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Ah…les dames bien mûres ! partie 4/4

Ah…les dames bien mûres ! partie 4/4



LU SUR LE NET

Le lendemain, je n’y tenais plus: après avoir vu et entendu le délire érotique de ma vieille voisine, il me fallait absolument la baiser. J’attendis de voir qu’elle était levée et l’appelai:

— Bonjour Marthe, comme c’était merveilleux, ce que vous m’avez offert hier !
— Oh ! Jean-Luc, comme j’ai honte, j’ai eu un tel mal de m’endormir hier soir, je ne sais plus où me mettre !
— Non ! Ne dites pas cela, c’était merveilleux et vous le savez bien. Je viens chez vous !
— Jean-Luc, non ! Pas maintenant…je me lève, et vous aurez peur de voir en face de vous la vieille grand-mère que je suis !
— N’ayez crainte, ma douce amie, je vous veux, je veux venir à vous, vous baiser comme vous me l’avez demandé…
— Non, pas tout de suite, je…

un peu cavalièrement je le reconnais, je lui coupe la parole:

— Préparez-vous, ma chérie, je viendrai vous voir à onze heures. D’ailleurs j’apporterai l’apéritif ! !

Et je raccrochai sans lui laisser le temps de répondre. Je repris alors mon observation: elle était debout devant son lit, en chemise de nuit. Elle resta un petit moment pensive et immobile puis elle entra dans sa salle de bains, et se fit couler un bain. Malencontreusement la porte était à moitié fermée si bien que je ne vis rien de ce qu’elle faisait. Elle avait largement le temps de se préparer, car il n’était pas tout à fait neuf heures. Et moi, j’avais une petit course à faire pour l’apéritif en question…

A onze heures précise, je pressai le bouton de sa sonnette, et j’entendis sa voix dans l’interphone :

— Oui ?
— C’est Jean-Luc, je vous apporte l’apéro !
— Oui…montez chuchota-t-elle

Et j’entendis le déverrouillage électrique de la porte d’entrée. Sortant de l’ascenseur au dernier étage, je me trouvai face à deux portes. L’une d’elle s’entrouvrit et je vis le visage de ma chère voisine apparaître, un doigt sur ses lèvres. Je m’approchai et elle me fit entrer en refermant vite la porte dont elle tourna la clé sans faire de bruit.

— Ma voisine Mme X. est curieuse comme une pie et cette mégère ne peut s’empêcher de surveiller les allées et venues de chacun dans cet immeuble… quelle peste !

Je contemplai alors Marthe et j’en eus presque le souffle coupé: elle était très bien coiffée, d’une espèce de chignon enveloppant ses magnifiques cheveux blonds platine. Elle avait un petit tour de cou en velours noir au milieu duquel était fixé une pierre magnifique. Pour tout vêtement, elle portait une petite combinaison en satin noir par l’échancrure de laquelle je pouvais voir que ses seins étaient nus en dessous, puis des bas noirs et chaussée de souliers à talons aiguilles. Jamais on ne lui aurait donné ses 75 ans ! Je posai ma bouteille de champagne sur un petit guéridon et la pris alors dans mes bras. Elle se laissa envelopper et je posai ma bouche sur la sienne. Ma langue se fraya un chemin et rencontra sa langue. Ce fut alors un délire de baiser, et elle gémissait de bonheur. Mes mains descendirent contre son dos et flattèrent ses fesses charnues à travers le fin tissu que je remontai petit à petit. Je sentis enfin la peau soyeuse de ses fesses, puis de ses cuisses où j’allai jusqu’à la lisière de ses bas qu’elle portait sans porte-jarretelles. Je me rendis vite compte qu’elle ne portait pas de culottes, et je glissai mes doigts entre ses fesses, jusqu’à toucher son petit trou, puis m’insinuai dans ses lèvres intimes déjà trempées de ses sécrétions amoureuses. Elle gémissait de plus en plus, puis remonta sa cuisse contre la mienne, frottant sa chatte contre ma cuisse, finement protégée par le fin tissu de nos vêtements. Je triquais comme un fou, et elle le sentait bien. Ma queue était de marbre, et délicatement, elle descendit sa main entre nous deux pour la palper à travers mon pantalon. Mes doigts bien plantés en elle, j’en enfilai encore un brutalement dans son cul: je la sentis alors se crisper brusquement et fléchir les cuisses pour encore s’empaler un peu plus sur mes doigts : elle venait déjà de jouir ainsi, debout dans son vestibule. J’espère que les murs étaient bien insonorisés, car ses cris auraient pu ameuter sa chère voisine. Elle se détendit alors un peu et nous nous regardâmes : ses beaux yeux bleus aigue-marine étaient mouillés de larmes de bonheur…

— Mon dieu, il y a si longtemps…Jean-Luc c’est tellement bon…je suis toute à vous, mais avant, asseyez-vous là.

Elle me désigne un divan sur lequel je prends place, un peu interloqué, puis elle s’assied en face de moi, dans un large fauteuil, ses jambes sous elle, sa petite combinaison à mi-cuisses.

— Je veux votre regard sur moi, j’ai peur de me mettre toute nue devant vous…regardez-moi…

D’une main, elle abaisse un peu le haut de la combinaison et dénude la pointe d’un de ses seins qu’elle caresse doucement, puis l’autre main descend, s’insinue sous la combinaison et je vois ses cuisses légèrement s’écarter afin qu’elle puisse poursuivre sa progression:

— Ah je suis folle…comme je suis trempée, je mouille pour vous, Jean-Luc; vous viendrez me prendre, me baiser, après…après…

Sa voix devient un souffle :

— Montre-moi ta queue…tu bandes hein ?

Un peu surpris tout de même, je déboutonne mon pantalon et je l’abaisse à mi-cuisse, puis mon caleçon suit le même chemin. Je suis un peu étendu sur le divan, qu’elle puisse bien profiter d’une vue oblique et de profil sur ma trique raide comme un gourdin. Elle est déjà décalottée bien sûr et je la prends dans ma main, la branlant doucement. De l’autre main, j’empaume mes couilles et les presse légèrement, et les lui montre bien.

Marthe passe alors une de ses jambes sur l’accoudoir de son fauteuil et écarte complètement ses cuisses bien en chair. Je vois alors sa chatte dans toute sa splendeur. De sa main, elle écarte les lèvres, frotte sa vulve, rentre et ressort de son vagin béant et baveux. Elle se tord, et ne perd pas une miette du spectacle que je lui offre aussi.

— Je vais juter, Marthe, je vais gicler mon foutre, je n’en peux plus…je jouis…

Je me lève et vais vers elle, entre ses cuisses et voilà mon sperme qui fuse à grands jets visqueux. Elle en prend sur sa chatte, sur ses cuisses où de longues estafilades blanches tranchent sur le noir de ses bas, et même sur sa petite combinaison, jusqu’à son nichon maintenant complètement sorti du vêtement. Je m’agenouille alors et ma tête plonge dans sa fourche. Je la lèche, je bois son jus mélangé à mon foutre, je suce ses doigts qui entrent et ressortent de son trou, ma langue va-et-vient, de la lisière de ses bas à ses grosses fesses écartelées, je la rentre un peu dans son cul, comme une petite bite qui l’enculerait, et cela la fait encore plus se démener. De grandes ruades accompagnent alors une nouvelle jouissance qui l’emporte au septième ciel. Me relevant rapidement, je plonge alors ma queue à fond dans sa chatte, prenant ses deux jambes sur mes épaules. Marthe est bien calée dans son fauteuil, ce qui fait que je peux la bourrer complètement. Ma queue va, vient, ressort et replonge dans son volcan. Elle n’arrête pas de jouir et me crie une litanie de mots obscènes et d’amour mélangés. Elle crie qu’elle en veut encore…ma queue, ma trique raide…la baiser…encore, mon chéri, encore…profond…vas-y baise-moi, baise ta vieille cochonne, sens comme je suis ouverte, grande ouverte, je suis ton gouffre à jute, viens viens, gicle encore..je veux, j’en veux…

Elle a passé une main sous elle, et entre ses fesses, elle remonte pour prendre mes couilles dures et gonflées à pleine main.

— Vas-y, bourre, jute, vide tes grosses couilles en moi…ahhh..amour chéri, oh que je suis cochonne…mets-moi…encore, à fond !

Alors, n’en pouvant plus, j’envoie encore de grandes giclées dans son vagin fumant, j’ai l’impression que son ventre me pompe, me vide le sexe comme si elle me suçait. Mon plaisir est infini et rarement j’ai joui aussi intensément. Je retombe sur elle et pose ma tête sur sa poitrine. Comme un bébé, je prends un de ses tétons en bouche et le suçote doucement. Il est dur et bandé, de la taille d’une olive, au centre d’une grosse aréole sombre. Elle serre ma tête contre elle. Je sens qu’elle raffole de cette caresse buccale. J’abaisse la bretelle de sa combinaison et ses gros seins un peu tombants apparaissent dans toute leur splendeur à quelques centimètres de mon visage. Je passe de l’un à l’autre et les mordille, ce qui la fait gémir. Je vois qu’elle à de nouveau passé la main sous sa combi et qu’elle s’active et se branle:

— Tu me rends folle…je veux encore et encore me branler…je veux encore jouir.

Ses jambes encore fort belles et bien gainées de noir s’élèvent, les talons pointus de ses chaussures tendus vers le plafond. Elle est obscène ainsi, et pourtant merveilleuse d’érotisme.

— Viens, dit-elle, allons dans ma chambre.

Je ne me le fais pas dire deux fois. Je me déshabille et je la suis, tout nu, ma bouteille de champ à la main.

— Attends je vais chercher des coupes !
— Non, pas la peine, nous allons la boire en canailles, au goulot, tu verras c’est étonnant

A peine assis dans son grand lit, elle me saisit la bite et la caresse à nouveau, la regardant avec envie. Je bande à moitié, ce qui rend sa caresse d’autant plus divine. Je la fais boire le champagne au goulot, et c’est vraiment très sulfureux de voir cette belle dame, quasi nue car elle a enlevé sa combinaison et ses chaussures, mais gardant ses bas noirs, boire à la bouteille ainsi qu’une catin de bordel, ma queue toujours enserrée dans sa main. Je ne me gêne pas non plus de lui enfiler mes doigts dans la chatte, et un peu, mais une phalange seulement, dans son trou du cul élastique. Soudain me vient une idée :

— Assied-toi contre la tête de ton lit et présente-moi bien ta chatte.

Elle s’exécute, un peu interloquée :

— Tu ne vas tout de même pas…

J’approche le goulot de la bouteille et le lui introduis dans son vagin distendu jusqu’au bout de la collerette dorée. D’un mouvement rapide, je la relève, ma main passée sous ses fesses, ce qui a pour effet de faire pénétrer une large rasade de vin dans son trou.

— Ahhhh…c’est froid…ça pique, c’est délicieusement piquant. Tu m’en as mis plein la chatte, petit cochon !

Profitant qu’elle a le cul bien en l’air, je me glisse entre ses cuisses, et lorsqu’elle abaisse ses jambes sur mes épaules, ma bouche est déjà collée à sa fente dégoulinante, mes mains plaquant fermement ses hanches. J’aspire alors fortement le divin nectar qui s’écoule naturellement de son vagin, frais mélange pétillant de champagne, de cyprine et de sperme. C’est un délice merveilleux que j’avale à goulûment. J’en garde cependant une dernière lampée, et me relevant, je lui roule un patin en lui mettant dans la bouche le contenu liquide de la mienne qu’elle avale religieusement, les yeux fermés, son visage en extase.

— C’est bon…c’est merveilleusement bon !
— On appelle cela le vin des anges, ma chérie.

Et nous avons encore passé de longues heures dans ce lit, nous caressant, masturbant, baisant, suçant. Jamais je n’aurais pu croire, avant de la connaître sous cet angle que madame P. grande bourgeoise de notre ville serait à ce point ardente et sans pudeur, une fois son corps dévoilé. Je crois que c’est cet aspect des choses qui me la rendait encore plus excitante.

C’est la fin de l’après-midi et nous sommes encore couchés dans son grand lit, rassasiés; La nuit tombe. Dehors, les luminaires d’éclairage public viennent de s’allumer. J’adore cette pénombre jaunâtre qui filtre à travers les voilages de sa fenêtre. Les formes de sa chambre s’enveloppent de mystère. Je la sens nue contre moi, n’ayant gardé pour tout vêtement que son petit tour de cou en velours noir: qu’elle est belle ainsi, alanguie et mélancolique; ma main caresse doucement ses beaux cheveux désordonnés et sur son visage radieux, ses yeux brillent dans la nuit

— Oh ! toi, que ne me ferais-tu faire…je veux être ta maîtresse vicieuse, ta salope…je suis prête à tout pour toi…tu veux ?

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