Salut, Je m’appelle Linda. J’ai 18 ans et je sors avec un mec plus âgé : Kevin. Il est dans ma fac. C’est le mec ultra gentil, doux, attentionné, dont les parents rêvent de présenter à leur fille. Il est blanc, assez friqué, son père tient une entreprise qui marche très bien.
Je suis sexy, jeune fille blonde d’1m65 avec de longs cheveux. Je prends extrêmement soin de mon corps, je fais des uv et mon 90C est assez apprécié par la gente masculine (quoique, aussi féminine…)
Aujourd’hui, je devais assister au match de foot inter universitaire de mon copain, mais impossible, malheureusement : je bosse… dans un magasin de fringues.
Il viendra me prendre, en voiture, après le match. Comme d’habitude, qu’il gagne ou perde, le rituel se répétera. Je commencerai par lui tailler une pipe, dans la voiture et arrivés chez lui, nous ferons l’amour. J’ai toujours adoré le sexe avec lui, même quand c’est moi qui fait tout le « travail ».
Dans le magasin de fringues, où je bosse, j’ai des réductions et aujourd’hui, je portais un jean déchiré à plusieurs endroits dont un trou se trouvant au niveau de ma fesse gauche. Ce qui laisse comprendre à tout le monde que je ne porte que des strings ou rien du tout, en guise de sous-vêtements.
Mon patron est un black, gentil, simple, il 35 ans. Son nom est Mickael. Il est clairement intéressé par moi, il n’arrête pas de me regarder, mais j’ai simplement appris à ignorer ses regards.
Ce soir nous n’étions que tous les deux au magasin pour la clôture. Je lui ai demandé si je pouvais aller sur Facebook, dans son bureau, pour voir le score du match de Kévin.
Il a accepté. J’ai vu que l’équipe de mon copain était en train de perdre, à la mi-temps, par 3 buts d’écarts. Son équipe allait sûrement perdre.
J’ai fermé le navigateur et avant de repartir bosser, mon regard a été captivé par un fichier intitulé « confidentiel ». Que pourrais-je apprendre de confidentiel à propos de mon travail au magasin ? Hmmmmmmm.
Je l’ai ouvert et une photo sauta à mes yeux. Je ne pouvais pas croire ce que je voyais. C’était une femme magnifique, blonde, à genoux en train de sucer un pénis noir, d’une taille gigantesque. Il devait faire au moins 25 cm. Les autres photos montraient la blonde sexy en train de lécher les testicules du black, et d’autres montraient les filets de sperme, sur son visage..
Je ne pouvais croire qu’une telle quantité de sperme puisse sortir d’un seul pénis. Son visage en était recouvert, et elle souriait, sur la photo. J’ai rarement testée l’éjaculation faciale et les rares fois, je n’ai pas particulièrement appréciée. Je demande à Kévin de ne jamais jouir sur mon visage.
Je n’avais jamais vu le sexe d’un homme noir, auparavant. Je me rendais compte, maintenant, que ce que l’on dit, sur les grosses bites de black, est vrai. Mais ce qui était étrange, c’est que j’avais l’impression d’avoir déjà vu la fille de la photo.
C’est alors que j’ai entendu Mickael balbutier par-dessus mon épaule :
« Je… je -je suis vraiment désolé. Tu n’aurais pas dû voir ça,… » Il semblait gêné. Je l’étais mille fois plus.
« Tu sais, Linda, tu pourrais avoir des ennuis à fouiller dans les fichiers secrets. »
« Eh bien tu pourrais avoir des ennuis de garder du porno sur l’ordinateur du magasin. »
« Ce n’est pas du porno. C’est ma copine de baise. »
« C’est toi, Mickael, sur les photos ?! »
Je ne pouvais pas y croire. J’ai vu des photos de la bite de Mickael, et j’ai adoré ce que j’ai vu.
« Et ta copine de baise ?! »
Je me suis rappeler où je l’avais vu. Elle s’arrête souvent pour voir Mickael, à notre magasin.
« Oui, c’est la femme de mon meilleur ami. Nous avons baisé trois jours avant son mariage. Nous étions tous deux ivres et on n’aurait jamais dû le faire. Mais depuis lors, elle a continué à flirter avec moi et se débrouille tout le temps pour qu’on soit seuls, tous les deux. »
« Elle trompe son mari avec toi ?! Et c’est ton meilleur ami ?! » Je n’en revenais pas.
« Écoute, je ne suis pas fier de moi. Mais j’ai beaucoup de relations sexuelles avec des filles blanches qui pensent que leur mec blanc est, insuffisant. »
Puis il m’a regardé de haut en bas. « Considérant combien de temps tu as regardé ces photos, je me demande si ton mec est suffisant. »
Je ne pouvais pas y croire.
«Michael, tu es mon patron. Et tu as deux fois mon âge. »
Lui et moi savions que je ne refuserai pas ses avances.
Michael s’est approché de moi. Il m’a dit de me lever, m’a retourné et je voyais de nouveau les photos excitantes. Il a commencé à toucher mes fesses, puis a chuchoté dans mon oreille.
« Tu dois prendre une décision. Je peux te donner plus de plaisir que jamais tu n’en as ressenti, jusqu’à aujourd’hui. Mais tu ne ressentiras plus jamais la même chose avec ton mec, quand vous referez l’amour. Tu peux être amoureuse de lui. Tu peux même l’épouser. Mais tu sauras ce que c’est que d’être remplie, pour de bon, par un grosse bite noire ».
J’ai laissé échapper un petit gémissement. Il enroula ses bras autour de moi, et j’ai senti son membre durcir contre mes fesses. Je gémis encore plus profondément. « Tu aimes ça ? »
« Oui. »
« Répète-le. »
Je gémis encore. J’ai aimé la façon dont il s’emparait de moi
« J’aime la façon dont ta bite noire pousse contre mes fesses blanches. »
Il me pencha sur le bureau. J’ai alors regardé la photo sur l’ordinateur et je voulais que ce soit moi.
Il m’a donné une fessée.
« Ahhhhh », j’ai été surprise. Je n’avais jamais été fessée, d’une manière sexuelle. Il m’a fessé à nouveau. J’ai adoré ça. J’étais toute mouillée.
« Tu aimes ça, hein ? »
« Oui, monsieur. »
« Tu rêves de ma bite de black, hein ? »
« Oui, monsieur. » Il m’a ensuite déshabillé, tout en continuant à me fesser
« Répète-le ! » ma-t-il ordonné.
« Je suis une salope qui a besoin d’une bite noire. S’il te plaît donne-la-moi. S’il te plaît. »
Il a arraché ma chemise. Je ne portais pas de soutien-gorge. Il a léché mes tétons. J’ai adoré sentir sa langue sur mes seins. Il m’a mise à genoux. J’ai commencé à déboutonner son pantalon, pendant qu’il enlevait sa chemise. Son corps était chaud, bouillant.
J’ai déboutonné son pantalon et j’ai vu le sexe le plus beau de toute ma vie.
Il avait un énorme gland noir. Je n’en pouvais plus. Je le voulais dans ma bouche, un long mât noir, avec de grosses veines qui ressortaient. Et il y avait deux magnifiques grosses boules noires suspendues en dessous. Des énormes couilles noires. J’ai léché son sexe de bas en haut.
«C’est ça, Linda, Suce-moi tu aimes ça, pas vrai ? »
Je levais les yeux bleus vers lui.
« J’adore ta grosse bite noire. »
Je l’ai léché à nouveau. J’ai eu du mal à rentrer le gland, en entier, dans ma bouche. « Mmmmmmmmmmm. » J’ai poussé plus profond et j’ai presque réussi à avalé le tiers de son énorme queue
Puis j’ai commencé des mouvements, d’avant en arrière sur son membre.
Mes cuisses étaient trempées. Je me suis, ensuite, attaquée à ses couilles, une par une.
« Oh mon dieu, Linda. Tu es faites pour sucer des grosses bites ». J’ai continué à lécher ses couilles. Son scrotum dégageait une forte odeur, ce qui m’a encore plus excitée, je me sentais salope et j’aimais ça. J’adorais ça.
« Ohhhh, putain, tu suces comme un déesse. »
Je me suis relevée pour me presser contre lui. J’ai chuchoté à son oreille : « Tu n’imagines pas à quel point j’aime la bite noire. Montre-moi ce que ça fait, à l’intérieur de moi »
« Attends un peu. Suce-moi, encore. »
« Non, je suis trempée, je te veux, en moi »
J’ai alors regardé l’horloge. «Dépêche-toi Kévin va bientôt arriver. »
Mickael a poussé son gros membre noir contre mon clitoris.
« Ohhhhhhhh ». Il l’a frotté le long de mon clito. » Ohlala, ouiiiiii. Mais je la veux à l’intérieur. »
«Demande-le-moi gentiment, bébé. »
« S’il te plaît, monsieur Mickael. S’il te plaît, rentre ta magnifique queue de noir dans ma chatte de blanche. Je t’en supplieeeee ! »
Son gland est entré en moi. Je serrais mes cuisses, autour de lui. « Dieu, que c’est gros. Je n’ai jamais été écartée comme ça, auparavant. »
Il a poussé un peu plus, et j’ai serré mes cuisses, encore plus fort. « Oh mon Dieuuuuuuu ! »
Il a continué à glisser en moi. « Ohhh, bébé, c’est toujours serré avec les blanches, Tu n’imagines pas ce que je ressens quand c’est aussi serré…. «
« Oh, oui, j’imagine. Continue avec ta magnifique queue. Rentre plus loin. Plus loinnnnn »
Il a poussé plus loin, au point de littéralement remplir mon initmité, comme jamais je n’avais été remplie.
« Oh putain, oui. C’est bonnn ! »
Il s’est ensuite retiré, sauf son gland puis et reparti, en moi, en poussant encore plus profond. « Aaaaaaahhhhhhhhh, baise-moi, oui. » Il a alors commencé à marteler ma chatte. Je me suis sentie plus en plus remplie. Mon clitoris était en ébullition.
C’est à ce moment que mon portable, qui était sur le bureau, a commencé à sonner. Merde, Kévin sera bientôt là. Mais Mickael n’arrêtait pas de me baiser, sauvagement. Puis il a prit mon téléphone. « Linda aura un peu de retard, mec. Elle est occupée en ce moment. »
J’ai essayé de retenir dans mes cris de plaisirs. En vain, je n’ai pas pu me retenir, c’était trop intense, trop bon.
« On, a moins de 5 minutes ». Puis il a raccroché.
Il a commencé à me baiser de plus en plus violemment.
« Tu veux que je finisse comment ? » m’a-t-il demandé.
« Continue ! surtout, ne t’arrêtes pas ! », j’ai hurlé mon plaisir comme jamais Alors que mon orgasme venait de se terminer. « Crache, en moi ! »
« Désolé bébé, mais je vais plutôt cracher dans ta bouche ! »
« Oui, monsieur ! » j’ai répondu.
Il est ressortit de moi et m’a positionnée à genoux. Il a plongé sa queue au fond de ma bouche et a ensuite craché d’énormes décharges de sperme dans le fond de ma gorge. Ma bouche était totalement remplie de son sperme de black. Ça coulait même sur mes seins, mais j’ai fait de mon mieux pour en avaler le plus possible. C’était tellement bon !
Je lui ai nettoyé les dernières gouttes de sperme, puis nous nous sommes rhabillés. Je savais que Kévin était probablement en train de m’attendre, dehors.
« Comment c’était ? » m-a-t’il demandé.
« La meilleure baise de toute ma vie ! » j’ai répondu en regardant par terre. Ma tête tournait…
Je suis sorti. J’ai galoché Kevin, profondément. Sa langue se frottait à la mienne qui, quelques instants plus tôt, se faisait un plaisir d’avaler du sperme bien chaud d’un homme noir, dont j’avais à moi-seule, provoquée l’excitation. Ma bouche avait probablement, encore le goût du sperme de Mickael.
Je ne pouvais pas croire à quel point mon intimité avait vibrée. C’était incroyable.
Je suis rentrée avec Kévin, en voiture. Je savais ce qu’il voulait. Il voulait que je le suce dans la voiture. J’ai déboutonné son jean et en ai sortit ce qui, maintenant, semblait être une toute petite bite. J’ai laissé échapper un rire. Je l’ai pris en bouche, et il a poussé un grand gémissement. Je me demandais s’il serait content de savoir qu’il me restait du sperme de Mickael, dans ma bouche.
J’ai sucé sa minuscule bite.
Puis nous sommes arrivés chez lui. Il vit en cité U.
Nous sommes allés directement dans sa chambre, mais avant il a salué quelques amis. C’était une soirée chaude, tout le monde était dehors..
Pour la première fois, j’ai remarqué les blacks qui habitent à la cité u de Kévin. Ils me regardent tout le temps, mais d’habitude, je les ignore. Pas cette fois-ci. Je ne pouvais me détacher de leurs regards lubriques. J’avais tellement envie d’eux, de les sentir en moi, leur énorme sexe… Hummmmmm, rien que d’y penser, j’en été de nouveau trempée.
Arrivés dans la chambre de Kévin, il m’a prise en levrette. Je n’ai quasiment rien senti. J’ai frotté mon clitoris contre son pénis, mais je ne ressentais quasiment rien. J’ai, de nouveau, laissée échapper un rire.
Ce n’est vraiment pas la même chose…
Je ne pense qu »il n’a rien remarqué. Il a éjaculé en moi. Nous nous sommes endormis sur son lit.
Je me suis réveillée à 01h30. J’étais assoiffée.
Je suis allée dans la cuisine de son étage pour remplir la bouteille d’eau et il y avait du monde : deux blacks !
Ils m’ont proposé une bière…
Au passage, j’étais quasiment nue. Juste un débardeur, sans soutien-gorge et le caleçon de Kévin, pour couvrir mon intimité qui, de nouveau, commençait à s’humidifier à l’idée de que je pourrais faire avec mes deux nouveaux amis… Hummmm.
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