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Huit heures viennent juste de sonner à l’horloge du salon. Tout le monde se dirige vers la salle à manger et prend place autour de la grande table. Pierre et Juliette, les grands-parents président: c’est leur anniversaire de mariage. On ne peut pas les séparer un tel jour! A la gauche de Pierre se tient Sylvie, sa belle fille. A la droite de Juliette, Éric son fils. Leur fille aînée Annie et leurs petits enfants, Béatrice et Marc accompagné de sa petite amie Claude leur font face. L’atmosphère est à la fête.
Le repas a été commandé chez un traiteur et c’est Martine, une voisine, qui fait le service. Elle est cuisinière à la cantine de l’école du village. Elle fait souvent des extra chez les uns ou les autres dans les grandes occasions. C’était une femme splendide, âgée d’une trentaine d’années, l’air distingué.
Au cours du repas, les conversations fusent. On parle de tout et de rien.
Arrive enfin le gâteau illuminé de 45 bougies! Tout le monde applaudit et Pierre et Juliette se lèvent pour les souffler ensemble pendant que Martine débouche le champagne et le sert en faisant le tour de la table.
L’alcool aidant, les corps s’échauffent. Pierre se lève et invite tout le monde à passer au grand salon qui donne sur la véranda.
Venez, on va prendre le café au salon, il y aura un peu plus de fraîcheur. Qu’est ce qu’il fait chaud!
Il prend tendrement Juliette par la taille, suivi par le reste de la famille. Tout le monde s’installe confortablement dans les grands fauteuils ou sur les canapés. Martine apporte le café qu’elle sert sur la table basse.
Martine, allez vous chercher une part de gâteau et venez prendre le café avec nous. Vous l’avez bien mérité. Allez faites ce que je vous dis.
Mais Monsieur Pierre, je n’ai pas fini de ranger à la cuisine!
Faites ce que je vous dis, allons!
Béatrice assise à côté de Marc et de Claude sur un des canapés, s’approche de son grand-père et lui demande de raconter comment il a connu grand-mère
Allez Papy chéri, s’il te plait, raconte-nous, comment, Mamy et toi, vous vous êtes rencontrés!
Pierre était assis dans un fauteuil et Juliette était penchée sur lui, une fesse posée sur l’accoudoir. Elle le regarde en souriant et tendrement pose ses lèvres sur les siennes.
Allez mon chéri, ne fais pas languir notre petite Béatrice! Raconte-lui, si tu t’en souviens!
Et bien, cela remonte à notre première rencontre à la Faculté. C’était le premier jour et nous étions un peu perdus. Lorsque je vis ta grand-mère je crois que mon sang n’a fait qu’un tour. Elle était resplendissante. Je me souviens qu’elle portait une robe légère. Elle était coiffée court et ses grands yeux lui donnaient un air juvénile. On aurait dit une gamine. Lorsqu’elle me demanda où se trouvait, je ne sais plus quel amphi, je crois bien que j’ai bredouillé. Elle a souri. Nous étions dans le même cours et, bientôt, nous ne nous sommes plus jamais quittés. Il faut dire que c’est votre grand-mère, plus décidée que moi sûrement, qui a très vite envisagée la vie en commun. Voilà, c’est tout!
Pierre tu exagères, tu vas me faire passer pour une dévergondée. Enfin c’est vrai que nous sommes aimés presque tout de suite et que nous n’avons pas tardé à faire l’amour. Il faut dire que nous avons eu de la chance, car à l’époque il n’y avait pas la pilule et j’aurais pu tomber enceinte très vite. Enfin ça n’est pas arrivé puisque Annie n’est née que cinq ans plus tard et son frère deux ans après. Et puis la vie a passé et c’est vous, les petits enfants, qui êtes arrivés par la suite. Voilà toute l’histoire. Et on s’aime toujours, comme au premier jour!
Pour preuve, elle se penche à nouveau sur son mari et l’embrasse, mais cette fois, à pleine bouche, langoureusement. Leurs langues échangent les salives. Juliette déséquilibrée, bascule sur lui et se retrouve, à plat ventre, les fesses en l’air, sur les genoux de son mari. La position idéale pour une bonne fessée, pense t-il! Il l’empêche de se relever et la maintient dans cette position pour la caresser. Sa main glisse le long du dos, s’attarde longuement sur les fesses et le haut des cuisses entièrement découvertes, puis descend jusqu’au bas des jambes. En remontant, il les écarte davantage et découvre la raie des fesses soulignée par le string noir. Juliette ne réagit pas et se laisse peloter. Pierre tire sur le string le faisant pénétrer dans le sillon puis fait aller et venir son doigt, de l’anus jusqu’à la chatte. Juliette tressaillit de plaisir.
Pierre, dit-elle, sois un peu sérieux, y a du monde, voyons. Tout le monde nous regarde, pense aux enfants!
Oh, mamie, vous êtes trop beaux comme ça, continuez! Je vais vous prendre en photo.
T’as raison, ma petite Béa, prends une photo de moi en train de faire du bien à ta grand-mère! Tu sais, c’est une vicieuse et c’est pas la première fois qu’elle s’exhibe en public!
Arrête, vieux cochon, tu ne vas pas raconter notre vie intime devant les enfants!
L’atmosphère devient subitement surchauffée et le spectacle des deux vieux enlacés joue sur les nerfs des autres.
Éric embrasse sa femme Sylvie à pleine bouche. Serrée contre lui, il lui pelote les seins d’une main et dégrafe sa robe de l’autre. Le haut libéré, la poitrine s’offre aux regards de tous. Il agace les bouts durcis et foncés. Il les étire, les roule entre le pouce et l’index, jusqu’à ce qu’elle gémisse. Deux tétines, très grosses, des tétines de chienne! Il les abandonne un moment pour faire glisser sur ses chevilles, la robe dont Sylvie se libère en agitant les pieds. Elle veut se sentir à l’aise, prête à subir tous les assauts. Elle ouvre ses jambes gainées de noir. Les bas, retenus par le porte-jarretelles, s’arrêtent à mi-cuisses. Elle ne porte pas de culotte. Le sexe épilé attend. C’est elle-même qui le caresse d’un doigt, le glissant à l’intérieur de la fente vaginale qui s’ouvre au passage. Sa chatte est maintenant offerte, surmontée du clitoris exagérément long et volumineux. Il sort entièrement de son fourreau de chair, tel une petite bite masculine. On ne peut pas ne pas vouloir le sucer!
Médusés, les enfants regardent leurs parents et grands-parents. Ils ne sont pas choqués, certes, mais déconcertés; aucune gêne à faire l’amour en public. Il faut dire, qu’à l’inverse des parents, ils n’ont pas encore fréquenté de clubs échangistes et que leur pudeur n’a pas encore totalement disparue. Ce qu’ils ignorent encore, c’est le plaisir que prennent les vieux à s’exhiber et partager leurs ébats avec d’autres. Ils ont encore beaucoup à apprendre!
Seule leur tante Annie, peut-être la plus dépravée de la famille, prend déjà son pied à mater. Voir et se faire voir, voilà sa devise! Assise à ses côtés, Martine, elle aussi regarde avec envie ces deux couples que plus rien ne retient. Annie observe Martine du coin de l’œil. Leurs regards se croisèrent, Martine sourit, une lueur étrange dans les yeux. Annie appuie sa cuisse contre la sienne. Martine ne bouge pas, fascinée par le spectacle qui se déroule sous ses yeux.
Lorsqu’Annie pose sa main sur le haut de sa cuisse, elle ne se dérobe, au contraire, elle s’abandonne à la caresse, ouvrant ses jambes comme une invite à poursuivre.
Annie passe un bras sur les épaules de Martine, l’attire contre elle et lui roule une pelle. D’autorité elle fait pénétrer sa langue dans sa bouche. Elle échangent un long baiser, baveux à souhait! Les mains d’Annie triturent la poitrine de Martine, essayant de déboutonner le chemisier pour accéder au plus vite à ces seins si appétissants. Toujours sans rien perdre de la scène qui se déroule sous leurs yeux, elles se déshabillent rapidement.
Il faut dire que ce n’est pas la première fois qu’elles découvrent leurs nudités. Elles ont le même âge et se connaissent depuis l’enfance. Elles ont fréquenté la même école jusqu’au collège. Petites, déjà, elles jouaient ensemble et souvent cela consistait à des comparaisons corporelles et des échanges de caresses. Elles prenaient plaisir à se toucher, se masturber mutuellement. La plus délurée était Annie. Martine n’avait pas pour deux sous de jugeote. Elle était jolie, mais pas grand chose dans la tête!
Elles ne s’étaient plus rencontrées depuis. Annie était allée au lycée et Martine, que les études rebutaient, avait commencé à travailler. Elles se retrouvent là, devant ces vieux cochons qui forniquent!
Tu n’as pas l’air choqué, Martine. Tu sais, mes parents ont toujours été libres avec nous et ne se sont jamais trop cachés pour se montrer leur amour.
Non, pas choquée mais troublée, c’est vrai qu’ils sont beaux tes parents. Être aussi amoureux après 45 ans de mariage, je voudrais bien qu’il m’arrive la même chose!
Mais tu es divorcée, je crois?
Oui, et c’est pas facile de trouver un homme qui soit doux et tendre. La plupart du temps, ils ne pensent qu’à leur plaisir et te laissent sur ta faim. Moi ce que je voudrais, c’est être cajolée, câlinée, qu’on s’occupe de mon corps et de mon plaisir et non pas être prise comme une bête. Tous ceux que j’ai connus ne pensent qu’à eux!
Oui, t’as raison. Est-ce que t’as essayé avec une autre femme?
Non, l’occasion s’est jamais présentée. Et puis au village, il n y a pas grand monde!
Tu te rappelles? Quand on était jeune? On se touchait souvent, toutes les deux! On s’est même léché une fois, si je me souviens bien!
Elles sont si différentes, collées l’une à l’autre, nues, ventre contre ventre touchant ces corps qui ont bien changé depuis l’adolescence!
Annie est devenue une grosse vache, c’est le terme idoine pour la décrire d’un mot! Elle est grosse de partout, grasse même tant les chairs sont flasques. Son ventre n’est qu’une succession de bourrelets tombant sur le pubis. La chatte est monstrueuse tant par sa taille que par sa forme avachie. Les lèvres de son sexe, comme un coquillage, s’ouvrent, disjointes, sur un vagin qui n’est qu’à un sac à foutre! Les cuisses énormes reposent sur deux jambonneaux qui servent de mollets! Un vrai tas de viande sur pattes! La blancheur de la peau accentue cette impression de bestialité.
Martine, c’est l’inverse! Un corps de déesse! Grande, élancée, la peau cuivrée rehaussée par les marques blanches de maillot. Les seins, les hanches, les fesses, les jambes, tout est parfait. Pas un seul soupçon de cellulite, une peau satinée et ferme à souhait. Ses déficiences intellectuelles sont compensées par un physique de reine. Une justice de la nature, en quelque sorte!
Prises par leur propre désir, Annie et Martine roulent au sol, enlacées. Leurs mains se faufilent entre les cuisses à la recherche des intimités. Elles se retrouvent naturellement tête-bêche, Martine à califourchon sur son amie. Les doigts pénètrent dans les chattes, triturent les anus, les forçant pour y pénétrer plus profondément. Annie n’est pas lavée depuis le matin, ses muqueuses sont imprégnées du sperme de Dick, le chien, qui l’avait saillie l’après-midi. De son cul exhale une odeur forte qui taquine les narines de Martine. Pas dégoûtée, excitée même par ce parfum, celle-ci lèche soigneusement le périnée et l’anus, pointant la langue pour l’enfoncer dans le trou. Elle s’affale sur la bouche d’Annie qui, de son côté, lui travaille le fion. Deux chiennes en chaleur, sans aucune retenue. Leur plaisir monte, elles veulent jouir! Elles râlent comme des bêtes, indifférentes à ce qui se passe à côté. Elles échangent des propos salaces qui accroissent leur jouissance.
salope, espèce de pute, vicieuse, vieille sale, cochonne fusent. Lorsque le plaisir est à son comble, elles jouissent en poussant des cris de bêtes en rut!
Leurs ébats ont captivé les jeunes qui forment un cercle autour d’elles. Marc et son amie Claude se tiennent enlacés et se bécotent tandis que Béatrice, à genoux, lorgne le cul de Martine. Putain, quel beau cul! L’envie de le brouter à son tour la taraude. Elle ne peut s’empêcher d’y passer sa langue, lorsque les deux femelles, enfin rassasiées, relâchent leur étreinte. Puis elle fait une langue à sa tante, le visage gluant de la mouille de Martine.
Dieu, que vous êtes belles, toutes les deux!
Ne me dis pas, petite salope, que tu veux te faire Martine?
Tatie, ne sois pas jalouse! J’ai envie de lui bouffer le cul, je suis toute mouillée à l’idée!
Martine se redresse et toutes les trois s’embrassèrent, échangeant leurs salives, serrées les unes contre les autres.
Claude pris par l’ambiance qui régnait, se lovait comme une chatte contre Marc. Elle avait ôté le pantalon de Marc de manière qu’il pût écarter les jambes et qu’elle dégageât le sexe qui dardait sous ses yeux. Elle aimait cette tige de chair gonflée de sang qui palpitait dans sa main. Elle tira doucement sur le prépuce pour décalotter entièrement le gland rouge sang. Il était parfait, bien renflé à la base, coiffant largement la verge, ce qui, lorsqu’il forçait son anus, augmentait son plaisir au passage du sphincter. Elle en était amoureuse et ne se lassait pas de regarder et de jouer avec. Elle adorait sentir les frémissements de Marc que l’intensité des caresses exacerbait.
Elle ne voulut pas le faire attendre davantage. Elle entreprit alors une fellation, douce et longue. Elle était une experte, elle le savait depuis longtemps. Combien de mecs avaient profité de ses talents! Sa langue, tantôt papillonnait sur le gland, à petits coups, s’attardant sur le filet, tantôt s’enroulait autour de la verge en la massant. Puis elle prenait entre les lèvres le bout turgescent et le suçotait comme une friandise, et le frottait sur ses lèvres ou sur les muqueuses de ses joues. Lorsqu’elle avalait la bite, jusqu’aux couilles, au fond de sa gorge, les mecs, en général, s’activaient. Elle aimait être prise dans la bouche comme dans son cul. Lorsque, n’y tenant plus, ils déversaient leur sperme sur sa langue, elle le faisait tourner dans sa bouche pour bien s’imprégner du goût avant d’avaler. Elle était une pompeuse née! C’était le supplice qu’endurait Marc depuis un moment, tout à son plaisir égoïste. Claude était soumise de nature et se prêtait à tous ses caprices. Il était son mâle, elle était sa femelle, aux ordres!
Allez, continue, fais monter de jus de mes couilles, mets un doigt dans mon cul, branle le petit trou de ton chéri! Tu vas voir le paquet que je vais lâcher! Surtout n’avale pas tout! Je veux boire mon jus aussi! T’es prête? Je vais lâcher la purée!
Il déchargea dans la bouche de Claude, comme une bête. Il donnait des coups de boutoir comme il l’eut fait dans un vagin ou un rectum. Son sperme jaillissait, chaud, épais, par longues saccades. Claude faillit s’étouffer sous la dernière giclée lorsqu’il s’enfonça au fond de sa gorge, maintenant sa tête pour qu’elle ne se dérobe pas. Le gland touchait la glotte et elle sentit monter les larmes.
Elle était sa femelle et il la possédait. Il retira enfin sa pine encore raide et gluante, lui barbouilla le visage et se pencha pour embrasser cette bouche, véritable sac plein de foutre. Ils partagèrent la semence, bouches et langues mêlées. Il aimait son sperme et regrettait de ne pouvoir se sucer lui-même! Claude se serrait amoureusement contre son mâle, la tête posée sur le ventre de Marc qui lui caressait les cheveux.
C’était drôlement bon, ma chérie! T’es vraiment la reine des suceuses!
Marc, mon amour, viens me sucer à ton tour, j’ai le cul en feu! Regarde!
Claude était nue, elle aussi. Son corps était gracile. Elle caressait ses seins bien remplis, branlant les bouts qui pointaient, La surprise, pour un non initié, était le reste. Ce n’était pas une jolie petite chatte qui ornait le haut des cuisses, mais une verge, longue et fine, terminée par un gland oblong rouge écarlate! Claude était un travelo! Mi-homme, mi-femme!
Son histoire était banale. Depuis l’enfance, il s’était senti dans le corps d’une fille. Il vivait seul avec sa mère. Celle-ci qui avait, lors de sa grossesse désiré une fille fut déçue et désappointée d’accoucher d’un garçon. Elle essaya de combler sa déception, en élevant Claude comme une fille, l’habillant avec des robes, des nœuds dans les cheveux. Pour elle, Claude était sa fille.
A la puberté, le sentiment qu’il était différent s’accentua. Dès qu’il était à la maison, il passait des heures, devant la glace, à se maquiller, s’épiler les sourcils, raser le moindre poli sur son corps et ce sexe qui n’était pas le sien. Il rentrait sa verge dans la raie de son cul, pour ne pas la voir! Il portait des bas retenus par un porte-jarretelles, tout comme une femme. Sa mère l’incitait à cette transformation. C’est elle qui se débrouilla pour obtenir les hormones féminines nécessaires. La poitrine augmenta rapidement: deux petits seins, au début, vite devenus pleins et fermes, parfaitement dessinés. Des injections de silicones firent le reste. Il était devenu, ce qu’il avait toujours voulu être: une fille!
Puis tout s’était enchaîné très vite. A 15 ans il ou plutôt elle fut draguée par un homme, plus bien plus âgé à qui elle se donna, le premier soir. C’était les vacances. Il l’entraîna dans une chambre d’hôtel. Pas surpris qu’elle fut un travelo, il la suça et la prit comme une femme. Il l’encula, sa bite était énorme, bien plus que les godes qu’elle avait essayés jusqu’alors. Il lui jouit dans la bouche. Puis il lui demanda de l’enculer à son tour. C’était le premier cul de mec qu’elle limait! Agréable! Elle se vida dans le cul du vieux. C’était son premier! Le type se rhabilla et avant de partir, déposa deux gros billets sur la table de nuit. Il l’avait prise pour une jeune pute! Elle comprit vite les avantages qu’elle pouvait tirer de son corps. Elle vivait maintenant de ses charmes. Elle se tapait indifféremment jeune ou vieux. Elle aimait être prise et se prêtait volontiers à tous les jeux érotiques, soumise. En fait, elle aimait être dominée.
Elle fit la connaissance de Marc, un soir en boite, Ils continuèrent la soirée dans sa chambre et firent l’amour jusqu’à plus soif. Marc, une fois la surprise passée, stimulé par l’idée qu’il baisait avec un mec, la posséda à plusieurs reprises. L’orgasme qu’elle eut, lorsqu’il se libéra dans son rectum, était incomparable avec ce qu’elle avait connu jusqu’alors. C’était la première fois qu’elle jouissait ainsi. Ça n’en finissait pas; Elle planait.
Ils se revirent de plus en plus souvent. A chaque fois c’était l’extase! Bientôt, ils ne se quittèrent plus et se mirent ensemble. Marc allait suivre ses cours à la fac et elle était devenue sa petite femme. Elle s’occupait de l’appartement, ménage, lessive, cuisine et surtout de Marc. Elle le bichonnait. Elle continuait à faire des passes pour se faire de l’argent, qu’elle investissait dans les fringues ou en meublant l’appartement. Elle offrait de superbes cadeaux à son homme! Marc ne posait pas de questions sur l’origine de l’argent, ignorant encore qu’il était devenu un maquereau!
Il le comprit le jour où il eut subitement besoin d’une grosse somme. Il avait perdu au jeu la veille et il lui fallait honorer ses dettes dans les quarante-huit heures. Le soir à table, alors que Claude s’affairait à faire le service, il lui fit part de ses ennuis du moment. Elle vint près de lui, le prit par les épaules.
T’en fais pas mon amour! J’ai la solution, je crois. Combien te faut-il?
Il crut que le montant allait l’effrayer. Claude éclata de rire
Ce n’est que ça, dit-elle dans un éclat de rire
Tu trouves que c’est pas beaucoup?
Elle prit dans une boite deux grosses liasses de billets, qu’elle déposa sous son nez.
Tiens voilà, petit malchanceux! Et puis celle-ci est pour toi, mon amour en lui en donnant une troisième qu’elle tenait cachée derrière son dos.
D’où sors-tu tout ce fric Claude?
De mon travail, pardi! Je l’ai pas volé, si c’est ce que tu crains.
Elle lui avoua qu’elle faisait des passes l’après-midi et qu’elle gagnait gros. Parfois, je me fais dix mecs à l’affilé! A trois cents euros, la passe, compte! La plupart du temps c’est rapide, juste une pipe dans un garage souterrain. Si le mec veut me sauter, alors je double le prix. C’est fou le nombre de mecs, même mariés, qui aime faire l’amour avec un travelo.
Pas trop fâché, mon chéri? Allez, embrasse-moi! Et puis, c’est pour toi que je le fais!
Il ne répondit pas, mais il prit l’habitude de lui demander de plus en plus souvent de l’argent, prétextant, toujours l’achat d’une nouveauté, évidemment indispensable. Lorsqu’il eut envie d’une décapotable, Claude était partante mais ne disposait pas de la totalité de la somme.
On a pas assez, c’est vrai qu’elle est chère. Sûre qu’elle est belle!
Et alors, où est le problème? T’as qu’à bosser la nuit en plus. Tu doubleras tes recettes. Démerde-toi, c’est pas mon problème. Le fric, c’est toi! Débrouille-toi, sinon, je dérouille sec. Je veux cette voiture pour les vacances. On ira sur la côte à Nice ou Monaco. Ça devrait te plaire, non, Un week-end, en amoureux, rien que nous deux, à farnienter! Combien ramènes-tu aujourd’hui?
La journée n’a pas été terrible. C’est tout ce que j’ai!
Tant pis pour toi! Tu connais le tarif! Allez fous-toi à poil et couche-toi sur le dos et écartes tes guibolles!
Marc détachait sa ceinture de pantalon. La bite de Claude petite et ramollie, reposait sur les deux couilles. Elle s’exécuta, docile et hurla de douleur sous la lanière de cuir qui lui zébra les cuisses. La morsure était atroce; Elle criait, elle hurlait sous les coups.
Allez, compte, salope, un, deux, trois,
Elle le supplia d’arrêter tant elle souffrait, le dernier coup avait cinglé son sexe.
Ta gueule, j’ai dit cinq. Tourne ton cul, je vais le corriger, ton petit cul de pute! Écarte tes fesses avec tes mains et relève les que je voie bien la raie de ton cul.
Il assena un coup en travers des fesses et le dernier, violent, dans toute la longueur de la raie. Claude hurla de douleur. Il l’avait marqué, comme du bétail. Les Zébrures gonflaient à vue d’œil Il alla à la salle de bain chercher un baume calmant. Il enduisit toutes les marques rouge sang, puis la prit dans ses bras et la câlina, lui murmurant à l’oreille de tendres mots d’amour.
Pas rancunière, Claude se blottit dans ses bras et l’embrassa tendrement. Elle était prête à tout pour le satisfaire s’il le désirait!
Tache de faire plus demain, il me faut la voiture! Les traces sur ton cul donneront peut-être des idées à tes clients! Je suis sûr que tu peux doubler la mise si tu te fais fourrer par deux mecs en même temps! Ou bien un couple un peu vicelard où la femme veut voir son mari se faire prendre comme une fiote; Démerde-toi! C’est ton boulot!
Quinze jours plus tard, la voiture les attendait au garage, payée rubis sur l’ongle, le vendredi soir. Ils étaient sur la côte dans une suite d’un grand hôtel! Dolce Vita!
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