Voici une petite histoire amusante qui date de Noël dernier.
C’est le réveillon et toute la famille est réunie. Tout le monde s’amuse, certains ont même un peu trop bu. Soudain il est minuit, ma tante cri « Joyeux noël »… Bref, c’est l’heure d’ouvrir les cadeaux, des sous et des chocolats pour ma part. Mon petit frère (en fait il s’agit de mon beau frère ou demi-frère suivant les version, nos parents s’étant remariés ensemble il y a 5 ans)Ulrich, 18 ans depuis un mois à peine à recu un petit cadeau un peu spéciale de son parrain : une boîte de capotes. Il semble tout gêner, d’autant que son parrain lui a fait le même cadeau un mois plus tôt… Il lui dit : »Oh toi, t’es mon filleul, je me doute bien que ceux du moi dernier ont fait écarter les cuisses à plus d’une demoiselle » (il avait beaucoup bu en effet)
Cette phrase me fait sourire et je dis : » Sa demoiselle à lui s’appelle Mme Main, les seuls jambes qu’il a écartées c’était pour disséquer sa grenouille »
Mon beau-père qui n’a pas apprécié ma reflexion me dit d’arrêter de dire des anneries, et que c’est pas parceque moi je ne trouve pas de mec que je dois empêcher les autres de s’amuser (mes parents me croient vierge, et croient que je vais attendre la mariage…). Ulrich est très gêné par ce que j’ai dis, je me sent coupable, mais par fierté je ne m’excuse pas tout de suite.
Le lendemain matin réveil tardif sur les coups de midi, je vais à la salle de bain, Ulrich prend sa douche dans la baignoire, le rideau fermé, pendant que je me brosse les dents comme d’habitude. Je m’excuse pour la veille en disant que je ne pensais pas ce que j’avais dis, et que vu comment il est beau (ça c’est vrai !) je croyais qu’il avait déja de l’expérience… Je ne sais pas quoi faire tellement je suis désolée. Il ne répond pas, et après un long silence j’entends comme des sanglots. J’ai envie de le serrer dans mes bras pour le consoler, je n’aime pas qu’il pleure. J’écarte donc le rideau, après tout j’ai déja vu bien des queues. Là surprise ! Les bruits que j’entendais n’étais pas des sanglots, mais des gémissements de plaisir, il se caressait ! Il se retourne pour cacher sa belle hampe que je ne lachais plus des yeux, et me demande de sortir, c’est privé.
Je monte dans la baignoire. Je l’att**** par les fesses et le retourne. Il met ses mains devant mais son sexe tendu ne veut pas se cacher. Je monte dans la baignoire et referme le rideau, l’eau continue à couler, mon jeans est gorgée d’eau, mon haut blanc est devenu donnant à mon petit frère un apperçu de mes petits seins. Je commence à le caresser doucement, je décalotte son gros gland. Il est surpris : il n’a jamais retirer son prépuce de là. Chaque effleurement de son gland hyper sensible lui provoque une sensation particulière entre douleur et plaisir.
Après quelques secondes, je me met à genoux et prend ce gland puceau en bouche. Il n’en faudra pas plus à ce bel adonis pour gicler son jus sur ma langue.
Sa queue commence à redescendre… C’est qu’elle est prête à recommencer. Je remonte doucement en embrassant son beau torse imberbe et musclé. Je glisse mon jeans trempé avec difficulté en frottant mes fesses contre son bel organe déjà retendu.
Je ne porte jamais de sous-vêtements, je préfère les frottements du tissus. J’enlève mon haut. Mon petit frère reste les yeux fixés sur mes seins, je demande donc à ce blondinet de me sucer les tétons, il les mordille tendrement. Je lève ma jambe sur le bord de la baignoire ce qui écarte ma petite moule, déja dillatée par l’excitation. Il se met à genoux et donne quelques coups de langues maladroits sur ma petite perle. Je n’ai jamais été aussi excitée. Il rapproche sa queue, la pose sur mes lèvres. Son gland est si sensible qu’il ne sait pas s’il arrivera à me pénétrer. On se regarde dans les yeux pendant de longues secondes… Je pose mes mains sur ses fesses et tire vers moi. Sa y est, il est en moi. Il commence timidement quelques vas-et viens et voyant qu’il y prend du plaisir mais ne jouie pas il accélère… Vite, vite encore plus vite ! Ses petits testicules claque à chaque coup… Je jouie !!! Je ne peux retenir un cri de plaisir, que le bruit de l’eau dans la douche ne parvient pas à cacher. Ma tante restée dormir viens dans la salle de bain voire « ce qui se passe », mais moi je ne veux pas qu’Ulrich s’arrête, je le retiens en moi ! Il a peur de se faire prendre comme ça avec sa propre soeur, sa peur se transforme en excitation et je sens son fluide bouillant couler de ma petite chatte toute écartée.
Ma tante entre-ouvre le rideau et me voit nue. Je referme vite le rideau faisant mine d’être gênée, ouf elle n’a pas vu mon frère.
Depuis ce jour j’ai remarquée que mon frère avait ouvert sa boîte de capotes… Hier il a même ouvert la deuxième… Ce beau petit blondinet n’a pas finit de faire jouir les petites coquines qui croiseront sont chemin. Maintenant quand il prend sa douche il ferme la salle de bain de peur que je le rejoigne encore ?
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