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Un chien qui s’ignore 11

Un chien qui s’ignore 11



Cette tortionnaire de Nolwenn avait disparu, me laissant seul, remisé dans ma cage, avec encore l’odeur si caractéristique du dogue en rut qui avait imprégné la peau de mon dos lacéré par ses griffes.
Cette odeur me dégoutait et rappelait ce que ce chien m’avait fait subir. Les premières heures m’avaient laissées dans un état d’hébétude et de honte. Puis petit à petit, je repensais au plaisir inavouable et incontrôlable que la situation m’avait procuré.
La situation ?
Ou était ce plutôt la promiscuité avec cette Nolwenn en train de se faire défoncer par son compagnon ?
Ou pire ?
Le chien avait fait de moi sa chienne comme me l’avait déclaré Nolwenn ? Son odeur prégnante et son sperme, qui je le sentais, s’écoulait lentement de mon anus dilaté de son traitement bestial m’empêchaient de sortir de mon esprit cette scène et cette … jouissance.
Nolwenn ne m’avais pas remis ma cage de chasteté. Mon sexe maintenant libéré gonflait rapidement et je me branlais frénétiquement, maladroitement coincé dans cette cage. En quelques secondes j’éjaculais violemment en râlant de plaisir.
Mon sexe en redemandait privé de mes caresses depuis si longtemps. Et puis la scène tournait en boucle dans ma tête. Je me branlais je ne combien de fois, jusqu’à l’épuisement ou le dégout de moi-même. Mon odeur de sueur et de mon sperme se mélangeaient avec l’odeur du chien…

J’étais dans le noir complet depuis plusieurs jours me semblait t-il. La maison semblait vide, hors mit le bruit de ma chaine lorsque je changeais difficilement de position pas un son ne me parvenait. Ma respiration et mon estomac affamé, seuls résonnaient dans mon petit espace confiné. Heureusement ce confinement me permettait de ne trop avoir froid, mais l’humidité de ma respiration rendait ma couverture moite et des gouttes de condensation tombaient des barreaux au dessus de moi.

Puis la porte s’ouvrit, la lumière m’aveugla, des bruits de talons. Je me rétractais au fond de mon abri quand la voie de Mme Laurence retentit à mes oreilles.
J’en étais en joie.
Je sortis immédiatement de ma cage et ne réfléchis pas : je léchais ses escarpins vertigineux et ses chevilles magnifiques, comme prosterné à 4 pattes aux pieds de ma maitresse.

‘Eh bien et eh bien en voilà de l’empressement ! Quel bon toutou tu es devenu ! Nolwenn m’a dit qu’elle s’est bien occupé de toi!’
‘ Hum je vois que tu es très content de me voir ! ’

D’un bout de son escarpin, il tapota le bout de mon sexe raide. Je bandais comme un âne devant ma maitresse retrouvée. Le bout de sa chaussure me donna envie subite de branler mon sexe, mais je savais que je ne devais pas ! Je tournais autour d’elle pour continuer à lécher ses chaussures divines qui jouaient avec mon sexe douloureux de plaisir.

‘Quelle odeur épouvantable ! Comment fais tu pour puer comme ça ! Tu as tout pris du chien ! C’est une infection cette odeur de bête !’

Je ne l’écoutais plus : si elle était revenue, c’est qu’elle allait s’occuper de moi, peut être même me promener dehors ou me ramener chez moi. Je léchais ses chevilles gainées de nylon, ses talons.
Elle fini par récupérer ma laisse qui trainait au sol. Elle me tira à ma place habituelle et me fixa à l’anneau mural

‘Tu n’as pas pu t’empêcher de te branler comme le porc que tu es ! Tu sens le vieux sperme à plein nez ! Même un chien abandonné est moins répugnant que toi !’

Ma toilette fut violente, mais agréable. Le jet d’eau enlevait toutes ces traces sur mon corps. Je me sentais presque revivre. Mme Laurence a quelques pas de moi, m’aspergeait scrupuleusement.

‘Voilà, c’est beaucoup mieux ! Pendant que tu sèches, je te prépare tes nouvelles affaires ! C’est un grand jour pour toi !’

Mme Laurence était toute excitée. Mon enthousiasme de l’avoir retrouvée ne m’empêcha pas de voir pointer une pointe d’angoisse grandissante.
Quel était ce grand jour, ces affaires nouvelles ?
Évidemment je ne rêvais que de sortir de cette pièce de brimades et d’enfermement, mais qu’est ce qui m’attendait dehors ?
Une fois sec, Mme Laurence se mis assise sur mon dos, une jambe de chaque côté. Elle portait ce jour là un de ses élégants tailleurs noir à rayures : pantalon à pince et veste cintrée sur sa poitrine fantasmée, une paire d’escarpins rouge très haute assortie à une ceinture. Vue ma position je ne pouvais voir que ses escarpins de chaque côté de mes épaules et la position me rappela aussitôt le début de ma déchéance dans le bureau avec sa nièce. Je bandais ferme, sous ce postérieur tant convoité qui me réchauffait le dos.
Elle ouvrit la fermeture de mon collier –minerve que je portais depuis si longtemps. Je sentis mon cou fragile sans son carcan. Je sentis un autre collier le remplacer, moins haut. Celui-ci une fois ajusté à mon cou, venait à la base de mon cou, sous la pomme d’Adam. Par un réglage avec une clef, elle l’avait resserré à la limite de l’étranglement.
Elle se retourna sur mon dos et bientôt je sentis une main ferme tirer mes couilles en arrière. Je bandais toujours ferme et ce ne fut pas désagréable, jusqu’au moment où un métal froid et lourd vint se resserrer au dessus. Mme Laurence resserrait l’étreinte du dispositif. Mes couilles était de plus en plus à l’étroit. Lorsque sa main lâcha enfin mes couilles, j’eus un soubresaut de douleur. Mes couilles firent le balancier jusqu’à mon ventre et étaient tiraillées, lestées par ce poids.
Mme Laurence riait et après m’avoir donné une bonne claque sur une fesse. Elle se leva et joua d’un de ses escarpins à se faire balancer mes couilles lestées

‘Tu as vraiment tout du chien décidément. Je ne t’ai mis que 250 g pour le moment, mais tu pourras porter les 750 bientôt. Et tu auras une belle paire de couilles qui se balanceront au moindre courant d’air !!’.

Mon espoir d’une amélioration de mon sort et déjà réduit à néant… Par ses deux simples artifices, Mme Laurence me rappelait ma situation : son chien domestique.
Le collier m’étouffait à moitié et me faisait monter le sang à la tête, mes couilles emprisonnées étaient dangereusement exposées.
Mais ce n’était pas fini.
Je dus lever une jambe (une patte) l’une après l’autre pour passer deux anneaux métalliques reliés à ce qui ressemblait à une ceinture complexe. Mes bourses furent passées par un trou destiné à cet effet. Une main experte appliqua un gel réfrigérant, rendant rapidement mon sexe insensible. Je sentais vaguement sa main l’insérer dans un conduit exigu. Mme Laurence qui s’était accroupi dans un premier temps, se remis à califourchon sur mon dos et je sentis la ceinture venir prendre sa place inexorablement.
Mme Laurence m’expliqua que ce système était une nouvelle version de ceinture de chasteté. Qu’un système de réglage permettait de l’ajuster au mieux (au pire pensais je). En effet je sentais mon ventre écrasé quand la ceinture resserrait ou plutôt écrasait ma taille. Des armatures se resserrèrent sur la raie de mes fesses, sous mes couilles et sur mon ventre. Ce qui eut pour effet de plaquer d’autant plus mon sexe contre son étui. Une douleur aiguë lacerait mon gland comprimé malgré la pommade.

‘Voilà c’est terminé. Tu es appareillé pour ta nouvelle vie’

Elle récupérait la chaine de mon ancien collier pour le fixer à l’arrière de mon nouveau collier.
Elle m’emmenait vers la lourde porte métallique et enfin je pu sortir de ma prison aveugle pour retrouver le garage, la suivant à 4 pattes, le souffle court, la glotte écrasée par mon collier.
Elle avait retrouvé son entrain et m’expliquait son absence ces quelques jours pour commander en Suisse ce nouvel équipement couteux (peu importe mon compte bien remplis servait à ça), sur mesure, qui ne s’ouvrait à l’arrière qu’avec un outil à l’empreinte spéciale, donc inaccessible pour moi ou même une personne tierce.

Je frémis tout en la suivant jusqu’au coffre de sa voiture quand elle m’apprit que la matière métallique avait subit un traitement chromé qui évitait la corrosion et surtout le développement de bactéries. Le dispositif de cette ceinture de chasteté haute gamme était destiné au cas les plus graves des pervers obsessionnels dont je faisais partie et le port long ne posait pas de problème. Le port de cette ceinture était prévu pour le très long terme, voir à vie, sa ns nécessiter de toilette, car l’ensemble des liens métalliques étaient grillagés comme une sorte de dentelle métallique chromée.

Devant mon regard de ‘chien battu’, elle montra ‘pour me rassurer’ la qualité de la réalisation des liens souples mais robuste qui n’abimaient pas la peau et permettaient un nettoyage au jet de la peau. Je regardais alors, une fois assis dans le coffre mon équipement.
Mes couilles lestées d’un lourd cylindre de 3 cm de hauteur reposaient sur le fond du coffre. Un cylindre métallique hérissé de pointeaux intérieurs qu’elle avait réglé patiemment retenait mon sexe à la base. Un capuchon métallique grillagé était vissé sur celui-ci réduisant mon sexe à un malheureux cylindre de 3 cm de longueur ! Ce dispositif effrayant était maintenu, positionné à la verticale vers le haut. En effet un lien métallique finement ouvragé reliait l’arrière de ma ceinture, passait sous mes fesses, laissant pendre mes couilles lestées grâce à un passage prévu et venait plaquer mon sexe contre mon pubis pour ensuite être relié à l’avant de la ceinture. Un emplacement réservé laissait ce capuchon grillagé passer par une sorte de fenêtre ouverte. Résultat : mon sexe caparaçonné pointait fièrement ses 3 cm frémissants vers le ciel. Comme les chiens quand ils sont à 4 pattes, n’est ce pas !
Elle m’expliquait de ses ongles jouant sur la grille que ma toilette intime pouvait se faire sans problème, sans parler des couilles bien accessibles. Je frémis quand elle les prit bien en main.

‘Oh je comprends ton inquiétude, par rapport à ta vie sexuelle !’

Elle me fit mettre à 4 pattes dans le coffre. Mes couilles prenaient place en se balançant.

‘ Notre fabriquant a pensé à tout !’. Elle me montrait en caressant de ses doigts la forme élargies qui prenait le fondement de ma ceinture au niveau de mes fesses. Elle m’expliqua qu’un trou d’un diamètre suffisant avait été prévu pour faire mes besoins. Mais le trou d’un diamètre de 6 grands centimètres avait été dimensionné surtout par rapport aux dimensions des bites que j’allais pouvoir recevoir.

‘Nolwenn m’a expliqué que tu avais vraiment du talent de ce côté-là ! Et puis …aussi de ce côté, m’a-t-elle dit ! Éclatait-elle de rire en m’écrasant les lèvres entre son pouce et son index
‘N’aies pas peur, j’ai serré tous tes liens au maximum, rien ne peut bouger, même si tu te fais défoncer toute la nuit comme tu aimes. Seules tes couilles se balanceront en rythme !’

Sur ce dernier rire, elle claqua le coffre et démarra la voiture.

A suivre……………..

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