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Une famille en Or (9)

Une famille en Or (9)



Et voici le récit du séjour mouvementé de ma sœur à la maison.

Jeudi 4 avril 1991

Depuis que je suis remontée samedi avec Sève, Ju et moi avons fait l’effort restés en peignoir, car nous ne savons pas comment elle réagirait à nous voir à poil d’entrée ou même en très petite tenue, d’autant plus qu’elle occupe le convertible du salon, en position stratégique. Si elle était vraiment choquée, qui sait si elle n’irait pas s’en plaindre à mes parents.

Par contre, nous n’avons pas fait vœu de chasteté, et nous baisons sans nous occuper du bruit que nous faisons, et tant pis pour elle si ça la dérange. C’est la vie.

Je l’ai juste un peu testée hier soir en entrant dans la salle de bains alors qu’elle sortait tout juste de sous la douche et j’ai enlevé mon peignoir. Elle a protesté en se masquant promptement avec la serviette:
— Eh, tu pourrais attendre que je sois sortie!
— Oh, entre sœurs…

Elle n’a pas insisté et n’a pas tardé à sortir. Elle n’a pas eu l’occasion de voir mon épilation, je lui tournais le dos. Chaque chose en son temps.

Ce matin, c’est Ju qui est sorti de la chambre en string de bain pour aller se doucher. Lorsqu’il nous rejoint à table, elle le lui fait remarquer:
— Dis donc, tu pourrais faire attention, je suis là!
— Oh, ne me dis pas que tu es scandalisée, tu m’as déjà vu avec ce string à la mer!
— Oui, mais là, c’est pas les mêmes circonstance, et ça m’a surprise.
— Mais maintenant que la surprise est passée, ça va?
— En fait oui, maintenant ça va…
— Parce que depuis que tu es là, on fait attention, mais sinon on a l’habitude de pas trop se gêner, à la maison. Et si on fait attention depuis samedi, c’est uniquement parce que tu es là. Donc, avec ta permission, on va reprendre une vie un peu plus décontractée. Et attends-toi à me voir encore en string, d’accord?
— J’essaierai de faire avec. De toute façon, vous êtes chez vous!
— Merci de ton approbation!

Le soir même, nous sommes tous deux en string avec aussi un débardeur pour moi. Elle fait des efforts désespérés pour ne pas lorgner sur nos anatomies, mais en fait, elle est assez perturbée par nos tenues très légères.

Samedi 6 avril 1991

Nous avons encore diminué nos vêtements. Hier, c’était deux string-ficelle, et une nuisette transparente pour moi. Sève n’a dit rien, mais elle n’osait pas trop nous regarder directement. Mais nos tenues attirent irrésistiblement ses yeux.

Ce soir, je porte juste ce qui ne peut s’appeler qu’un cache-clitoris rouge et le string de Ju contient à peine sa batterie, laissant bien voir le plumeau de poils sur son pubis épilé et même deviner la base de sa bite. Pendant le dîner, je la taquine:
— Et si tu te mettais un peu à l’aise, toi aussi? En slip et soutif, ou au moins en bikini, ça fait bizarre de te voir toute habillée entre nous.
— Non merci, je me sens pas prête pour ça.

Lorsque Sève m’annonce qu’elle n’a plus rien à lire, je lui propose d’aller se servir dans la bibliothèque de notre chambre. J’ai laissé dans cette éventualité mes godes et deux magazines de cul en évidence sur la table de nuit. Elle revient avec deux ou trois volumes et nous regarde avec un drôle d’air, mais ne dit rien.

En plus des livres de cul, j’avais aussi laissé ouvert sur la table de nuit un de nos petits albums photos, celui qui contient de nos photos coquines, mais seulement les soft. Quand nous allons nous coucher, je constate qu’il a disparu.

Dimanche 7 avril 1991

Ce matin, nous sommes tous de repos. J’attends qu’elle soit sous la douche pour entrer direct à poil dans la salle de bains. Elle cache ses seins et son triangle bien fourni:
— Caro, enfin, tu le fais exprès?

Je ne réponds même pas. En plus de ma nudité, elle remarque enfin ma calvitie:
— Caro, tu est complètement épilée?
— Oui, c’est plus agréable, Bon, je me brosse juste les dents et je sors!

Je prends mon temps, puis je la quitte pour la laisser un peu souffler. Elle revient au salon en peignoir, et constate que je suis restée à poil, et que Ju est lui aussi entièrement nu dans le canapé. Elle proteste, mais Ju l’interrompt:
— Dis donc, Sève, apparemment ça t’a pas gênée de nous voir comme ça sur nos photos personnelles. Et ne me dis pas que tu ne les as pas regardées.
— Euh, oui, c’est vrai, j’ai regardé, mais l’album traînait ouvert sur le chevet…
— Et je parie que tu les as regardées jusqu’à la dernière, non? Elles t’ont plu?
— Euh, oui, non… j’ai pas pu m’en empêcher, j’étais trop surprise de voir ça.
— Eh bien, maintenant que tu nous connais sous tous les angles, je vois pas pourquoi on continuerait à se cacher pour toi. On va pouvoir enfin respirer.

Je ne lui laisse aucun répit:
— Et finies les simagrées, vire-moi ce truc! Hop, tu vas goûter au naturisme!

Avant qu’elle ait pu réagir, je lui enlève le peignoir. Elle se masque de ses mains:
— Caro, s’il te plait, non! En plus, je suis trop grosse…
— Et alors, tu crois que seuls les mannequins ont le droit de faire du naturisme? Moi aussi, je me trouve des défauts. On s’en fout que tu aies quelques kilos en trop. D’ailleurs, au passage, j’aimerais bien avoir tes seins plantureux à la place de mes petits nénés. Allez, à partir de maintenant, interdiction de porter quoi que ce soit ici. Dis-toi qu’on est en famille et laisse-toi aller, ça va finir par te plaire.

Elle va se caler dans un fauteuil, jambes bien serrées, et finit par décroiser les bras qui cachaient sa poitrine à nos regards. Vers midi, elle est un peu plus décontractée et se lève enfin sans trop de manières pour venir toute nue à table.

J’insiste pour qu’elle prenne l’habitude de rester comme ça à la maison, et au au dîner, elle nous avoue:
— Bon, maintenant, ça va mieux, mais j’ai pas mal flippé au début. Et vos épilations n’arrangent rien. On vous voit trop, euh, tout, enfin vous savez…
— Oh, d’abord c’est plus hygiénique, et c’est aussi une question de coquetterie. C’est un peu comme les coupes de cheveux, la barbe ou la moustache, mais en plus intime. C’est vrai que toi, avec ta forêt vierge…

Elle ne fait aucun chichi pour se lever quand je lui demande d’aller chercher le dessert à la cuisine, puis de m’aider à faire la vaisselle, nue comme moi. Elle n’ose pas protester non plus quand Ju la rejoint à poil dans la salle de bains pour se brosser les dents en même temps qu’elle.

Mercredi 10 avril 1991

Ce matin au réveil, Ju a la grande trique. Je le laisse avec son problème et je vais préparer le petit-déjeuner.

Finalement, il nous rejoint la queue encore bien gonflée, presque à l’horizontale et le gland à demi sorti. Il s’assoit face à Sève, l’engin disparaissant derrière la table. Sève avale de travers sa gorgée de café:
— Dis donc, Ju, te voir à poil, j’ai enfin réussi à m’habituer, mais là, tu exagères! Tu pourrais me dispenser de ce genre de spectacle.
— Pourquoi? Après tout, c’est la nature! Comme le disait Brassens, la bandaison, ça ne se commande pas! D’ailleurs, c’était presque rien. Par contre, le fait de m’en parler, ça me fout vraiment la trique, regarde!

Il se relève, tenant en main sa bite décalottée bien dressée au-dessus de la table:

— Là, tu vois, ça c’est une vraie érection, pas comme tout à l’heure! Et je te rassure, elle mord pas. Et après tout, qu’est-ce qu’elle a de différent, ma bite, de ma langue ou de mes oreilles, à part l’idée qu’on s’en fait?

Il la fait un peu sauter dans sa main avant de se rassoir. Sève est abasourdie par sa première vision d’une bite raide, en plus à cinquante centimètres à peine:
— Caro, dis quelque chose!
— Ben quoi, il a raison, c’est la nature. Moi, ça me dérange pas que tu le voies.

Sève se le tient pour dit, et personne ne relance le débat. Quand il se relève pour aller s’habiller, sa bite est presque revenue au repos, mais pas totalement. Le gland bat ses cuisses quand il marche.

Samedi 13 avril 1991

Depuis mercredi, Sève a pris son parti des érections régulières de Ju. Il faut dire qu’il se met en forme exprès dans la chambre ou la salle de bains avant d’apparaître sans jamais rien cacher mais toujours avec un mot d’excuse, du style:
— Je sais pas ce que j’ai en ce moment, ça doit être le printemps qui agit sur mes hormones! C’est la montée de sève. Oups, Sève, tu m’excuses le jeu de mots?

Aujourd’hui, elle termine son contrat, et comme demain matin, nous devons la redescendre à Luynes, nous avons programmé une petite fête ce soir. Nous en avons discuté, Ju et moi, je suis d’accord pour la provoquer à fond histoire de la décoincer, mais pas touche à elle.

Après un gros apéro et un dîner bien arrosé, elle est achevée par le Génépy maison. Installée entre nous sur le canapé, elle est tellement allumée qu’elle rigole quand Ju s’amuse à faire tressauter sa bite toute raide. Il propose alors de regarder un film sur le magnétoscope, mais sans prévenir que c’est un film de cul. Sève émet une protestation en voyant le titre et les premières images. Je l’arrête:
— Allez, on rigole, et ça fait de mal à personne!
— Oh, et puis après tout, au point où j’en suis…

Accaparée par le film, elle met un certain temps à réaliser que Ju est en train de se branler. Elle se retourne pour m’en faire part, mais elle s’aperçoit que je suis en train de faire la même chose, jambes grandes ouvertes:
— Caro, qu’est-ce que vous faites? C’est dégoûtant, je suis là!
— Dit-elle en regardant un film de cul! On se fait un peu plaisir, et c’est tout à fait normal. Tu devrais en faire autant, je vois à tes tétons dressés que le film t’excite. Je suis sure que tu mouilles, alors branle-toi comme nous, et ne me dis pas que tu l’as jamais fait avant…

Et nous reprenons nos occupations. Décoincée par l’alcool, elle reste un moment dans l’expectative, puis elle commence à se masturber doucement.

J’attends qu’elle ait atteint sa vitesse de croisière pour enchaîner. Je vais m’agenouiller devant Ju qui est tout heureux de me donner son gland à sucer. Ça la dépasse un peu trop, et elle le fait savoir:
— Caro, voyons, tu vas un peu trop loin!

Je lève les yeux vers ma sœur qui me regarde, dépassée par les évènements:
— Et alors, on est déjà tous en train de se branler devant un porno! Quelle différence?

Comme elle n’a pas cessé de s’astiquer le bouton, ni de me regarder alors que je continue de branler Ju, je replonge dans ma fellation en la narguant. Puis je change de position. Je me mets à genoux sur le tapis et Ju vient me prendre en levrette sous les yeux de Sève que j’entends partir dans son premier orgasme.

Elle ne ralentit pas et continue sa branlette. Elle ne regarde plus le film, préférant nettement nos ébats comme source d’inspiration. Ne voulant pas me priver du plaisir de la regarder faire, je viens me mettre face à elle sur Ju allongé par terre. Mais j’ai envie de changer de trou, et je ne laisse aucun doute pour ma sœur:
— Allez, encule-moi! oui, comme ça, bien à fond!

Je me défonce la rondelle sur sa bite tout en me frottant le clito. Puis je me penche en avant avec mes mains sur les genoux de ma sœur, tenant écartées ses cuisses, et elle ne se retient pas de jouir juste sous mon nez. Ju profite de la vue en contre-plongée sur la chatte de Sève. Il annonce son arrivée proche et se lève en se retirant juste à temps pour m’expédier de copieux jets de sperme sur mon cul.

Nous reprenons nos places assises de part et d’autre d’elle. Sève a maintenant un retour de culpabilité, mais nous la rassurons. Après quelques atermoiements, elle finit par admettre que c’était bon, et qu’elle va s’adonner à la masturbation plus souvent dans sa chambre.

Dans la confusion ambiante, Ju lui a pris discrètement la main et l’a posée sur sa queue. Toute à notre discussion, elle le tripote machinalement, ce qui le remet progressivement en érection et elle commence inconsciemment à le branler. Au bout d’un moment, il bande à mort dans sa main et lui dit à l’oreille que c’est bien gentil. Elle se rend compte alors de ce qu’elle fait et le lâche rapidement avec un air très gêné et il n’insiste pas.

Dimanche 14 avril 1991

Ce matin, Ju est en train de me prendre en levrette debout devant l’évier quand Sève entre dans la cuisine. Elle stoppe en nous voyant, mais décide de plaisanter:
— Décidément, j’y aurai eu droit jusqu’au bout! Bon, je vous laisse dix minutes, mais pas plus, j’ai trop faim!

Avant de rejoindre la voiture pour la ramener chez nos parents, je la persuade d’emporter un de mes vibros. Je lui prête aussi un de mes strings de plage qui est réglable sur les côtés pour qu’elle le mette au bord de la piscine. Elle ne me promet rien quant à l’utilisation de tout ça, mais elle les prend.

A suivre…

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