Histoires de sexe en groupe Histoires de sexe soeur

Seuls et tout Nus

Seuls et tout Nus



Participant à l’émission de télé réalité Seuls et tout Nus. Prenant place sur une petite île des Fidji me déshabillant. 21 jours à passer en lieu hostile dans une nudité complète. Rencontrant mon accompagnatrice Linda directrice d’une garderie âgée de 41 ans. Lui serrant la main faisant plus ample connaissance. Moi un musicien professionnel âgé de 28 ans évaluant un certain contraste vis-à-vis son âge. La dame par contre vraiment sexy avec une grosse paire de seins tombants. Une brunette aux yeux bruns très sympathique avec la toison velue. Elle avait un corps superbe m’excusant ma verge de grosseur moyenne lui démontrant déjà un certain intérêt. Un peu plus petite que moi mesurant 5 pieds 6 avec les cheveux châtains et les yeux pers. Visionnant mon corps athlétique la madame semblant apprécier me reluquant de bas en haut. Agréablement surprise d’avoir à partager son aventure avec quelqu’un de beaucoup plus jeune. J’avais amené une machette et elle un silex ajouté à une bouilloire le dernier objet déjà attribuée à tous les participants. Un cadreur puis un perchiste de jour présent nous filmant liés à un poste de production sous écoute. Le soir les scènes tournées à l’aide d’une caméra de nuit nous même. Résultant à un environnement plus intimiste entre nous deux.

Nous étions sur le rivage d’une plage devant une forêt tropicale. Mon indice de survie très élevé. Celle de la madame plutôt bas. J’étais un expert dans tous les domaines le feu déjà entamé. Discutant avec celle ci en construisant notre abri à l’aide de branche de palmiers et de feuilles. La faune n’était pas ultra dangereuse dans cette région peuplée d’oiseaux, d’iguanes et de serpents boas. Des requins cependant gravitant dans l’océan devant mais quand même à bonne distance de nous. Le plus difficile était la saison des pluies (celle présente), les moustiques et la chaleur intense du lieu. Il y avait un petit étendu d’eau pour nous abreuver faisant bouillir le liquide recueilli sur le feu. Trouvant déjà le défi un peu trop facile la nuit faisant sa première apparition. Dormant distancé Linda se collant par contre une ou deux heures plus tard déjà mise en confiance. Elle frissonnait au début devenant toute chaude par la suite. Me conseillant de me retourner pour pouvoir s’étreindre l’un de l’autre. Une odeur évidente de chatte mouillée se propageant jusqu’à mes parois nasales. Linda sentait royalement bon humectant son arôme de femme chaleureuse. Me regardant dans les yeux en signe d’acceptation mouillant ses lèvres de sa salive. Le contrat nous liant très sérieux envers les attouchements et les relations sexuelles. Linda quand même déjà très entreprenante en ce jour premier. La pointe de ses seins durcie me caressant délicatement le fessier de sa main gauche sans gêne. Elle semblait apprécier ma présence et me le faisait vivement sentir sans hésitation.

Au lendemain chassant ou cueillant pour pouvoir nous nourrir. Capturant un crabe de mon côté Linda trouvant deux gros ananas. Le ciel menaçant au loin ne présageant rien de bon. Nous préparant à toutes éventualités renforçant notre abri. Une tempête tropicale formée de grand vent et de pluie s’abattant sur nous. Notre feu éteint tentant de survivre à travers l’intempérie. Linda m’empoignait les fesses très fortement m’exigeant presque de venir la pénétrer durant la nuit. Le matin revenue à la normale notre camp dévasté reconstruisant celui ci. Conversant avec ma compagne une belle complicité se développant entre nous. Les jours s’accumulant capturant un boa à l’aide d’une perche affûtée durant la semaine et encore quelques crabes. La capture du serpent venant clairement allumer Linda de ma virilité lui donnant une irrésistible envie au plaisir charnel. Tentant sans équivoque de venir me séduire une petite pluie fine apparaissant et un brouillard se levant au loin. M’affirmant que le sexe était bon pour la circulation sanguine et nous permettraient aussi de nous réchauffer. Dégustant le fameux boa de 3 mètres environs ses deux cuisses clairement ouvertes et disponibles. Mes tentatives pour ne pas trop l’embraser restait quand même cordiale. La madame à chaque soirs venus semblant de plus en plus chaude et enthousiaste à venir se coller contre moi. Ma tige inévitablement dressée semblait faire de l’oeil à sa chatte visiblement émoustillée. La madame frottant souvent ses jambes contre les miennes musclées pour se réchauffer. L’exercice de friction ne rendant ma verge que plus dure et droite. Prête à venir l’empaler dans tous les instants son odeur de femme de plus en plus présente et chaude.

Attendant la nuit dans le froid de l’humidité pour venir tenter une première approche au treizième jour de notre aventure. Elle me caressait doucement la tige pendant l’averse devenue beaucoup plus intense en collant son corps contre mon dos. M’exprimant un Aller viens. J’ai besoin de me réchauffer. Me retournant pour venir la pénétrer vivement à sa demande aux petites lueurs de la nuit. Me sentant un peu comme un a****l en chaleur entrain d’assouvir sa demoiselle en manque au dessus d’une terre boueuse. C’était un acte assez pervers et fait devant publique par surcroît (préalablement coupé au montage). Pénétrant ma tige dans sa belle vulve rosée toute mouillée en manque d’affection. Mes coups de bassin fait directement droit devant la madame se retenant pour ne pas jouir à vive voix. Me comparant à un sanglier saillissant sa laie dans un marécage. La tension sexuelle au point culminant me retirant rapidement pour ne pas venir la souiller de mes semences. Le froid de la pluie devenue battante Linda avait à présent le corps immaculé de terre vaseuse. Se sentant comme la plus cochonne des femmes assouvie par un jeune homme. Me demandant si les conséquences d’un tel acte sous l’oeil attentif d’une caméra apporteraient des sanctions sans précédent. Revenant affaler mon corps à nouveau contre le siens pour ainsi venir nous réchauffer mutuellement. Notre sommeil grandement perturbé par les caprices de dame nature. La pluie mouillant nos deux corps à profusions un début d’hypothermie se faisant sentir. Un regain de vie au lendemain les rayons du soleil apparaissant apportant le calme après la tempête. Notre péripétie prenant une tournure assez étrange. Linda était une femme vraiment très chaude.

Quatorzième jours Linda plutôt silencieuse la chaleur revenue nous réconforter. Allant nous baigner dans l’océan pour nous laver un peu l’eau devenue particulièrement chaude. Sans équivoque voulant constamment attirer mon attention exposant en permanence la pointe de ses seins durcie. Elle était toujours près de mon environnement et tactile de ses mains me caressant. Baisant une seconde fois le soir venu aux lueurs du jour Linda me chevauchant. Captant toute la scène sous lentille la madame prenant visiblement son pieds. Toujours de brefs ébats les vas et viens très très rapides Linda bougeant son bassin vivement. Un idylle amoureux sous les contextes d’une situation inappropriée. Me faisant à présent une fellation pour ainsi se nourrir de ma sève chaude. Notre dernier repas espacé sur quatre jours elle avait visiblement faim. Suçant ma tige avec gourmandise voulant ainsi recueillir mon nectar sirupeux. Dormant à mes côtés tels de nouveaux amants tentant de s’apprivoiser. Elle aimait beaucoup discuter le supplice des moustiques se faisant sentir de nouveau. Nos journées suivantes un peu plus avares point de vue nourriture. L’eau devenue notre principale ressource vitale jusqu’au vingt-et-unième jour fatidique. Longeant une étendue d’eau ruisselante pendant quatre heures jusqu’à une petite colline pour ainsi apparaître au point d’extraction. Notre point final résumant ainsi la fin de notre aventure. Linda venant m’embrasser sur la joue me promettant de garder contact appréciant grandement ma compagnie.

Un jeep de couleurs vert nous transportant vers un lieu plus civilisé des îles Fidji. Quelques jours de répit devant nous exposer à des examens médicaux évaluant notre état de santé. Enfournant ma chère Linda une dernière fois vers son logis de participante avant notre départ. Prenant assez bien les coups en position de la levrette la madame jouissant à voix haute. Empalant ma tige comme le dernier des guerriers samurais en introduisant la lame de mon sabre à répétition dans son fourreau. Amaigri et affaibli par l’expérience j’avais réellement hâte de la revoir dans un contexte plus avantageux me laissant ses coordonnées. Espérant la revoir chez elle dans un avenir prochain. La madame avide de jeune queue tenace et vigoureuse. Elle avait une poitrine tout à fait spectaculaire et de belles petites fesses rondes tout à fait sublimes.

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire