Histoires de sexe arabes Histoires gays

Sylvain/Sylvianne

Sylvain/Sylvianne



Voici un Texte qui date déjà de Nombreuses années et qui avait été publiée dans le magazine « Démonia » aujourd’hui disparu.

Voici tout d’abord récit de « la Soumise »

C’est a la demande de mon amie que je vous écris, votre revue qu’elle achète régulièrement l’a décidée, il y a de cela six mois, à mettre en pratique ses fantasmes.

Elle a cinquante ans, j’en ai vingt-cinq et nous n’avons pas d’enfants. Jeanne ne le veut pas. J’avoue que cette idée ne m’enthou­siasme guère. Jeanne est divorcée, mariée très jeune elle a élevé son fils Pierre avant de se séparer. Très active, sa vie professionnelle a tou­jours beaucoup compté pour elle et son ex-mari n’admettait guère cela d’où l’échec de leur union.

Et puis, Jeanne est très autoritaire. II y a un an j’effectuais un petit boulot en contrat à durée déterminée, dans son entreprise, lorsqu’elle me dragua.

Très vite je me laissai faire, elle m’invita à dîner au restaurant, me fit carrément la cour pour terminer chez elle de la façon la plus naturel­le qu’il soit, par une bonne partie de jambes en l’air. Enfin surtout les miennes, puisqu’elle se mit sur moi et menu la ronde de bout en bout…

Lorsque mon contrat prit fin, elle me proposa de vivre avec elle, j’acceptai, c’était mon premier vrai flash d’amour. Et sa compagnie me rassérénait. Ma position de chômeur, les risques d’une telle situation et, faut-il l’avouer, le confort de la chose me conquirent.

Aujourd’hui, tout est bousculé.

Dès le début de notre vie commune, Jeanne a exigé de moi une complète disponibilité ; je n’avais qu’à m’occuper de la maison, de toutes ces tâches qui ne l’attirent guère, elle ramenait, ce qui est exact, suffisamment pour le couple. Son fils travaille.

Et donc c’est tout naturellement que je suis devenu la femme au foyer assidue qu’elle désirait que je sois. J’ai fait de réels progrès en ménage, cuisine, couture, tricot et repassage, et j’en passe. Tous les matins après que mon ménage est fait, je pars faire les courses, à pied. Je n’ai pas besoin de voiture me dit-elle. J’ai un budget journalier pour cela, et mes magazines (autorisés : Modes et Travaux, etc…)

Mais parallèlement, ma vie a basculé. Depuis un an, Jeanne, pre­nant pour exemple les nombreux témoignages de maîtresses fémini­sant leurs soumis, exige que je vive en femme complètement. J’ai un corps mince, mon visage était celui d’un adolescent. Une épilation élec­trique a suffi à nettoyer mon visage de tous poils disgracieux, et je vais, avec Jeanne, chez l’esthéticienne deux fois par mois. J’ai appris à me maquiller, je dois être très sophistiquée, à me coiffer, je suis actuelle­ment rousse et bouclée.

Jeanne a durant six mois corrigé sévèrement tout excès de virilité. Le plus souvent une gifle, une réprimande, même en public, suffisaient : aujourd’hui plus besoin d’être surveillée et punie, je me sens femme, me comporte comme telle à chaque seconde. Je vis donc complètement mon nouveau sexe dans et hors de la mai­son. Ses amis, sa famille, sont tous au courant et je fais partie du pay­sage maintenant, lorsque des gens viennent dîner, c’est à moi que l’on offre des fleurs, et moi qui m’occupe de tout. Je ne pourrais plus me passer de tous ces petits privilèges de ma condition. Vêtements, maquillages, regards chasseurs des mecs, parfums, séances chez l’esthéticienne, au salon de coiffure, soumissions, bijoux de coquette, de soumise, etc.

Sexuellement je suis comblée. Baisée tous les soirs par Jeanne ou Pierre, engodée à longueur de journée, je ne vis que pour ces instants où je ne suis que femelle violée, soumise, et conquise. Pierre a vingt ­quatre ans, c’est lui mon Jules et maître lorsque sa mère n’est pas là. Lui me punit plus durement si je faute, mais j’aime font ses corrections qui m’enfoncent plus encore dans la dépendance.

Voilà, il est bientôt l’heure de préparer le dîner, ils vont rentrer. Je dois être sexy pour. servir l’apéritif, le repas et après la vaisselle… Et les exciter. Je suis pleine tous les soirs, la ceinture de chasteté m’inter­dit tout plaisir solitaire. Je ne suis vidée, comme une vache que l’on trait, à quatre pattes, que le dimanche soir, dans la baignoire. L’absti­nence et la compression de la ceinture et de la gaine que je porte en permanence font que lorsque je suis vidangée, comme dit Pierre, je crie de plaisir.

Maintenant, je dois garder un gode dans la bouche pendant ma délivrance. C’est aussi le cas d’une amie, Suzy, que sa femme a soumise depuis quelques mois.

J’imprime, j’éteins l’ordinateur de Pierre, cette histoire folle est ­vraie, vivement d’autres confessions de maris féminisés pour donner d’autres idées à nos maîtresses adorées.

SYLVAIN/SYLVIANNE

Et le récit de sa Maitresse:

Je viens de lire la lettre de Sylvianne que je lui ai effectivement ­demandée de rédiger.

II me paraissait nécessaire d’y ajouter l’avis de sa maîtresse. Lorsque je l’ai rencontré la première fois dans les conditions décrites ci-avant, Sylvain était un jeune homme déjà particulièrement sujet à la soumission par un tiers, précieux, comme l’on dit ­parfois. J’entends par là qu’il était efféminé. Ayant vécu une expérience désastreuse avec un homme pas trop viril et macho, j’ai tout de suite compris l’usage que je pourrais tirer de ce jeune oiseau. Pour m’être renseignée, j’appris qu’il vivait seul, et n’avait pas d’attaches étant ­orphelin. Ceci me facilita grandement l’approche.

Dès le premier ins­tant, j’avais décidé de faire de Sylvain un travesti présentable, sexy, et bien évidemment totalement soumis. Certainement en réaction à mon histoire conjugale précédente où je dus me battre chaque jour pour être la femme indépendante que je suis devenue.

J’ai donc respecté « mon plan » et aujourd’hui, avec l’aide de Pierre qui, c est vrai l’emmanche « en réel », se fait sucer, régulièrement, j’ai une vraie petite ­poupée à ma disposition. Elle n’a rien à elle, je garde ses papiers, et des photos suggestives prises pendant ses ébats me permettent de palier à toute envie d’indépendance. De plus, mon fils a à disposition chez sa mère le nécessaire pour se soulager dans les meilleures conditions. Sans vivre une relation de type homo.

II va sans dire que, de ce fait même Sylvianne doit être une vraie femme tant dans son allure, son maintien, que sa tenue. Je dis bien une femme, une épouse soumise et « annexée » et non une catin vulgaire, prêtée à qui la désire. Elle doit dès le lever, à sept heures, aller faire sa toilette, pour se présenter fardée, poudrée, parfumée, sexy etc. Je lui ai appris ces derniers mois a se comporter en femme-femme, à l’excès. Souvent, alors que je prends mon petit déjeuner au lit, elle œuvre entre mes jambes, ou entre celles de Pierre, qui la termine en levrette. Ma méthode n’est pas celle employée par la plupart des dominatrices dont je suis les témoignages. Pour moi, le réel dressage s’effec­tue le moins violemment possible, mais à l’aide de multiples humilia­tions, publiques, privées. Leurs fréquences créant chez le sujet un véri­table conditionnement en profondeur à caractère quasi définitif. Bien évidemment, il m’est arrivé, et cela arrivera de nouveau, de la gifler,de la battre. Ceci n’est qu’un moyen, jamais une fin. Nul besoin d’éle­ver le ton. Cette méthode a donné des résultats spectaculaires chez Sylvianne qui est aujourd’hui le type même de la poupée maniérée. Entrée dans son subconscient, elle sera toujours marquée.

Une amie a entrepris un dressage de ce type sur un petit mâle, que rien ne prédis­posait pourtant à première vue, et cela fonctionne à merveille. Il tra­vaille maintenant dans son institut après avoir passé un diplôme d esthéticienne dans un cours privé, sur les injonctions de son épouse. Lui, qui était employé de banque, très jeune cadre dynamique, est méconnaissable en employée soumise et coquette, au point que même son épouse s’en étonne lorsqu’elle le voit remplir sa tâche à l’institut, et à la maison.

Enfin, lorsque Sylvianne me satisfait, elle est récompensée systématiquement par des gâteries (enculades…) ou des présents (par­fums, guêpière, rouge à lèvres …) que nous allons acheter ensemble.

Depuis le début j’ai pris l’option de la mise à l’épreuve des regards dans la rue, où que nous soyons, et fais en sorte pour que chacun sache ce qui se cache entre ses jambes, gainées et lisses.

Cette révélation lui fait toujours autant d’effet, elle baisse les yeux et a honte. Parfois, lors d’essayages, je lui demande de relever sa jupe pour que la vendeuse constate. Idem chez le coiffeur, ou en présence d’amis. Curieusement, les gens me donnent l’impression de me respecter d’autant plus…

La première fois que je l’ai sortie pour la féminiser, dans un insti­tut (celui de mon amie), je ne l’ai pas avertie. C’est en jean et tee-shirt que je l’ai amenée. Elle en est ressortie maquillée comme un coucou, parfumée, épilée, mais toujours vêtue en garçon.

Ensuite, je la fis marcher devant moi, les passants effarés se retournaient, certains se moquaient, d’autres la pelotaient au passage. J’avoue que mon excitation était à son comble. Nous sommes ensuite allés lui acheter des escarpins, puis un sac à main, et tous ces acces­soires indispensables à sa féminité, dont elle raffole.

Nous ressortions, et toujours derrière elle, j’observais. Puis, j’ai ter­miné cette première séance par le salon de coiffure où j’avais pris ren­dez-vous pour nous deux. Elle, de son côté, moi, du mien, je l’obser­vais. Je lui avais ordonné de se faire faire une coiffure à la Marylin, cheveux blonds blancs. C’est elle qui a réglé, elle m’a attendue un peu plus loin, sur le trottoir. N’ayant pas de poitrine, lu rue se retournait sur la pauvre chérie.

Quand j’en ai fini, je suis passée devant elle sans rien dire, elle m’a suivie jusqu’à l’auto. Et nous sommes rentrés. Ce fut pour moi un immense instant de bonheur et de plaisir que d’apprécier mon œuvre et son effet. J’ai su clairement à cet instant que je disposais de l’époux idéal.

Dès que nous sommes entrés, je ne l’ai plus appelée que Sylvianne,et sans explications superflues elle a compris ce qu’elle se devait d’être et comment. Je n’ai plus besoin d’ordonner, il est évident qu’elle est la femme et donc accepte tout sans même s’étonner. Lorsque je suis avec une amie, ou un ami, en voiture, elle monte docilement derrière, se remaquille régulièrement, et va même, sans que je lui ai demandé, à porter des tampons une fois par mois !

Voilà où nous en sommes, Pierre est, c’est exact, plus dur mais que jeunesse se passe, et mon tra­vesti apprécie. Je n’ai pas encore étudié la possibilité de l’hormoner définitivement, mais cette idée fait son chemin. En tout état de cause elle gardera sa triplette entre les jambes jusqu’à ses vieux jours.

Un dernier mot pour m’étonner que nous n’ayons pas plus de reportages, conseils, sur cet aspect des rapports femme-homme, qui à la lecture des annonces paraisse ou de la presse en général, sont répondus, et demandés par tant de maris délaissés. L’homme est une femme en devenir éprise de la soumission que nous rejetons aujourd’hui, il y a là, matière à réflexion dans la lutte de remise à niveau des pouvoirs de chacun.

Jeanne.

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire