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Ma chère salope

Ma chère salope



Aux yeux de Morgane, notre différence d’âge ne suffisait pas pour faire de moi un homme mûr. Elle avait 27 ans, j’en avais 36. Et, ce soir-là, dans un bar de nuit, cette nana venait de me dire qu’elle aimait les hommes mûrs.

Mûr, selon elle, c’était 50 ans minimum. Elle me l’a dit après trois ou quatre bières partagées sur le même comptoir, au cœur du brouhaha et de la musique à fond de cet endroit.
Après deux bières de plus, elle m’a dit :
« Je m’en suis tapé qui avaient 70 ans. »
Elle était ivre, comme moi, et je ne savais pas ce qu’elle faisait dans ce bar, car, à première vue, il n’y avait que des personnes situées bien en dessous de la génération qu’elle visait.

Elle était presque aussi grande que moi. Elle avait les cheveux châtain clair, mi-longs, ondulés. Elle avait le corps assez fin, mais des hanches assez prononcées ; je l’avais vérifié quand elle avait quitté son tabouret pour aller aux toilettes, à deux reprises.
Un superbe cul et des petits seins.
J’avais redouté qu’elle ne revienne pas s’asseoir à mes côtés, mais elle était revenue, puis on avait continué à discuter en prenant d’autres verres.

Elle ne s’était jamais expliquée cette attirance. Elle n’avait pas vraiment cherché, apparemment. Elle aimait coucher avec des vieux, c’était tout. Et, de ce que je crus comprendre, elle l’avait déjà fait à pas mal de reprises.
Au bout du huitième ou neuvième verre, je l’entendis même me dire :
« J’adore que des vieux me voient à poil. »

J’étais ivre, elle aussi.
Et je ne sais pas ce qui l’a retenue dans ce bar cette nuit-là, car elle aurait certainement pu trouver son bonheur dans un autre endroit, à une heure pareille, avec les envies, l’âge et le cul qu’elle avait.
Et tandis qu’elle me parlait, je ne cessais pas de l’imaginer en train de se foutre à poil devant des hommes beaucoup plus âgés qu’elle. Qui auraient pu être son père, ou son grand-père.
C’est ce qu’elle cherchait.

Mais c’est avec moi qu’elle a couché cette nuit-là.
Devant moi qu’elle s’est mise à poil, une heure après m’avoir dit qu’elle n’avait pas envie de dormir toute seule cette nuit.
Et je l’ai sautée.
Dans mon lit.
Sans capote.
On s’est même roulé des pelles.
Je me souviens avoir pris ses fesses à pleines mains pendant que je la pénétrais par la chatte. Je me souviens lui avoir léché le cul pendant qu’elle me suçait la bite. Je me souviens avoir éjaculé sur son pubis lisse ; de longues giclées, après l’avoir écoutée me parler de ses goûts sexuels.
Morgane aimait que des hommes bien mûrs la touchent.
Elle aimait leur montrer sa culotte et ses seins.
Elle aimait le faire n’importe où avec eux : en ville, à l’hôtel, chez eux, à la campagne, dans des chemins…
Elle aimait qu’il s’agisse de purs inconnus.

Le lendemain, vers midi, je suis allé acheter des croissants et j’ai fait du café. Morgane a pris son petit déjeuner à poil, dans mon salon, et nous nous sommes remis à discuter.
Il devait être 14 heures quand j’ai de nouveau éjaculé sur sa chatte, après qu’elle m’ait dit qu’elle était capable de faire n’importe quoi avec n’importe qui. Puis nous nous sommes recouchés en nous enlaçant.

En fin de journée, j’ai mis une pizza congelée au four et nous avons pris un verre. Puis deux. Nous étions dans ma cuisine et Morgane n’avait pas remis sa culotte. Elle était à poil, assise sur un tabouret haut, avec ses petits nichons qui remuaient quand elle parlait.
Après le troisième verre, je l’ai prise sur ce tabouret, sans capote, en lui disant des choses et en écoutant ses réponses. J’ai giclé au bord de ses lèvres en lui disant :
« Putain, tu commences à me plaire. »

Puis on a regardé un film. Un truc américain où il était question d’un meurtre presque parfait. Nous avions pris une douche, chacun notre tour, et Morgane était toujours à poil dans mon canapé. J’étais en caleçon.
À la moitié du film, elle est venue sur moi et on a de nouveau baisé.
Elle m’a dit :
« Tu n’aurais pas un copain de 50 ou 60 ans à me présenter ? »
J’ai joui dans sa chatte.

À la nuit venue, on s’est couché à poil dans mon lit. J’ignore l’heure qu’il était. Il faisait nuit, c’est tout ce que je sais. On avait bu quelques verres et Morgane est venue s’empaler sur ma bite.
Le lendemain, je suis allé bosser. C’était un lundi, au printemps. Je ne suis pas rentré à midi, mais Morgane était toujours chez moi. On a discuté au téléphone tous les deux pendant un moment et, le soir, je lui ai présenté un collègue qui s’appelait Michel. Il approchait de la retraite. On s’entendait bien lui et moi. Il est resté manger et on a bu pas mal de verres avec Morgane et lui. Il a sauté Morgane dans le courant de la soirée, devant moi. J’ai vu sa queue bien raide lui bourrer la chatte, sans préservatif.
Je les ai regardés en me masturbant.

Il est reparti et, le lendemain, j’ai présenté un autre collègue à Morgane. Il s’appelait Jacques. Il l’a sautée dans mon canapé, puis, après son départ, j’ai pénétré la chatte de Morgane dans l’obscurité de ma chambre.

Le lendemain, en la découvrant toute nue à mes côtés dans mon lit, je me suis branlé en la revoyant se faire sauter par mes collègues. Mais je n’ai pas eu le temps d’éjaculer.
Elle a ouvert les yeux et m’a dit :
« Retiens-toi, tu vas en avoir besoin. J’ai proposé à mes deux meilleures amies de venir prendre un verre ce soir. »

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