorer ça »
Il reprit le mouvement de sa bouche et les titillements de sa langue. Avec ce régime, je sentis que l’orgasme montait. Il le sentit aussi et retira mon pénis de sa bouche, le pressa fortement entre le pouce et l’index, juste derrière le gland. L’envie se calma. Il me souriait :
« Je veux que vous appréciez cela le plus longtemps possible »

Il continua ensuite à s’occuper de moi. Très rapidement, j’étais de nouveau près d’exploser. Je savais que j’étais sur le point de jouir et j’essayais de me retirer. Mais il me tenait fermement par les fesses et m’en empêcha. Dans un râle bruyant, je me suis vidé dans sa bouche. Les spasmes n’en finissaient pas. Il m’a sucé jusqu’au bout, nettoyant ma tige et mon gland, puis lécha la dernière goutte qu’il alla chercher du bout de la langue dans le méat. Ma bite toujours raide avait des soubresauts.
Il se redressa, en passant la langue sur ses lèvres :
« Mmm ! Que c’était bon ! Maintenant, à mon tour. »
J’étais partagé entre une folle envie et un certain dégoût. Encore une fois, il sourit et dit :
« Je sais que vous êtes novice et j’avais prévu. » Il se dirigea vers son sac et en sortit un préservatif. Il l’agita en riant :
« J’espère que vous aimez la fraise. »
Il sortit le préservatif de l’emballage et le déroula sur son sexe. Il avait toujours une belle érection.

Je me suis agenouillé devant lui et j’ai d’abord pris sa queue dans ma main. Puis, avec précaution, je l’ai glissé dans ma bouche. Ça avait le goût de fraise ! Malgré l’enveloppe, Je sentais bien son gland et la grosse veine battre dans ma bouche. J’ai essayé de faire comme lui et je l’ai léché tout du long, m’attardant sur la pointe. C’était étrange, parce que je sentais aussi le préservatif. Il appréciait :
« C’est vachement bon. Vous êtes doué pour ça. »

J’ai essayé de le prendre dans ma bouche le plus loin possible. J’avais peur de m’étouffer, mais c’était bon de le sentir dans ma gorge. Au bout de peu de temps, Il s’est mis à respirer de plus en plus fort, et il a attiré ma tête sur lui avec de plus en plus de vigueur. Il a ondulé des hanches et j’ai senti le sperme jaillir dans l’embout du préservatif, au moment où il poussa un profond gémissement :
« Mon Dieu, que c’est bon ! »
Il a eu encore trois ou quatre spasmes et son orgasme s’est calmé. Son pénis était encore épais et raide, mais il l’a retiré de ma bouche. Le préservatif était plein de sperme laiteux. Il l’a retiré. Au bout de son gland violet et gonflé, un peu de sperme gouttait. Il plaisanta :
« Ne vous inquiétez pas. Je ne vais pas vous demander de me lécher proprement. C’est un peu trop tôt dans votre apprentissage pour ça ! »

J’étais un peu gêné, mais je dois avouer que j’étais également soulagé. Il se dirigea vers son sac, sortit quelques mouchoirs et s’essuya. Il a ensuite enveloppé le préservatif dans le mouchoir et l’a glissé dans son sac. Il plaisantait :
« Il ne faut rien laisser trainer ! »
J’étais encore tout tremblant après cette expérience et je me suis assis sur l’herbe pour récupérer. Il s’assit à mes cotés. Pendant de longues minutes, nous n’avons rien dit, puis il rompit le silence :.
« Cela a été une parenthèse très agréable et inattendue de mon voyage en Europe. Je rentre demain aux États Unis. Voulez-vous que nous nous retrouvions encore une fois ? »

Quelle question stupide ! À la seule vue de son corps nu, et en sentant la brise tiède de l’été sur le mien, ma queue se redressait. J’avais l’impression que nous étions tous les deux seuls au monde.
« Mon vol part demain à 23 heures. Je dois quitter mon Hôtel vers 14 heures. Vous pouvez vous rendre disponible avant ? »
Est-ce que j’étais disponible ?! En général, je faisais ma promenade dans l’après-midi. Il me fallait trouver une excuse pour expliquer ce changement à ma femme. J’ai répondu sans hésiter :
« Absolument ! À midi, qu’en pensez-vous ? » Il acquiesça :
« Ça me va très bien. »
Il se pencha et me donna un rapide baiser. Puis il se leva, s’habilla et disparut en courant, comme d’habitude.
Pendant plus d’une heure, je suis resté sur l’herbe, appréciant ma nudité, la brise tiède, la tête pleine de rêves, pensant à ce que demain allait nous apporter. Ensuite, je me suis habillé et suis rentré tranquillement à l’Hôtel.

Cette nuit là, j’ai surpris ma femme par une séance de câlins inhabituelle. Je l’avais un peu délaissé ces derniers temps, mais là, j’étais tellement excité que j’avais une érection formidable qui ne se calmait pas.
… Sauf que, au moment de jouir, c’est mon inconnu que j’imaginais sous moi.
Ma femme était ravie :
« Tu es en pleine forme. Je n’en reviens pas que tu bandes si fort ! »
Je lui ai souri tendrement et je suis allé prendre une douche.

A suivre (3/3)…

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