A peine ai-je arrêté la voiture devant la porte du sous-sol de la maison, je m’empresse de me réajuster. Durant le court trajet, Mouloud n’a pas arrêté de me tripoter. Je ramasse mon string qui traîne sur le tableau de bord tel un trophée, le mets dans mon sac à main. Je lui demande d’être discret, je crains que les voisins nous aperçoivent. Les joies de la vie à la campagne, chacun épie l’autre. Il me demande d’entrer par le sous-sol. Cet endroit de la maison le fait fantasmer. Souvent au cours de nos échanges, il m’a demandé de me photographier au sous-sol. Je devais prendre des poses simulant d’être attachée, ou bien je me bandais les yeux. Je me souviens qu’une fois, il m’avait demandé de me photographier pissant debout. A peine la porte fermée, je me retrouve dos à la porte. Nous échangeons un baiser passionné. Tout cela m’excite fortement. Il me susurre à l’oreille qu’il va s’occuper de moi. Il me branle, ses doigts me fouillent bestialement, nos langues s’entremêlent ! Je coule comme une fontaine. Au bout de quelques petites minutes, il ouvre son pantalon pour laisser apparaître sa bite à demi bandée.
Il appuie sur ma tête. Je me plie à son désir en m’accroupissant. Je commence des va et vient tantôt lents tantôt rapides. Il baise ma bouche comme un sexe, j’aime ça. Quand il est raide, il me relève toujours dos à la porte, à son tour de s’accroupir, de relever ma jupe et de me lécher. En quelques minutes j’explose dans sa bouche Quel bonheur. J’aime cette brutalité, me plier à ses pulsions.
Il me retourne face à la porte, plaque sa main au creux de mes reins m’obligeant à me cambrer, à exposer mon cul et se met à me lécher la rondelle. Je me tortille dans tous les sens, j’adore cette caresse, mais je crains ce qu’il va suivre. Je me demande si je vais supporter sa bite dans mon cul un peu serré. J’ai connu la sodomie sur le tard, mon apprentissage pour cette forme d’amour n’a pas été génial, et je dois dire que je la pratique rarement, mais je vous en parlerez plus tard.
Il entre un doigt, puis deux. Le troisième me fait gémir. Il reste immobile quelques secondes avant de faire quelques va et viens. Il salive sur ma rondelle pour bien la lubrifier. Je sens son gland à l’entrée de mon puits serré.
Ça y est, il entre, j’ai un peu mal, des larmes embuent mes yeux. Il reste immobile, laissant la douleur s’estomper, me laissant m’habituer à cette douleur. J’ondule du bassin, jette en arrière mes fesses, donnant ainsi le signal à son assaut. Il pousse d’un coup sec. il commence ses aller-retour dans mon cul comme un sauvage. Je ne touche plus le sol. J’aime ça, c’est trop bon. Tout ça dure quelques minutes, je gémis, râle, feule incapable de me contrôler. Ses giclées dans mon cul déclenchent mon plaisir. C’est fini, assommée par le plaisir il me faut quelques minutes pour récupérer. Quand je l’invite à me suivre à l’étage, je marche comme une femme ivre. Son plaisir s’écoule le long de mes fesses et de mes cuisses. Jamais je ne m’étais fait autant baisée en si peu de temps. Je me demandais si je n’allais pas me réveiller.
Un moment après, lovée dans ses bras, jambes repliées sur le divan où nous sommes assis pour reprendre des forces et boire un verre, il m’explique de sa voix chaude ce qu’il attend de moi. Je devrais dire il me confirme car nous en avons beaucoup parlé au cours de nos dialogues sur le net ou au téléphone. Il me veut docile, soumise à son bon plaisir dans les limites que nous nous sommes fixés. C’est avec surprise que je l’entends me dire que nous ne dormirons jamais ensemble dans ma chambre, qu’une pute comme moi se baise partout sauf dans un lit. Que je me dois d’être habillée pour me présenter à sa vue le matin. Il me demande de vivre en dessous la plupart du temps, les tenues sexy n’étant réservées qu’à nos délires, autrement il n’était pas question de me mettre en danger vis à vis de mon entourage et de ma famille. Salope je devais être mais uniquement pour notre plaisir. Tout en me parlant, ses mains parcourent mes formes, je me sens bien, je suis en confiance. Me voyant lutter contre la fatigue qui m’envahit, il m’autorise à aller me coucher. Je me lève, quitte à regret ses bras protecteurs, je passe machinalement mes mains sur mes hanches pour remettre en place ma jupe. Je lui demande s’il n’a besoin de rien. Il repose son verre sur la table basse. Posément, il défait son pantalon. Son sexe se dresse d’un coup.
– Suce moi ordonne t il, c’est ce que tu fais de mieux car côté cul tu es trop serrée pour moi, mais on remédiera à cela rapidement.
Je pousse un soupir de résignation et me laisse tomber à genoux, dévoilant mes cuisses pleines jusqu’au triangle de ma culotte. Les lèvres humides, je dépose un baiser sur le gland violacé qui oscille devant mes yeux. Je prends son sexe dans ma main et lui imprime un lent mouvement de va-et-vient pour en augmenter encore le volume. Puis je me penche, bouche entre ouverte.
deleted
Ajouter un commentaire