Le gland encore tout luisant de la salive de Marlène, je me tiens la bite d’une main, couché sur le côté, et je le regarde s’enfoncer doucement dans la rondelle de la petite femme rousse de bientôt 60 ans.
Petit lutin vicieux, aux formes d’adolescente effilée, j’ai l’impression d’enfiler le cul d’une jeune fille, mais une jeune fille au cul drôlement élastique et expérimentée pour se faire enculer si facilement.
De dos, je vois ces petites fesses rondes qui bougent très lentement, avalant tranquillement la grosse tige qui s’enfonce paresseusement. Je vois l’abondante chevelure rousse et bouclée de mon amante.
tu m’as de nouveau si bien léché, ma chérie, ma queue toute sensible est déjà très réceptive à l’étroit gainage de ton anus, qui est comme une petite bouche qui ne crains pas d’avaler de la grosse saucisse.
De face, la féminité mûre de ton visage vient contredire la juvénilité de ton petit corps svelte. Tu baisses tes paupières maquillées de bleu. Ta bouche sensuelle exprime le sérieux de l’expérience, la subtilité de la femme cultivée, ainsi que la provocation de la ménagère bourgeoise qui sait si bien traire une bite avec sa bouche, et dont la langue glisse dans ma bouche ou sur mes couilles comme une coulée de miel.
La première fois que tu t’es déshabillée, dans cette même pièce, j’étais surpris par l’érotisme qui se dégageait de tes petites formes.
Tes poils m’ont fait penser à de la bruyère sur la lande. J’étais impatient de te lécher, de découvrir ta vulve de rousse. J’ai toujours comparé ta mouille à un discret sirop de sureau.
Ce jardin était si rose, si délicat. tu n’étais pas surprise que je descende un peu pour te laper ton joli trou du cul.
C’est moi qui était ravi, après avoir enfoncé ma queue dans ton vagin, de t’entendre me proposer ton petit trou. Tu t’étais retournée, et véritablement cet anus mignon semblait me cligner de l’oeil.
Ainsi, dès la première fois, je t’ai enculée. Tout était prêt, tu avais ton petit pot de vaseline à portée de main.
rien n’était plus naturel que de te sodomiser, ma petite pute.
Depuis lors, je t’encule presqu’à chaque fois.
Cette petite dame soignée et finement sérieuse qui sonne à ma porte ne ressort quelques heures plus tard que l’anus fourmillant de mes coups de bite, et avec du sperme dans le derrière.
Il n’y a guère que ma vieille amante Brigitte, la bourgeoise blonde, qui ait reçu aussi régulièrement du foutre dans son cul rebondi de 73 ans.
Puisque Marlène connaît Brigitte, elle adore se faire des images salaces en me faisant raconter tous les détails. En pensée, je sodomise encore et toujours Brigitte pendant que j’encule Marlène!
Quel dommage que Brigitte soit si moraliste…Marlène adorerait partager ma bite avec elle! Je vois parfaitement avec quel sourire vicieux elle se ferait jouir en me voyant assis au-dessus du visage de Brigitte, afin que la vieille dame puisse sans efforts faire jouer mes couilles dans sa bouche.
Les langues des deux dames feraient merveille sur ma queue. La blonde à chignon et la jolie rousse malgré leur âge feraient courir leur langues comme des serpents en quête de foutre…
En se rencontrant au sommet du gland, la langue de Brigitte trouverait peut-être un agrément dans la découverte d’une langue de femme. Bien que réticente aux lesbianisme, elle se laisserait emporter dans le feu de l’action par la douceur de la femme rousse. La langue de Brigitte, désobéissant à sa tête, goûterait la langue de Marlène qui saurait l’apprivoiser, s’enrouler autour d’elle.
Pour vivre quelque chose de ce genre dans la réalité, j’ai invité Marlène au bordel de Mme Rosina.
Lorsque nous sommes entrés, la sympathiques et ronde dame brésilienne a tout de suite été conquise par la grâce distinguée de la fine Marlène. Celle-ci se sentait comme un poisson dans l’eau dans cet environnement tapissé de velours rouge. J’aimais la voir se déshabiller et poser sa jupe et son chemisier sur les mêmes chaises où, d’habitude, je ne voyais que des putes inconnues. Elle, la dame élégante, alémanique, tout en finesse, dans le royaume des grosses putains…
Rosina n’était toujours pas là. Couché sur le lit, j’invitai Marlène à s’asseoir sur ma figure, et je lançai ma langue bien dure dans sa fente qui coulait déjà.
La porte s’ouvrit pendant que je m’enivrais des liqueurs vaginales de ma rousse amante, ce qui fit plaisir à Rosina.
Sans attendre, elle monta sur le lit, déjà nue, et commença de me sucer.
Elle avança à genoux, face à Marlène. Je m’éloignai pour voir les deux femmes s’embrasser.
La fluette rouquine avec ses petits seins de gamine, et la pute aux gros nichons maternels.
C’est avec une douceur maternelle que Rosina fit coucher Marlène afin de lui laper la fente, ce qu’elle fit plutôt par professionnalisme que par goût personnel. Mais elle le fit bien, sincèrement séduite par le corps de Marlène, qu’elle caressait avec des compliments, tout en lui donnant de petits coups de langues accompagnés d’une légère succion.
J’avais envie d’enculer Marlène comme d’habitude, couché sur le côté. J’imaginais que, une fois que je me serais enfoncé dans son anus, j’aurais demandé à Rosina de faire venir les filles du bordel, afin de les saluer, et de voir Marlène faire connaissance avec elles avec une bite dans le cul.
Rosina ne trouvait pas très confortable de donner des coups de langue à la chatte de Marlène dans cette position.
Elle me demanda d’enculer mon amie en levrette.
Marlène se mit donc à quatre pattes, et Rosina se glissa sous elle comme pour un soixante-neuf.
Curieusement, Marlène ne lécha pas la chatte de la gentille dame pute, mais resta la tête en l’air pendant que je lui limais le derrière, et que Rosina, dont je distinguais le visage, tirait une grosse langue pour lécher la fente toute rose et luisante de la petite enculée.
Rosina m’avait proposé de faire venir encore une fille sur ce lit, afin de me faire bouffer les couilles. L’idée n’était pas mauvaise, mais le prix commençait à s’alourdir dangereusement pour mon budget.
C’était déjà pas mal: enculer mon amante qui se faisait lécher…et qui gémissait comme jamais! Je me lâchai sans trop attendre dans ses petites fesses.
en me retirant, le sperme commençait à couler. Rosina donnait encore de derniers coups de langue d’adieu à la fente de mon amie.
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