Le temps est superbe. Il fait grand soleil en ce début mai. Comme c’est un peu hors saison, il n’y a personne à l’endroit où nous nous trouvons.
Il fait chaud. Le soleil chauffe nos corps après une saison pleine de pluie, de vent et de froidure.
Nous marchons, enlacés sur cette promenade qui domine la mer à Biarritz. De petits chemins piétonniers serpentent entre des buissons d’arbousiers. L’endroit domine la mer de la baie de Biarritz, au dessus du Rocher de la Vierge. Une rambarde court le long du chemin. Au bout du chemin, on accède au Rocher.
Le Rocher de la Vierge est une petite île reliée à la terre par une passerelle. Au sommet trône la statue de la Vierge Marie. Le pic est percé au milieu d’un passage, et à l’opposé, une esplanade domine encore la mer et sa furie.
Comme il s’agit d’une baie, la mer et le ressac arrivant du large de l’Océan Atlantique bas sur les rochers ceinturant la baie et le Rocher.
Tu es vêtue d’une petite robe légère à bretelles fines. Tu ne portes rien d’autre que cette jupe. Pour continuer de me faire plaisir, tu ne portes toujours par de culotte ou de string sous la jupe. Et tu n’arbores par non plus de soutien gorge. Tes pieds sont chaussés d’escarpins à talon haut qui remontent tes mollets, cambrer les reins et ressortir ta poitrine.
Je suis habillé d’une chemisette et d’un short. C’est d’ailleurs tout ce que je porte parce que je n’ai pas mis de sous vêtement.
Arrivés au bout du chemin, toujours enlacés nous empruntons la passerelle. Au travers du tablier du pont remonte l’air frais de la mer. Quelques embruns remontent eux aussi. Je sens la fraicheur sur mes jambes. Cela doit te faire quelques choses à toi aussi car j’aperçois les tétons de tes seins pointer au travers du tissu léger de ta robe. Nous nous tenons pas la taille et avançons vers le Rocher. Tout à fait en haut, une statue de la Vierge Marie regarde le large, les mains jointes.
Nous passons sous elle, par le passage percé dans la pierre. Et nous débouchons sur l’esplanade à l’opposé de la terre. Sur la droite, loin, la plage centrale de Biarritz avec l’hôtel du Grand Palais. Et face à nous, la mer ondulante de cette masse d’eau propulsée de très loin et que rien n’arrête, hormis les rochers en dessous et derrière nous.
Cette ondulation se fracasse sur les rochers, faisant trembler la pierre et sonnant d’un coup comme un coup de canon. Lorsque la mer est forte, l’eau frappant sur la pierre jaillit vers le haut en des milliards de gouttelettes d’eau salée qui rafraîchissent l’air lourd et chaud.
Nous nous avançons vers le mur de pierre ceinturant cette esplanade. Un moment, nous nous appuyons de nos mains sur le mur et regardons, vers le bas, la mer tapant sur les rocher et bouillonnant de son écume. Nous sommes totalement seul à cet endroit. La Vierge nous domine de sa présence bienveillante.
Malgré le soleil, l’air est frais à cause de la mer. Un léger frisson parcours nos corps.
Je t’enlace et t’embrasse. A pleine bouche. Nos langues se connaissent, se reconnaissent, s’enlacent, s’étreignent, se mêlent dans un long baiser. Mes mains parcourent ton corps par dessus le tissu. Je caresse ta chute de rein cambrée, descendant doucement vers tes fesses. Tout en continuant notre baiser, je caresse, au travers du tissu, tes deux montagnes fessières. De temps à autre, un de mes doigts longe ta raie, dans une caresse appuyée.
Tu ne restes pas inactive. Tes mains me tenant pas la tailles descendent elles aussi vers mes fesses que tu prends au travers du short.
Puis nous nous regardons. Je vois tes yeux embués. Pleins d’Amour.
Puis nous nous retournons tout les deux vers la mer, regardant le spectacle.
Je me met derrière toi, et t’enlace te tenant en une brassée. Au chaud contre moi. En ramenant tes bras derrière toi, tu me tiens par la taille en passant tes doigts dans le passant de mon short.
De temps en temps, je dépose de petits baisers dans tes cheveux, dans ton cou.
La mer battant d’un mouvement régulier, l’endroit isolé et seul au monde, ma position contre toi, le ressac et son mouvement. Petit à petit, dans mon short et contre tes fesses, je sens mon sexe lentement réagir. Lentement, une sensation court dans mon ventre, se dirigeant vers un seul endroit. Puis cette sensation se transforme et un gonflement de mon sexe qui monte, force, se raidit.
Au travers des tissus, je le sens dressé contre toi, le long de ta raie.
Par dessus ton épaule, tu tournes la tête et me regardes. Nos regards se trouvent, tournent autour de nous. Il semble que nous ayons la même pensée. La même envie.
Tu lâches simplement mon short, te penches en avant et appuies tes deux mains sur le mur en face de toi. Et tu écartes légèrement les jambes, perchées sur les talons hauts.
Je défais la braguette de mon short, et en fait sortir ma bite dressée.
Mes mains relèvent le bas de ta jupe et je découvre tes fesses, tendues et ouvertes à moi.
Je prends tes hanches par dessous le bas de la jupe, pointe mon dard à l’entrée de ton sexe, et t’attirant à moi je pousse lentement en avant. Je pénètre ton sexe avec délectation, les yeux fermés, dans un instant d’extrême jouissance.
Au rythme lent des flots battant contre le rocher, je vais et viens en toi, sortant ma bite de ton sexe pour mieux te reprendre allant au fond de ta caverne. Moments délectables auxquels s’ajoutent l’insolite du lieu et de la situation.
Sous mes coups de boutoirs qui doucement s’accélèrent, tes seins, libres de toutes attaches, vont et viennent sous le tissu de la robe. Insensiblement, mes va et vient se font plus rapide. Nos souffles sont à l’unisson. Je sens les muscles de ton sexe se contracter et se relâcher, branlant ma hampe, alors qu’elle te pénètre.
Insensiblement, nos plaisirs montent du plus profond de nos êtres.
Dans un dernier élan, toujours agrippé à tes hanches, je pousse en avant, t’empalant. J’explose dans ton corps. Je lâche une longue secousse de ma semence. Nous exhalons tout les deux un cri de jouissance dans un orgasme commun.
Repus, nous restons là un moment, immobiles. Je te tiens toujours par les hanches, ma bite toujours enfoncée en toi, le corps parcouru des soubresauts de l’orgasme.
Reprenant tes esprits, tu te redresses, Te défais de moi. Ta jupe retombe. Tu te tournes et m’enlaçant, tu m’embrasses. Longuement. Amoureusement.
Puis, tu t’accroupis devant moi, et tu prends mon sexe à ta bouche. Il a perdu de sa vigueur. Je sens ta langue le parcourir sur toute sa longueur, depuis les couilles jusqu’au gland. Par petites touches, tu goutes les sucs mêlés de ton sexe et des restes de mon sperme. Ta langue habile, lèche mon gland. Puis je sens ta bouche, doucement, lentement, prendre possession de mon sexe.
Ta tête va et vient le long, redonnant petit à petit de la raideur à mon sexe. Ma main, tenant et caressant tes cheveux, allait au même balancement que ta tête. Je te regarde, toute à ton plaisir de la fellation.
Je vois ma pinne entrer et sortir de ta bouche. Je sens ta langue caresser, tes lèvres branler, la chaleur humide de ta bouche. Tout va dans le sens de mon plaisir immense. Toute à ton œuvre, tu fermes les yeux.
Tu pratiques longuement, jouant avec les montées de mon plaisir. Lorsque tu sens venir, tu arrêtes, me caresses et laisses repartir ce qui est en train de monter. Puis tu reprends.
Au bout d’une longue fellation, je sens mon plaisir une nouvelle fois se présenter. Tu t’apprêtes à, une nouvelle fois arrêter, mais n’y tenant plus, je maintiens ta tête contre moi. Tu gardes mon sexe dans ta bouche, où j’éjacule. Je te maintiens contre moi, profondément enfoncé. Je sens ta langue contre mon chibre. Je te vois déglutir et avaler ma crème de vie. Tu ouvres les yeux et me regardes.
Puis avec de derniers coups de langues, tu ramasses les derniers restes de mon sperme. Tu lèches mon gland décalotté.
Puis de ta main caressante, tu le remet dans mon short dont tu relèves la braguette.
Tu te relèves et tu m’embrasses encore. Je goute à tes lèvres le gout de mon sexe. Je te tiens tout contre moi durant ce baiser. Je caresse tes formes au travers de la robe, m’attardant sur tes fesses.
Durant ce baiser, je passe ma main sous ta jupe, descendant le long de ta raie. Mon doigt s’insinue entre tes globes cambrés. Doucement, je mouille mon doigt à ton sexe, de ton jus et de quelques gouttes de sperme, et remontant, je masse doucement ta petite rondelle. Mon doigt pousse en avant sur ton petit trou massé et assoupli. Je te pénètre. Tes reins se cambrent un peu plus, t’ouvrant encore, t’offrant plus. Mon doigt va et vient en toi. Tu sembles trouver quelque chose dans cet instant. Tu fermes les yeux, faisant tout pour t’offrir.
Je sens une légère contracture de ton petit cul. A ton souffle, je pense que tu viens de prendre un plaisir. Je vais et viens encore en toi durant quelques instants. Je me retire et ta jupe retombe. Je t’embrasse, reconnaissant du plaisir que tu viens de me donner. De l’acte d’Amour, de la fellation, du doigt que tu as accepté.
Puis, après une légère tape sur les fesses, nous nous reprenons par la taille et rebroussons chemin.
Au débouché du passage sous la statue, alors que nous reprenons la passerelle, nous croisons un groupe de personnes qui arrivent.
Nous nous regardons et, sans que ces personnes puissent comprendre quoique ce soit, nous éclatons de rire.
Toujours riant, nous poursuivons notre chemin, les laissant à leur ignorance.
Je t’aime et jusqu’à maintenant, je ne t’avais jamais fait l’Amour à Biarritz.
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