J’avais beau redire à ma maîtresse tout le plaisir que j’avais à sentir le vagin d’une jolie vieille dame qui s’apprivoise, qui s’assouplit, qui baîlle et finalement qui mouille et jouit sous les assauts de ma bite, elle ne voulait me présenter Odette qu’à une seule condition: ne jouir et faire jouir la vieille dame qu’oralement.
La maîtresse ne voulait pas rester passive, à regarder la saillie de l’étalon qui écume de jouissance sur la vieille bourgeoise aux gros nichons, qui devient toute rouge à force de soupirer sous les assauts de celui qui pourrait être son fils, ou même son petit-fils, et dont la coiffure devient chaotique en s’agitant sur l’oreiller, ou pendant de fougueux baisers humides et obscènes.
Non, la maîtresse se toucherait, certes, mais en contrôlant une situation qui lui offrirait des tableaux choisis, celui de l’homme debout devant la vieille dame assise, dont la chevelure blanche et soignée ondule pendant qu’elle suce. Elle guetterait les expressions évaporées de la gentille grand-mère qui prenait soin d’elle jusqu’ici, mais pas au point d’offrir son gros derrière à la langue d’un jeune homme qui lui balaie délicieusement la raie du cul en lui empoignant les fesses, ce qu’elle adore visiblement.
Odette et la Maîtresse étaient en avance. Elles étaient attablées, sur une banquette de velours rouge bordeaux, arrondie et cossue, tout au fond du salon de thé dans lequel nous avions rendez-vous. Un miroir me renvoyait l’image de la nuque d’Odette. La rigueur et le soin avec lequel elle avait ramené ses cheveux blancs en chignon provoquaient paradoxalement une excitation qui montait déjà dans mes couilles. Moins cette dame semblait obscène, et plus elle le serait au moment où elle me laisserait extraire ses mamelles de son soutien-gorge pour en téter les bouts.
-Je serai ravie de partager le sort de Bernadette, avec laquelle vous avez déjà fait connaissance, m’a-t-on dit.
La voix d’Odette, bien que mûre, me séduisait par son timbre léger et frais.
– Si vous considérez que de vous faire bouffer la chatte sans préambule est une manière de faire connaissance, alors oui, ils ont fait connaissance, précisa la maîtresse avec un sérieux désarmant.
-Pensez-vous que ce jeune homme aurait envie de laper la fente d’une vieille peau comme moi?
-Madame, ne vous dépréciez pas ainsi, dis-je avec empressement en lui touchant le bras. Je vous trouve charmante et désirable. Ce serait un honneur de pouvoir vous faire jouir, ne serais-ce qu’avec ma langue.
-Il a déjà envie de vous lécher la chatte, le petit saligaud. Vous verrez, il aimerait tellement ça qu’il faudra lui dire d’arrêter.
Les yeux d’Odette ne quittaient pas les miens. Ils brillaient à l’évocation du léchage de sa fente.
-J’aurais dû me la raser…c’est vrai, cela, que tu aurais envie de me lécher?
-S’il n’en tenait qu’à moi, je vous goûterais partout, je vous sucerais comme vous le souhaitez, ici, tout de suite, devant tout le monde…vous vous coucheriez sur la table, je relèverais votre robe, et je vous dégusterais jusqu’à ce que vos jambes se mettent à trembler, et que vous vous mettiez à crier.
-Ce serait du propre! On nous enfermerait tout de suite!
-Je suis sûr qu’il bande déjà en vous disant cela, souffla la maîtresse à Odette, qui rougissait. Vous n’imaginez pas ce qu’il en a piné, des grand-mères! Sa queue pourrait gicler pour vos soeurs aînés, si vous en aviez!
Odette avait avancé courageusement la main sous la nappe, et me palpait l’entre-jambe.
-C’est vrai qu’il bande, murmura-t-elle.
-Sortez-la lui, et branlez le.
tout en jetant des regards furtifs et amusés dans le salon de thé, Odette me sortit la queue, et commença un doux va-et-vient.
A quelques mètres, un monsieur était plongé dans un journal. Plus loin, deux dames étaient absorbées dans une conversation animée.
La main de la vieille dame était douce. Je sentais une jouissance tenace qui me chatouillait jusqu’au fond des couilles.
-ça suffit, dit la maîtresse satisfaite, dont les yeux brillaient d’une lueur perverse. ne le faites pas découiller maintenant. J’aimerais qu’il le fasse tout à l’heure, dans la chambre et sur vos seins, pas dans une serviette sous la table!
-C’est bon? me dit Odette en souriant.
-Oh oui, j’aime votre main. Je n’ose imaginer comme j’aimerai votre bouche.
-Laissez-le vous toucher, maintenant, ordonna la maîtresse. Je veux qu’il vous doigte. Regardez devant vous, parlons toutes les deux, sinon nous allons nous faire chasser de ce vénérable établissement.
Je contemplais le profil d’Odette. j’avais envie de lui coller des baisers dans le cou, tandis que ma main rampait sous sa robe, et que mes doigts s’enfilaient latéralement dans sa culotte, cherchant la fente parmi les poils doux.
A ma grande surprise, la fente de la vieille dame était déjà légèrement humide. Elle n’était pas complètement ouverte, mais très accessible. Je pinçai très délicatement son clitoris, et plongeai lentement deux phalanges dans son vagin.
Odette soupira.
Les yeux de la maîtresse flamboyaient.
J’adorais le contact poisseux du vagin de cette dame que je ne connaissais pas il y a un quart d’heure.
-Sors ta main. Goûte-là, ordonna encore la maîtresse.
Je portai mes doigts discrètement à ma bouche. L’odeur n’avait rien de particulier, mais l’idée de goûter aux sécrétions vaginales de la dame m’excitait au plus au point.
-Je vais aimer vous lécher, dis-je simplement à Odette.
-Garçon, s’il vous plaît, lança la maîtresse.
-Tu bandes encore? me demanda Odette. Tu sais que j’ai envie de faire ma cochonne, de te la sucer comme une glace?
-Allons-y, dit la maîtresse en se levant. L’hôtel n’est pas loin.
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