5- Il était tard dans la matinée, quand ils se levèrent. L’âge et la fatigue les avaient tués cette nuit. Le vieux prépara un bon déjeuner copieux à base de charcuterie et café. La vieille s’allongea sur un transat complètement nue au soleil et s’endormi. Le vieux décida de marcher un peut dans la foret. Il faudra partir demain, vidanger le camping-car, faire des courses et aller visiter d’autres régions. Il était à ses pensées, quand il aperçu une maison forestière. De la musique sortait par la fenêtre ouverte. Il s’approcha pour demander un peut d’eau, quand il vit la femme, une bonne quarantaine à quatre pattes sur le carrelage, nue comme un verre, un collier autour du cou dont la laisse était attachée à la poignée d’un meuble. Elle était assez ronde sans être grosse, des seins lourds pendants vu sa position. Une tache noire entre ses fesses montrait qu’elle était engodée. Le vieux surprit, recula en entendant une voix plus jeune de femme.
-Tu as fini ta gamelle, chienne ?
-Oui dit la femme.
-Oui qui ? dit la voix.
-Oui ma fille dit la femme. Le vieux se pencha pour regarder. Une jeune fille entra avec un fouet, elle était nue aussi, mais avec des bottes cuissardes. Un gros gode noir était accroché entre ses jambes.
-Très bien, ma chère mère. Tu vas faire la belle et lécher mon cul dit elle en se plaçant devant le visage de la femme et en se penchant en avant, offrant une superbe croupe à la langue pendante de la femme. A grands coups de langue la femme léchait les fesses de sa fille qui remuait doucement. Au bout de quelques minute, la fille se retourna et tendit le grand gode noir vers la fille qui l’enfila en bouche comme si ce fut une vrai bite. Sa fille lui tenait la tête et l’insultait, la traitant de tout les noms d’animaux. La fille aperçu le vieux, sur le coté de la porte-fenêtre. Il avait glissé sa main dans son short et se branlait doucement devant ce beau spectacle. La fille donna un coup de cravache sur la croupe de sa mère et cria.
-Approche vieux voyeur, si tu ne viens pas, c’est elle qui va prendre des coups de cravache.
-Tu peux la frapper, elle à l’air d’aimer et moi aussi dit il en approchant.
-Montre ta bite pour voir, tu viens d’où, je ne te connais pas, il n’y à jamais personne ici à part nous.
-Je suis dans un camping-car sur un parking et j’ai dut me perdre dans le bois. Tu sais je ne vous veux aucun mal, c’était beau de vous regarder.
-J’aime pas les voyeurs… Continue de sucer salope, dit-elle en cravachant la croupe rougie. Allez montre moi ta bite, si elle me plait, je te fais une gâterie. Hum belles bourses pendantes et bite molle, pour ton âge c’est normal, tu bandes encore ?
-Moi, mais je bande et crache encore, même si c’est un peut mou. La fille le tâte et prend la bite en main, elle est épaisse avec un gros gland, ce sera peut être mieux que le gode pour ma mère. Mais avant, je voudrais voir une chose, les vieux comme toi, sons des vieux pervers, tourne toi et penche toi en avant. Le vieux s’exécuta, la fille rapidement écarta les fesses et glissa un doigt.
– ça rentre, toi tu te fais défoncer. Je te propose un dil, je te donne ma mère à baiser, mais avant je t’encule pendant qu’elle te suce. Okay ?
-Pourquoi pas dit le vieux, mais hier j’ai baisé et je ne sais pas si je vais encore bander aujourd’hui.
-Elle va t’aider à bander, cette salope et si elle y arrive pas, je lui fous une tourniole et à toi aussi. Allez assez discuter, retire ton short et met toi à genoux sur ce fauteuil. Je vais te mettre de la crème avant parce qu’il est gros mon engin.
Le vieux prit position, tendant son fessier le plus possible. La fille écarta les fesses et mit une bonne rasade de crème sur ses doigts puis l’appliqua à l’entrée et commença à glisser ss doigts vers l’intérieur, élargissant le passage. Elle en mit sur le gode, puis se présenta et poussa doucement, mais sans s’arrêter. Le vieux sentit l’engin entrer inexorablement, puis elle s’arrêta, il comprit que la bête était entrée complètement et ce sans mal. La fille commença à aller et venir. Elle donna un coup de cravache à sa mère qui commença à prendre le vieux en bouche. Elle avait une grande bouche et avala complètement la bite encore molle, mais grosse quand même. Puis ce fut aux couilles qu’elle gobait complément allant de l’un à l’autre. Le vieux était aux anges, lui qui voulait partir, ne sentit plus la fatigue. Cela dura bien dix minutes, la bite c’était raffermie et il avait chaud au cul. La fille se retira d’un coup sans ménagement.
-Tu peux la baiser maintenant, par le trou que tu veux, ou les deux dit-elle en retirant le plug anal à sa mère.
-Je préfère l’enculer, le passage étant fait, si tu n’y voit pas d’inconvénient.
-Alors vas-y dit elle en prenant une petite camera, moi je vais filmer cette salope, comme ça, elle continuera à m’obéir.
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