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VU SUR LE NET: Le pouvoir de l’i******* (6)

VU SUR LE NET: Le pouvoir de l’i******* (6)



Saison 2
Une nouvelle chienne

Damien avait repris l’école après la folle semaine de vacance durant laquelle sa mère était devenue sa femme, sa maitresse, son esclave sexuelle. Il lui semblait que depuis cela tout changeait. Il se sentait plus sûr de lui, plus confiant, plus fort, il se sentait dominateur. Il constata que les autres le regardaient différemment, les garçons semblaient le respecter d’avantage. Quant aux filles elles lui adressaient des regards et des sourires qu’il n’aurait jamais espéré auparavant. Tout cela en quelques journées seulement, c’était si soudain qu’il se demandait même si il ne le rêvait pas. Mais chaque jour passé confirmait ce changement et son affirmation allait en s’accentuant. Ses prises de paroles en classe se mirent à impressionner ses professeurs, son charisme se déployait et lui donnait de l’assurance et du culot. Il le constata d’une manière inattendue quinze jours plus tard, à son plus grand étonnement.
Lundi.
Ce premier jour de la semaine il avait cours d’histoire avec son professeur préféré, mademoiselle Chatellier. Cette jeune femme blonde de vingt cinq ans était tout simplement magnifique, un vrai mannequin dont seule la taille d’un mètre soixante cinq ne correspondait pas à cette référence. Sa poitrine bien dessinée et de taille parfaite était souvent mise en valeur par des hauts moulants. Elle était nouvelle, c’était sa première année et pas mal de profs et même le directeur l’avaient plus ou mois draguée. Bien que célibataire, elle n’avait donnée aucun encouragement à ces démarches n’en trouvant pas un seul à son goût. Le cours avait débuté depuis un bon quart d’heure et Damien n’avait pas décroché son regard de son visage à la beauté slave dont les cheveux courts coupés en carré plongeant encadraient ses jolis yeux bleus. Mademoiselle Chatellier l’avait déjà surpris deux fois en train de la dévisager, mais il en avait cure et ne s’en sentait pas gêné.
A la fin du cours, quand la sonnerie retentit, tous les élèves quittèrent rapidement la classe et au moment où Damien passait devant le bureau du professeur pour faire de même, elle l’interpella.
« -Damien reste ici, je dois te parler. »
« -Oui mademoiselle. » Elle attendit que le dernier élève ait disparu avant de reprendre.
« -Damien, tu es un élève brillant, tu as toujours de bonnes notes et de plus depuis quelques jours tu participes d’avantage et je t’en félicite. Mais aujourd’hui je t’ais senti… distrait, aurais-tu un problème ? »
« -Pas du tout mademoiselle, j’étais très concentré, je vous écoutais sans en perdre une miette. »
« -J’ai constaté cela, oui. Mais tu n’as rien noté sur ton cahier, comment comptes-tu réviser dans ce cas. »
« Ne vous en faites pas pour ça, tout est imprimé dans ma tête, c’est une perte de temps de tout écrire, je préfère vous regarder pendant le cours c’est plus intéressant. » Répondit insolemment Damien.
« Hé bien, c’est bien présomptueux de ta part de croire cela, et pour ce qui est de me regarder sache que c’est très mal élevé de fixer les gens de la sorte. Je suis déçue de ton comportement, je ne te croyais pas ce genre de garçon Damien. »
« -Allons ne vous fâchez pas, c’est parce que je vous trouve très jolie que je vous observe autant, vous devriez vous sentir flattée, au-lieu de vous mettre en colère. »
« -L’effronterie te va mal jeune homme et on verra demain si tu es aussi sûr de toi quand je t’interrogerai sur le cours d’aujourd’hui. »
« -J’ai hâte d’y être, dit Damien en partant, oh et une dernière chose, vous devriez mettre des jupes plutôt que des pantalons, ça vous irait beaucoup mieux ! » conclut-il comme si c’était lui qui avait suscité l’entretien avec son professeur.
« -Mais… » Mademoiselle Chatellier était estomaquée par le comportement de cet élève qu’elle avait cru si sage. Il ne l’avait pas quittée du regard durant tout le cours et cela l’avait dérangée et troublée à la fois. Elle avait voulu lui en parler en y allant en douceur car elle le considérait comme un des éléments les plus brillants de l’établissement, mais là elle était sidérée par son toupet et ses paroles déplacées. Pourtant, à cause de cela elle lui avait soudain aussi trouvé un extraordinaire charisme et même du charme. C’était inexplicable et intolérable, mais il l’avait bouleversée.
Damien n’en revenait pas d’y être allé aussi fort, mais sa prof lui plaisait beaucoup et il n’avait pu se retenir de le lui dire, chose qui aurait été totalement inconcevable avant ces vacances. Il espérait tout de même ne pas être allé trop loin et se voir convoqué le lendemain par le directeur. Rentré chez lui, au cours du repas il informa sa mère de l’incident au cas où elle serait elle aussi convoquée. Elisabeth en tant que mère conseilla à son fils d’aller s’excuser auprès de son professeur, en tant que chienne soumise, d’être plus discret s’il voulait continuer à la reluquer. Puis elle releva son tailleur, posa ses fesses sur la table et écarta les cuisses, lui offrant sa chatte humide. Alors qu’il la prenait, elle lui demanda, « -Elle t’excite ta prof, tu as envie de te la faire ? »
« -Et pas qu’un peu maman, elle est super bonne, mais ça a l’air d’être une coincée. »
« -Les coincées sont parfois les plus salopes, et je sais de quoi je parle mon chéri, hann, oui continue comme ça, c’est bon ! Vas-y avec tact et douceur et je suis sûre que tu arriveras à tes fins mon amour. »
« -Tu m’encourages à passer à l’acte, maman, tu n’es pas jalouse. »
« -Si, un peu, mais ça m’excite aussi de savoir que tu veux baiser d’autre femme. Tu me raconteras tous les détails n’est-ce pas mon bébé ? »
« Oh oui, maman, je te dirais tout ! » beugla Damien en éjaculant dans le vagin de sa mère.
Mardi.
Claire Chatellier était prostrée devant son lit, deux tenues y étaient déposées attendant son choix. Elle enrageait, le temps filait et elle allait finir par être en retard, mais la vraie cause de son énervement c’était sa propre stupidité pensa-t-elle. A gauche un pantalon en toile noire comme elle avait coutume d’en porter pour aller travailler et à droite une jupe longue et stricte, mais une jupe tout de même. Toute la soirée elle avait pensé aux paroles de son élève, se demandant comment elle se devait d’y réagir, voire de le punir, elle était d’autant plus courroucée par son attitude qu’elle avait inexplicablement éveillé en elle cette envie absurde de porter une jupe. Elle fulminait, si elle faisait selon son désir, cela donnerai un signe évident à ce jeune garçon qu’il lui avait guidé sa conduite. Si elle choisissait le pantalon c’est elle qui imposait son autorité, mais alors et sans même qu’il le sache il lui prescrivait son choix et en tant que femme libre et indépendante cela lui était insupportable. Dans un hurlement de résignation, elle se saisit du pantalon et l’enfila. Elle était presque arrivée à la porte d’entrée de son appartement quand elle fit demi-tour pour regagner sa chambre. « -Et puis merde, je fais ce que je veux ! » vociféra-t-elle en changeant de tenue. Elle fût tourmentée toute la matinée par son choix et quand arriva l’heure fatidique du cours avec ce jeune impertinent, Claire était aussi stressée que quand elle avait passé ses examens. Elle se rassura en se disant qu’aucun de ses camarades n’avait entendu la requête de Damien, donc la situation ne concernait qu’eux deux et de toute façon elle mettrait les points sur les i des la fin du cours. Les élèves entrèrent, elle fût attentive à leurs réactions mais aucun ne sembla manifester quoique ce soit sur sa tenue, il faut dire que sa jupe était austère et lui arrivait en bas des mollets. Seul Damien lui adressa un petit sourire en coin et bien qu’elle s’y soit attendue cela la déconcerta. Durant tout le cours il ne la quitta pas des yeux, elle s’était préparée à ce comportement et elle en fit un jeu pour voir si elle pouvait le surprendre à regarder ailleurs. Cela n’arriva pas et au fil du temps elle se sentit même comme flattée d’une telle attention. Enfin à dix minutes de la fin de l’heure, vint le moment d’interroger à l’oral un élève sur le cours précédent. Bien évidement elle choisit Damien pour le confondre dans son comportement borné et infantile. Mais il répondit avec exactitude à toutes ses questions comme si il avait appris par cœur les écrits qu’il n’avait justement pas pris. Elle le harcela un peu plus qu’à l’accoutumée mais dut capituler en lui octroyant une excellente note, cependant elle ne se démonta pas et le retint une fois de plus après la sonnerie.
« – Damien je te félicite pour ta mémoire et ton attention lors de mes cours, mais sache que prendre des notes te servira à long terme pour te remémorer des détails ou des faits qui inéluctablement s’estomperont avec le temps car il est impossible de tout retenir. »
« – Ne vous en faites pas mademoiselle, j’ai une solution pour ça. » asséna Damien avec aplomb.
« -Ah oui, et bien j’aimerai savoir quelle est cette solution mon garçon ! »
« -Je vous le dirais, mais plus tard. »
« -C’est ça, moi je pense que tu n’en as aucune, alors tu vas me faire le plaisir de reprendre des notes durant mes…» Il la coupa.
« -Vous avez mis une jupe comme je vous l’avais demandé, c’est bien. »Claire mit quelques instants à répondre, estomaquée qu’il se permette de l’interrompre, surtout pour ce genre de commentaire.
« -Sache que si je l’ai fait c’est uniquement parce que j’en avais envie et certainement pas pour satisfaire ta demande extrêmement déplacée. D’ailleurs tu vas arrêter de me regarder en permanence sinon tu iras t’expliquer chez le directeur. »
« -Allons, je sais que vous aimez ça, j’ai vu que vous faisiez attention à ce que je ne vous quitte pas des yeux. »
« -Je… je vérifiais que tu persistais dans ton comportement insupportable et imbécile. » Balbutia-t-elle troublée d’avoir été prise dans son petit jeu.
«- Moi, je crois que ça vous plait bien que je vous matte en permanence et vous ne direz rien au dirlo parce que vous avez envie que ça continue. »
« -Tu prends tes désirs pour des réalités mon jeune ami et ça va te couter cher. Tu vas… » Il la coupa pour la deuxième fois.
« -Demain vous mettrez une jupe plus courte que je puisse voir vos jolies jambes. » conclu-t-il en quittant la classe.
Claire n’en revenait pas, ce garçon se croyait tout permis et la traitait sans aucun respect, comme une subordonnée. Elle se sentait désarçonnée face à son comportement, ne parvenant pas à réagir avec l’autorité qui aurait fallu. Et le pire dans tout ça, oui le pire c’est qu’il avait raison. Elle prenait goût à cette situation qui pourtant commençait à être dangereuse. Rentrée chez elle, elle se repassa la scène en boucle, la trouvant à chaque fois plus troublante, plus adductive. L’audace et l’autorité de ce jeune adolescent éveillaient en elle des sentiments introvertis et craints, des envies puissantes mais jusqu’alors refoulées, des envies dont elle avait peur et qu’elle avait toujours étouffées.
Mercredi.
Aussi le lendemain elle était de nouveau en lutte devant sa penderie. Le pantalon face à une jupe… plus courte. Elle se rendait compte que c’était déjà sa dernière chance de remettre les choses à leurs places, de reprendre son rôle de professeur et d’imposer sa volonté. Mais son souhait réel, son désir profond et depuis toujours enfouis embrasait maintenant son esprit. Cette chose dangereuse que son élève avait si aisément et si rapidement réveillé revendiquait son heure, sa libération, son avènement. Elle avait senti chez lui cette aptitude vers laquelle elle aspirait secrètement et qu’elle n’avait encore jamais entrevue ou détectée chez aucune autre personne. Allait-elle laisser passer cette rarissime occasion, du fait de sa jeunesse, de l’autorité inversée qu’elle impliquait, des terribles risques qu’elle représentait mais aussi de son immoralité, de son utopie. A la fois résignée et euphorique elle se vêtit de la jupe et cette fois-ci ne se changea pas.
Damien avait de nouveau tout raconté à sa mère, elle était inquiète mais aussi très excitée. Elle sentait que son fils pouvait parvenir à ses fins sans en être malheureusement, totalement sûre. Elle y avait pensé toute la soirée et même quand ils avaient fait l’amour. Ce matin encore cette seule idée lui tournait dans la tête. Elle était habillée et prête à partir au travail, mais Damien avait surgi derrière elle, relevé la jupe de son tailleur et maintenant sa main était dans sa culotte, lui fouillant la chatte. De son autre main il lui malaxait les seins et lui murmurait à l’oreille qu’aujourd’hui il allait passer à la vitesse supérieure avec sa prof. Elisabeth mouillant comme à chaque fois pour son fils, fut de nouveau submergée par la perversion et l’incita finalement à le faire.
« -Oui mon chéri, fais de cette fille ta salope, je suis sûre qu’elle n’attend que ça. »
« -Tu le crois ? Tu m’imagines en train de la baiser maman ? »
« -Oh oui, tu la prendras comme une chienne par tous les trous et tu te videras en elle. »
« -C’est bien ce que je compte faire bientôt, maman. » dit Damien en la penchant en avant, il lui baissa la culotte à mi-cuisse avant de l’enfiler en levrette. Elle s’accrocha à une chaise pour garder son équilibre car il la besognait ardemment. « -Et quand elle sera bien soumise, je te l’apporterais pour qu’elle te lèche la chatte. » Elisabeth jouit à l’énonciation de cette idée et elle reçut en même temps le plaisir de son fils. Quand il se retira, elle se retourna et l’embrassa passionnément. « -Je vais garder ton sperme en moi toute la journée, dit-elle en remontant sa culotte, comme ça j’aurais toujours un peu de toi avec moi mon amour. »
Le mercredi, il n’y avait cours que le matin et celui d’histoire était en dernier. Bien évidemment Damien fixa en permanence sa prof, il s’était réjouit de la voir porter une jupe au-dessus du genou. Il avait maintenant un signe évident de son début d’emprise sur elle. Il en était rassuré et enthousiasmé. Rassuré car bien qu’il avait senti par des petits signes qu’elle pouvait être comme sa mère, il n’en avait jusqu’alors jamais été totalement sûr et lors de leurs récents échanges il avait un peu joué à quitte ou double. Mais il ne s’était pas trompé et cela renforça encore sa confiance en lui. A la fin du cours il attendit que tous ses camarades soient partis avant de l’aborder. Elle était assise à son bureau et n’osait pas le regarder. « – Tu as de très jolies jambes, tu vois c’était dommage de les cacher. »
« -Damien, c’est intolérable, tu ne peux pas me parler de cette façon. »
« -Tu n’apprécies pas les compliments ? »
« -Ce n’est pas ca, d’abord ce n’est pas correct de me tutoyer Damien, ensuite tu comprends que l’on ne dit pas ce genre de chose et surtout de cette façon à son professeur, mais… merci tout de même pour ce compliment. » Balbutia Claire dans un état qu’elle avait du mal à identifier, partagée par la gêne et l’excitation, se rendant compte qu’elle venait de dire une chose et son inverse dans son propos.
« -Allons, tu sais bien que l’on a dépassé ce stade maintenant. A partir de maintenant tu vas m’obéir, tu feras tout ce que je te dirais. »
« -Tu crois que parce que j’ai mis une jupe plus courte ça veut dire que je vais t’obéir aveuglément ! Eh bien tu trompes, j’ai mis cette jupe parce que j’en avais envie, ça n’a rien à voir avec toi. »
« -Tu sais que c’est faux, tu tentes encore de résister à ta nature, mais tu y succomberas plus vite que tu ne crois. » commenta Damien, en observant sa prof qui était restée assise face à lui et lui répondait en évitant son regard. Elle transpirait la soumission et Damien s’en délectait.
« -Je ne suis pas comme ça et je ne mettrais pas de jupe plus courte que ça. » tenta désespérément Claire.
« -Ce n’est pas ça que je te demanderais, je ne voudrais pas que tous ces abrutis du collège se mettent à te reluquer encore plus et à se poser des questions. Je te veux que pour moi, alors tu vas te lever et remonter ta jupe pour me faire voir tes cuisses. »
« -Tu es complètement fou, tu… tu dois te faire soigner, tu te rends compte de la façon dont tu me parles. Je vais convoquer tes parents. » Bredouilla claire qui ne savait plus comment faire pour résister a l’envie de lui obéir.
« -Je suis sûr que ma mère serait enchantée de faire votre connaissance. » Ricana Damien. « Bon je dois y aller on m’attend. » conclut-il sachant avec l’expérience acquise auprès de sa mère qu’un peu de temps servait aux femmes à accepter leurs tendances et les attisait même probablement.
Claire se sentit soulagée mais aussi paradoxalement frustrée qu’il ne la pousse pas plus dans… Oui dans quoi ? se dit-elle, mes envies, mes pulsions de soumissions. Mon dieu dans quoi je suis en train de tomber se demanda-t-elle alors qu’une larme coulait sur sa joue. Durant l’après-midi Claire tenta de se changer les idées en faisant du shopping mais son esprit était hanté par l’échange qu’elle avait eu avec Damien et aux pulsions de plus en plus fortes qui se répandaient en elle. Durant la nuit elle eut des rêves érotiques et dépravés de soumissions. Elle se réveilla et se masturba pour calmer le feu entre ses cuisses.
Jeudi
Elle remit sa jupe mais ce n’est qu’une fois au collège qu’elle se rendit compte qu’elle n’avait pas cours avec la classe de Damien ce jour là. Elle en fût désappointée, elle tenta de le voir durant la journée mais elle ne l’aperçut même pas. Elle se demanda si elle devait y voir un signe lui indiquant l’erreur qu’elle était en train de commettre. Bien qu’elle sache déjà qu’elle se fourvoyait, la raison lui dictait, lui hurlait de tout arrêter tant qu’il en était encore temps, mais son état de transe qui la poussait à le rechercher, le quasi manque qu’elle éprouvait lui firent comprendre qu’il était déjà trop tard, que le point de non retour avait été franchi sans même qu’elle s’en aperçoive. Elle songea qu’elle n’avait même jamais eu l’intention de prévenir le directeur des agissements de son élève, c’était suffisamment révélateur de l’appétence fulgurante qu’il avait éveillée chez elle. Le soir elle ne put s’empêcher de rechercher sur le net des sites et des histoires de femmes soumises, elle se masturba de nouveau en imaginant Damien comme le maître de ses femmes et elle l’une d’entre elles.

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