Le propriétaire nous lance :
« Les salopes ! Servez-nous à boire ! »
En bonnes soumises bien dressées, nous servons le café à tous ces Messieurs passant nues entre les épaules des mâles avinés avec la cafetière.
un peu pris de cours les premiers n’ont pas réagis, mais les suivants en profitent pour passer leurs mains sur nos fesses ou nos seins. Nous ne disons rien et subissons ces attouchements parfois très précis. Nous continuons sans faillir de servir ces mâles qui échangent entre-eux des blague grivoises sur notre compte.
Une deuxième tournée de bière est demandé. Cette fois les mains deviennent plus inquisitrices. Je mouille beaucoup sous ces attouchements et je vois qu’Agathe doit être dans le même état vu l’empourprement de son visage.
Tout à coup, je suis prise à partie par trois lascars. Je sursaute quand des doigts inquisiteurs rentrent dans ma chatte. L’autre me présente son membre turgescent en me poussant la tête pour que je le gobe. Pendant que le troisième s’occupe de mes seins.
Il va et vient dans ma chatte détrempée et je me penche un peu en écartant mes jambes pour lui facilité le passage pendant que je continue de sucer son copain. Je jette un œil sur Agathe qui elle aussi est entreprise à sucer plusieurs chasseurs en même temps. Elle ne sait plus où donner de la bouche.
Les autres commente nos attitude de putes avec des commentaires salaces en atteandant leurs tour des goûter à nos chaires fraîches. Car pour eux nous ne sommes que de la viande consommable, des vides couilles.
« T’a vu ses salopes ! Des trous à bites des conserveries à sperme ! »
« Leurs mamemelle de grosses vaches ! T’as vu comme ça se balance ? »
« Ouai c’est la fête au paradis,,,Hahahahah ! »
« Les seins dancent….. hahahah ! »
Je commence à respirer plus fort. J’ai chaud. Tout à coup, j’entends une voix qui dit à Agathe :
« Alors ma salope de petite fille on se fait mettre par n’importe qui ? »
En moi même je pense à l’horreur et la détresse d’Agathe qui va être obligée de sucer son grand père.
Rapidement, il sort de sa bouche pour l’enfilé par la chatte. La bouche d’Agathe est aussitôt investie par d’autres queues. Son grand-père la besogne en l’insultant. Mais il n’est pas très endurant et il jouit en elle en maugréant :
« Merde je joui déjà dans ma pute de petite fille ! Fait chier tu m’a trop excité petite salope ! »
La ville queue de son pépé est aussitôt remplacée par un second, puis un troisième. Les queues défilent dans sa bouche , sa chatte et son cul. Le sperme coule à flot. Nous passons de mains en mains, de queues en queues. Ils se soulagent tous en nous et sur nous sans relâche.
Puis le grand-père d’Agathe annonce :
« Attachez l’autre pute ! On va s’occupé du cas de ma petite salope de petite fille ! »
On me ligotte sur une chaise et désarmée, je ne peux que suivre le spectacle que va m’offrir malgré elle ma copine.
Jean-Marie, prendre sa lampe torche et lui fourre dans le cul. Evidement ça amuse tout le monde. L’humiliation d’Agathe est à son comble. Attachée, je dégouline de mouille et j’ai une forte en evie de me caresser mais je ne peux pas.
Il enléve rapidement la torche pour lui foutre dans la chatte » et se faire enfiler par le cul d’un coup. Son anus déjà dilaté, la queue investie son conduit anal avec une facilité déconcertante. Le sperme d’une douzaine de passages on bien graissé son cul. Il y va sans ménagement. Agathe commence à gémir. Cette bite lui procure un intense plaisir qu’elle ne peut dissimuler. Maintenant elle crie et l’homme jouit au fond de mes fesses.
En attendant de reprendre des forces, on s’amuse à lui enfoncer différent objet dans la chatte et le cul.
Puis, son grand-pére décide d’un jeu.
« On va la lâcher dans la foret et on lui laisse 5mn après on se lance avec les chien à sa recherche. »
Bien entendu, ils sont tous partant. Ils lâchent Agathe de nuit dans la foret. Moi, ils me laissent attachée sur ma chaise. Je suis dans tout mes états. J’ai presque joui et dégouline de cyprine. Je suis frustrée que personne ne s’occupe de moi.
Heureusement pour moi, black attiré par mon odeur de femelle en chaleur vient me lécher la chatte et me fait jouir sous sa langue.
Les cinq minutes passées, un coup de sifflet retentit et Jean-Marie crie :
« Tayo !!! A la chasse à la pute !!! »
Agathe a entendu le coup de sifflet et court dans le noir dans la foret. Les branches l’égratigne et entend les hommes et les chiens à ses trousses. Quand tout à coup se dresse devant elle deux hommes.
« C’est pas bien prudent ma petite de trainer nue dans les bois pendant que le loup y est !!! »
Ca les fait rire. Comme une idiote Agathe leurs dit, croyant s’en débarasser :
« On me poursuit messieurs. Un groupe de chasseur n’est pas loin derrière moi !! »
Mais le plus vieux me répond :
« He bien en attendant qu’ils te trouvent, on va s’amuser avec toi ! »
Là, Agathe est figée, apeurée. Se sont les fameux braconniers. Ils ont vu tout ce qu’elle a déjà subit et veulent leurs parts.
« Ils se sont bien occupé de toi ma salope ! Ils t’ont bien enculé ! C’est un vrai régiment de bites que tu t’ai pris ! Tu dois être ouverte et graissé à souhait ! T’aimes ça, hein ! P’tite pute !? Nous on est des rustres pour ta bande d’aristos ! J’te connais aussi. J’fait des travaux chez Christophe et j’ai vu les vidéos de tes orgies! Tu vois? le monde est petit. Mais là, nous on a rien eu. Et on veut notre part ! »
Agathe honteuse sourit bêtement espérant qu’il plaisante. Mais non il n’a pas l’air. Le jeune la tient par le bras. Bêtement, elle leur dir :
« Vous êtes des pervers ! Laissez-moi tranquille sinon j’irai le dire à mon grand-pére ! »
Ils éclatent de rire en lâchant :
« Ben c’est dommage pour ton Grand-père !!!! J’ai fait des copie de tes extravagances sexuelles ! J’en ai même avec des chiens et des chevaux ! »
Il continue en me disant :
« Vu le nombre de queues que tu t’ai pris ce soir, on ne va pas trouver que notre ADN dans ton cul, salope! Bref on est pas là pour discuter! »
Agathe veut se débattre mais le jeune la maîtrise. Le vieux l’attache à un arbre en lui disant :
« Bouge pas chiennasse ! L’gamin et moi on va te remplir ! T’a l’habitude ! »
Agathe les supplie, pleure, mais ses larmes ne font que les exciter.
Les yeux leur sortent de la tête, rouges, soufflants, avinés certainement. Ils ressemblent plus à des bêtes qu’à des hommes. Rapidement, le jeune lui rentre sa grosse bite dans la chatte pendant que le vieux lui trou le cul en la prenant par les seins. Comme elle est encore gavée de sperme, ça rentre tout seul. Ils s’activent, longuement et en rythme. Leurs coups de boutoirs irréguliers l’envoient une foi contre l’un, une foi contre l’autre. Inconsciemment, la femelle qu’elle est est à la recherche du plaisir.
Ils accélèrent et se rendent compte de la participation volontaire d’Agathe. Ca doit bien faire 10mn qu’ils entrent et sortent de ses orifices. Dans le silence de la forêt l’on entend que leurs souffles forts et le clapotis des va et viens dans ses trous graissés ponctué par les glapissements de plaisir d’Agathe.
« Oh… c’est trop..j’en veux encore plus….Ouiii défoncez moi !!!! »
S’accrochant à la corde, elle relève ses jambes pour enserrer ses jambes autour des reins de l’ancien. Sa chatte et son cul avale leurs bites entièrement. Ils râlent et la pénètre rageusement lui faisant lâcher des cris de plaisir. Ils lui mettent maintenant de grands coups de queues. Plus réceptive que jamais, elle ressent bien profond le glissement de leurs verges en elle.
Le vieux va jouir. Il ne peut plus se retenir et la retenant par les cuisses, il se laisse aller dans son cul. Il reste un moment ainsi, encore secoués tous deux par les coups du jeune plus endurant.
Au moment de se lâcher à son tour, il se retire et lui met dans la bouche pour se vider. Agathe n’en peu plus et joui à son tour en avalant le sperme du jeune. Il on bien baisé la petite salope bourge. Ils la détache de l’arbre et s’en vont sans plus de maniére laissant Agathe toute étourdie par leurs assauts.
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