Elle avait 19 ans, son patron 36. Nous étions marié deuis 2 mois et je la trouvais en peignoir et lui dans notre chambre… Elle m’a expliqué qu’elle était fatigué et qu’elle n’était pas allé travaillée et qu’il était juste venu pour prendre de ses nouvelles. Foutaises. Il était venu parce que depuis 1 mois, oui 1 mois après notre mariage, elle lui avait cédé et était devenue sa maîtresse. Elle m’a avoué qu’elle le suçait tous les jours au bureau, alors qu’elle refusait de me pomper, et qu’il la baisait 3 fois par semaine, soit dans sa voiture soit chez lui. Quand j’ai appris ça j’étais effondré… J’avais épousé une salope…
Quelques jours après m’avoir avoué qu’elle était la maîtresse de son patron, je lai surveillée. Un jour, je suis allé à son boulot à l’heure de la fermeture et je les ai vu. Elle le suçait comme une chienne, les seins à l’air. Elles se caressait les seins comme une salope. Je voyais sa bite que je trouvais bien grosse pour sa bouche. Il lui baisa la bouche et lui déchargea son foutre dans la bouche, chose qu’elle me disait détester… Je partis sans rien dire et sans être vu…
Quelques jours après l’avoir vu sucer son patron et avalé son sperme, j’ai tenté d’avoir une explication avec elle. Elle se refusait de plus en plus souvent à moi et je sentais qu’elle se faisait sauter régulièrement par ce vieux con. Elle niait l’évidence et me disait que je me faisiat des films… Quand je lui ai dit que je l’avais vu se caresser les seins en le suçant comme une chienne, elle a d’abord nié l’évidence avant d’admettre qu’elle le suçait pratiquement tous les jours lorsque les détails furent trop précis. J’étais dingue de savoir qu’lle lui avalait son foutre tous les jours et je continuais le questionnement. Après m’avoir dit que c’était tout ce qu’ils faisaient elle a fini par me dire qu’il la baisait 3 à 4 fois par semaine, souvent dans la voiture, parfois au bureau ou parfois chez lui quand sa femme n’étaint pas là. A la question, avec capote, elle me dit non, plus de capote, il se vde en moi. J’étais dingue de savoir que cette petite salope se faisait remplir par ce connard. A la question pourquoi, celle qu’il ne faut pas poser, elle me dit parce qu’il me fait jouir et que j’ai envie de lui tout le temps. Je ne pense quà sa queue et quand je le vois je craque. Je l’ai traitée de salope, de putain et autre qualificatif du même genre. Elle m’a traité de cocu et dans la colère, je lui ai mis 2 claques… Je n’aurais pas dû.
Quelques années plus tard, alors qu’officiellement tout était fini, je les ai de nouveau surpris.
En rentrant de déplacement un jour plus tôt, je vois une voiture dans la cour. Je rentre discrètement et je les trouve en train de baiser dans notre chambre. Il l’a baisé pendant une heure, alternant les périodes viriles et les périodes plus tendres. Il lui a pris la chatte, la bouche et le cul… J’étais impressionné par sa résistance à la jouissance car il l’a copieusement prise. Elle couinait comme une chienne, surtout quand il lui prenait le cul sans ménagement. J’étais fou de jalousie en voyant ma femme se faire déboiter par sa grosse queue dure. L’entendre lui dire encore était un véritable calvaire, mais en même temps, ça me faisait bander et mon regard ne pouvait se détacher de cette queue qui la pénétrait. Elle lui sucait la queue, lui gobait les couilles, une vraie alope. Quand ils eurent bien baisé, il se vida en elle en grognant comme un porc. Elle l’accompagna pour une dernière jouissance. C’est la que je suis intervenu en la traitant de salope. Il s’est levé, à poil la queue encore grosse et m’a dit » Oh le cocu, tu vas nous faire chier encore longtemps ». la bagarre était inévitable. J’ai essayé de lui démolir les couilles en lui balançant un coup de pied dans les burnes. Il a esquivé et m’a cueilli au menton et à l’arcade. Résutat : KO et l’arcade ouverte avec un oeil au beurre noir. Quand je me suis remis de mes émotions, il m’a flanqué une bonne paire de claques et m’a dit « Maintenant tu dégages » et je suis parti…
Quelques semaines après que je les ai vu baiser, il m’ appelé au bureau. Sans me donner d’explications, il m’a dit « j’ai à te parler, je passerai chez toi lundi à 15h ». Je me demandais bien ce qu’il me voulait. Du vendredi au lundi, je me suis posé mille questions, mais je ne trouvais aucune rponse satisfaisante. Je décidais d’être là le lundi à l’heure prévue et de ne pas en parler à mon épouse.
Le lundi à 15 heures, il arriva, comme prévu. On s’est installé au salon et il a commencé à me parler. « Ta petite Corinne est adorable et je compte bien continuer à la baiser longrtemps » J’ai ssayé de l’interrompre, mais il m’a balancé un « ta gueule » qui n’admettait pas la réplique. Je suis resté face à lui à l’écouter.
Tu sais ta femme, ce qu’elle aime c’est ma grosse bite, et faut pas te faire d’ilusions. Elle est accro à ma queue et aussi logtemps qu’elle restera jeune et jolie, je lui prendrais sa chatte, sa bouche et son petit cul. Qoi que tu lui dises, quoi que tu lui fasses, tu sera cocu mon vieux… Ces propos étaient choquant et blessant.
Je lui dit alors « si c’est tout ce que tu as à medire, tu peux te casser de chez moi ».
Ah non, ce n’est pas tout. Elle m’a parlé de ta petite queue et de tes éjaculations précoces… J’ai peut être une solution pour toi…
Connement, je lui demande » et c’est quoi ta solution »
Il s’est levé, s’est approché de moi et ma dit « cette petite discution m’a excité et j’ai vraiment envie que tu me suces »
Je lui ai répondu fermement »ça va pas ta tête »
Il m’a dit « si, si, ça va très bien » et à défait sa ceinture, puis ouvert sa braguette et sorti sa bite qui était en semi-érection.
Il m’a ordonné de le pomper. Je regardais cette queue déja bien grosse et j’imaginais ma petite Corinne suçant ce mandrin. Il m’a pris les cheveux et m’a dit » allez, cocu, suce moi et comme il faut, tu seras rrécompensé »
Je me suis dégonflé et je l’ai sucé comme une nana, lui échant les couilles et lui aspirant la queue, le léchant sur toute la longueur pus l’enfournanat. J’étais sa chose. Il me dominait et se faisait pomper en me traitant de petite chienne. ça aduré une éternité avant qu’il me balance trois énormes gicées de foutre qu’il me força à avaler. Ensuite, il m »a fait nettoyer sa queue avec ma langue avant de me dire, bon allez, ja vais aller travailler un peu, voir si ta petite femme a pris des commandes. Il s’est dirigé vers la porte et m’a dit « tu suces presque aussi bien que Corinne: encore quelques pipes et tu devrais être une bonne pompeuse… Allez bye, à la prochaine ».
Il est parti, me laissant seul avec mes questions et le gôut de son foutre dans la bouche…
Après m’avoir baffé, puis être venu chez moi se faire sucer, il a pris ses aises. Ce gros connard ne prenait même plus la peine de téléphoner et passait à l’improviste pour se vider les couilles.
J’ai essayé de résister les premières fois, mais très vite je me suis soumis à ses désirs. C’était à peu près chaque fois le même scénario, il me faisait sucer sa grosse queue et ses boules avant de me décharger son foutre dans la bouche.
Plus ça allait, plus il m’humiliait : me disant tu vois ce qu’elle prend ta petite Corinne, tu imagines ma bite dans son petit cul serré, ça t’excite ma lope de d’avoir que je la baise quand je veux, ou je veux, qu’elle soit toujours d’accord pour m’offrir tous ses orifices, allez la lope avoue que ça t’excite…Et je répondais connement oui ça m’excite…Je dois d’ailleurs avouer que ça m’excitait de la savoir prise comme une chienne. Je l’imaginas, couinnant sous ses assauts, lui réclamant de la baiser encore et encore, l’entendantt lui répondre qu’elle était sa chose, sa femelle…
Je l’imaginais lui dire, on a un gros contrat avec ce gros salaud de Martin, il faudra que tu uses de tes charmes pour le convaincre…
Tout ceci tournait dans ma tête tandis qu’il me baisait la bouche comme un porc en haletant avant de m’inonder de sa semence….
La fois suivante, il m’a baisé la bouche comme d’habitude, me larguant son impressionnante quantité de foutre dans la gorge.
Après m’avoir demandé « ça t’a plu salope » et sans attendre ma réponse, il m’a dit « j’ai une idée pour la prochaine fois ». Je lui ai répondu « si c’est une de tes idées à la con, tu peux aller te faire foutre… »
– oui me dit il c’est bien une histoire de se faire foutre mais pas celle que tu penses… tu te rappelles des 2 mecs que tu avais insulté un jour ou tu étais venu au bureau?
– non je ne me souviens pas
-mais si. Tu les avais traité de sale bicot et tu leur avais dit d’aller se faire enculer. Je me demande toujours comment ils ont fait pour pas te défoncer la gueule. Surement parce que j’étais la…
– Pourquoi tu me parles de ces 2 connards?
– Parce qu’ils sont revenus pour m’acheter un autre véhicule et ils m’ont parlé de toi…. Je leur ai dit que tu était le mari de la belle Corinne.
– J’en ai rien à foutre de ces bicots.
– Je comprends bien, mais on a pas mal discuté et par mégarde, je leur ai dit que je sautais régulièrement ta femme. ça les a beaucoup intéressé. Je leur ai donné des détails sur ta femelle et sur toi…
– Quels genres de détails salaud?
– D’abord sois poli et ouvre bien tes oreilles de cocu. Ils voulaient savoir si c’était une vrai salope, si elle avalait, si je l’enculais, si je lui déchargeait mon foutre dans sa chatte, dans sa bouche ou dans son cul. Enfin tous les détails… Et aussi, si tu le savais… Quand je leur ai dit que tu étais au courant ils étaient morts de rire. Et quand je leur ai rajouté que j’allais régulièrement me faire sucer par le cocu, ils n’en pouvaient plus…
– Salaud, pourri, tu n’es vraiment qu’une ordure. Tu vas bien avec ces racailles…
-et bien tu va pouvoir leur dire bientôt, ils veulent absolument venir avec moi pour te baiser a bouche. Je leur ai promis que je les préviendrais de ma prochaine visite… Allez salut ma fiote, à bientôt…
Et il prit la porte sans oublier de me dire un a bientôt rigolard.
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