Comme tous les vendredis je vais à la piscine pour me détendre après une longue semaine de cours.
L’avantage de cette piscine hormis le fait qu’elle soit à quelques rues de chez moi et qu’elle fasse nocturne vendredi et samedi soirs. J’arrivais donc vers 19h30 comme à mon habitude, montrant ma carte d’abonnement à l’accueil et me dirigeant vers les vestiaires. A l’intérieur les derniers nageurs se rhabillaient, le vestiaire se composait de quelques cabines pour ceux qui voudraient un peu d’intimité et de l’autre côté d’une trentaine de casiers pour ranger ses affaires et au milieu de la pièce 2 longs bancs, au fond on trouvait aussi les douches collectives. Je pose mon sac sur un banc, déboutonne ma chemise et retire mon jean, c’est juste en boxer que j’entreprends de sortir serviette, maillot et gel douche de mon sac. On ne peut pas dire que je sois pudique, au contraire j’aurais même un côté exhib devant tous ces mecs !
Tout d’abord une présentation s’impose: Cédric, 20ans, 1m85 et 70kg de muscle du à de nombreuses années de sport (rugby, natation et un peu de muscu), relativement bien poilu (sur le torse notamment) et faisant volontiers partager ma 3ème jambe de 21 cm par 6. Bi.
Je quittais finalement mon Calvin Klein pour enfiler mon slip de bain
Un slip oui, bien que je déteste ça j’ai dû me résigner le règlement était très clair sur ce point. J’ai donc dû ressortir le slibard speedo bleu que je mettais quand j’avais 14 ans. Est-ce qu’il me va toujours? Sincèrement avec ça je pourrais être inculpé d’attentat à la pudeur; je ne dépasse pas de tous les côtés mais par contre plus moulant ce n’est pas possible et une fois mouillé c’est pire! Heureusement que je suis quasiment toujours seul. Je sortais du vestiaire la serviette sur l’épaule, mon slibard moulant sur le cul et tous poils dehors (du torse je précise) et me dirigeais vers la piscine, passant dans le pédiluve gelé. Il s’agit d’une piscine de 50m, idéale pour s’entrainer, tout autour il y avait des transats et au plafond une immense verrière permettait d’admirer le ciel. Je plongeais dans l’eau qui était plutôt bonne. Je fis quelques allers retours, et après quelques rotations je me reposais sur le rebord. C’est à ce moment-là que je le vis arriver, un jeune mec d’à peu près mon âge, l’air sud-américain, les cheveux noir courts et frisés, la peau mat, le torse imberbe mais plutôt bien dessiné sans être vraiment musclé, une épaisse ligne de poils noirs partait de son nombril vers son slip de bain vert foncé qu’il lui allait très bien et qu’il avait l’air de bien remplir par devant. Mais ces surtout son cul qui attira mon regard. Je repris mes traversées et pendant que je me reposais un peu il me rejoint, « Salut » me dit-il
_ » Salut, c’est la première fois que je te vois ici
_ouais je sais d’habitude je viens plus tôt mais là j’ai trainé avec un pote
_ha ok
_mais t’es seul alors à cette heure-là!
_ouep! Tout seul
_tu peux nager tranquille comme ça
_ouais c’est sûr » c’est sur ce genre de banalité que nous continuâmes à discuter, j’appris qu’il s’appelait Paolo, venait tout juste d’avoir 18ans et était en France depuis quelques mois, il participait à un échange avec son lycée. Bref.
_Bon je vais sortir » lui dis je
_ »Je te suis! »
Une fois hors de l’eau je le vis me fixer
_ »un problème?
_…euh non désolé j’ai buggé, je me disais juste que dans l’eau on s’en rendait pas compte mais t’es vachement impressionnant, t’es super baraqué
_ha ben merci mec, toi aussi t’es bien foutu tu sais en plus t’as un sacré pacson d’après ce que je vois » lui dis-je avec un clin d’œil
_ »ouais ça va je me défends bien mais c’est rien comparé à toi, pour remplir ton calbut comme toi il doit y avoir du matos!
On allait tous les deux dans les vestiaires pour se doucher, j’avais préparé ma serviette sur un banc et pris mon gel douche avec moi, mon beau Paolo avait fait comme moi, on allumait l’eau, j’attendis qu’elle chauffa pour faire tomber le maillot, mon camarade paraissait surpris. Je le regardai et lui dis « alors tu fais ton pudique? » il me regarda droit dans les yeux, se tâta le paquet et baissa son slip qu’il lança hors des douches.
On se détaillait mutuellement tout en se savonnant, mes soupçons s’avérèrent vrais; il avait une super chute de reins avec un cul rebondie et musclé, couvert de fin poils bruns qui s’épaississaient a l’approche de sa raie et de ses cuisses bien développées. De l’autre côté pendant innocemment sa queue au repos, une dizaine de centimètres peut-être avec deux couilles pendantes en dessous. C’est en remontant le long de son torse je croisai son regard remontant lui aussi…On rit ensemble de la situation après tout entre mecs ça arrive (niez pas on l’a tous fait!!). Je commençais même à avoir la gaule tout comme mon voisin qui ne lâchait pas ma teub du regard. Nous sortîmes ensemble de la douche. Me sécha vite fait, le torse encore humide je remettais mon boxer, ma grosse barre bien raide déformait mon caleçon, d’ailleurs Paolo avait revêtit lui aussi un boxer, DIM rouge tendu par la queue bandée du jeune brésilien.
_ »Putain elle est vraiment grosse! » me lança-t-il en désignant ma queue du doigt
_ » Ça va ouais je me défends bien, t’es pas mal monté non plus d’après ce que je vois
_Ça va j’en suis content » me dit-il en rigolant « Tu dois en serrer des meufs avec un pieu comme ça!
_C’est vrai ça aide pas mal et pas que pour les meufs
_t’es bi?
_ouais j’aime bien les mecs aussi
_ça tombe bien
_pourquoi?
_moi aussi » en disant cela il s’approcha de moi passant une main timide sur mon torse.
Je le saisi par les hanches et lui roula une pelle dont il se souviendra toute sa vie j’espère, chacun jouant avec la langue de l’autre, il gardait une main sur mon torse mais il descendit l’autre le long de mes abdos et vint saisir ma queue plus dure que jamais à travers mon CK ce qui me fit frémir de plaisir, je glissais mes mains de ses hanches à son cul bien ferme, vu comment il ondulait ‘il appréciait la caresse. Il descendit, déposait baisers et léchouilles dans ma nuque, appuyant ses mains sur mes épaules, passa sa langue chaude et humide et chacun de mes pecs, travaillant mes tentons dure sous ses doigts, il les suça, les mordilla. Je ne pouvais m’empêcher se soupirer de plaisir. Ce petit gars-là y faire décidément!
Il continuait sa descente passant sa langue sur mes abdos, se trouvant alors à genou devant moi. Il reprit ma queue en main à travers mon calbut et palpa mon paquet bien lourd, massa mes couilles et mon chibre raide tendant le tissu il lécha ma pine sur toute sa longueur avant de le sortir et de la prendre en bouche, elle rentrait presque entièrement ce que peu de mecs arrivait à faire, le rythme n’était ni trop rapide ni trop lent, il plaça une main sous mes burnes et l’autre sur mon torse. Il se débrouillait vraiment bien et du le stopper au bout de quelques minutes tellement son traitement était efficace. Je vins l’embrasser de nouveau, il répondit avec fougue à mes baisers mais je quittais sa bouche pour sa nuque, son torse sur lequel je passais et repassait aussi mes mains, sa peau halée était brulante, ses tétons se dressaient sous ma langue humide, je reprit ma descente le long de ses abdos sortant sa queue de son caleçon je léchais tranquillement cette longue tige de haut en bas avant de l’engouffrer presque entièrement dans ma bouche alternant mouvements rapides et lents faisant gaffe à mes dents, il avait fermé les yeux et me caressait les cheveux, sa respiration s’accélérait, je vins m’occuper de son gland bien gonflé, j’y prodiguait d’énergiques coups de langue. Il se recula soudainement pour éviter de gicler. Je me relevai et lui roula une bonne pelle, il se collait contre mon corps, s’accrochant à mes épaules larges je descendis mes mains sur son cul musclé, passant un doigt dans sa raie, osant venir le poser sur sa rondelle ce qui ne le laissa pas indiffèrent vu le sursaut qu’a eu sa queue, coincée contre la mienne. Il se retourna, mit ses mains derrière ma nuque et frotta son cul contre ma queue bandée. Je mis mes mains sur son torse et accompagna ses mouvements de reins ma queue bien calée entre ses fesses.
_ »fais-moi le cul!! »
Il n’eut pas besoin de répéter, je le mis en levrette sur un banc, son cul affamé bien cambré et langue léchant sa rondelle offerte. Sous mes petits coups de langues il ondulait du cul, je passais à une caresse plus langue essayant de recouvrir entièrement son trou de ma langue et remontant lentement le long de sa raie. Une fois cette étape je dardai ma langue et l’enfonça dans le cul de mon jeunot, son ne présenta aucune résistance je m’enfonçais comme dans du beurre. Mais mon beau latino ne cachait son bonheur il gémissait de plaisir à chaque fois ma langue touchait son trou. Pas étonnant dans ce cas qu’il soit déjà ouvert. Je lui mis alors un, puis deux, puis trios, puis quatre doigts!! Truc de ouf! J’enfilais alors une capote et sans utiliser de lub je m’enfonçais lentement dans son cul chaud et bien ouvert
_ » Ça va?
_Putain c’est gros
_J’en suis à la moitié
_He merde!
_Tu veux que je ressorte?
_Ho surtout pas tu j’ai trop envie que tu me prennes mec! »
Je continuais donc à m’enfoncer, mon compagnon commençais à gémir et à souffler, je le sentis soulagé lorsque mon corps vint buter contre ses fesses. Ma queue avait rarement été aussi serrée dans un cul. De là je commençais un lent mouvement de va et vient et mon jeune ami se cambra permettant ainsi une pénétration un peu plus profond, ses muscles se desserraient peu à peu et je ne lui épargnais aucun centimètres, je m’enfonçais bien jusqu’à la garde. Il se mit se le dos, les jambes en arrière, son trou était bien ouvert, j’y introduisis trois doigts sans peine, je vins le reprendre sur ma queue, cette fois plus sèchement ce qui lui arracha un gémissement, je sortais aussi sèchement avant de me replanter entre ses fesses musclées et ainsi de suite. Ce missionnaire tout en profondeur tout rendait fous, ma queue dans se fourreau étroit et brulant. Je changeais de rythme avec de grands mouvements rapides, non compagnon poussa de grands gémissements et s’agrippa à mes gros pecs. Je vins me coucher contre lui, nos muscles s’entrechoquant, son torse luisait de sueur et de mon côté tous mes muscles étaient gonflés par l’effort. Il décida qu’il était temps de changer de positions, nous voilà en levrette, moi debout, les jambes de part et d’autres du banc il vint lui-même s’empaler sur mon chibre raide, je le pris par les hanches et vint le baiser rapidement, lentement j’alternais lez vitesse et il ne cessait de gémir
« _ha tu la sens bien ma grosse queue hein!?
_putain ouais vas-y démonte moi c’est trop bon!!! »
Il ne m’en fallu pas plus, je décula, le leva et le plaqua contre un mur carrelé, il cambra son cul que je pénétrai lentement pour lui laisser apprécier la longueur de ma bite. Debout je le baisais bien, les poils de mon torse caressant son torse, ma queue profondément planté en lui il poussa un gémissement plus fort que les autres, son cul se serra et je vis son foutre couler le long du carrelage froid. Je décula, le mit à genoux, vira la capote et lui enfonça ma queue en bouche, il ne se fit pas prier et me prit en gorge profonde, il me suça goulument jusqu’à ce que ma jute, qu’il avala, ne sorte. C’était une des meilleures giclée que j’ai pu produire, j’ai pris un pied de malade et lui a eu du mal tout avaler. On resta l’un contre l’un, sa main caressant mon torse. Il se leva s’habilla et partit. Quelque minutes plus tard ce mon tour, calbut, T-shirt,jeans, je prit mon sac et sortit du vestiaire
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