Céline est ma collègue de bureau. Jeune n’ayant pas trente ans, elle a reboosté l’ambiance du bureau par son dynamisme et sa beauté. Elle est brune aux cheveux longs raides, un joli visage avec de très beaux yeux bleus et un corps de rêves aux jolies formes comme il faut où il faut, 90/60/90. Tous les mecs sont à plat ventre devant elle. Et justement, elle, elle veut du répondant, de la vanne du tac au tac. Et entre nous à chaque pause, c’est une incroyable partie de ping-pong, à celui qui aura le dernier mot. Et sur tous les sujets. Tous ! Et souvent coquins.
Un jour où nous discutions, nous nous cherchions et comme à l’habitude nous n’étions pas d’accord, et à bout d’explications et d’arguments, je lui lance « tu paries ! » et elle me tape dans la main en disant :
• Si je gagne, tu traverses tous les bureaux en sous-vêtement pour distribuer les croissants.
Je ne lui lâche pas la main et soutien son regard.
• Ok ! et si c’est moi, tu me tailles une pipe !
Elle non plus ne lâche pas, ni ma main, ni mon regard et elle dit ok !
Deux jours plus tard, compte tenu de l’enjeu du pari, ne voulant pas l’ébruiter auprès des collègues, je lui envoie par mail la réponse à notre discussion avec tous les arguments. J’ai gagné le pari.
La matinée passe et je n’ai aucun écho. Pour la première fois Céline se défilerait-elle ? Je comprendrai et voulant rester en bons termes je suis prêt à lui ouvrir une porte de sortie. Mais c’est à elle de le demander, je vais la laisser venir et reconnaître ma victoire. Étrangement, je ne l’ai pas vu de la journée. Elle a peut-être posé un congé ? et je ne veux pas avoir l’air de lui courir après, alors j’attends et la journée passe. Je travaille à mon bureau et il se vide peu à peu, c’est la fin de la journée. Quand mon téléphone sonne. C’est Céline :
• Un pari est un pari et je compte sur ta discrétion, rendez-vous dans 10 minutes au parking du 3e sous-sol.
Et elle raccroche. Dix minutes plus tard je suis dans le parking. Elle m’attend dans un coin. Elle est superbe et porte un tailleur jupe au-dessus du genou avec un collant noir opaque dessous. Sous sa petite veste un col roulé moulant qui épouse la forme généreuse de ses seins. Je m’approche d’elle en écartant les bras, voulant dire qu’elle n’est pas obligée. Mais elle m’att**** déjà par la ceinture qu’elle ouvre et fait glisser mon pantalon et mon boxer à mi-cuisses. Je suis le sexe à l’air. Céline penchée devant moi en train de l’embrasser. Pris par surprise et au dépourvu, je ne bande pas immédiatement, c’est même plutôt l’inverse. Elle lèche ma verge molle et me caresse les couilles. Elle tète mon gland et tourne la tête pour me regarder.
• T’es tout intimidé on dirait…me dit-elle et reprend mon sexe dans sa bouche.
• On dirait. Peut-être si tu soulevais ta jupe… ?
Et sans continuer de caresser ma bite de sa langue, elle se dandine pour remonter sa jupe au-dessus de ses hanches, glisse ses mains dans son collant et le fait descendre sous son cul. Elle ne porte rien d’autre. Il est la devant moi blanc et rond. Splendide. Aussitôt mon sexe se gonfle et se redresse dans la bouche de Céline que j’entends soupirer de plaisir, et qui met plus d’ardeur à me pomper.
Je ne demande rien et tends les mains sur son joli cul pour le caresser. Mes doigts glissent sur sa raie, cherchant à atteindre son minou. Elle continue de me caresser de sa langue, la glissant jusque dessous mes testicules. Je la voie fouiller son sac. Elle déballe un préservatif et me l’enfile. Elle se retourne bien cambrée et me tends ses fesses.
• Prend moi !
Je tiens ma queue à la main et m’approche d’elle. Je colle mon gland sur les lèvres de sa chatte. Elle est toute humide. Je glisse en elle, tout entier. Collé à elle. Une voiture passe et la lumière des phares nous balaye. C’est très furtif. Je baise Céline, lui prodiguant de grands coups de reins. Elle se retient de gémir à chaque coup de bite. Je tape fort sur sa croupe. Mes mains glissent sur son corps, relève son sous-pull pour sentir ses seins ballotter. Je tire sur son soutif pour les faire sortir de leurs bonnets. Ça m’excite encore plus de les sentir et je redouble mes coups de reins.
Maintenant elle gémit fort. Elle tremble sur ses jambes. Elle jouit. Je me retire. Ses jambes la tiennent moins et elle s’accroupit. Je retire la capote. Je lui prends les cheveux et les réunis en queue de cheval pour la diriger sur mon sexe tendu. Elle me prend dans sa bouche et me pompe. Je fais glisser mon sexe entre ses lèvres sur sa langue. Accroupit, le collant baissé, la jupe retroussée, son sous-pull relevé par-dessus ses seins libérés de son soutien-gorge, elle me pompe en me regardant.
J’explose. De grands jets de sperme dans sa bouche. Elle me suce. bavant ma semence sur ses seins. Elle lèche tout.
Je l’aide à se relever, s’essuyer et se rhabiller. Je lui glisse une bise et la remercie. Elle en fait autant. Et nous nous quittons.
Le lendemain j’arrive au bureau et j’ai un post-it sur mon bureau. Ecrit dessus « passé dans mon bureau s.v.p. » signé P.L. je pose mes affaires et me rends dans le bureau demandé.
Les stores sont baissés. Ce qui n’est pas toujours bon signe. Je frappe et on m’invite à rentrer. P.L. est derrière son bureau.
P comme Patricia, ma chef. Blonde aux yeux bleus derrières ses grandes lunettes. Les cheveux tirés en chignon, l’air très strict, toujours habillée moulant pour mettre en valeur ses gros seins et ses formes.
• Fermé la porte !
Porte fermée, je lui fais face debout devant son bureau. Elle termine ses papiers et se redresse pour m’observer.
• Je vous ai vu hier soir dans le parking avec Céline.
Je ne dis rien. Elle fait rouler son siège en arrière et pivote dessus en me faisant signe de venir la rejoindre derrière son bureau. Habillée de son éternel chemisier blanc en haut, et en bas elle ne porte que des bas et un porte jarretelle et elle ouvre ses cuisses découvrant une ravissante chatte taillée en triangle.
• Tu as gagné ton pari, viens !
Je m’accroupis entre ses cuisses pour venir lui lécher la chatte.
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