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rencontre dans le train suite

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Romain, un écrivain, sociologue de trente-quatre ans – homme à femmes – rencontre fortuitement dans un autobus, Victoria, cinquante et quelques…. Une forte femme, bien proportionnée, dotée d’une forte poitrine. Malgré son âge certain, elle a un joli visage, rond, bien fardé, des lèvres pleines et des yeux d’un bleu porcelaine. C’est une femme majestueuse et ses chairs ne sont pas flasques du fait de sa rondeur sans doute. Elle a une belle peau d’un blanc laiteux. Cette femme se laisse séduire par le jeune homme qui la trousse sans vergogne dans son appartement du 6e arrondissement de Paris. En effet alors qu’elle gémit de confusion lorsqu’il explore les dessous de la jupe de l’altière bourgeoise, et qu’il lui caresse la vulve et le clitoris elle se laisse aller à lui crier de continuer.

La femme mûre s’évanouit presque, restant étendue toute molle, les jambes et les cuisses grandes ouvertes alors que Romain se redresse pendant qu’elle est agitée de soubresauts lorsque la jouissance envahit son bas-ventre. Il profite alors de la position indécente de Victoria pour lui retirer habilement sa culotte. Elle a d’abord un sursaut de dignité en voulant interrompre ce qu’elle pressent comme une déchéance, puis, renonçant à ce qui lui parait maintenant inéluctable, elle se résigne à se faire dénuder par l’homme qui a déjà trop de prise sur elle. Romain peut bientôt admirer ce sexe qu’il a exploré mais qui à présent s’offre à lui dans toute sa splendeur.

Victoria a dû être une vraie blonde car le duvet qui borde sa vulve et son pubis est très clair et très peu fourni. Elle n’a pas eu d’enfant d’après leur conversation, son sexe est tout petit, présentant une vulve en losange, bien étroite comme celui d’une toute jeune fille.

Il s’agenouille de nouveau entre ses jambes, lui embrasse l’intérieur des cuisses, à l’endroit où c’est le plus tendre, faisant gémir l’adorable quinquagénaire. Romain hume le fumet qui se dégage de son bas-ventre, ses lèvres se posant légèrement sur le sexe féminin qui frémit sous la caresse impudique. Il darde aussitôt sa langue vers la fente à peine éclose et la glisse entre les parois étroites de la vulve, léchant avec vigueur la liqueur vaginale qui s’écoule abondamment de la chatte sollicitée. Après avoir léché le foutre féminin il remonte vers le clitoris puis, le prenant entre ses lèvres, il le suce comme un bonbon. Cette fois, Victoria qui se trémoussait jusqu’ici a de brusques soubresauts, elle projette son bassin pour aller à la rencontre de la bouche qui fouille avec autant de bonheur son intimité.

Romain, sans lui laisser le temps de se reprendre lui saisit les deux cuisses dans ses bras puissants tout en pompant littéralement le bouton qu’il tient serré dans sa bouche. Les sécrétions vaginales giclent dans la bouche de l’homme tellement la femme est surexcitée. Elle pousse des hurlements, et, maintenant déchaînée, crie sa jouissance à l’encan, puis d’un seul coup, n’en pouvant plus de jouir et comblée par le bonheur qui s’est emparé de ses entrailles, elle s’affaisse et se pâme, saisie d’un orgasme foudroyant qui la fait tomber immédiatement en syncope.

Romain espère que ses clameurs n’ont pas alerté ses voisins. Il se penche sur Victoria tout en l’embrassant sur les lèvres pour la réveiller, il est soulagé lorsqu’il s’aperçoit qu’elle respire avec force, dévoilant de grands cernes violets sous ses yeux. Il est presque certain qu’elle n’a pas dû jouir souvent de la sorte, aussi, profitant de son évanouissement, il détache sa jupe et la fait glisser au sol, lui dégrafe son corsage, retirant son soutien gorge qui se révèle faire un bon cent quinze de tour de poitrine, faisant apparaître ainsi deux énormes globes étonnamment fermes au toucher. Elle ne porte sur elle à présent que ses bas et son porte-jarretelles.

Maintenant que la femme est nue devant lui, il constate qu’elle est vraiment imposante, mais tout est bien équilibré chez elle, c’est une femme majestueuse et bien proportionnée, ses chairs ne sont pas flasques, du fait de sa rondeur sans doute. Elle a une belle peau d’un blanc laiteux et Romain a soudain une envie folle de la baiser.

Il retire rapidement ses vêtements se présentant flamberge au vent devant la belle endormie. Celle-ci, reprend peu à peu ses esprits, entrouvre des yeux un peu vitreux. En se rendant compte qu’elle est entièrement nue, elle voit Romain dans le plus simple appareil tout contre elle. Sans hésiter elle s’empare alors de sa verge tendue et la caresse tendrement tout en l’attirant vers son visage. Reconnaissante de ce qu’elle vient de subir avec bonheur, elle l’engouffre toute entière dans la bouche. Puis, tout en tournant sa langue sur le prépuce, elle la pompe ardemment.

Romain qui bande depuis de longues heures pour cette matrone qu’il convoite de baiser ne peut plus se retenir bien longtemps et sa semence gicle dans la bouche de Victoria. Celle-ci a un bref haut-le-cœur, mais refoulant son écœurement, elle continue à presser de ses lèvres le vit qui par saccades lui envoie au fond de la gorge un sperme chaud et gluant, qui s’écoule à flots dans sa bouche. Elle ne peut faire autrement que de l’ingurgiter, surprise tout de même de ne pas trouver cela dégoûtant, le trop plein de foutre dégoulinant même du coin de ses lèvres. Romain d’une main lui caresse les cheveux dont le chignon s’est défait et de l’autre, agace un téton qui se trouve à sa portée.

Après s’être vidé dans la bouche de Victoria, Romain l’embrasse profondément pour la remercier. Sa langue se glisse dans la bouche souillée où il sent son propre foutre et il nettoie le tour des lèvres maculées alors que leurs langues s’entremêlent pour un profond baiser qui s’éternise. Par la suite, d’un commun accord, les deux nouveaux amants décident de se rafraîchir. Comme il y a deux salles de bains, ils prennent leurs ablutions séparément. Romain après s’être douché longuement s’est ceint la taille d’une serviette de bain, à défaut d’un peignoir inexistant, pour rejoindre Victoria dans la chambre. Celle-ci, s’est enveloppée dans un déshabillé en soie jaune, attendant son jeune amant, étendue dans une pose alanguie sur le vaste lit.

Ce dernier s’étend à côté d’elle, lui prenant la main, il la baise longuement.

– Victoria, vous êtes encore beaucoup plus sensuelle que je ne pouvais l’imaginer. Merci encore pour la magnifique fellation que vous m’avez faite, peu de femmes acceptent de boire le sperme savez-vous. Croyez-moi je vous en suis infiniment reconnaissant.

– Oh ! Romain, mais c’est la première fois que je le fais, j’ai très honte alors que je n’ai jamais voulu le faire à mon mari, et puis vous savez, je n’ai pas connu d’autres hommes après sa disparition. Je ne pensais plus avoir de rapports sexuels, vous pensez, à mon âge…. Enfin vous êtes arrivé. C’est stupéfiant ce que je viens d’accepter de votre part, jamais je n’ai voulu qu’une bouche touche mes parties intimes alors que vous m’avez fait découvrir un plaisir que je ne pouvais imaginer. Je suis honteuse de ce que vous ayez pu découvrir avec vos yeux, vos mains et votre bouche mais vous m’avez fait tellement jouir. Voulez-vous me faire l’amour Romain j’en ai une si grande envie. Vous pouvez me prendre, je suis prête à subir tout ce que vous voulez !

– Bien sûr que je vais vous prendre ma chère Victoria, j’en ai très envie depuis que je vous ai vu ! Mais attention, vous me dites que vous êtes prête à tout, vous risquez des surprises, j’ai l’impression que vous avez beaucoup de choses à découvrir. Pour l’instant, c’est dans votre sexe que je veux entrer, le plus profondément possible et le plus longtemps que je le pourrai. Vous avez une si jolie chatte ma chérie, allons ! Enlevez ce vêtement, je vous veux toute nue en face de moi.

Victoria rougissante de sa corpulence, ôte son déshabillé devant ce diable d’homme aussi jeune, attendant avec un peu d’inquiétude celui qui va assaillir son sexe impatient qui n’a pas été pénétré depuis si longtemps. Son mari a disparu, il y a cinq ans alors que cela faisait au moins autant de temps qu’il ne lui faisait plus l’amour. Dix ans qu’une verge ne s’est pas introduite dans son vagin. Va t elle savoir encore faire l’amour ?

Romain se caresse la verge sans vergogne pour qu’elle reprenne une rigidité convenable. Victoria sent ses joues s’empourprer, surtout qu’il lui dit.

– Eh ! Bien … À vous ! Masturbez-vous ma chérie, je veux voir cela.

Victoria est affolée.

– Mais Romain, je ne l’ai jamais fait, je ne saurai pas et puis j’ai trop honte.

Celui-ci, lui prenant une main, la dirige de force vers son intimité.

– Chérie, presque toutes les femmes se masturbent, puisque vous voulez découvrir des choses avec moi c’est le moment, vous allez voir comme c’est bon de sentir ses propres sensations et puis, pour le partenaire c’est excitant, vous voyez bien que je n’hésite pas à me masturber devant vous, allez je vous tiens la main, remuez vos doigts, découvrez votre vagin, caressez votre clitoris.

Victoria se montre d’abord hésitante, puis, timidement elle agite ses doigts et ressent des sensations étranges. Ce n’est pas la même chose que lorsque son mari la caressait ou alors, c’est à cause de ce diable d’homme qui est à côté d’elle, mais elle éprouve déjà un étrange plaisir à se caresser. Elle presse son clitoris entre ses doigts, les faisant pénétrer à l’intérieur de son vagin qui laisse de nouveau couler sa liqueur. Elle ressent une douce jouissance l’envahir alors qu’elle a laissé sa seconde main se diriger toute seule vers son sexe. C’est maintenant de ses deux mains, qu’elle s’astique le minou. Soudain elle agite sa tête en tous sens et laisse éclater son plaisir dans un râle discontinu.

Romain a assisté avec une grande délectation au bonheur que s’est donnée Victoria. Profitant de la volupté qu’elle vient de s’attribuer, il se présente devant les cuisses bien ouvertes de la femme, puis, dirigeant son sexe vers la grotte d’amour, il se coule d’un seul jet à l’intérieur. Tout en enfouissant sa tête entre les énormes seins qui sont devant lui, il enfonce son dard au plus profond du vagin serré de la femme mûre. Celle-ci pousse son ventre contre celui de l’homme, venant avec ardeur au-devant des coups de boutoir que son jeune amant lui inflige. Il glisse ses mains sous ses grosses fesses qu’il malaxe avec force tout en la transperçant longtemps de sa bite bien raide. Elle a déjà crié sa jouissance plusieurs fois lorsqu’il éjacule en elle alors qu’elle n’est plus qu’une femme pantelante entre ses bras. Elle est épuisée et fourbue. Jamais, jamais elle n’a connu cela de toute sa vie. Pourtant, ne voulant pas qu’il se retire de son ventre, elle resserre le plus possible son vagin et ses cuisses, autour de la verge qui l’a si bien contentée.

Romain s’est vidé entièrement, dans ce sexe qu’il a convoité ardemment depuis l’autobus. Sans le savoir, Victoria tout en resserrant le plus possible son vagin sur la verge flasque de l’homme, exécute un casse-noisettes, ce que l’on apprenait aux hétaïres du XVIIIe siècle. Sous cette pression continue, le jeune sexe de Romain ne tarde pas à reprendre de la vigueur. À la surprise de Victoria, elle sent de nouveau le bâton bien dur qui gonfle dans sa vulve. Sachant que cette fois il ne tiendra pas la distance, l’homme tout en tenant la cavale étroitement enlacée, se retourne pour se retrouver sur le dos, la femme au-dessus de lui. Celle-ci a compris, se mettant à genoux de chaque côté du torse de Romain, elle donne elle-même la cadence au sexe qui la pourfend.

L’homme qui a ses gros mamelons qui ballottent au-dessus de sa tête en prend un entre ses lèvres et le tète avec ardeur. Il a passé ses mains sur le gros fessier bien ferme de Victoria, le claquant avec force pendant qu’elle s’empale sur lui. Les deux amants dans leur folle et furieuse cavale laissent échapper de leurs gorges des rugissements de volupté, puis, ils s’écroulent ensemble l’un sur l’autre ou plutôt l’une sur l’autre. Romain se vide par saccades dans la gaine vaginale brûlante qui lui enserre si étroitement le sexe. Mais il a du mal à respirer et il manque mourir étouffé par la masse opulente de Victoria qui s’est laissé complètement aller sur lui.

Des heures plus tard les deux amants refont surface. Ils se regardent avec beaucoup de curiosité et d’émotion. Tous les deux sont échevelés, leur visage est défait, des cernes énormes sont apparus sous leurs yeux. Ils se sourient néanmoins en s’embrassant tendrement. Victoria, regardant l’heure, s’aperçoit qu’il est bientôt minuit, constatant que cela fait plus de sept heures qu’ils ont commencé à faire l’amour. Elle meurt de faim et cela doit être la même chose pour Romain. Elle se lève promptement, enfile son déshabillé et se rend rapidement à la cuisine.

Un peu moins de dix minutes après elle entre dans la chambre en tenant un plateau qu’elle dispose sur le lit. Foie gras, saumon fumé, champagne, de quoi se refaire une santé. Ils se restaurent tous deux en vidant une bouteille et demie de champagne. Il est maintenant une heure trente du matin lorsque Romain se dit prêt à rentrer chez lui. Victoria timidement, lui propose de rester pour la nuit s’il le désire. Fatigué, celui-ci accepte et ils s’endorment enlacés dans le lit saccagé par leurs ébats lubriques.

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