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un chien qui s’ignore 19

un chien qui s’ignore 19



Ophélie qui apparemment menait la danse et connaissait bien maitresse Laurence et sa nièce, se tapa les cuisses des mains et se leva :

– Bien ! Nolwenn, tu as bien fait attention à ce qu’il ne mange rien depuis hier ?
– Oh oui, il a passé son weekend attaché et il n’a mangé que des bites !
(Rires général)
– Très bien, on va pouvoir passer aux choses sérieuses.

C’était au tour de maitresse Laurence de se lever en rabaissant sa robe le long de ses cuisses.

‘- Je vais prévenir ta sœur qu’on l’attend, elle est apparemment en phase de repos’ lança t elle.
– Laisse tomber, on va se débrouiller sans elle. Connaissant Horace sa bite doit encore avoir besoin d’une bonne langue’

Les trois femmes autour de moi éclatèrent de rire, je passais à lécher les semelles de maitresse Nolwenn toujours assise qui demanda :

‘- Elle s’est fait tringlée par Horace ?’
– Pas qu’un peu ! Tu as raté plusieurs épisode ma petite ! rigolait encore Ophélie, je crois que tu as raison Nolwenn, le point de non retour est atteint !

Je m’interrogeais sur le ton qu’avait pris la discussion au sujet de ma maitresse femme. Je sentais une connivence chez mes 3 maitresses. Ma maitresse femme, c’est vrai ne s’occupait pas vraiment de mon ‘éducation’, hors mis placer des croquettes et de l’eau dans ma cage. Elle profitait de mon salaire et s’éclatait de son côté, à mon grand regret.

Nolwenn repris ma laisse et m’entraina à la suite des deux femmes, dans mon ancien bureau.
La situation était insolite et m’inquiétait soudain. Quelque chose se tramait. Pourquoi ce silence complice entre ces 3 femmes ? De quoi Ophélie avait elle parlé ? Quelles étaient ces ‘choses sérieuses ?’ Que portait-elle dans sa grosse mallette ?
Mon cœur battait trop fort et je commençais à trembler. Si ces trois femmes se réunissaient dans cette pièce, j’allais souffrir c’est certain !

Pendant que maitresse Ophélie préparait son matériel sur mon bureau, maitresse Nolwenn me tenait fermement par la laisse. Maitresse Ophélie se comportait comme chez elle et donnait des instructions.
Maitresse Laurence s’occupait de ma cage de chasteté.
Elle me libéra de ma grille et de ces cerclages de fer qui collaient à ma peau depuis des semaines. J’eus l’impression d’être encore plus nu, quand ma cage fut enlevée. Mon sexe racorni retomba vers le sol.
J’eus un mince espoir de libération de ma peine, quand Ophélie d’un ton impérieux donna ses instructions aux deux femmes. Elles me levèrent à l’unisson pour me hisser sur le bureau, recouvert d’un drap blanc et je me retrouvais plaqué sur le dos. Je n’eus pas le temps de réagir dans cette situation que déjà elles s’affairaient à fixer mes quatre pattes aux pieds du bureau.
Je me retrouvais devant ces femmes, les cuisses ouvertes, les bras autour de ma tête, les couilles lestées reposant sur le drap. Ma fesse gauche écrasée sur le drap me lançait vivement. Malgré cela mon sexe se redressa vivement et prit toute son ampleur.
Maitresse Nolwenn fur la première à éclater de rire : ‘ Regardez moi ça ! Il est tout excité devant ses maitresses !

Maitresse Nolwenn commença un simulacre de branlette entre deux doigts en se penchant sur moi : ‘Hum mon petit Rex, c’est définitivement fini pour toi. On va régler ton problème d’érection si pitoyable’
Maitresse Ophélie, qui sortait des scalpels et des bistouris lança : ‘Et puis ça lui sert à quoi maintenant cette bite ?
Maitresse Laurence, d’un ton cynique répondit, me regardant droit dans les yeux : ‘Qu’il en profite, c’est bien la dernière fois qu’il verra sa queue se lever’
Elles éclatèrent toutes de rire en voyant ma tête et mon visage livide.
Ophélie ne perdit pas de temps et m’enfonçait déjà une aiguille dans le bras :
Je me débattais comme un chien enragé dans mes liens et tombais dans les vapes.

Quand je repris connaissance, j’étais toujours attaché sur le bureau. Je relevai la tête et constatai, hébété, qu’un énorme pansement se situait à l’endroit de mon sexe jusqu’à mon nombril. Le drap était tâché de sang. Une douleur atroce au bas ventre, je fondis en larme. J’aurais préféré mourir, plutôt que de subir ça. Jusqu’où iraient-elles ? Je sombrais à nouveau.

Je repris vaguement conscience quand je me retrouvais à 4 pattes au sol. Elles me maintenaient de manière à ce que je ne bascule pas. Maitresse Laurence me poussait sur le crâne pour me forcer à reculer. Je compris que je devais retourner dans ma boite étanche. Désespéré, anéanti je reculais, groggy. Les cuisses gainées de maitresse Laurence au niveau de mes yeux ne m’attirèrent pas le moindre désir. On me balançait au fond d’un puis, je ne savais pas si j’en ressortirai un jour vivant. Une douleur subite à la fesse gauche m’indiqua que mon corps était au fond de ma caisse. Je portais encore mes moufles aux pattes avant, mes couilles me faisaient souffrir, plus étirées encore qu’avant, mon ventre n’était que douleur.

Elles cessèrent de me manipuler ; j’étais calé contre les côtés froids et lisses de ma boite, mes pattes avant tremblaient de supporter mon poids. Un pansement entourait mon bas ventre.
J’entendis à travers un brouillard la voix d’Ophélie qui jubilait :

– L’opération s’est bien passée ! Calé dans sa belle niche, votre Rex va cicatriser doucement et s’habituer à son nouveau corps de compétition.
– Combien de temps va prendre la cicatrisation ? demanda maitresse Nolwenn
– Il faut compter une semaine. Mais on va le garder au frais 15 bons jours. A cet endroit la peau est tendre, c’est assez rapide. Le problème avec les chiens, c’est qu’ils sont tout le temps en train de se gratter avec leurs pattes sales ou se lécher.
– Avec les belles moufles qu’il porte, y’a pas de risque, hein mon Rex, riait maitresse Nolwenn
– Et puis il n’a pas la place pour pouvoir se lécher les couilles, ajoutait maitresse Laurence.

Elles riaient toutes à l’unisson à cette bonne blague.
Quelqu’un actionna le système de fermeture de ma niche high-tech et je me retrouvais dans le noir complet avec les 2 portes qui se claquaient.
Je craquais et hurlais (un gémissement rauque seul sorti de ma gorge) en pleurant des larmes de désespoir. Et puis la panique dans cet espace exigu me repris et je tremblais de tous mes membres.

Je passe la souffrance de l’enfermement que je retrouvais à nouveau, rythmée par les ouvertures du sas à croquettes. Croquettes copieusement assaisonnées au sperme rance des amants que ma femme collectait consciencieusement. Le temps était rythmé par ma nourriture à laquelle j’avais pris gout.

Enfin, vint le jour tant espéré du bruit de l’aérateur qui se mettait en marche, annonçant l’ouverture de ma cage.
Comme d’habitude j’étais aveuglé par la lumière. Comme d’habitude, mes membres ankylosés refusèrent de se mouvoir.
Une main me tirait par l’oreille pour me tirer de mon cloaque. Je reconnus Ophélie et tremblait.

– Allé grosse merde sors de ta niche, viens nous montrer à quoi tu ressemble maintenant !

Je sentis qu’elle me resserrait un collier métallique et épais froid autour du cou. Une violente secousse sur sa chaine me fit tomber en avant. Des picots à l’intérieur du collier m’étaient rentrés dans la chair. Je rampais tant bien que mal pour diminuer la tension de la chaine et la douleur. Elle avançait impitoyablement et tirais sur la chaine et m’insultant. Des fourmillements atroces dans mes membres me torturaient. Je réussis enfin à me remettre à 4 pattes ou plutôt sur les coudes et les genoux. J’avançais et suivait ma tortionnaire. Elle s’amusait à me faire tourner autour de la pièce. Je me redressais cette fois sur mes mains toujours insérées dans leur étui.
Je réalisais que je ne connaissais pas cette pièce, ni ce lieu. Je me rappelais alors les secousses inexpliquées de ma niche et le tangage, qui m’avaient donné la nausée.
Ma niche avait donc changé d’endroit.

– Tu te demandes où je t’ai emmené sale con, hein ! Allez avance, dépêche toi, montres moi comme tu suis bien ta maitresse !

Je regardais autour de moi, malgré la chaine qui me tiraillait, et découvrais tout un équipement aux murs d’engins de tortures : des croix, des crochets, des sangles. Des étagères étaient couvertes de harnais, de fouets de toutes sortes, de cordes, de plugs et sexes en latex démesurés. La pièce était immense. Elle m’entrainait, la nuque douloureuse dans un endroit carrelé de blanc avec une grille au sol.

– Quelle grosse merde : t’es tout couvert de vieux sperme, tu sens la vieille pisse et la merde. Beurk, tu me dégoutes, je vais te décrasser au jet. Laurence m’a dit que tu adorais ça, immondice ! Reste au dessus de la grille que ta crasse s’évacue sinon je te fais lécher le sol complet !

Effectivement je réalisais que maitresse Nolwenn m’avait ramené encore couvert de sperme et m’avait enfermé dans ma niche directement.
Depuis combien de jours avais je du rester dans cet état, nourris de croquettes au sperme. Même mon eau était coupée à la pisse, à moins que ce ne soit de la pisse coupée à l’eau…
Elle avait raison, je n’étais qu’un rebut de la société. Ma vie se résumait désormais à subir les volontés de ces trois femmes, 4 maintenant, apparemment :
être enfermé dans ma niche, lécher leurs chaussures, puis se faire enculer et sucer des bites à la chaine.

Je me rendais compte que j’avais perpétuellement un gout de sperme dans la gorge. Le gout âcre ne me dérangeait plus. Quel gout avait l’eau sans sperme ?

Un jet puissant me tira de ma rêverie. Ophélie, maitresse Ophélie, s’en donnait à cœur joie avec un jet puissant de karcher. Je devais tourner et présenter toutes mes côtés. Couché sur le dos, je la vis diriger son jet sur le pansement qui recouvrait l’emplacement de mon sexe. Le pansement se décollait sous la pression. Je ne voulais pas voir le résultat de cette ablation ! Je serrai les dents, elle insistait sur la cicatrice pour nettoyer son travail. Elle était contente d’elle et du résultat obtenu. Elle criait pour couvrir le bruit du karcher.

‘Regardes moi ça, ce que tu es devenu : un bon toutou avec sa petite bistouquette et ses couilles qui pendent à l’air’

Je ne pus résister plus longtemps et ouvrait les yeux en grand. Une grande et fine cicatrice démarrait sous mon nombril jusqu’à mes couilles. Mon sexe avait disparu. Un drain qui m’avait servi pour uriner dans ma cage sortait d’un renflement sous cette cicatrice ! Elle tira lentement le drain pour ne pas abimer son œuvre souriait elle. La douleur me fit venir les larmes aux yeux.
Je découvrais alors éberlué que mon gland pointait à la sortie de ce renflement. Mon sexe n’avait pas été supprimé, mais se trouvait comme enfui dans ma chair. Je compris alors sa réflexion : ma bite n’était plus celle d’un homme mais celle d’un véritable chien. Fini une queue bandée droite et dure pointée vers le ciel, les veines gonflées de désir.
Pendant que je me mortifiais, hypnotisé par cette monstruosité, elle avait arrêté le karcher, m’avait fait mettre dans ma position habituelle du chien et m’enfilait maintenant le tuyau d’eau dans l’anus. Aussitôt je sentis mon sexe être excité.
Je baissais la tête pour regarder mon sexe, je ne vis que ma paire de couilles dégoulinantes qui se balançaient. Mes intestins se remplissaient d’eau et mon ventre gonflait douloureusement. Mon sexe se résumait à un gland gonflé d’excitation sorti de ce renflement. Il avait doublé de volume et était collé à mon ventre, sous mon nombril.
Maitresse Ophélie, qui se régalait de la scène et dont je ne voyais que les chaussures, en profitait pour enlever le tuyau et me laisser soulager mes intestins.

‘Hum tu as vu mon œuvre ! Superbe démonstration d’excitation d’un bon toutou. Fini le sexe qui pendouille, maintenant il est bien rangé dans le fond de sa poche. Eh oui ça ressemble à ça maintenant ton petit sexe. Quand tu vois ta maitresse approcher et que tu es tout excité, le sang afflue et gonfle ton petit gland tout excité qui sort de sa cachette.
Oh qu’il est mignon mon Rex avec ses couilles bridées qui tentent de remonter et son gland tout violacé qui tremblote d’excitation parce qu’il a un tuyau dans son gros cul. Maintenant il va falloir qu’on te trouve une bonne chienne excitée pour que tu t’entraine à la saillir de tes 3 cm ! Avec une petite femelle chihuahua tu pourrais peut être y arriver. Ça te dirait ?’

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