Je revenais d’une période d’étude vraiment pénible lorsque je reçu un message de ma vieille « Madame » à l’agence. J’étais à bout de nerf, il me semblait que je n’arriverais jamais à apprendre par cœur tous les différentes parties du dialogue ( j’avais un cours de communication des intervenants et j’étais vraiment nulle pour apprendre ce genre d’informations).
Je n’étais pas trop intéressée à travailler parce que j’avais envie de faire quelque chose pour moi, mais la fin de session arrivait et mes moyens financiers étaient au plus bas, malgré mes clients réguliers. J’acceptai donc de me présenter dans un hôtel de Montréal dans une grande suite.
J’avais pris le temps de me baigner, de laver soigneusement mes cheveux, de les coiffer en un chignon sévère. J’avais enfilé mes lunettes à monture en corne, une jupe d’écolière aux genoux et une chemise blanche. J’avais l’air d’une écolière. Je n’avais que dix-neuf ans, mais j’avais presque l’air d’en avoir quinze. J’appelai Marcus qui vint me chercher. La voiture était remplie de filles de mon âge qui devaient se rendre à la même place. J’en connaissais une ou deux, les autres pas vraiment. Marcus me fit un sourire éclatant en me voyant, les filles avaient tendance à la mépriser ou à le ridiculiser parce qu’il avait un micro-pénis, pour ma part, je me reposais entièrement sur lui pour ma sécurité et petit pénis ou pas, il m’avait sorti de certains mauvais pas à plusieurs reprises.
Il nous laissa près de l’hôtel où nous rentrâmes deux par deux pour ne pas éveiller les soupçons. Règle générale, les hôtels tolèrent les putes tant que ça ne choque pas les bonnes gens. En entrant ainsi, nous n’attirons pas trop l’attention. Dans l’ascenseur, trois hommes d’affaires américains ( des gros porcs en veston cravate) nous lorgnaient Sabine et moi. Nous avions opté pour une attitude de gamine, nous nous regardions en pouffant de dire comme deux petites idiotes. Lorsque nous arrivâmes enfin à la suite, nous étions soulagée de ne plus devoir endurer leurs plaisanteries et leurs attouchements visuels. ( Il y a une différence entre être payé pour faire la pute, et devoir endurer un gros porc qui se tripatouille la queue en te regardant dans l’ascenseur).
La suite était magnifique, colorée, chaude. Sabine et moi étions les dernières d’une dizaine de fille de l’agence. Il y avait une vingtaine d’hommes présents, des magrébins, des américains, des français, des italiens un ou deux asiatiques. Les autres filles prenaient le champagne avec eux, discutaient, souriaient à la ronde. J’avais eu pour eu pour consigne de détendre l’atmosphère et de suivre la vague selon ce qui allait se passer.
Je bu en compagnie d’un jeune français une coupe de champagne, il était relativement jeune comparativement aux autres, peut-être moins de trente ans. Didier, m’apprit que les hommes étaient des hommes d’affaires qui venaient signer un gros contrat avec une firme du Québec. Puis je fis glisser la conversation sur le sexe, Didier était timide, nouvellement marié, il m’avoua qu’il avait toujours rêvé de pouvoir voir des femmes baiser entre elle.
Il était mignon, et j’avais envie de lui faire plaisir. Je le quittai en lui faisant un clin d’œil coquin puis j’allai voir Sabine. C’était une grande rousse au visage taché de son. Elle était magnifique, douce et avait pour le sexe un vorace appétit. Je lui fit part du fantasme de Didier et en le regardant, elle passa doucement sa main sur mon sein. Didier avait commencé à parler avec un Américain, mais il compris immédiatement que le spectacle s’adressait à lui. Les filles de l’agence nous regardaient et elles comprirent que le moment était venue.
Nous commençâmes doucement, Sabine m’embrassa doucement sur la bouche, puis glissa sa main doucement sur mon sein. Je regardais Didier qui avait arrêté de parler et nous dévorait du regard. Les autres filles faisaient de même. Le silence régnait maintenant dans la pièce. Sabine continua a m’embrasser, ses lèvres étaient douces, mes mains agrippèrent son sein, gros, chaud, ferme… Le téton était bien dur. Nos baisers devinrent plus langoureux, nous touchers également. Nos vêtements tombèrent sur le sol, alors que nos mains devenaient plus hardies sur le corps l’une de l’autre.
Je voyais Didier, le verre à la main, il avait arrêté son geste alors qu’il s’apprêtait à boire et il restait là, la bouche ouverte. Sabine descendit doucement sa bouche à mes seins et les lécha avidement. Les autre filles avaient déjà entreprit de se libérer de leurs vêtements et déjà des couples ou des trios de filles étaient formés. Certaines se léchaient les seins, d’autres glissaient sur le sol pour se lécher, se doigter sous le regard intéressé des hommes d’affaire.
Sabine descendit à genoux devant moi, les mains sur la table de bois massif j’écartai les jambes pour mieux la sentir. Ses mains caressaient mes cuisses, puis ouvrirent mes fesses et je sentis sa langue pénétrer mon anus. J’arrivais à peine à me tenir debout tant ses caresses anales me plaisait. Décidément, Sabine savait s’y faire. Pendant qu’elle enfonçait sa langue dans mon anus je gardais les yeux river sur Didier qui avait définitivement la bouche sèche. Je lui souris en caressant ma poitrine maintenant dénudée. Mes seins étaient chauds, bien dur et j’aimais le contact de mes doigts sur les tétons.
Déjà j’entendais des filles gémir doucement. Mégan, une petite brunette aux petits seins était couchée sur la table, le regard dans le vague pendant qu’une autre Tammy lui ouvrait les cuisses et glissait son joli minois sur sa chatte. Je pouvais voir la langue de Tammy glisser sur clitoris gonflé de Mégan, la langue écartant doucement les petites lèvres déjà teintée de mauve tant elles étaient excitées.
D’une poussée sur les hanches, Sabine me fit comprendre de me retourner. J’appuyai mes fesses sur le rebord de la table et m’étendit de tout mon long , comme j’étais sur le bord, ma tête dépassait du bord et je regardais cette fois Didier à l’envers. Je pouvais voir qu’il était bandé comme un étalon et tenait difficilement en place. Je pliai mes jambes et déposai mes pieds sur la table offrant ainsi une meilleure ouverture à Sabine sur ma chatte. Elle savait s’y faire la démone et chacun de ses coups de langue m’amenait plus près de l’orgasme. Elle avait commencé par glisser sa langue sur ma petite lèvres, l’agaçant, puis elle avait pris mon clitoris en bouche comme un petit bonbon et le suçait à présent par petit coup. J’avais de la difficulté à respirer tant l’orgasme était éminent. J’avais de la difficulté à tenir mon bassin en place… L’ambiance était chaude, chargé de sexe. Sabine trouva un moyen de m’épingler et planta deux doigts dans ma chatte en continuant de sucer mon clito. Ce fut instantané et un long jet d’éjaculation chaud lui éclaboussa le visage. J’entendis les hommes poussé un cris de surprise puis je vis que Didier avait prit une position bien confortable sur une chaise près de la table et caressait sa verge et ses couilles.
Sabine continua lentement son manège jusqu’à ce qu’il n’y eut plus de jet et se releva. Ses cheveux étaient trempés de mouilles, son maquillage avait légèrement coulé mais elle était tellement sexy. Je l’embrassai, puis mes baisers glissèrent sur son cou, ses seins, puis doucement je lui fit prendre place sur la table. Je la plaçai de manière à ce que sa tête à l’envers ne soit qu’à quelques centimètres de la queue de Didier. Sabine en bonne joueuse étirait la langue, mais elle ne lui touchait pas. Elle caressait ses seins, pinçant les mamelons, les étirant.
Pour ma part, je profitais de la splendide vue de cette chatte rousse pour y plonger ma langue. Sabine avait le goût de la mer, légèrement saline, sa chatte était déjà ouverte et juteuse. Son clitoris était énorme, presque de la taille de mon petit doigt et j’avais presque l’impression de sucer une petite bite. Lorsque je m’attaquai a son clito, elle se mit à gémir bruyamment, je sentais sa chatte s’ouvrir et se refermer sur mon menton comme un appel à la pénétration. J’y glissai donc un doigt… puis voyant l’immensité de la caverne de plaisir j’ajoutai deux doigts, puis trois…jusqu’à ce que ma main y soit engloutit…. Excitée comme une pucelle j’entrepris de la « fister » doucement d’abord puis suivant les mouvements de son bassin de plus en plus fort. Ma bouche suçait avidement son petit bouton de rose .
Alors que j’étais déjà très excitée par le fait de fister Sabine, une main glissa entre les lèvres de ma chatte. Trop occupée a faire jouir la rouquine je ne me souciait peu de qui pouvait bien me caresser… J’écartai un peu plus les jambes pour m’ouvrir un peu plus aux caresses.
Mes yeux fermés pour mieux me concentrer sur le plaisir que je donnais et recevait, je fus surpris de voir que la situation avait évolué depuis. Sabine avalait goulument la verge de Didier, pour ma part, s’était l’américain qui dégustait mon cul et ma chatte avidement. Il se faisait sucer par Tammy qui elle-même était prise en levrette par un Magrébin aux dimensions impressionnante.
Pas un seul des hommes étaient restés de glace devant le spectacle que nous avions donné. Chacune de mes collègues étaient prises par un, parfois trois hommes. Sabine gémit faiblement une dernière fois et sa chatte eu un dernier soubresaut… son orgasme était terminé… je retirai ma main plus que mouillée de sa chatte béante et la donnai à lécher à l’américain qui bandait comme un cheval.
Il était temps de trouver autre chose. Je repérai un des Américains qui se branlait pendant qu’une des filles les pieds sur le montant de la chaise, se faisait allégrement bouffer la chatte. Le type avait une queue de longueur très moyenne, mais avait un gros gland, juste comme je les aimes. Sans prévenir, je me glissai dos à lui, la fille ( une nouvelle que je ne connaissais pas) glissa ses mains sur mes seins pendant que j’enfonçai la queue bien profond dans ma chatte. L’américain ne dû pas trouver ça désagréable puisque la fille se mit à gémir plus fort. Je m’activai ainsi sur la queue jusqu’à ce que je sente la salve de sperme chaud remplir ma chatte. Je quittai mon bienfaiteur à la recherche d’un connaisseur… Ce ne fut pas long à trouver, il y avait là un asiatique à l’âge incertain qui n’avait pas perdu une seconde de ma baise avec l’américain. D’un geste de la main, il m’invita sur un des divans. Nous n’avions pas besoin de parole, aussi je pris place sur le fauteuil, posant mes jambes sur chaque côté pour exposer au maximum ma chatte et mon anus dilaté et très excité.
Mon nouveau partenaire se plaça cérémonieusement entre mes jambes et écarta avec ses doigts mes grandes lèvres. Puis posa un doux baiser sur mon clito, puis sur le trou de ma chatte d’où débordait du sperme chaud. Doucement, il lécha la liqueur masculine, allant jusqu’à doigter délicatement ma chatte à la recherche des dernières gouttes. Puis glissa ses doigts habiles en moi. Jamais je n’avais senti un tel massage. Il y avait deux doigts dans ma chatte qui massait mon point G et trois doigt dans mon anus qui le dilatait et le massait bien lentement. J’éjaculai finalement après une dizaine de minutes de ce traitement et mon partenaire lécha mon jus et glissa un énorme pourboire dans ma chatte.
La soirée était finie… Je pris du temps pour trouver mes vêtements et Didier vint me retrouver pour me remercier personnellement. Il me donna la main et je sentis plusieurs billets dans main. Sabine et moi nous rhabillèrent et quittèrent l’hôtel sans un mot. Marcus nous attendait à quelques rues de là. Nous étions toutes crevées, vidées, épuisées. Lorsqu’il déposa Sabine, elle me fit un petit signe de la main et un joli sourire. Je crois qu’elle avait apprécié.
Marcus me raccompagna jusqu’à chez-moi. Il était en nage, pas évident de rester dans une voiture pendant 4 heures. Je lui proposai de prendre une douche puis une fois rafraîchit, il me proposa de me donner un bain. Comme je ne peux jamais rien lui refuser, je me débarrassai de mes vêtements et glissai dans la baignoire qu’il avait remplie d’eau à mon intention. L’eau me ramena à la vie… Marcus me lava doucement, presque amoureusement. J’aimais toujours sentir les grosses pattes de Marcus sur moi. Il était doux, délicat. Il me lava de fond en comble, puis me sécha comme une petite poupée et me porta à mon lit.
J’avais envie de lui faire plaisir…mais une fois la tête posée sur l’oreiller… je m’endormis…
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