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La jupe d’écolière 6

La jupe d’écolière 6



Bon, d’accord, voilà ce qui c’est passés d’autre ce soir la entre moi et Mimi et croyez-moi, ça été plutôt mouvementé. Beaucoup plus qu’au bar de danseuse nue, oh que oui! Jamais j’aurais cru un jour glisser mon doigt dans le… mais ça, ce n’est pas pour tout de suite. Commençons par ses seins. Et oui, elle va me les montrer. Déjà en train de saliver vous autres… Seigneur! C’est juste des seins, mais des maudits beaux et je vais apprendre de drôle de chose sur ma mère et ensuite on va être invité a un… non, je ne vous le dis pas, je vous laisse la surprise. Mais, cette soirée a été la plus bandante de toute ma vie. Je vous jure. Vraiment trop hot ma nouvelle vie! Et tout ça le même soir, pas croyable!

Mais une chose à la fois, hum!

Le taxi

Nous voilà à rire encore comme des folles a l’arrière d’un taxi en route pour mon loft. Je ris tellement que mon top gothique glisse et me v’là les mamelons à l’air. Oups!
Ma sœur n’en rit que plus fort tout en se rinçant l’œil tandis que je le remonte. Le chauffeur lui, un vieux black qui nous matte par son rétro depuis le départ, derrière sa vitre blinder, a manqué ça, occuper a surveillé tout de même un peut la route, le pauvre. Y doit tenir à son vieux Ford Skyliner 1957 probablement importée de Cuba.Tant pis pour lui.

Comment je sais ça que c’est un Ford Skyliner 1957? On est comme ça nous les gars, on emmagasine des tas d’information inutile, même avec un corps de fille.

Shit! Je viens de voir une caméra qui nous filme, ma sœur la pointe du doigt en riant de plus belle. Bof! Men fou! Je me contente de soulever les épaules en riant à nouveau en admirant Mimi. Je ne m’en lasse pas, je dois être obsédé.

Ce que vous ne savez pas encore c’est que Mimi est une grosse vedette à Montréal, elle non plus elle ne le sait pas d’ailleurs. Je ne sais pas trop comment elle va réagir en l’apprenant et ça me stresse. Comment ces possibles? L’internet! Oh non… Bon, ça aussi c’est pour plus tard.

J’ai toujours trouvé ma sœur (pas adoption) dix fois plus belle quand elle riait; ses petits yeux en amande se fermaient presque complètement et elle nous montrait sa jolie dentition parfaite en renversant la tête en arrière tout en se claquant dans les mains un genou en l’air. Elle a un peu des dents de lapin devant, ça m’a toujours fait flipper les filles qui ont des dents comme ça. C’est toujours celle-là que je trouve les plus belles. Eh oui, j’ai un corps de fille, mais ma cervelle reste celle d’un gars et ma cervelle traîne très souvent sous ma jupe.

Quelques minutes plus tard, on se reprend, le souffle court en s’essuyant les yeux pleins d’eau tandis que le taxi antique file à vive allure vers mon cartier. Décidément notre petite virée à l’aquarium du sexe ne s’était pas tout à fait passée comme prévu. Bon, pas de sodomie par mon beau Denis, mais que ma demi-sœur m’ait regardé me faire faire une pipe par une danseuse nue dans une cabine et pendant que je filmais ou qu’elle filmait compensait largement. Un moment drôlement excitant dans ma vie d’artiste solitaire et de voyeuse fini. Jamais je n’aurais cru qu’un jour, ma si jolie et craquante petite sœur a gros seins me verrais la bite, bander dure, et les couilles et qu’elle regarderait me faire faire une pipe et même jouir sur une paire de seins et tout ça avec mon nouveau look de blondes. Trop cool! J’en ai encore le gros frisson. Ouf! En plus, elle va habiter avec moi un moment histoire de me donner autre chose à regarder que la maudite télé. Yes! J’allais m’en passer des coups de poignets en revoyant la scène de toute a l’heure mainte et mainte fois sur ma télé de 50’’ quand Mimi se sera trouver un apart ou peut être avec elle, comme c’était parti…

-J’en reviens pas d’avoir vue ce que j’ai vu, me dit-elle les yeux petits et brillants comme si elle lisait dans mes pensées, et tu m’as filmé en plus et je t’ai filmer. J’aurais dû faire ça aussi te filmer quand je suis rentré chez toi après-midi avec miss masque gaz sur les genoux. Dire que j’avais mon téléphone dans les mains tabarouette. J’aurais pu mettre ça sur YouTube. Oh oui, maudit que ça aurait été drôle. Et toi je t’avertis la blonde, si j’apprends que tu as mis ton film sur internet je t’arrache tes beaux yeux bleus.

Pour toute réponse je lui tirer la langue pour ensuite regarder sa grosse poitrine, car ses mamelons étaient toujours bien visibles. J’en avais l’eau à la bouche.

-Qu’est-ce que tu regardes voyeuse?
-La même chose que le chauffeur, lui dis-j’ai l’oreille en rajoutant; pis, la bi, voir le vagin de Carole en gros plan, ça ta fait de l’effet on dirait et te faire prendre les boules par elle. En tout cas, elle, elle te mangeait des yeux.

Elle me donna un coup d’épaule, la face tout rouge et on repart à rire. Le chauffeur se rince toujours l’œil, si ça continue on va avoir un accident quoi que, avec le monstre qu’il a comme voiture, il pourrait sans doute démolir un 18 roues en face a face. En tout cas, moi et Mimi, ce n’était plus pareil maintenant. Jamais on ne s’était parlé de sexe avant et encore moins d’une manière aussi crue. Ça me faisait vraiment flipper. J’avais l’impression de ne plus être son grand frère, mais sa meilleure amie, sa confidente et ça… ça me plaisait drôlement.

Perdu dans mes pensées puériles de blonde, en croisant mes belles jambes tout en regardant la route défiler je sens ma bite qui m’élance encore sous ma jupe d’écolière blanche et noire. J’ai encore l’impression d’y sentir la bouche édentée de Carole et je n’ai qu’a penché la tête pour voir son numéro de téléphone a l’envers qu’elle a écrit au marqueur noir sur mon sein droit. Impossible de le cacher avec mon corsage et je m’en fou. Comme il y a très longtemps que je n’ai pas baisé de fille, j’ai drôlement hâte de la rappeler en fin de semaine. Elle a 20 ans de plus que moi, mais je m’en fou de ça aussi, les femmes âgées mon toujours exciter et elle, apparemment, elle flippe sur les Shemales comme moi et même sur les filles a voir de quelle manière elle a regardé Mimi. Bingo! J’ai pas baiser de fille depuis si longtemps que juste d’y pensé, j’en ai la chair de poule et en plus, Mimi risque d’être la. Ça, ce serait le pied, oh que oui! Et si je peux filmer ça aussi… ce serait trop top.

Mon téléphone vibre dans mon sac; encore Denis, je le branche encore sur ma broîte vocale. Encore le téléphone, mais celui de ma sœur; elle me montra la photo de ma mère; broîte vocale, elle ne voulait pas lui parler. Et là, tant qu’à avoir mon téléphone en main, je prends le numéro de Carol en photo, ma sœur me fait un drôle de sourire.

-Quoi?
-T’as peur de le perdre son numéro ou t’aimes tes petits seins a ce point-là.
-Oh oui les deux. On se fait un selfie?

On se colle la tête, gros sourire en tirant la langue et… clik et Flash!

Encore mon téléphone; maman. Cette fois je réponds.

-Pierre?
-Oui, c’est moi M’man.
-Seigneur! Je ne m’habituerai jamais à ta voix de (Hic)… de fille.
-Ben oui moi M’man tu vas t’y faire.
-Je.. (hic)… j’imagine que oui. J’ai perdu mon beau grand garçon.
€,Mais ta gagner une belle grande fille.

Un silence et je l’entend se verser du vin probablement, au moins, elle ne pleure pas, mais elle a le hoquet, donc, elle est saoule.

-WAIS! On peut dire ça. J’ai trop hâte de (Hic)… de te voir maintenant, envoie-moi une photo par Facebook, même plusieurs.
-Promis, demain. T’es fine M’man, je t’aime. Bois pas trop, OK.
-Promis, je t’aime aussi Pierre, eh… (Hic)… tu te fais appeler comment au fait?
-Christine.
-Christine, ça me fait tout drôle… Enfin… (Hic)… passe-moi ta soeur(Christine), je sais qu’elle est à côté de toi, (Hic) (Christine) et elle rit.

Wais, ma mère est saoule.

Mimi prit l’iPhone en soupirant d’exaspération et…

-Oui M’man? Hum hum… oui. Oui, t’inquiète pas pour moi, OK!

Mimi me regarde en souriant, le chauffeur de taxi aussi. Il doit nous imaginer dans une chambre de motel tous les trois ou a l’hôpital vu qu’il ne regarde presque jamais la route. Il aurait une petite surprise avec moi au motel et sûrement que ma queue paraîtrait minuscule à côté de la sienne. J’écoute à peine ma sœur, perdue dans mes pensées idiotes, mais là j’entends…

-Quoi? À quoi Pierre ressemble maintenant?

Je regarde ma sœur qui a le gros sourire en me regardant des pieds à la tête.

-Blonde, de beaux yeux bleus comme tu sais, les même que les tiens M’man, hyper sexy, petits seins naturels, belles jambes, taille fine s’en est décourageant… une bombe. Y fait saliver les hommes autant que moi M’man, y comprit not chauffeurs de taxi. Impossible de deviner que c’est un garçon a moins de regarder sous sa jupe. En plus il a des piercings comme les miens maintenant et de beaux tatouages. Non, pas aux mamelons. Comment je sais ça, il me les a montrés. Quoi? On est entre filles maintenant, M’man stress pas. Quoi? Ben oui, il a gardé son pénis. Comment je le sais? Eh.. Il me la dit. Hum, hum, oui OK… OK, on t’aime aussi M’man, bois pas trop… OK… bye. Quoi? WAIS, OK. Bye!

J’en revenais pas de l’avoir entendu parler de mamelons avec ma mère et encore de mon pénis tandis qu’elle me redonne mon téléphone rose tout sourire, le chauffeur lui, regardait la route a présent ou juste elle. Tien dont!
-Elle t’a demander si j’avais encore mon pénis? Elle en fait une fixation on dirait.
-On dirait, fit Mimi en retenant un fou rire.
-Et M’man ta vraiment demander si j’avais des piercings au mamelon? J’y crois pas.
-Ben oui.
-Pour quoi? Elle a trop bu ou quoi?

Elle se contente de me sourire en soulevant les épaules et dit avec un drôle de sourire :

-Son idiot de nouveau chum les a percer.
-Oh!

Je la regarde, elle me regarde et on repart à rire. Pauvre chauffeur de taxi. Lui avec avait l’air de se demander ce qu’on avait consommé. Mais on s’en fou, on a du fun entre filles et c’est ça qui compte. Je me sens si heureuse d’être la, avec Mimi que je me sens toute drôle et v’là les larmes qui me monte aux yeux. Seigneur!

-Ben voyons, fit-elle, tu pleures encore. Pourquoi?
-Ben, je suis heureuse et heureuse que tu sois là.

Et je me dis en m’essuyant les yeux qu’elle va encore me prendre dans ces bras pour me consoler. Hummm! Mais non, la v’là à rire en sortant un papier mouchoir de son sac pour me le donner.

-Quoi? Fis-je sur la défensive en me mouchant. Me v’là le bout du nez tout rouge, merde!

Note à moi-même; traîner des foutus kleenex a l’avenir.

-C’est trop drôle. Toi qui étais tellement style (Clint Eastwood) avant et là… tu pleures tes émotions. C’est cool, mais trop drôle.
-Ahhhh! Fis-je agacer en voulant lui donner une tape sur un bras, mais je lui tape le sein gauche et ça rebondit.
-Te gène pas la blonde dit-elle en riant.

Le black a les yeux tout ronds dans le rétro, deux grosses billes blanche, mais je lui fait signe de regarder devant et il évite de justesse un idiot de cycliste qui roule en pleins milieux du chemin. Seigneur!

-Désoler, je.. Je voulais te taper l’épaule.
-Ben oui.
-En tout cas, c’est… c’est dur.
-Hum! Fit-elle en bombant le torse. De vraies boules de quille, c’est la Carole qui la dit tantôt.

Je part a rire avec elle en regardant le black, il a le front en sueur. Doux Jésus!!!

Une fois dans mon loft, je me laisser tomber lourdement sur mon sofa, épuiser, pour me débarrasser de mes bottes punk qui me faisait mal au pied, de mon collier à pic qui m’égratigne le cou et de mon bracelet a clou complètement décourager par cette maudite soirée de fou; ma sœur qui débarque chez moi sans prévenir et qui me surprend a enculé ma poupée gonflable, encore ma sœur qui débarque dans un isoloir dans un club de danseuses pendant que je me fais faire une pipe, ma mère qui apprend seulement ce soir que je suis devenu une fille, comme ma sœur et un photographe professionnel qui m’appelle parce qu’il photographie des shemales et il habite, par hasard, juste en dessous de mon loft. Wow! Si ça, c’est pas une soirée de fou, je ne sais pas ce qu’il vous faut. Ah oui, j’oubliais que ma mère m’avait dit qu’elle et ma sœur savaient que j’aimais fouiller dans leurs affaires et porter leur vêtement quand j’étais plus jeune. La honte totale, elles en avaient même parlé au psy de l’école. Seigneur!

Note à moi-même; si je vais au bal des anciens, en garçon, ne pas oublier la cagoule.

-Maudite Mini jupe, elle m’étouffe! Fit soudainement Mimi planté devant moi en se débarrassent de ses runnings rouge et noir avec les pieds tout en descendant la fermeture éclair de ça mini sur ces reins pour l’enlever en se tortillant. Wow! Elle faisait ça très souvent devant moi dans sa chambre quand j’habitais encore a la maison, mais jamais avec des slips noirs aussi sexy, aussi petit, quasi transparent, et qui laissait entrevoir sa belle toison noire et d’aussi beau bas nylon noir déchirer aux cuisses. Oh oui, trop cool! Bien contente la blonde voyeuse d’héberger ma sœur pour quelques semaines ou plus. Oups! Ma bite semble se réveiller. Déjà? Coquine vas!

-Tu peux ben avoir le gros sourire toué, me dit-elle les yeux tout petits en me souriant tout en ramassant son mini pour la jeter sur son gros sac à dos toujours au milieu de mon salon avec son sac à main.
-Tu peux aller dans ma chambre si tu veux te changer Mimi et y mettre tes affaires en attendant qu’on te vide une pièce.
-Pourquoi, t’a vu ça souvent? Hum! Moi et moi M’man on se promenait souvent juste en slip devant toi. T’as dû te rincer l’œil… sans parler des fois ou je me changeais devant toi sans réfléchir.
-Oui, mais… jamais avec une petite culotte aussi… petite et aussi.. eh… Sexy.
-Elle est belle hein?

La v’là qui tourne sur elle même pour bien me la montrer. Seigneur, elle a les fesses à l’air. Mais qu’est-ce qui lui prend? On jurerait qu’elle veut m’exciter ma petite sœur ou c’est juste qu’elle oublie que je suis un gars à la base, mais ça, ça m’étonnerait. En tout cas, c’est drôlement beau a voir et me fait saliver.

Mon iPhone est à porter de main comme d’hab… mais… j’ose pas filmer ça. Mimi fâcher, c’est quelque chose.

-Oh oui! Répondis-je avec beaucoup de conviction, le sourire aux lèvres.

Ah, les filles. Elles sont dures à comprendre parfois. Je ne pus m’empêcher de déglutir à nouveau tellement je la trouvais belle. La dernière fois que je l’avais vue, à Noël, mimi était plus grosse. Visiblement, elle avait fait de gros efforts pour maigrir un peut, mais elle était resté tout de même juste assez rondelette pour être plus que désirable a mes yeux, moi qui préfère les rondes. Trop cool ma sœur avec ses tatouages et ses piercings comme moi et sa peau de lait. Elle est si blanche que nue sur une banquise on ne la verrait pas, on ne verrait que ses cheveux roux et sa toison noire.

WAIS! Une soirée de fou, mais somme toute, une maudite belle soirée pour une voyeuse blonde.

Sa petite culotte et ses bas noirs avec une large bande élastique faisaient paraître sa peau blanche comme du lait, dix fois plus blanche. Ma sœur par adoption de 18 ans est devenue un sacré canon maintenant. Ouf! Heureusement que je venais d’éjaculer sur les seins de la danseuse y as pas longtemps sinon, ma bite aurais encore soulever ma jupe même avec une pile de brique empiler dessus. Je ne peux m’empêcher de l’admirer et elle le voit bien et se contente d’un petit sourire timide. Elle file à mon coin-cuisine ouvert sur le salon comme ça en se déhanchant. J’admire le balancement hypnotique de ses belles fesses rondes et elle tourne la tête. Oups!

-Tu peux te rincer l’œil, après se que j’ai vue tantôt. T’as de la bière dans ton vieux machin vert qui te sert de frigo?

La v’là qui ouvre la porte, se plie en deux, et plonge la tête dans mon frigo, je ne vois plus que son beau cul bomber et ses belles jambes tendues. J’en salive comme un chien devant de belles roues de voiture, surtout en imaginant un tel spectacle chaque jour. Voir les filles nues au bar de danseuses m’avaient exciter terriblement, parce que depuis ma transformation je n’avais eu de relation qu’avec des hommes, je n’avais pas vu de filles nues depuis longtemps, mais voir Mimi la, chez moi, en camisole, en slip et bas Nylon, c’était 10 plus excitants que les danseuses. Il n’y a rien de plus beau qu’une belle-fille et ma sœur en étaient une, une sacrée belle à part ça. Son visage a un petit côté amérindien vraiment flippant. Je m’étais toujours demandé si ses parents étaient amérindiens ou un mélange des deux. Ma mère l’avait adopté à 5 ans après l’incendie de l’orphelinat local. Au départ ce devait être temporaire le temps de reconstruire l’immense bâtisse, mais M’man avait décider de la garder pour de bon et tant mieux.

-La bière est en haut au fond, et merci pour la permission! T’as tellement changé Mimi. Continue a faire de l’exercice, vraiment canon ma petite sœur. J’ai trop hâte de te voir faire du oulaoups dans mon salon. Drôle d’exercice non?
-Rêve pas trop la blonde, mon cerceau est rester a Chicoutimi-Nord.
-J’en ai vu de beaux lumineux sur Ebay, je vais te faire un cadeau.

Je l’entends rire dans le frigo puis elle se redresse, deux bières en canette en main et me tire la langue en souriant, qu’elle a percé comme moi, tout en fermant la porte de mon frigo d’un coup de hanche sublime et je rajoutent pendant que j’essaie de ne pas trop regarder sa grosse poitrine qui se balance sous sa camisole tandis qu’elle revient ou ses poils pubiens : Moi c’est mon top gothique qui m’étouffe.
-Enlève le, change-toi, t’es chez vous!

J’hésite un peu, je l’enlève ici ou je vais dans ma chambre, sans porte de toute façon. J’ai encore un reste de gêne, mais… je la regarde se balader en slip hyper sexy et puis elle avait déjà vu ma petite poitrine, alors… je m’en débarrasse et le jette sur le sofa et reste boules a l’air tandis qu’elle se plante devant moi avec deux bières importer en fixant mes petits seins tout blancs, plats, parfaitement ronds au mamelon rose et minuscule et gonflé et j’aime ça. Pourquoi pas, ça m’excite et, elle, bien, elle semble apprécier la vue, vu qu’elle est bi. Je croise les jambes à nouveau sentant ma bite qui a envie de gonfler encore plus. Ma petite sœur me donne des sueurs et je vois bien qu’elle le sait en me demandant bien à quoi elle joue en se baladant en slip. À me rendre folle probablement.

« Et toi idiote, tu lui montres tes seins! » Oups!

-OK! Fit-elle en constatant que je restais comme ça en me donnant ma bière que j’ouvre pour en prendre une longue gorgée, j’en avais vraiment besoin et elle se laisse tomber sur le sofa à côté de moi.

On boit en se regardant timidement. Voir sa petite culotte si transparente me donne des sueurs et elle louche un peu vers mes seins, comme si elle ne pouvait pas plus s’empêcher de jouer les voyeuses que moi. J’aurais jamais imaginé que ça se passerait comme ça dès le premier soir de son arrivée et j’aime ça. Pas juste pour me rincer l’œil, je suis heureuse qu’elle soit la également, je l’aime trop ma petite sœur et ça fait du bien d’avoir quelqu’un avec qui tout partager… rire…pleurer… discuter aussi franchement, surtout entre fille maintenant, ou presque. WAIS, je l’aime ma petite sœur. Cute et vraiment cool. Elle croise aussi les jambes en disant :

-Merci pour le compliment Pierre, j’ai travaillé fort pour devenir une bombe.
-Pas autant que moi Mimi.

On rit encore. Seigneur, ça promet. Puis je frappe ma bière contre la sienne en disant :

-A nos corps de déesses Mimi.

On boit en se regardant les yeux pétillants. Je me sens si bien… si soulager que ma mère et elle soient au courant de ma transformation que je retiens encore mes larmes. Ça promet!

-Tu vas la rappeler, dit-elle en regardant le numéro sur mon sein tout en s’affalant dans mes gros coussins.
-Oh oui! Comme tu sais, maintenant, pour moi c’est difficile avec les filles, les vrai, ça fait si longtemps.
-Je comprends, t’inquiet pas. Et c’est vrai qu’avec des dents, elle doit être pas mal pour son âge. J’irai au cinéma si elle vient ici, sans porte dans ton loft, ça risque de devenir gênant.
-Moi je pense qu’elle aimerait bien que tu restes.
-Eh…avec toi… se serais vraiment gênant, non? On en reparlera la blonde.

« On en reparlera, » wow!

Ma sœur ne fermait pas la porte à un trio. Ouuu.., là, j’avais le frisson. Ça (elle, moi et la Carole) ça serait vachement trop cool. Et Mimi a un petit sourire malicieux en plus… et moi je frissonne a être la, seins nus devant elle. C’est très excitant.

-Ça te dérange si je reste comme ça? Lui demandai-je mine de rien en regardant ma poitrine. C’est ce que je fais d’habitude et y fais vraiment chaud ce soir et puis…
-T’en es fier de tes nouveaux seins hein? Je comprends ça. T’inquiet pas. Mais c’est pas croyable ce que les hormones transforment un corps. Plus fille que toi tu meurs.
-Carole trouve que je ressemble a Avril Lavigne, on me le dit souvent.
-Wais, un peu, mais en plus hot.
-Cool.

Gros sourire de ma petite sœur en regardant toujours mes seins comme moi, mais elle ne semble pas dupe de mon petit manège. Même que je sens bien qu’elle aime ça me les voir, même que ses tétons recommencent a durcir sous sa camisole. Tien dont!

-Et puis, t’es chez toi et moi je reste en slip le soir d’habitude, mais dans ma chambre. Jamais devant le con qui sort avec M’man. Ça te dérange? Je me sens trop bien.

Juste à la voir sourire, je compris qu’elle savait bien que non.

-T’es chez toi aussi maintenant.
-Cool! Et on est entre filles, hum! Mais pitié, ne laisse pas ta poupée gonflable dans la toilette. Si je me lève cette nuit et je tombe face à face avec ça et son masque a gaz…. je vais hurler. Tu sais comment je suis avec les films d’horreur.
-Promis. C’est pratique une copine qu’on peut dégonfler et ranger dans un casier par exemple.

J’eus même pas le temps de prendre une gorgée qu’on riait encore comme des dingues, j’en avais mal aux côtes cette fois. Tout en riant sans le faire exprès je me colle un téton sur la canette de bière glacée et ça me brûle à mort et je lâche un cri; Outch! Et je me le prends pour le réchauffé et me le frotte.

-Maudit que ces froids!

Ma sœur n’en rit que plus fort… avant de dire :

-C’est sensible hum, des mamelons de fille?
-Ouff. WAIS, pas mal, tabarouette!
-OK, tu peux te le lâcher vicieuse.

Je lui tire la langue en sentant mon téton m’élancer et on boit une longue gorgée. Puis elle dit en posant sa bière sur le coffre pour ensuite commencer à enlever ses bas et c’est flippant à voir :

-Seigneur! Il y a longtemps que je n’avais pas ri comme ça. Ça fait du bien.

Elle les jette par terre pour ensuite reprendre sa bière et croiser les jambes, des jambes d’enfer comme je le disaient, aux cuisses bien rondes, mais aussi musclées. Vue de côté comme ça, avec un léger bourrelet qui cache l’élastique mince de son slip, on jurerait qu’elle n’en porte pas. Ouf! Je sens ma bite me chatouiller.

-Moi aussi. Tu te souviens au chalet de mon oncle Charles quand on a…

Voilà qu’on se rappelle de vieille affaire qui ne vous intéresse pas du tout. On rit encore et encore et… On se prend une autre bière.

-Je stressais ce matin sur le bord de la route en levant le pouce. Dit-elle pendant qu’on ouvre nos bières glacées. J’avais si peur de te déranger vu que t’avais pas pris mes messages ou que tu ne sois pas là, ou que tu vives avec quelqu’un. T’es tellement secret Pierre.
-Tu ne me déranges vraiment pas Mimi, au contraire. Dis-je en posant ma bière a mon tour pour me débarrassant de mes bas également, des bas gris avec des crânes broder dans la bande élastique. J’ai trop envie de lui montrer mes belles cuisses, plus fines et plus longues. Un genre de compétition entre filles.

Elle les regarde les yeux tout petits. Ça me donne le frisson tandis que je recroise les jambes.

-Je peux, dit-elle en me les enlevant des mains, sont trop cool avec les crânes.

Et v’là ma sœur qui enfile mes bas et qui tend les jambes pour les tirer comme il faut sur ses cuisses et les admirent en pointant les pieds. Wow!

-J’en veux des pareils.
-Garde les, j’en ai trois paires. Ils te font vraiment de belles jambes Mimi.
-Sérieux.
-Sérieux.
-Wow! Merci, trop cool la blonde.
-La, ses toi qui porte mon linge.

Elle ne comprend pas tout de suite, puis elle allume. Elle se rappelle que j’aimais porter ses vêtements en cachette quand j’étais plus jeune. Encore des rires en se jetant des regards narquois. Finalement on manque de souffle et on se rince la dalle.

-Sait tu, j’aime ça finalement avoir une sœur Pierre. Ça me fait encore bizarre, surtout te voir les seins a l’air comme ça, mais je trouve ça vraiment le fun.
-Je peux enfiler quelque chose si ça te dérange?
-Pantoute. Tu penses te les faire grossir?

Merci mon Dieu! Si seulement elle pouvait enlever camisole et soutif, histoire de… mais non, la je rêve grave.

-Je sais pas, peut-être plus tard.
-Moi je les garderais comme ça, sont trop mignon, juste parfait avec ta taille de guêpe anorexique qui me fait sué. T’es toute maigrichonne, des seins plus gros, ça ferait.. Trop. Tu penses vraiment à poser nue?
-Hum! Tu vas venir hein, demain? Ça me stresse pas mal.
-OK! C’est loin?

Je me demande si elle accepte pour pouvoir me voir entièrement nue ou juste par ce qu’elle sait que ça me stresse. Peut-être les deux. Peut-être que j’ai trop l’esprit tordu. Wais, probablement.

-Très loin, le loft juste en dessous.
-Sérieuse?
-Hum! Je le savais pas, mais le gars a son studio juste en dessous de chez moi. Il m’a vue nue à la fenêtre, je me balade toujours tout nu, et… enfin. Je pensais pas qu’on pouvait me voir de la piste cyclable, enfin, pas le bas du corps.
-Wow! Mais, attends-toi à ce qu’il te demande de faire du porno. Ces gens-là se contenteront pas de photos. Les belles Shemales comme toi, ça ne court pas les rues et ça doit être très payant pour eux. Moi à ta place j’aurais peur d’att****r quelque chose.
-Je sais, t’inquiètes pas.
-Pis, fit-elle coquine les yeux quasi fermer, c’est tu meilleur une pipe par Carole ou par ta poupée gonflable?

Je lui fis mes petits yeux méchants avant de rire avec elle.

-En tout cas, quant tu auras le goût avec cette beauté de plastique qui fait peur, dit le moi, j’irais me balader. Je suis trop jeune pour mourir de rire. Mais c’était trop drôle de la voir avec son masque à gaz. Et eh…

Elle me regarde drôlement, les yeux vicieux.

-Quoi, demandai-je intriguer.
-Ben, Guy, il l’avait vraiment aussi grosse que tu le dis ou tu me niaisais?

Elle parlait de mon meilleur ami de jeunesses avec qui je me masturbais.

-La bite de Guy! Oh oui! Presque 12 pouces et aussi grosses que mon poignet.
-Et lui et toi? Vous faisiez juste….

Là, elle fait le geste universel de masturber un gars. Ça, ça me donna la chair de poule. J’arrive toujours pas à imaginer ma petite sœur branler un gars ou le sucer. Je sais, c’est idiot, elles le font toutes, mais… bon.

-Non, la totale Mimi.

Nous revoilà cramper de rire, seigneur, j’en peux plus, je manque de souffle. Et je lui demande en m’essuyant les yeux :

-T’en as déjà vu une comme ça Mireille?
-Non! Pas grosse à ce point-là.
-Et toi et Nicole, la totale aussi?

Sa meilleure amie d’enfance sur laquelle je fantasmais.

-Hum, hum! Fit-elle en avalant une gorgée de bière les yeux réduits a deux petites fentes. La totale aussi.
-Ça commencer quand?
-Ver 15 ans. Et toi avec Guy?
-13 ans.
-Quoi, 13 ans! Ah, maudit vicieux.
-Regarde qui parlent. Seigneur! J’arrive toujours pas a vous imaginer en 69 et…
-OK, OK! Fit-elle embarrasser. Changeons de sujets. Pourquoi on parle juste de sexe?
-Parce qu’on revient des danseuses nues probablement. Ou peut être que parce que M’man parle juste de pénis au téléphone ou que l’on est à demi nue toutes les deux, ou que mes murs sont couverts de tag porno, qui sait.

Un temps mort a se fixer et c’est reparti pour la rigolade et pas a peut prêt, surtout après en se parlant du sauvetage de la sirène qui a faillit se noyer. Ça, ça nous fait rire à mort un bon moment. Puis on fini par cesser de rire essouffler et on se rince le gosier. Ouf!

-En tout cas, dit-elle, t’es vraiment belle.
-Trop gentille ma petite sœur, toi aussi. Dis-je au bout d’un moment. Eh, demain tu vas venir chez le tatoueur avec moi aussi?
-Ben oui.
-Je pense que je vais avoir besoin que tu me tiennes la main parce que je veux me faire percer un mamelon. Y paraît que c’est très douloureux, sur le coup, mais qu’après, c’est pas si pire.
-Ou oui, ça fait mal! Dit-elle avec beaucoup conviction avant de boire un coup et de rajouter : Mais ça ne dure que quelque seconde et après, c’est pas si mal, mais faut faire très attention et bien le nettoyer régulièrement.
-Comment tu sais ça toi? Demandai-je intriguer en regardant ses gros seins qui me font saliver comme d’habitude.

Pas de piercing de mamelon apparent sous sa camisole ultra moulante et son soutif mince en dentelle…

La, elle me regarde les yeux rieurs lui regarder la poitrine, hésite un instant… Et dis :

-Et puis, fuck, on est entre ma sœur maintenant.

Elle pose sa bière sur le coffre ancien qui me sert de table de salon et enlève sa camisole pour la jeter sur mes coussins. Mon cœur bondit comme a chaque fois que je l’avais vue juste en soutien-gorge a la maison! Celui-ci peine a retenir ses gros seins si blancs. Petit Jésus, je déglutis tout croche.

Youhou! rappelez-vous, je suis un voyeur eh… une voyeuse finis.

Mais, cette fois je devine déjà ce qui va suivre et j’y crois pas, tellement je rêvais de voir ses gros seins et depuis si longtemps. Je l’avais vue souvent se changer devant moi à la maison ou en bikini, mais jamais seins nus. J’en ai des palpitations et le souffle court et une grosse bouffée de chaleur.

Ses trop flippants, surtout la voir avec son petit sourire coquin, mains dans le dos dégrafé son sourient-gorge visiblement un peut gêner devant moi et moi aussi je me sens un peut gêner. Je déglutis si fort encore une fois que même mon voisin d’en dessous (le photographe) du l’entendre, et elle l’enlève et le jette sur le coffre. Wow! Elle garde un moment un bras dessus pour les cacher, puis se tourne vers moi et les découvre. C’est gros seins tout blancs haut et bien coller, ne tombe pas d’un millimètre et, en riant, elle bombe le torse pour bien me les montrer, elle secoue même les épaules en riant. Seigneur, une vision de rêve, j’en oublie de fermer la bouche un moment en me retenant de toutes mes forces pour ne pas plaquer mes mains dessus et ma bite se réveille et pas a peut près. Cette fois je bande au max et j’y peux rien si ce n’est de garder les jambes croisées. Ils sons parfaitement ronds aux mamelons rose pâle bien centrer et percer. Imaginer couper une grosse boule de quille en ivoire en deux et coller chaque moitié sur le torse d’une fille, ses seins étaient comme ça, comme on en voit rarement, même en photo. Blanc comme une lune d’hiver avec des marques roses laissées par le soutif de dentelle.

Mon cœur s’affole cette fois, j’en ai des sueurs et je salive comme un pitbull. Pauvre chauffer de taxi, il a manqué ça. Pourquoi je pense a lui dans un moment pareil. Je dois être une bonne personne finalement. J’ai une sacrée bouffée de chaleur tout à coup et les aisselles toutes moites. Je me sens comme un voleur repenti qui voit au restaurant un client partir en oubliant un gros porte-monnaies, remplis de billets sur la table d’as côté et qui se dit; faut pas que j’y touche, oh, non… faut vraiment pas…

-Pis mon grand frère, tu rêvais de voir ça depuis longtemps, hum? Oh! Tu rougis la blonde. Regarde, mais deux mamelons sont percés. Et elle les pointe du doigt avec un gros sourire moqueur. Et pas touche a ton téléphone sinon, je t’étrangle la blonde.

C’est pas elle qui m’a dit tout à l’heure de ne pas courir après le viol. Seigneur de Seigneur que j’ai chaud… Ma bite est si dure coincer entre mes cuisses que j’ai l’impression que je pourrais percer un trou dans un mur de ciment avec.

Ah! Les filles! Y a rien à comprendre, avec elles, c’est tout ou rien.

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