Une copine à moi m’avait dit que si je passe dans son quartier, je pourrais passer pour prendre un verre. C’était le cas. J’ai sonné mais elle a mis du temps à me répondre puis elle a ouvert. Elle m’a dit qu’elle dormait et que je l’avais réveillée. Je voulais bien la croire parce qu’elle avait mal boutonné sa robe. Je lui ai dit de m’excuser parce que je me retiens depuis trop longtemps et j’ai pris le couloir pour aller à sa salle de bains.
J’étais déjà venu plusieurs fois. C’était une amie de lycée de ma sœur et elle était souvent venue chez nous. J’ai posé la main sur la poignée de la porte de la salle de bains.
– N’y vas pas, m’a fait ma copine !
Je lui ai répondu que je n’en ai que pour une minute. Je suis entré dans la salle de bains et ce que j’ai d’abord vu, c’est un emballage de gode. De gode ventouse plus précisément. L’emballage était vide. Je me suis assis sur le siège de la tinette. Je me suis passé les doigts sur le visage et j’ai vu le gode ventouse collé sur le carrelage du mur.
Je me suis penché et d’un coup sec je l’ai décollé. Il sentait la chatte et aussi la merde et plutôt la merde parce qu’il restait de la merde collée dans le creux du gland.
– Je t’avais dit de ne pas entrer, m’a fait ma copine !
-Tu t’encules avec ça, lui ai-je répondu ?
– C’est que… Je viens de l’acheter…
– Si c’est ça que tu aimes, je suis là, lui ai-je répondu ! Je ne savais pas comment te dire que tu me plais et que j’ai envie de toi !
– Faut que je le lave, m’a interrompu ma copine !
Elle m’a arraché le gode des mains puis elle l’a plongé dans le lavabo. J’ai passé la main entre ses cuisses et je lui ai dit qu’elle me fait bander. Elle m’a répondu que je suis un cochon mais j’ai insisté. Ses poils étaient trempés. J’ai enfoncé deux doigts dans son vagin et tout naturellement mon pouce est entré dans son anus.
– Ah, mon dieu, a crié ma copine !
– Tu aimes ça, lui ai-je répondu !
– Oh, oui, a-t-elle ajouté ! Je ne sais pas pourquoi je suis comme ça, mais j’ai toujours aimé ça !
Sa main a rejoint ma main sous sa robe et elle s’est branlé le clitoris. Elle n’arrêtait pas de dire que c’est bon.
-Tu trouves que je suis une salope, m’a-t-elle encore demandé ?
– Non ! Viens ! Assieds-toi sur mes genoux !
Elle s’est assise et j’ai dirigé ma bite vers sa chatte et je me suis enfoncé. Elle s’est tout de suite mise à se baiser. Au bout d’un moment, elle m’a pris la main.
– Les seins, s’est-elle écriée ! Touche-moi les seins !
J’ai touché ses seins et pour être honnête, je les ai plutôt torturés. J’en ai tortillé les mamelons, j’ai pressé ses nichons l’un contre l’autre. La fille continuait à se baiser sur ma bite.
– Oooooohoooo !
Tout à coup, elle a joui et elle est restée sans bouger mais tremblante.
– Lève-toi, lui ai-je dit ! Je vais t’enculer !
Elle s’est soulevée de mes genoux avec mon aide puis elle est retombée sur ma bite Je l’avais dirigée vers son anus.
– Tu dois penser que je suis une vraie salope, m’a dit ma copine ?
Je lui ai répondu qu’elle est une femme qui aime le sexe.
– Tu sais, je me suis déjà enfoncé tout un tas de truc dans mes trous ! Crayons, stylos, bougies et même banane !
– Et pas concombre, lui ai-je demandé ?
– T’es fou ! C’est trop gros, m’a-t-elle répondu !
– Rien n’est trop beau pour une femme, ai-je ajouté ! Si tu veux, je te fais un fist !
J’y allais à l’esbroufe parce que je n’avais jamais fait ça.
– J’ai un concombre dans le frigo ! Attends, je vais le chercher !
Elle a quitté mes genoux. Une minute plus tard, elle était de retour et elle tenait le concombre dans sa main droite.
– J’ai une idée, lui ai-je dit ! On va reprendre là où on s’était arrêtés ! Tu t’encules sur ma bite et tu te godes avec le concombre !
Elle n’a pas hésité. J’ai guidé le gode dans son anus et une fois assise sur mes cuisses, elle s’est efforcée de faire entrer le concombre dans son vagin. Je pouvais voir dans le miroir que ce n’était pas très facile. Elle se frottait la vulve avec ainsi que le clitoris mais j’ai pensé que ça n’allait pas assez vite et je l’ai attrapée par le poignet et le gode a disparu aux trois quarts dans son vagin.
– Oh, mon dieu, m’a fait ma copine ! Ce qui serait équitable serait que tu t’encules avec le gode !
Elle avait raison. J’ai collé le gode sur le bord de la baignoire et je me suis empalé dessus. La boucle était bouclée. Elle ne pouvait avoir un orgasme qu’avec le concombre et j’ai attendu qu’elle l’obtienne puis nous sommes allés nous allonger sur son lit.
– Tu es superbe, lui ai-je dit !
Elle n’a pas réagi parce qu’elle venait de s’endormir. Je lui ai écarté les cuisses et j’ai pris des photos. Une vingtaine. Il fallait aussi que je me vide les couilles et je me suis branlé et j’ai tout lâché sur ses seins et sur son visage puis je suis parti. Elle m’a téléphoné le lendemain pour me remercier. Je lui ai répondu que je serai toujours là pour elle.
Elle a aussi ajouté que l’idéal serait que je sois à demeure pour elle.
– Comme ça tu pourras me baiser chaque fois que tu voudrais, m’a-t-elle précisé !
Je la voyais venir. Dans les semaines qui ont suivi, je suis souvent passé chez elle et j’ai même passé des nuits dans son lit. Un jour, elle m’a montré le kamasuthra qu’elle venait de s’acheter et elle m’a dit qu’on ne sera pas à court de bonnes idées. Elle ne se contentait pas de ma bite. Un jour, quand je suis arrivé, ses cheveux étaient trempés. Je lui ai demandé si elle avait pris une douche.
– Non, m’a-t-elle répondu ! Je viens de me masturber !
J’ai profité d’une autre fois pour lui suggérer les amours lesbiennes. Elle m’a d’abord dit qu’elle n’est pas comme ça. Je lui ai répondu que ce serait juste pour s’amuser et elle en a convenu. Par moments, je me disais qu’elle était folle mais j’ai fini par lui demander de m’épouser. Elle a été enceinte tout de suite et pendant les mois qui ont suivi jusqu’à l’accouchement, elle a été pire encore pour le sexe au point qu’il m’a été facile de la convaincre de coucher avec une femme qui suivait les mêmes cours à la clinique.
Après ça, elle s’est montrée la meilleure des mères et aussi des épouses et ça dure toujours.
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