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Mama Maria 2

Mama Maria 2



Maria rentrait toujours très tard de son travail, il faisait nuit et je dormais déjà depuis longtemps.
Un soir je remarqua qu’elle était dans le jardin avec un homme, ils discutaient.
Le lendemain soir je me leva vers minuit et vît ma mère avec un autre homme, toujours dans le jardin, et tous les soirs de la semaine ce fût le même scénario mais chaque fois avec un homme différent.
Cela m’intriguait, ces hommes travaillaient tous à l’usine, ils devaient lui proposer de la raccompagner, une femme seule, à pied, en pleine nuit…trop de risques. C’était gentil de leur part, ou alors il y avait autre chose.
J’ai alors décidé de tout faire pour en avoir le cœur net. Je décidais de mette mon réveil à sonner à une heure du matin pour la nuit suivante.
Quelle ne fût pas ma surprise, je me suis levé et à pas de chat me suis dirigé vers l’escalier. Je n’ai pas eu besoin d’aller plus loin, je vis à travers les barreaux deux silhouettes enlacées.
Bien qu’aucune lampe ne fût allumée, la lumière du clair de lune qui filtrait à travers les vitres du salon suffisait à distinguer parfaitement ce qu’il se passait juste en bas.
Je reconnaissais facilement ma mère, l’homme non. Il était petit avec un gros ventre, je ne sais pourquoi mais je suis certains qu’il était âgé.
Un spectacle d’ombres chinoise m’était présenté.
Mes yeux s’habituèrent un peu plus, et là je fût scotché. Ils s’embrassaient goulûment, l’homme caressait les fesses bombées de Maria pendant qu’elle massait sensuellement son membre en érection.
Je n’en perdait pas une miette
Leurs langues continuaient à danser collées serrées, de temps en temps une main de l’homme se glissait entre les cuisses de ma mère ce qui lui faisait pousser de petits soupirs et grognements de plaisir Le salop, il la doigtait
Excitation, jalousie, surprise, curiosité, envie…une tempête contradictoire m’envahissait.
Je pris une grande bouffée d’air, ferma les yeux et souffla….
Je m’évadais afin de trouver en moi une solution acceptable, mais l’excitation forte que je ressentais me fît me remémorer mes jeux interdits. Ma mère, brune, très poilue aux rondeurs excitantes portaient toujours des collants, j’aimais de temps en temps en prendre une paire dans le panier à linge sale, je les portais à mon visage, humais leur odeur, savant mélange de ses effluves intimes…je ne pouvais m’empêcher de me masturber dedans.
Je rouvris les yeux bien décidé à surmonter le choc . JE faisais bien attention à ne pas me faire surprendre, mon cœur battait si fort que j’avais l’impression que ma tête allait exploser.
Maria dit à l’homme de ne pas faire de bruit car je dormais, il s’exécuta et commença à jouer avec la lourde poitrine, il la malaxa avec une dextérité qui montrait qu’il était bien expérimenté dans ce domaine, puis pendant qu’une main continuait le massage mammaire l’autre jouait avec le téton du second. Je regardais subjugué avec grande attention, telle un élève devant la démonstration de son enseignant. Il pinçait, tournoyait, parfois les étirait, de façon alternée ou de concert.
Le plaisir de Maria semblait monté à vitesse grand V car elle branlait la queue de plus en plus énergiquement. La tête en arrière, ses cheveux ondulés virevoltaient au rythme des ondes de chaleurs qui l’irradiaient.
Ne tenant plus elle s’accroupit, à genoux devant lui, elle pris fermement ses seins afin de les présenter à la verge raidie de désir.
Il l’avança, Maria saliva dessus et le membre glissa entre ses nichons.
Il donnait des coups de reins, ma mère tenait bien serré sa poitrine afin de conserver le fourreau mammaire sous les assauts de l’homme.
Il se mit a accéléré, Maria lâcha ses mains, immédiatement la bite se retrouva libre. Ses mains sur ses genoux, elle commença à donner de petits coups de langues sur le gland, puis elle lécha la hampe de la base jusqu’au bout, et du bout jusqu’à la base, ainsi de suite jusquà ce qu’elle engloutisse la bite du mec.
Il grognait de plus en plus fort et ma mère s’arrêtait de temps en temps en lui disant « chuuuuut, ne fait pas de bruit » puis elle reprenait aussi sec.
L’homme posa ses mains sur la tête de Maria et il commença a s’activer.
J’entendais les bruits que faisait la bouche de ma mère, ma main caressait ma verge sans même que je ne m’en aperçoive.
Les mamelles de ma mère se balançaient sous les coups de reins qu’elle prenait dans la bouche.
Un grognement rauque mais retenu emplit la pièce, l’homme se crispa, ses jambes tremblaient, ma mère gardait sa queue en bouche jusqu’à la garde.
L’homme resta quelques longues secondes ainsi jusqu’à ce que j’entende ma mère déglutir, sa bouche libéré, elle s’affaira à bien lui nettoyer la verge.
Elle avait avalé toute la semence et apparemment ne voulait pas en perdre une goutte.
Je compris que c’était terminé et la peur m’envahit, je me dépêcha d’aller dans ma chambre sans faire de bruit. Allongé sous ma couette je me refaisais le film de ce que je venais de voir, je me masturbais, mes oreilles à l’affût du moindre bruit.
Une vingtaine de minute plus tard j’entendis ma mère dans la salle de bain, elle se lavait dans le bidet, puis se fût la brosse à dent.
Ma porte s’entrouvrit, je fis semblant de dormir et ma mère partit se coucher.
Les jours suivant je me suis organisé pour mieux voir ce qu’il se passait le soir, j’ai ainsi trouvé une cachette plus confortable avec un meilleur point de vue, le réveil sous l’oreiller afin d’être le seul à l’entendre et surtout être certains de ne pas louper le spectacle qui m’était offert.
J’ai eu raison de prendre ces précautions, en fait tous les deux soirs, entre une heure et deux heure du matin elle avait des visites. Ce n’était pas toujours le même homme, elle les faisait entrer par la cuisine qui donnait directement sur le jardin. J’avais remarqué qu’elle avait un stratagème , si elle laissait la lumière du jardin allumée alors les hommes savaient qu’ils pouvaient venir la voir sinon, bin rien.
Parfois ils baisaient dns la cuisine, mais ça je n’aimais pas car je ne pouvais rien voir, mais dans le salon c’était super.
Ce n’est que bien plus tard que j’ai compris que les relations étaient tarifées, d’où les billets que je voyais dans les poches de sa robe de chambres avec laquelle elle accueillait les hommes.
J’ai fait une bonne partie de mon éducation à la regarder, elle se donnait entièrement, chatte et cul sans capote, et souvent les mecs se finissaient en jouissant sur son corps ou sur son visage.
Pendant trois ans elle a fait ça, puis un jour tout c’est arrêté, elle s’est remarié, et surprise, avec un de ses clients.
En fait elle avait des besoins financiers et des besoins physiques, elle a trouvé ce moyen qui lui permettait de lier les deux. Grace à cela je n’ai manqué de rien.

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