LA VOISINE TRES CURIEUSE
Je rentrais de mon boulot quand j’ai vu un attroupement au début de ma rue. Il y avait même une barrière.
– Qu’est-ce qui se passe, ai-je demandé à une femme qui se tenait à l’écart ?
– Oh, juste une fuite de gaz, m’a répondu la femme puis elle s’est retournée et elle a ajouté :
– Mais je vous connais, vous !
Je ne l’avais jamais vue dans le quartier mais on ne peut pas connaître tout le monde.
– Oui, je vous connais, a répété la femme ! Comment pourrais-je oublier un homme qui se branle, nu, à la fenêtre de sa chambre !
Je suis resté KO sans mot dire mais j’ai retrouvé le courage de lui demander où elle habitait.
– Juste au bout de votre jardin, m’a précisé la femme ! La maison avec les volets verts ! D’ailleurs, a-t-elle ajouté, j’aurais besoin d’aller chez vous pour tailler ma haie !
J’essayais de réfléchir. Oui, forcément, la maison aux volets verts, mais il y avait bien quatre-vingt mètres voir cents entre ma maison et la sienne. Maintenant, la femme était à côté de moi et elle regardait les employés du gaz qui s’agitaient presque devant chez moi.
– Manquerait plus que ça explose, ai-je ajouté !
– Oui, m’a répondu la femme en étouffant un éclat de rire dans sa main ! Il y a d’autres moyens de s’envoyer en l’air !
En entendant ça j’ai failli étouffer. L’employé du gaz est remonté dans sa camionette et il a roulé jusqu’à nous et il nous a dit que l’incident était fini et il a récupéré sa barrière avant de partir.
– Pour la haie, m’a encore demandé la femme ?
Je lui ai répondu que je la lui taillerais mais elle exigé que je la laisse ramasser ses branches.
– Je suis désolé, ai-je ajouté ?
– Désolé de quoi, m’a demandé la femme ?
– Du spectacle que je vous ai offert !
– Non, m’a-t-elle répondu ! C’est toujours agréable et vous êtes bien fait ! C’est de ça dont j’aurais besoin maintenant que mon mari est parti…
Je n’ai pas voulu aller plus avant et je suis rentré chez moi puis je suis monté à l’étage dans ma chambre et j’ai regardé la maison de ma voisine. Effectivement, si elle est à cette fenêtre…, mais c’est quand même loin…
Le vendredi soir suivant, quand j’ai fermé mes volets, j’ai vu la femme qui était à sa fenêtre. Je lui ai fait signe de la main mais elle n’a pas semblé me voir et le lendemain, je me suis mis à tailler sa haie et la femme est venue me voir. J’ai réitéré ma proposition de ramasser les coupes mais elle n’a pas voulu. Elle voulait le faire elle-même et elle a fait le tour par la rue pour me rejoindre dans le jardin.
– Je voulais vous dire, pour l’autre fois, ai-je commencé, je m’excuse…
– Je vous ai déjà dit… que ça n’avait pas d’importance ! Moi aussi, je me masturbe ! J’ai besoin de sexe et si mon mari me l’avait demandé, j’aurais fait n’importe quoi avec lui !
– Il est parti parti ?
– Oui, définitivement ! Et nous sommes même divorcés au prétexte que je ne pensais qu’au sexe, m’a précisé ma voisine !
Je l’ai aidée à ramasser les branches et même si je sais bien que c’est interdit, nous en avons fait un feu au milieu du jardin et les flammes montaient joyeusement vers le ciel quand j’ai dit à ma voisine qu’elle avait une bonne vue.
– Ah, oui, pour ça, s’est-elle mise à rire, mais j’avais des jumelles !
Je me suis senti ridicule.
– Il fait un peu frais en ce moment mais si j’en ai le courage, je laisserai ma fenêtre ouverte, a ajouté ma voisine !
– Vous êtes belle…
Je lui avais dit ça comme ça parce que j’avais besoin de lui faire un compliment. Elle n’était pas vraiment une beauté mais elle avait quelque chose dans le regard qui m’impressionnait.
– Ne vous fiez pas aux apparences, m’a répondu la femme ! Vous seriez déçu car je ne suis pas si belle que ça ! On doit avoir le même âge ?
– J’ai soixante ans, lui ai-je précisé !
– J’en ai soixante-huit, m’a répondu la femme !
Je lui ai dit qu’elle ne les faisait pas car à part de légères pattes d’oie aux coins des yeux, elle n’avait aucune ride et et la peau de ses mains fines ne présentait aucune trace de vieillesse. Nous avons attendu que le feu s’éteigne et ne soit plus que braises. Ma voisine s’était-elle aperçu que j’avais une belle érection et que ma bite me faisait mal d’être engagée dans une jambe de mon pantalon ? J’ai raccompagné ma voisine à la porte de mon jardin. Elle m’a fait un sourire en me disant au revoir mais j’aurais bien retenu sa main, posé mes lèvres sur sa joue ou ses lèvres mais je l’ai regardée partir. Le lundi soir suivant quand je suis rentré de mon boulot, j’ai fait un détour par chez elle mais il n’y avait pas de nom sur sa boîte à lettre et elle devait aussi être sur liste rouge parce que je n’ai pas trouvé son nom dans l’annuaire. C’est le lendemain soir que j’ai vu que la fenêtre de sa chambre à l’étage était restée ouverte. J’ai sorti mes jumelles et j’ai regardé mais la chambre était sombre et il n’y avait sans doute personne. Je suis redescendu dans la cuisine pour dîner et quand je suis remonté, par un curieux hasard, il y avait de la lumière et la femme était debout devant la fenêtre et ce que j’ai tout de suite remarqué ce sont ses seins qui lui pendaient sur le ventre, des seins longs et vides mais quand même renflés tout au bout avec des aréoles immense. Quand elle s’est aperçue de ma présence, la femme a commencé à se masturber. C’était la première fois que je voyais une femme de cet âge qui se masturbait. Mon épouse m’avait quitté quand j’avais quarante ans et je ne l’avais jamais revue. Et là cette femme plus âgée que moi était une vraie bombe. J’ai posé mes jumelles et je me suis déshabillée et je me suis masturbé moi aussi. De temps, la femme prenait un de ses seins de sa main libre et en portait le mamelon à sa bouche puis elle le laissait tomber et le sein retombait et lui claquait sur le ventre. Je n’en pouvais plus et j’ai joui et mon sperme est passé par-dessus la barre de la fenêtre pour s’écraser sur la terrasse en dessous. Je n’ai pas vu si la femme avait eu un orgasme mais après m’avoir fait un signe de la main, elle a fermé sa fenêtre et les volets roulants n’ont pas tardé à suivre.
Ma voisine est la seule femme devant qui je me suis masturbée et ce que je regrette c’est que mon épouse n’ai jamais aimé avaler mon foutre. Je l’ai pourtant forcée quelques fois à le faire. J’avais vite compris qu’elle n’aimait pas son corps et encore moins le sexe et que si elle faisait l’amour avec moi c’était par devoir et nous avons partagé les torts lors de notre divorce. Depuis que j’avais vu ma voisine à sa fenêtre, je n’arrêtais plus de gamberger et quand je l’ai rencontrée à la boulangerie je lui ai proposé de faire un passage dans la haie. Elle a attendu qu’on sorte de la boulangerie pour me dire qu’elle me boyait venir et que j’avais envie de la baiser. Ce sont les termes qu’elle a employés. J’ai ajouté qu’elle a des seins magnifiques mais elle m’a répondu que ce qu’elle a de plus beau chez elle c’est son cul et je lui ai demandé si elle voulait que je l’encule. J’avais envie de la choquer. Elle m’a répondu que j’étais un grossier personnage et nous avons marché un moment côte à côte sans dire un mot.
– Pour la haie, je veux bien, mais n’abusez pas, a-t-elle ajouté quand nous sommes arrivés au carrefour !
J’ai fait un petit passage dans la haie et je suis allé chez elle et quand j’ai frappé au carreau de sa véranda, elle m’a fait entrer.
– Demandez-moi, m’a-t-elle dit ensuite !
– Vous demander quoi, lui ai-je demandé ?
J’étais si surexcité que je ne comprenais rien.
– Dites-moi que vous voulez me faire l’amour, m’a précisé la femme et sans me laisser le temps de répondre, elle m’a pris la main et elle m’a entraîné dans l’escalier mais elle s’est arrêté au beau milieu pour retirer sa petite culotte.
– Baisez-moi ! Baisez-moi fort et ne vous occupez pas de ce que je dis, m’a précisé ma voisine !
J’ai mis la main sous sa robe et j’ai caressé ses fesses avant de venir sur sa coupe mais la voisine a serré ses cuisses sur ma main.
– Viens, a-t-elle ajouté ! Dépêche-toi ! J’ai envie !
Elle a retiré sa robe en arrivant en haut de l’escalier puis elle a libéré sa poitrine de son soutif.
– Viens, a-t-elle encore ajouté !
Elle m’a fait signe de monter et je l’ai suivie jusque dans sa chambre. La femme s’était assise sur le bord du lit et je me suis déshabillé devant elle. J’avais déjà la trique.
– Il est beau, m’a-t-elle dit en tendant les doigts sous mes couilles ! Comment tu l’appelles ?
Je ne savais pas. Mon pénis, ma bite, ma verge, ma trique, ma queue ? Ça la faisait rire que je lui dise tous ces noms.
– Ta bite, c’est plus simple, a conclu ma voisine en l’embouchant mais ça n’a pas duré très longtemps.
Elle s’est laissée tomber en arrière et elle s’est appuyée sur les coudes, jambes pendantes.
– Baise-moi, maintenant, a-t-elle insisté ! Fais-moi jouir ! On verra plus tard pour le reste…
Elle a ouvert les cuisses et je me suis enfoncé.
– Ah, putain, j’aime ça, a déclaré ma voisine, mais on n’a pas continué longtemps de cette façon. Elle voulait que je la prenne en levrette parce qu’à l’en croire, j’irai plus profond. Mon ventre a commencé à taper sur ses fesses.
– Oh, putain, je vais mourir, s’est-elle mise à gémir !
La femme a eu un frisson et j’ai pensé qu’elle venait d’avoir un orgasme. De mon côté, je ne tenais plus. J’avais besoin de terminer et mon foutre à jailli au fond de son ventre.
– Oh, putain, ce que c’est bon !
Nous sommes restés imbriqués l’un dans l’autre encore pendant un bon moment.
– Merci, merci, m’a dit ma voisine quand je me suis retiré ! Vous êtes un vrai étalon !
– Et vous une vraie pute !
Ça m’est sorti tout seul, comme m’était sorti ma semence. La femme m’a répondu que j’avais sans doute raison parce qu’elle n’aurait jamais dû accepter de faire l’amour avec moi aussi rapidement. On s’est allongés l’un contre l’autre puis elle s’est appuyée sur un coude et j’ai pu jouer avec sa poitrine mais ma voisine ne s’en est pas contenté car elle s’est employé à me faire rebander et je n’ai pas résisté quand elle m’a fait à nouveau jouir. Mon sperme s’est écrasé sur ses seins.
– Tu as déjà joui dans la bouche de ta femme, m’a demandé ma voisine ?
Je lui ai répondu que ce serait sa récompense si on continuait à faire l’amour ensemble.
Ça t’a plu, tout à l’heure, a-t-elle voulu savoir ?
Je n’ai pas répondu à sa question mais je lui ai demandé qu’elle me fasse plaisir en ne mettant plus de sous-vêtements. Ma voisine a éclaté de rire en me demandant si j’étais sérieux et je lui ai répondu que c’était un fantasme que j’avais depuis très longtemps.
– Tu veux que j’att**** froid, a-t-elle ajouté ?
Je lui ai dit qu’elle était sans doute en retraite et qu’elle pouvait le faire et ma voisine a fini par me dire quelle y penserait mais elle a ajouté qu’elle faisait du bénévolat et que…
FIN
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