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La salope

La salope



Je rentrais du boulot et j’étais de bonne humeur parce que dans le bus, je m’étais retrouvé face à face avec une jolie blonde à la poitrine insolente. Dans le mouvement de foule, je m’étais retrouvé plaqué contre elle et j’avais pu sentir la pointe de ses tétons. Dans les virages, ça avait été encore pire. On aurait dit que le conducteur le faisait exprès. Ses mamelons me pénétraient le torse. La femme avait levé les yeux et elle m’avait souri. J’avais avancé la main et j’avais touché son minou et peu à peu, son visage s’était pâmé. Je n’en revenais pas. La femme se frottait contre le bout de mes doigts. Je pensais au type qui, l’autre jour, dans le même bus, s’était fait traité de vicieux alors que ce n’était pas lui qui avait peloté le cul de ces filles, mais un petit malin qui s’était empressé de descendre du bus.
– Aaaaaah, avait fait la femme !
Elle ne simulait pas parce que j’avais le bout des doigts trempés mais c’était mon arrêt. Je suis descendu et j’ai regardé la femme et le bus partir. Elle m’a fait signe de la main, délicatement, en dressant ses doigts vers le ciel. Je suis rentré chez moi et je marchais sur le boulevard quand j’ai senti que j’avais la trique. Je bandais et ça me faisait mal parce que j’avais la bite coincée dans mon pantalon. J’aurais pu y mettre la main mais il y avait du monde. Je suis entré dans la maison et je suis allé dans la salle de bains pour me soulager.
Je commençais à me branler quand ma femme a poussé la porte.
– Ah toi, m’a-t-elle fait, quand tu es comme ça, c’est que tu as rencontré une paire de gros nichons !
C’était devenu sa manière de se moquer de moi. Au début, quand je l’avais rencontré, j’avais découvert que je courrais après une belle salope et la première fois qu’on avait fauté, j’avais découvert son vocabulaire imagé :
– Oh, sale con, tu me baises, m’avait-elle hurlé ! Baise-là, cette salope ! Mets-la lui bien au fond !
Elle m’avait seriné ça jusqu’à ce que je jouisse. J’avais tout lâché au fond de son vagin mais j’avais aussi découvert qu’elle n’avait pas besoin de moi pour se terminer.
– Touche-moi les nichons, m’avait-elle réclamé !
Elle ne faisait que cinquante-quatre kilos pour un mètre soixante-cinq mais il lui fallait des soutifs avec des bonnets H. Un jour que je la complimentais en la prenant entre les seins, elle m’avait dit que ce ne sont que des mamelles, des bouts de viande mais il suffisait que je tortille ses mamelons pour qu’elle soit folle.
– Oh, putain, je mouille !
Elle ne simulait pas mais c’était sa vessie qui évacuait le trop plein par petites touches.
– Alors, elle était comment cette salope, a continué mon épouse ? Mince, petit cul, gros nichons ? C’est tout à fait ton genre !
C’était surtout son portrait craché.
– Quand tu te seras soulagé, je voudrais que tu débouches l’évier, a ajouté mon épouse !
J’ai repris mon ouvrage mais le cœur n’y était plus et je n’ai pas pu aller au bout. J’ai remballé mes outils et je suis allé dans la cuisine. Ma femme finissait de mettre la table et j’ai tenté mon coup.
– Chérie, je voudrais qu’on fasse l’amour…
– J’ai pas envie, m’a répondu ma femme !
– Mais il y a si longtemps…
Elle a réfléchi un instant et j’ai insisté.
– D’accord, mais pas l’anus, m’a répondu mon épouse ! Je ne suis pas une putain !
Je me souvenais de notre visite à ses parents le dimanche précédent. Elle avait joué la parfaite épouse : mon chéri, mon chéri… Ma belle-mère en avait conclu que nous sommes un couple comme il n’y en a plus.
– Regardes-les comme ils sont mignons…
Une fois dans la voiture, ma femme n’avait pas hésité longtemps. On avait cinquante kilomètres à faire. Elle a remonté sa jupe sur ses cuisses avant d’écarter les genoux et elle s’était masturbée. J’avais ouvert la bouche pour lui parler d’autre chose mais elle s’était cabrée :
– Il n’y a que comme ça que j’ai du plaisir, m’avait-elle lancé ! Pourquoi tu ne veux pas comprendre ? Passe-moi le paquet de mouchoirs, m’avait-elle réclamé !
– Ça vient ?
– Bien sûr que ça vient ! J’ai jamais eu besoin de ta bite !
– En somme, il n’y a que ton fric qui m’intéresse ?
– Ne dis pas de bêtises, m’avait répondu mon épouse ! Ça n’a rien à voir !
Elle s’était fini puis elle s’était essuyée et elle avait redescendu sa jupe sur ses genoux.
– Et moi, j’ai besoin, lui avais-je dit en entrant dans la maison !
Elle m’avait répondu que je n’avais qu’à me branler. Heureusement qu’elle prenait des somnifères pour dormir. Une fois plongée dans les bras de Morphée, j’avais pu m’enfoncer dans ses trous. Je m’étais même branlé dans sa bouche car elle serrait les lèvres instinctivement et j’avais joui sur ses seins pour ne pas l’étouffer. Le lendemain matin, elle ne s’en est pas rendue compte ou elle a fait ssemblant.

Le lendemain soir, quand j’ai repris le bus, il y avait déjà autant de monde que la veille et la femme était là. Je me suis arrangé pour me retrouver plaqué contre elle et quand est arrivé mon arrêt, je lui ai demandé où elle descend.
– Encore deux, m’a répondu la femme !
– Je peux rester ?
Pour toute réponse, elle m’a fait un sourire et je me suis penché à son oreille pour ajouté que j’ai envie d’elle. Elle m’a répondu qu’elle aussi.
Elle habitait un appartement au troisième étage et qu’elle m’a présenté comme étant son nid d’amour.
– On baise tout de suite ou on boit un verre, m’a proposé la femme ?
– On baise tout de suite et on boit un coup et on baise encore, jusqu’à ce que je n’en puisse plus, lui ai-je répondu !
Elle m’a répondu qu’elle ne peut répondre que d’elle.
– Je veux t’enculer, ai-je ajouté !
– Patience ! On va d’abord commencer par le début !
Pour elle, le début, c’était me branler, m’écraser ls couilles dans ses doigts, me faire jouir pour vérifier que j’en était capable et pendant que je récupérais, elle s’est masturbée devant moi.
– Je voudrais que tu me la mette dans le cul, m’a encore dit la femme ! Je ne le fais pas souvent mais aujourd’hui, j’en ai envie ! Je ne me suis jamais fait mettre par une trique aussi grosse, a-t-elle ajouté en serrant ma bite dans sa main ! J’ai l’impression que tu vas avoir du mal !
Je l’ai mise au défi d’essayer et je j’ai d’abord enfoncé le gland puis j’ai enfoncé la tige.
– Oh, putain, il m’encule, m’a fait la femme ! Le salaud ! Il me fait mal ! Sa bite est trop grosse et je ne suis pas une pute !
– Je croyais que tu l’avais déjà fait, ai-je ajouté !
– Oui, mais la tringle n’était pas si grosse !
– Eh bien, je vais t’ouvrir le trou du cul et tu pourras y fourrer un concombre !
Les femmes pour le sexe, sont toutes les mêmes. Elles font semblant d’avoir peur mais après y avoir goûté, elles ne peuvent plus s’en passer. Sous son torse, ses seins balançaient dans tous les sens.
– Mes seins !
– Oui ?
– Qu’est-ce que tu attends pour les toucher ?
C’était facile à dire car ils n’arrêtaient pas de gicler de tous les côtés comme un furet qu’on veut att****r. J’ai fini par en att****r un et je l’ai serré entre pouce et index et la femme m’a demandé si je veux l’arracher.
Je lui ai répondu que je croyais que ce n’était qu’un bout de chair puis je me suis souvenu que c’était mon épouse qui m’avait dit ça. Tout à coup, j’ai senti que ça allait venir et j’ai prévenu la femme.
– Vous êtes bien tous les mêmes, m’a répondu la femme ! Cochon ! On voit bien que c’est pas toi qui doit se nettoyer !

Je lui ai répondu qu’elle n’aura qu’à serrer les fesses et s’asseoir sur le siège et tout lâcher. Ma réflexion l’a fait rire mais c’est ce qu’elle a fait et il y a malheureusement eu des fuites. Quand elle est revenue, elle s’est agenouillé sur le lit. Elle m’a dit que je suis un drôle de type puis elle a voulu que je lui parle de ma femme. Elle avait vu l’alliance à mon doigt. Je lui ai parlé de ma femme. Elle a même voulu que je lui montre une photo.
– Elle est comme moi, m’a dit la femme ! Une jolie salope ! J’adore ses énormes nichons ! Les seins, faut que ça pende !
Elle a bien voulu que je retire un coup et cette fois, j’ai tout fait dans les normes. Elle était allongée sur le dos et je lui avais remonté les jambes.
– Toi, t’aimes bien baiser, m’a alors dit la femme ! Et moi je sais que je suis là pour vous soulager !
Après elle n’a plus rien dit. J’ai joui dans son vagin. Elle s’est lavée puis elle est revenue ma laver la bite et je me suis rhabillé. Ma femme dormait quand je suis rentré. Elle a grogné et je me suis faufilé à côté d’elle dans le lit.
– C’était comment, m’a-t-elle demandé dans un demi-sommeil ? Tu l’as enculée ?
– Oui !
– Alors, c’est bien, a ajouté ma femme ! Au moins ça t’a rien coûté !

Le lendemain, en prenant de l’argent dans mon portefeuille, je me suis aperçu que je n’avais plus la photo de ma femme. J’en ai repris une autre dans l’album et j’ai oublié. Quelques semaines plus tard, quand je suis rentré du boulot, j’ai entendu des voix et j’ai compris que ma femme n’était pas seule et l’autre voix était celle d’une femme. J’ai poussé la porte de la chambre.
– Faut pas te gêner, m’a lancé mon épouse !
– Non, il peut entrer, a fait l’autre femme dont la tête a émergé des cuisses de ma femme et j’ai reconnu la femme du bus.
Elle était harnachée d’un gode ceinture et le trou du cul de mon épouse était gros comme une tête de chou-fleur. La femme lui a dit que je vais commencer par elle et c’est ce que j’ai fait.

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