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Véro, 32 ans plus tard/5

Véro, 32 ans plus tard/5



Il y a quelques semaines de cela, je quitte Marseille direction l’Aéroport Marseille Provence pour Paris puis Montréal, où je dois rencontrer un Architecte local en vue d’une association ponctuelle pour un concours d’architecture international. Arrivé à Paris Charles De Gaule, je cherche ma correspondance, qui est comme souvent à l’opposé de l’Aéroport… Après avoir traversé l’Aéroport au pas de course, je m’engouffre dans le tunnel et embarque dans l’Airbus Air Transat et m’installe à ma place pour huit heure de vol.

Quelques minutes après le décollage, les hôtesses commencent leur service, certains voyageurs se lèvent déjà et commencent leur visite de l’avion, les allées et surtout les toilettes…… Je suis concentré sur mon Mac posé sur ma tablette quand une voix douce me fait lever les yeux de mon écran. Là, devant moi debout dans l’allée, une main posée sur l’appui tête du siège devant moi, le sourire le plus enchanteur que j’ai eu l’occasion de croiser, Véro en chair et en os. Un peu plus en chair qu’en os, d’ailleurs, mais ce n’est pas ce que j’ai remarqué au premier regard. Ce sourire illuminait toujours autant son visage, se sourire qui la rendait joli et qui m’avait fait craquer il y a tant d’année.

-« Salut Véro, si on m’avait dit que l’on se recroiserait un jour dans un avion…… Que fais tu là? Tu vas toi aussi à Montréal?  » lui dis-je bêtement, où pouvait-elle aller? Nous allons tous à Montréal…!

– « Je te dérange? Je t’ai vu monter dans l’avion, nous étions tous installer, je ne pouvais pas ne pas venir te voir » me dit-elle avec un fort accent Québecois.

–  » Non, pas du tout, bien au contraire, c’est un véritable plaisir. A t’entendre, tu as fait ta vie au Québec? »

– » Oui, j’ai fini mon droit à Montréal, Aujourd’hui je suis avocate Canadienne. »

– » Génial, félicitation, je suis vraiment heureux pour toi. »

Après quelques minutes de banalités, et lui avoir dit pourquoi j’étais dans le même avion qu’elle, nous convenons de nous voir à la descente de l’avion. Après quelques heures de vol à travailler sur mon dossier, nous atterrissons à l’Aéroport international Pierre Elliott Trudeau de Montréal. A la descente de l’avion, Véro m’attend au début du tunnel d’évacuation avec son éternel sourire. Nous marchons de longues minutes cote à cote jusqu’à la salle des carrousels.

–  » Laurent, tu descends à quel hôtel? Je peux te déposer, j’ai mon auto. »

– » Au Ritz-Calton rue Sherbrooke, mais je ne veux pas te déranger, tu dois être attendu. »

–  » Ça ne me dérange pas du tout, au contraire, et personne ne m’attend, ma fille vit chez son copain et mon fils est chez son père pour chacun de mes déplacements à l’étranger ».

– » Alors je vais abuser de toi » lui dis-je avec un grand sourire.  » Je t’invite à diner? »

– » Ok, mais ce ne sera pas dans un gastro, il est 22h, au Canada on mange tôt, et le temps de récupérer nos bagages et de nous rendre en ville, il sera 23h, donc je t’emmène dans un steakhouse, La Queue de cheval, c’est pas mal. »

– « Où tu veux, mais c’est moi qui t’invite »

Nous récupérons nos valises, rejoignons le parking et filons vers le Montréal centre et le restaurant. Le responsable accepte malgré l’heure tardive de nous servir. Nous nous faisons servir deux pressions, de vrai demis (litre), pour l’apéro, puis deux autres pour accompagner nos délicieuses côtes levées. Pendant le repas et au fil de la discussion, je lui dit avoir trois filles, être divorcé depuis 8 ans et être en couple avec Élisa depuis 6 ans, magnifique grande brune au yeux vert de 22 ans ma cadette. Elle, de son coté, est séparé du père de ses enfants depuis 9 ans et vit seule depuis lors. L’alcool aidant et l’envie mutuelle faisant, nous arrivons rapidement sur le sujet qui nous a fait vivre une première année de Fac formidable, le Sexe.

Je lui dit être libertin depuis longtemps, une bonne vingtaine d’année, et que c’est par ce biais que j’ai rencontré Élisa. C’est une femme magnifique à tous points de vues et qui à l’avantage, pour moi, d’être fontaine.

Elle me dit être plutôt seule, des relations courtes et relativement rares.

Nous quittons le restaurant,regagnons la voiture et nous dirigeons vers l’hôtel. A peine démarrer je lui lance:

 » Tu montes boire un dernier verre? »

 » En tout bien tout honneur? » me dit elle en me regardant avec son sourire coquin « Si je monte, tu sais très bien que ce n’ai pas simplement pour boire un verre. »

 » Ok, tu pourras en boire deux si tu veux. » lui dis-je en éclatant de rire.

 » C’est tout ce que tu peux m’offrir? » dit-elle en riant.

 » Ok, ok, tout ce que tu voudras, je n’ai jamais réussi à te refuser quoi que ce soit, alors, même 32 ans plus tard….. »

Nous arrivons à mon hôtel, pendant que je fais les formalités et récupère mes clés, nos valises sont montées dans ma chambre. Nous nous dirigeons et entrons dans l’ascenseur, direction le 9ème étage. A peine la porte fermé, elle se jette sur moi et m’embrasse. Mon corps est traversé par un magnifique frisson, notre baiser et tendre et délicat comme à l’époque de nos dix neuf ans, j’ai l’impression de faire un saut dans le passé. Nos langues et nos lèvres ne se séparent qu’une fois arrivé au neuvième. Nous entrons dans la chambre, et décidons de prendre un douche rapide mais nécessaire après cette interminable journée.

Elle me propose d’y aller en premier. J’entre donc dans la salle de bains, me déshabille et file sous la douche. C’est au moment ou je suis recouvert de savon et en train de shampouiner, qu’elle entre, nue. Ses hanches sont plus large, ses seins sont un peu plus gros, légèrement tombant, mais beaux, un petit ventre marqué de quelques fines vergetures sont les traces de ses deux grossesses, le tout fait d’elle une très belle femme mature et terriblement attirante. Toujours le sourire accroché à ses lèvres, elle me regarde, me contemple, s’arrête sur mon sexe en demi érection et me dit:

« Tu n’as pas changé, tu es toujours bien musclé, tu fais toujours beaucoup de sport?

« Moins, beaucoup moins, mais toujours un peu, pour m’entretenir »

« Tu es beau, toujours aussi beau, moi, j’ai moins bien vieilli. » et me rejoint dans la douche.

Elle passe ses bras autour de mon cou et m’embrasse langoureusement. Mes mains se posent immédiatement dans son dos et descendent sur ses fesses. Elles sont moins ferme, à peine plus grosse, mais toujours aussi douce.
J’att**** du savon et commence à la caresser avec, le dos, les épaules, les hanches, les fesses, tous son corps y passe, mes mains se faufilent sur elle comme pour faire un état des lieux précis. Elle se laisse savonner et caresser le corps entier par mes mains plus baladeuses que travailleuses. Elle sourit et gémit doucement. Nous nous rinçons, nous essuyons mutuellement. Elle est délicate, et n’a toujours pas, contrairement à moi, posé sa main sur mon sexe maintenant totalement tendu.

Elle s’assoit sur le lit, me regarde et me demande de m’approcher. Une fois devant elle, sa main s’avance lentement vers mon sexe et c’est du bout des doigts qu’elle me caresse, comme s’il s’agissait d’un objet sacré et fragile. Ses yeux sont rivés sur mon membre rigide pour elle, ses doigts se promènent, sa main finit par passer entre mes cuisses pour se refermer sur mes grosses couilles pendantes. Elle lève les yeux et me dit:

« Tu ne peux pas imaginer le nombre de soir où je me suis endormit en pensant à toi et à ta queue. »

 » Et bien, ma belle, ce soir on est là. »

Sa deuxième main vient saisir le manche dressé devant elle, sa bouche s’entrouvre en avançant et se plaque sur mon gland. Je sens sa langue qui glisse et tourne, la pointe vient promener sur mon ourlet, titiller mon frein puis remonte jusqu’à l’urètre. Elle prend tout son temps et savoure mon gland pour mon plus grand bonheur. Sa bouche s’ouvre, ses lèvres s’étirent, se distendent, et font disparaitre en un seul mouvement la moitié de ma virilité. Dès le deuxième mouvement vers l’avant, mon gland s’écrase au fond de sa bouche et glisse dans sa gorge. Elle n’a pas de haut-le cœur, elle salive énormément, pleure légèrement, mais aucun signe nausée. Sa bouche coulisse régulièrement et lentement sur toute la longueur de mon membre, elle se délecte, moi je savoure.

Après quelques longues minutes de ce délicieux supplice, elle libère ma queue sentant certainement que j’allais me déverser en elle et me dit:

« Dans mes pensées nocturnes, je rêvais de jouir par le cul. Tu es le seul à m’avoir fait atteindre le 7 ième ciel par là, alors si tu veux bien, sodomise moi. »

« Tout ce que tu voudras ma belle. Mets toi à genoux »

Elle s’installe sur le bord du lit, les fesses tendues et offertes. Je m’agenouille, mon visage est à la hauteur de ce superbe cul, qui dans cette position, ne laisse paraitre aucun signe de l’âge de sa propriétaire. Mes lèvres se posent sur ses fesses et après avoir posé un baiser sur chacune d’elles, la langue vient directement se poser contre son œillet accueillant. Elle poussent un profond gémissement. Ma langue lèche avec insistance sa rose, la pointe s’introduit délicatement ouvrant la porte de petit trou d’amour. Ses gémissements sont de plus en plus bruyants et sont au rythme de ma langue qui coulisse dans son entrée. Elle relève la tête, me regarde la lécher, pose une main sur ma nuque et m’écrase le visage contre ses fesses comme si elle avait voulu me faire entrer en elle puis me dit:

« Je n’en peux plus, encules moi maintenant. »

Je me lève, la queue toujours bien tendue et brillante de sa fellation, je pose mon gland contre son anus entrouvert part mes caresses. De deux doigts j’écarte ses fesses, de l’autre main je tiens ma queue en direction de la cible et au moment où mon gland disparait en elle, elle fait un mouvement violent vers l’arrière et vient s’empaler en une seule prise, jusqu’à la garde, dans un cri plus proche de l’extase que de la douleur.

« My Goooood, c’est si bonnnnnn…. »

Je la saisi par les hanches, je sais ce qu’elle attend, pour s’être empaler comme cela, c’est qu’elle veut une sodomie
comme à l’époque, violente, puissante et profonde, pas celle de nos début. J’entreprends un pilonnage puissant, avec des aller retour rapide. Mon gland prend l’air à chaque va et vient, laisse son anus béant et replonge profondément dans son fondement. Je la martèle, elle gémit à chacun de mes coups de boutoir. Ses gémissements, après quelques minutes de ce traitement se transforment en cris de plaisir. Elle tremble, son plaisir est en approche, j’accélère encore, je suis moi aussi au rupteur, tout proche du point de non retour. C’est dans un dernier bon en avant, que j’éjacule profondément en elle. Ma semence brulante se répand en elle et lui déclenche un orgasme puissant. Elle est prise de spasmes, hurle la tête enfouit dans la couette, et là, je sens son jus chaud m’arroser les cuisses. Plusieurs jets m’éclaboussent et inondent le lit, le sol.

Elle est terrassée par son orgasme, s’allonge les jambes écartées, à plat ventre sur le lit, en libérant mon sexe. Je constate les dégâts fait sur son anus, il reste distendu, ouvert, et recrache le jus de mon plaisir sur les draps blanc de notre lit.

Je viens me coucher près d’elle, l’enlace et nous nous endormons l’un contre l’autre comme il y a tant d’année.

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