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Le facteur sonne deux fois

Le facteur sonne deux fois



J’attends un colis par la poste. Alain m’entraînât dans une spirale de débauche, je lui demande :
« Quand le facteur va passer, attends dans la chambre porte ouverte. »
Je suis dans une tenue plutôt sexy pour attendre mon colis.
Quelques instants plus tard, on sonne à la porte. C’est le facteur. Je vais ouvrir et le fais entrer. Je me penche exagérément pour qu’il ne manque pas mon décolleté. Il devient rouge et ne peut quitter des yeux mes seins. Très espiègle, je lui demande :
« Vous regardez quoi ? »
Il toussote et s’excuse en me disant :
« Excusez-moi mais, dans votre tenue, j’ai du mal à vous regarder dans les yeux. »
Je le regarde moqueuse et provocatrice,, je lui lance :
« Et bien ne regardez pas avec vos yeux ! Vous avez des mains ! »
Un instant, il me regarde incrédule. Puis, encouragé par mon attitude, il se met à me palper les seins.

Il pétrit mes globes et me voyant peu farouche à ses attouchements, sa main s’aventure dans mon short. J’écarte les cuisses pour lui faciliter le passage et m’offrir à la caresse.Il s’exclame alors :
« Mais tu mouilles petite salope ! ».
Le type voyant qu’il a à faire à une fille facile se lâche dans son vocabulaire.
« T’aimerais que je t’enfile avec ma grosse machine ? »
« Oui j’aimerai que vous me preniez sur la table comme un sauvage ! » 
« T’es une petite gourmande toi ! Mais t’as raison. Un facteur doit donner satisfaction à ses clientes !
Il sort son engin et me retournant, il m’enfile sans préparation sur la table.
« T’es une vraie petite pute toi ? T’aimes ça te faire baiser par n’importe qui quand ton mec n’est pas là ! »
« Oh ! Oui j’aime qu’on me baise. Fouillez-moi bien la chatte avec votre grosse queue ! »
« Elle est bonne ta chatte. Après, j’vais t’la mettre dans le cul. Tu veux que je te l’enfonce dans le cul, hein grosse pute? Dis moi que tu la veux dans l’cul putain ! »
« Ouiii Monsieur le facteur ! Enculez-moi ! »
Alors qu’il s’apprête à me sodomiser, Alain entre dans la pièce en lançant :
« Je vois qu’on ne s’ennuie pas ici ! »
Le facteur débande aussitôt et cache son sexe dans ses mains. Mon homme rigole en voyant sa réaction et lui dit :
« Mais, je vous en prie, continuez.Ne voyez vous pas que mon épouse n’attend que ça ? Vous allez la frustrer ! »
Très gêné par la situation, il répond en se rhabillant :
« Euh ! Non, je …heu… c’est à dire que j’ai ma tournée à terminer »
Alain l’arrête en lui disant :
« Huuum pas un bon plan ça mon gars. Si j’en touchais deux mots à ton patron ? »
Le facteur sous ce chantage, se sent obligé de conclure. Mais sa queue n’est plus aussi vaillante. Alors, je me met à genoux et entreprend de redonner de la vigueur avec ma bouche.

Alain me laissant redonner de la vigueur au postier demande nonchalamment :
« C’est quoi ce colis ? »
Me laissant sucer le facteur, sans attendre de réponse, il ouvre le carton pour découvrir un kit BDSM. Il sort les ustensiles un à un en les décrivant :
« Coquine ! Un martinet, une cravache, des menottes un plug… Et bien dis donc, il faut que je teste ça ! Qu’en dites vous cher facteur ? »
Le préposé qui maintenant sous ma fellation est raide comme la justice, ne sait trop quoi répondre à mon homme. Il ne comprend pas dans quelle galère il s’est engagé. Même si c’est une agréable galère.
Alors que je continue à sucer l’employé des postes, Alain prend le plug en forme de queue et après l’avoir graissé dans ma chatte dégoulinante de cyprine, il me l’enfile dans le cul.
Ma respiration s’accélère puis je lui dit :
« Viens, chèri ! J »ai envie de ta queue ! »
En catastrophe, Alain sort son engin et m’enfile d’un coup jusqu’à la garde. Le postier n’en croit pas ses yeux. Il est totalement passif et se laisse agréablement faire avec ma bouche qui s’active sur sa tige.
Puis ils inversent les rôles. Enfin je devrais plutôt dire les trous. Mon mari maintenant me prend la bouche alors que le préposé des postes s’occupe de me limer le vagin.
Je couine au rythme des pénétrations. Le facteur me baise doucement un long moment. Alain qui se fait sucer le regarde faire. Me prenant par les hanches, il s’agite en moi de plus en plus rapidement. Mes seins ballottent sous mon corps. Il commence à râler. Le postier dans une pénétration plus profonde m’envoie de longues giclées en gueulant comme un porc. Alain à ce moment se lâche dans ma bouche et j’avale avec délice sa semence.
Mais Alain me réserve une petite surprise. Quand le facteur se retire. Il m’attache, prend le martinet et d’un air faussement menaçant il me dit :
« Alors comme ça tu me trompe avec le postier ? Ca mérite une punition ça ! »
Sous les yeux effaré de l’agent des postes, Alain se met à me flageller le ventre. Je pousse de petit cris de douleur en me tortillant sous les coups.

Aucune partie de mon corps n’est épargné. Je crie et me tortille dans tout les sens. Le facteur rebande et n’y tenant plus, il demande à mon mari :
« Pouvez vous cesser que j’encule votre femme ? »
« Oui bien entendu ! Faite-vous plaisir ! Se sera un acompte pour votre calendrier de Noël ! »
Il me prend alors par les hanches, trempe son biscuit dans ma chatte pour le graisser et ensuite force sur mon anneaux en s’enfonçant progressivement dans mon trou étroit. Je serre les dents mais il s’échappe de ma gorge un grognement sourd sous cette pénétration sauvage.
Comme mon homme ne veut pas être en reste, il vient à son tour se positionner. Le facteur qui comprend la manœuvre s’avance au maximum pour lui laisser de la place derrière lui. Alain me pénètre la chatte. Et maintenant la douleur se remplace par le plaisir. Je me met à gémir, couiner, gueuler. J’ai deux mecs qui me bourre en même temps. Ils me baisent lentement pour faire durer le plaisir.

Puis le facteur lâche sa semence une dernière fois dans mes intestins. Quand il se retire, son sperme ressort par l’anus à chacune des poussées de mon mari. Il ne tarde pas à venir non plus et sort rapidement son sexe prêt à gicler pour se répandre sur mes fesses. Le facteur affichant un large sourire nous dit :
« C’est pas le tout mais j’ai pas terminé ma tournée ! Merci pour cet agréable interlude. Je repasserais ! »
Une fois le facteur parti, je dis à Alain sur un ton coqin :
« Sympa ce facteur ! »

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