Après une année difficile dans le cadre de nos études, nous avions décidé avec quelques amis de nous retrouver chez l’une d’entre eux, Manon, pour fêter notre réussite.
Manon n’est pas une fille exceptionnellement belle mais son côté charnel et ses formes généreuses ont toujours attirés mon regard au fil des heures passées dans les amphi ou pendant les soirées.
Brune, un visage chaleureux, des seins d’apparence lourds et généreux, elle est désirable et sait mettre en valeur ses formes sous ses vêtements.
Nos relations se limitaient cependant à des contacts amicaux, sans confidences ni intimité mais une bonne entente : Des bons copains de fac.
Bien qu’elle fut souvent l’objet des mes fantasmes, je n’avais jamais entrepris de m’en rapprocher pour tenter une relation plus qu’amicale.
De son côté, elle ne semblait pas non plus attirée par moi, d’autant qu’elle avait un copain, Marc, que nous ne connaissions pas beaucoup dans la bande de copains.
Il était donc prévu que nous nous retrouvions dans l’appartement de Manon, qu’elle partageait avec une colocataire, et que la soirée soit sous le thème du déguisement.
Lorsque j’arrivai à la soirée avec une heure et demi de retard , je fus assez surpris par l’accueil de Manon visiblement déjà bien alcoolisée.
Descendue au rez-de-chaussée de l’immeuble pour m’ouvrir, elle me sauta dessus, passant ses jambes autour de ma taille.
Vêtue d’une robe de mariée, je la portais en lui tenant les fesses. Mes mains avaient glissé sous sa jupe lors de son assaut et se trouvaient donc directement en contact avec sa peau et son string.
Je la portai ainsi jusqu’au premier étage alors qu’elle me murmurait que ce n’était pas sympa d’arriver en retard.
Arrivé dans l’appartement, je la reposai délicatement mais celle-ci s’éclipsa immédiatement.
Il y avait beaucoup de monde pour un si petit logement. Je saluai les personnes que je connaissais et me présentai aux inconnus. Je remarquai aussi que la totalité des convives était déjà bien alcoolisés, voire trop pour certains.
A l’aise avec toutes les personnes présentes, je faisais le tour, allant d’un invité à l’autre, discutant avec tout le monde, et surtout, buvant autant que les autres. En quelques minutes, je me retrouvai dans le même état d’ivresse que la majorité des personnes présentes.
Je n’avais plus revu Manon jusqu’au moment où je décidai de me poser sur un bout de canapé pour laisser passer un petit vertige d’ivresse.
C’est à ce moment que je la vis arriver vers moi, titubant un peu. Elle s’assit sur mes genoux et me demanda si je m’amusais. Mon grand sourire et mes yeux vitreux lui donnèrent la réponse.
Elle posa sa tête au creux de mon cou et nous restèrent comme ça sans parler pendant un moment, digérant l’alcool.
Son poids sur mes jambes et sur mon sexe me procurèrent une semi érection que je tentais de contrôler. Mes mains posées sur ses cuisses, j’évitais de faire le moindre mouvement pour éviter que la bosse sur mon pantalon ne grossisse encore plus.
J’aimais cette situation mais essayais de ne pas penser à des choses coquines.
Puis, d’un coup, sans que je ne m’y attende, elle me dit à l’oreille: « J’ai envie de baiser ».
Cette phrase me perturba énormément. Je réussi juste à répondre: » Trouve Marc et isole toi avec lui ».
Là, elle le désigna parmi plusieurs personnes. Il était affalé sur un pouf, complètement ivre, tenant une bouteille de bière qu’il peinait à amener vers sa bouche.
Elle ajouta d’un air un peu agacé: » Je baise toujours avec lui, ce soir j’ai envie de changer, c’est tout, mais t’es trop con pour comprendre. »
Cette rhétorique me vexa mais, en même temps me laissa dans un état d’interrogation. Je ne comprenais toujours pas sa proposition. Finalement j’étais peut être plus con qu’elle ne le disait.
Finalement, elle se leva, tirant ma main et me forçant à sortir de ce canapé si confortable.
Me tenant par la main, elle me faisait fendre la foule des invités debout ou affalés à même le sol. J’avais du mal à tenir ma route mais je me laissais conduire sans trop comprendre ce qui allait se passer.
Elle m’entraina dans la chambre de Laure, sa colocataire et me projeta sur le lit. Je sentis tout tourner autour de moi mais commençais à saisir la situation. J’allais le faire, là, dans la chambre de quelqu’un que je ne connaissais même pas, et avec Manon, habillée en robe de mariée.
A peine allongé sur le lit, j’eus une érection dure comme jamais, qui, compressée dans mon pantalon, me faisait assez mal.
Je trouvai une place confortable entre deux oreillers et ne savais plus si j’étais tenté de me laisser aller au sommeil dans un lit si confortable ou si je la désirais.
Elle mit fin au dilemme en ôtant ses talons aiguille blancs et en venant vers moi à quatre pattes.
Sa bouche se posa alors sur mon cou, me suçant la peau, ses mains tirant mes cheveux jusqu’à la douleur.
Puis peu à peu, elle descendit ses mains sur mon sexe dur, le caressant à travers le pantalon prêt à craquer.
J’enlevai mon t-shirt à sa demande avant qu’elle ne commence à me lécher le torse, le ventre, les côtes. Elle exigeait sans le dire explicitement que mes mains restent le long de mon corps.
Mademoiselle voulait tout prendre en main.
Après avoir humidifié toute la partie supérieure de mon corps, sa bouche se posa sur mon pénis qu’elle croqua à travers mon pantalon. Je me trouvais déjà au septième ciel.
C’est alors qu’elle se redressa un peu et entreprit d’enlever mon jean. J’essayai de défaire ma ceinture mais elle replaça mes mains le long du lit avec autorité.
Au bout de quelques secondes, elle avait ôté le pantalon et le caleçon.
Elle observa pendant quelques secondes mon sexe dressé avant de le prendre avec les deux mains et de commencer à le masturber lentement.
Elle se passa alors une main sous la jupe et commença à se masturber alors que son autre main glissait désormais très rapidement le long de ma verge, écrasant quelques fois mes testicules.
Puis, penchant sa tête vers mon pénis, elle lécha mon pubis puis mes cuisses avant de laisser aller sa langue sur mes testicules, tout en continuant à masturber mon sexe.
Chaque geste me laissait croire qu’elle allait le prendre dans sa bouche mais à chaque fois, elle redescendait pour embrasser une autre partie de mon corps.
Au bout d’un certain temps finalement, elle avala littéralement mon sexe, le logeant dans sa bouche chaude. Elle alla jusqu’au bout et resta comme ça sans effectuer de mouvement, le laissant pénétrer au fond de sa gorge.
Mon pénis était pris de petits spasmes au fond de sa bouche. Elle commença alors à faire des aller-retours, me pompant jusqu’au bout avec sa bouche humide. J’apercevais un peu de salive coulant le long de ma verge, qu’elle effaçait à chaque passage avec sa bouche chaude.
L’envie de jouir me prit très vite et mon état d’ivresse ne me permettrait pas de me contrôler.
Je décidai alors de laisser venir la jouissance mais la prévins de l’arrivée de ma semence.
Contre toute attente, elle n’ôta pas sa bouche mais accéléra le mouvement.
C’est alors que j’explosai de toutes mes forces au fond de sa bouche alors qu’elle me pompait encore plus vite. Ce fut tellement fort qu’elle laissa échapper un petit gloussement.
Je vis alors ma semence couler hors de sa bouche et glisser le long de mon sexe encore dur.
Elle ralentit le mouvement, ôtant sa bouche de mon pénis tout en le tenant avec la main.
Elle me masturba un instant, me dévisageant puis se leva et alla ouvrir la commode de la colocataire dans laque elle pris un sous-vêtement de style boxer. Elle se remit à genoux face à moi et cracha le sperme qu’elle avait encore dans la bouche dans ce qui appartenait à son amie avant de m’essuyer le sexe avec le même sous-vêtement.
A peine avait-elle terminé sa séance de nettoyage qu’elle se leva, tentant de garder l’équilibre sur le lit, et ôta son string qu’elle jeta sur le sol, tout en gardant sa robe de mariée.
Se remettant à genoux, elle jeta un œil à mon sexe qui avait désormais retrouvé sa position de repos.
« Il est déjà fatigué ? » me demanda-t-elle, » En plus il doit être tout collant maintenant ! »
Elle posa alors sa bouche sur ma verge et la pompa encore, la laissant grossir dans sa bouche jusqu’à atteindre une érection moyenne.
Ayant terminé de me remettre en forme, elle se mis à quatre pattes et releva sa robe jusqu’au haut du dos, me dévoilant son vagin et son anus totalement imberbes.
J’approchai alors ma tête de ses fesses et l’embrassa du bas du dos jusqu’à la pointe des orteils.
Puis je luis léchais les pieds avant de remonter le long de ses cuisses jusqu’à atteindre son vagin rose. Je l’embrassai quelques instants avant d’y glisser ma langue. J’allais le plus loin possible à l’intérieur, sentant qu’elle était déjà très humide. Alors que ma langue se perdait dans son minou, mes mains lui caressaient les fesses et je me hasardai à frôler son anus avec un doigt.
Voyant qu’elle ne s’y opposait pas, j’humidifiai un peu ce doigt et l’insérais peu à peu au fond de ses fesses. Les aller-retour de ma langue dans son vagin et de mon doigt dans son anus suffisaient à la faire mouiller fortement. Cela dura environ cinq minutes avant qu’elle ne me m’ordonne:
« Prend moi maintenant, prend moi vite »
Je continuai un peu de la masturber avec mes doigts pour faire prendre à mon sexe une forme adéquate.
« Allez, tout de suite, je veux baiser ».
Son impatience était excitante.Je me plaçait derrière elle pour la prendre en levrette.
Je guidai mon sexe vers son vagin et le laissai glisser à l’intérieur, sans difficulté tant elle était humide.
Je fus accueilli par une sensation de chaleur intense à l’intérieur et commençai par de petits vas-et-viens, assez lents.
Elle gloussait et laissait échapper des petits « oui », « comme ça » ou « c’est trop bon ».
Je devais certainement moi même mugir mais je ne m’en rendais pas compte.
Une de mes mains lui donnait quelques claques sur les fesses pendant que l’autre lui compressait les seins.
Elle jouissait sur mon sexe y faisant couler son liquide.
J’accélérai alors le mouvement, de plus en plus vite, la tapant plus fort sur les fesses et lui tirant les cheveux de sorte à ramener sa tête en arrière.
Elle s’enfonça la tête dans un oreiller pour ne pas hurler.
J’insérai un doigt dans son anus alors que mes mouvements s’intensifiaient.
Je l’entendis gémir, je la senti jouir encore sur ma verge et ce fut suffisant pour faire monter la jouissance en moi.
Au moment de venir, je me retirai et entrepris une petite masturbation, le temps pour elle de se retourner et de placer sa bouche sous mon sexe pour en prendre la semence.
J’éjaculai dans sa bouche encore une fois. Elle prit tout jusqu’à la dernière goutte avant que je ne m’effondre sur le lit. Elle repris le sous-vêtement de sa colocataire déjà souillé pour s’essuyer la bouche et m’essuyer la verge. Après quoi, elle s’allongea à mes côtés, la tête sur mon ventre.
Nous restâmes comme ça quelques minutes avant que je ne me lève pour me rhabiller. Elle fit de même.
La simple vision d’elle remettant son string et replaçant sa robe me donna envie de la prendre à nouveau.
Elle sorti d’abord et me fit signe que la voie était libre.
Je la revis quelques jours plus tard à la fac. Elle me demanda simplement de ne pas ébruiter ce qui s’était passé afin que son homme n’en sache pas un mot. Son comportement ne me montra pas si ce moment serait unique ou si il se reproduirait.
Elle me raconta simplement que sa colocataire avait trouvé un de ses sous-vêtements rempli de sperme dans sa chambre et qu’elle recherchait le pervers qui s’était masturbé dans sa chambre lors de cette soirée
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