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Journal de bord personnel du capitaine du Phoebus

Journal de bord personnel du capitaine du Phoebus



En l’an 1781, au départ de l’Angleterre, une frégate, le Phoebus, prend la mer chargée de thé, d’épices et de rhum.

Son équipage de 30 hommes dirigé par le capitaine Bonny et secondé par le premier lieutenant Edward Cormac, navigue en direction des côtes portugaises, comme de nombreux autres navires de commerce à cette époque.

Ce vaisseau a pourtant une particularité : son capitaine, Anne Bonny, dissimule son identité afin de pouvoir tenir son rôle sous le nom de William Bonny.

16 avril 1781

Départ du Phoebus à l’aube. Aucun problème à signaler. Temps clément.

17 avril 1781

John le chirurgien me regarde d’un drôle d’air depuis notre départ. Pourrait-il deviner que son capitaine est en réalité une femme ? Je dois me montrer prudente. Edward doit rester le seul à connaître mon secret.

19 avril 1781

L’équipage est discipliné, nous filons vite. Le Phoebus est un navire solide ; j’espère arriver aux Indes plus tôt que prévu. Edward est très agréable avec les hommes, alors qu’il est habituellement d’un caractère plutôt bourru. Sans doute a-t-il le cœur plus léger, sachant qu’il sera le seul à bord à ne pas devoir se plier à une abstinence forcée. Le voilà qui rejoint ma cabine. Et j’entends le bruit des chaînes…

Plus tard : Edward m’a épuisée. Si je ne portais pas de longues manches, les hommes pourraient s’étonner des marques sur mes poignets. Il m’a traitée bien rudement… mais il sait que c’est ce que j’aime.

20 avril 1781

J’ai du mal à garder les yeux ouverts. Je pense à la nuit d’hier tout en grimaçant à chaque fois que je m’assois. Edward n’a plus aucun respect pour son capitaine dans l’intimité, bien qu’il réagisse au moindre de mes ordres devant l’équipage. Il m’a prise sauvagement par l’arrière hier, sans me prévenir, en me plaquant contre le mur. Je fais mine d’être fâchée, mais je crois qu’il connaît la vérité.

Le voyage se passe bien, aucune avarie à signaler.

21 avril 1781

J’ai vu Edward discuter avec John le chirurgien tout-à-l ’heure. Ils étaient au pont-batterie, à l’écart des canonniers, et se sont séparés quand je suis arrivée. Ça ne me dit rien qui vaille.

Les matelots ont eu double ration de rhum aujourd’hui, comme c’est la tradition pour le jour d’anniversaire du capitaine. Pas de débordements, ils ont scandé mon nom jusque tard dans la nuit !

Plus tard : Edward n’est pas venu. Que se passe-t-il ?

22 avril 1781

Une tempête s’est levée ce matin. Nous avons dû réduire considérablement l’allure. L’équipage est néanmoins calme.
John est venu me voir pour discuter du stock de médicaments. Nous venons de partir et le stock a été vérifié avant le départ : est-ce que ce n’était qu’un prétexte ? En partant, il a laissé une de ses mains frôler mes fesses. Sans doute une maladresse. Je n’ai pu m’empêcher de sursauter cependant.

Plus tard : Edward est passé. Pas eu le temps de lui parler de John. Il s’est emparé d’une bougie et m’a ordonné de l’insérer dans mon minou. Quand j’ai refusé, il m’a fait mettre à genoux, m’a collé son membre devant le visage, et m’a littéralement baisé la bouche. Il a refusé de me pénétrer. Je suffoquais à moitié, sa bite venait taper le fond de ma gorge. Il a joui, et s’est retiré pour m’envoyer son sperme au visage. Ensuite, il s’est assis dans mon fauteuil, et m’a ordonné de me finir devant lui. Placée entre la honte et la frustration, j’ai pris la bougie, et m’en suis servie comme d’un sexe, en détournant la tête. Je sentais ses yeux posés sur moi, enregistrant chaque détail. J’ai fait aller et venir la bougie de plus en plus vitre, jusqu’à l’orgasme. Edward est parti sans dire un mot, me laissant pantelante, et le visage souillé.

23 avril 1781

La tempête d’hier a fait quelques dégâts ; l’équipage a été fort occupé aujourd’hui. Tout est réparé heureusement, et la mer est d’huile. Nous repartons de plus belle.

J’ai fermé ma cabine à clé ce soir. Edward est venu frapper ; je n’ai pas répondu.

24 avril 1781

Nous sommes à l’arrêt : un cordage a lâché, peut-être usé pendant la tempête. Le maître-voilier m’a assuré que la réparation ne prendrait pas plus d’une demi-journée.

John est revenu me voir, pour me demander l’autorisation de doubler la ration d’agrumes du quartier-maître, qui se sent affaibli. En partant, il m’a fait remarquer qu’une des bougies de mon chandelier manquait, et m’a proposé de la faire remplacer. Je rougis en repensant que je l’avais jetée par-dessus bord après mon humiliation avec Edward. Mais je n’eût pas le temps de répondre, John s’était déjà retiré.

25 avril 1781

Le beau temps a l’air d’exciter la libido des marins : depuis ce matin, ils enchaînent les chants grivois. Nous sommes partis depuis moins de dix jours pourtant, le manque ne peut pas déjà se faire sentir ! Je crois qu’Edward les entraîne : il chantait plus fort que les autres, et le gabier m’a raconté une histoire particulièrement salée qu’il prétend tenir de lui. Je dois le convoquer et voir ce qu’il mijote.

Plus tard : Plus d’inquiétude à avoir. J’ai rejoint tout à l’heure Edward dans ses quartiers, et me suis assurée de sa bonne coopération. Je crois qu’il a apprécié le changement de rôle… Je l’ai repoussé sur le lit dès que je suis entrée, et me suis assise à califourchon sur sa figure. C’était à son tour d’être humilié, et autant dire qu’il a assumé sa part de travail. Il m’a dévorée comme s’il était mort de faim, tout en me titillant le petit trou. Je lui caressais le sexe de temps en temps, juste assez pour maintenir son érection, tout en lui interdisant de jouir. Quand je suis moi-même arrivée à l’orgasme (et je l’ai bien arrosé au passage), je lui ai dit de se finir lui-même. J’avais envie de ma petite vengeance… Il n’en a éprouvé aucune honte pourtant, et s’est calmement astiqué devant moi en gardant ses yeux rivés dans les miens. Je luttai pour ne pas baisser le regard. Il a joui, je suis partie.

26 avril 1781

Cela fait dix jours aujourd’hui que nous avons levé l’ancre. Il n’y a pas eu d’autre avarie à signaler depuis le cordage. Les hommes semblent nerveux aujourd’hui, je me demande pourquoi ?

Plus tard : Horreur ! Edward est passé cette nuit, pour m’apprendre que John a découvert mon secret, et menace de le révéler à l’équipage ! Si les hommes l’apprennent, je n’ose imaginer les conséquences. Une mutinerie, cela ne fait aucun doute, mais que feront-ils de moi ? J’ai chargé Edward de négocier à ma place. Tout repose sur lui.

27 avril 1781

Je ne peux penser à rien d’autre. Je suis restée dans ma cabine toute la journée, prétextant une indisposition. On m’a proposé d’envoyer chercher le médecin ; j’ai réussi à refuser sans éveiller de soupçons.

Plus tard : je tremble encore. Edward est venu me voir, mais il n’était pas seul. John l’accompagnait. Edward m’a confié que le seul moyen de s’assurer du silence du chirurgien, c’était d’accéder à sa requête. Et celle-ci était bien évidente… Je n’avais pas le choix. A ma surprise, John le voulut pas qu’Edward se retire. Il a dit que l’humiliation du capitaine serait bien plus complète ainsi. A genoux, j’ai dû subir l’invasion de leur deux queues dans ma bouche, envahissant tout l’espace, bloquant ma respiration. Très vite, John a joui dans ma bouche, mais Edward a continué d’y aller et venir, m’empêchant de recracher le sperme. J’ai tout avalé. Mais mon calvaire n’était pas terminé : John a dit à Edward de me relever, et de me faire pencher sur la table, les fesses bien en l’air. Il m’a rentré un doigt dans l’anus, sauvagement, et a dit à Edward de faire de même avec sa queue. Il nous regardait faire, et ça le faisait bander, le salaud ! Il a bousculé Edward, et a pris sa place.
Heureusement, il a seulement donné quelques coups de reins, et a éjaculé à nouveau. Je sentais son sperme couler sur mes fesses. Il a dit à Edward de reprendre la besogne, et nous a regardés jusqu’à ce que ce dernier jouisse en moi. Et alors… j’ose à peine l’écrire, mais il est venu lécher le sperme qui coulait sur ma chatte. Je n’ai pas pu me retenir de jouir, je ne m’attendais pas à sa langue titillant mon clitoris, ni à ce que le fait qu’il lèche le sperme de mon amant sur moi m’excite…

En partant, il nous a assurés de son silence. Mais va-t-il pour autant en rester là ?

28 avril 1781

Je suis confuse. John, qui désormais est plus sympathique avec moi qu’il ne l’a jamais été depuis le début du voyage, m’affirme qu’il n’a jamais percé mon secret. Il assure que c’est Edward qui le lui a révélé. Je me souviens du jour où je les ai surpris sur le pont-batterie. Mais pourquoi Edward aurait-il fait ça ? Non, décidément, le chirurgien me procure une aversion encore plus forte qu’avant. Je sens bien qu’il me ment pour semer la discorde entre mon amant et moi.

Le cambusier me signale la disparition d’une boîte de biscuits. Un matelot qui n’aurait pas apprécié les préparations du coq… Je lui conseille de garder un œil sur les réserves, mais sans engager d’enquête à ce sujet. Un si petit larcin ne saurait m’occuper en ce moment.

29 avril 1781

John avait raison ! J’ai parlé de notre entrevue à Edward, et au lieu de réfuter, il m’a confirmé qu’il lui avait effectivement tout révélé ! Je lui en ai demandé la raison, et je tremble au souvenir de sa réponse : « Je n’ai jamais aimé me faire humilier par une femme. Et j’adore te partager, capitaine ! Attends de voir la suite ! »
Le bosco et le maître-canonnier étaient engagés dans une partie de cartes sur le pont : je n’ai pas osé retenir Edward pour mieux le questionner sur ses intentions.

Plus tard : aujourd’hui le temps était gris, et bien que le vent se soit levé dans l’après-midi, nous continuons notre périple. Les hommes sont impatients et pleins d’entrain. A ce rythme-là, encore trois jours à passer en pleine mer.

Bientôt à l’horizon pointeront les côtes rocailleuses de l’île de Madère.

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