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ma cousine

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Mes parents avaient invité mon oncle sa femme et ma cousine. Comme il faisait mauvais temps, mes parents me donnèrent un peu d’argent pour que j’emmène Laurence ma cousine au cinéma. Je demandais à cette dernière si elle voulait bien, et nous voilà partis.
Je lui dis : choisis le film et entrons. Ok me répondit-elle Puis sans réfléchir au film que nous allions voir je la suivais bêtement. Elle portait une jupe assez large et un chemisier qui laissait deviner une poitrine fière et rebondie.
Elle avait tout de ces saintes ni-touches : le regard angélique perdu dans le vague, innocent, sa bouche bien dessinée laissait voir quelques petites dents bien alignées et bien blanches. Chaque fois que nos regards se croisaient elle prenait un air gêné voire rougissant. Je m’amusais à prendre en faute ce regard timide de petite fille de bonne famille.
Installés dans nos fauteuils côte à côte nous entamâmes une discussion banale. Il n’y avait personne sur notre rangée et nous devions être une dizaine dans la salle en tout et pour tout.
Le film commença et l’ambiance du film sans être érotique ni porno était assez chaude… J’avais les coudes sur l’accoudoir ma main pendante du côté de Laurence. Chauffée par les images, elle prit ma main… Étonné de ce geste, je me laissais faire et au bout de quelques minutes je caressais cette main longue et fine. Je l’ai senti frémir sous cette caresse et j’en fus excité. Au bout d’un certain temps tout en ayant les yeux fixés sur l’écran je dégageais ma main pour la poser sur sa cuisse. J’attendis la réaction de rejet mais rien. J’en déduis qu’elle était consentante et me laissais maître de la manœuvre. Ma main commença à se déplacer vers le gras de la cuisse. Cuisse que je sentais s’écarter doucement, j’étais stupéfait mais heureux, car plusieurs fois je m’étais masturbé en pensant à elle. Ma main continua son chemin et arriva au genoux pour dégager le tissu de sa robe et remonta lentement à l’intérieur de ses cuisses chaudes. J’entendais sa respiration haletante frémissante et consentante. Quand mes doigts arrivèrent à la culotte, elle resserra les cuisses. J’ai cru qu’elle voulait que je m’arrête là, mais lentement elle dé-serra son étreinte et me laissa glisser mes doigts derrière l’élastique de sa culotte. Mes doigts rencontrèrent sa touffe frisée et épaisse… puis glissant vers le bas je titillais ses lèvres qui s’écartèrent aussitôt. Elle était déjà trempée et je sentais les effluves du nectar. Mes doigts pénétrèrent ce sanctuaire que je pensais vierge. Son bassin lentement avait glissé sur le bord du fauteuil pour me rendre la tâche plus facile. Un petit gémissement sortait de sa bouche ce qui m’excita encore plus. Son bassin commença à onduler de plus en plus fort sous ma caresse, alors qu’elle se cabrait dans le plaisir je sentis un jet de mouille dans ma main qui se figea en attendant le calme.
Ce calme revenu elle reprit une position droite sur son fauteuil en dégageant lentement mes doigts trempés. Heureux mais frustré je ramenais mon bras sur l’accoudoir.
Au bout de 5 minutes elle repoussa mon bras et tendant la main atteignit ma bosse restée dure. Avec délicatesse, elle baissa le zip de ma fermeture éclair et directement passa derrière l’élastique de mon slip pour atteindre mon sexe tendu à moitié décalotté. A mon tour je glissais mes fesses sur le bord du siège et elle en profita pour passer tout sa main dans mon slip caressa ma tige et mes boules. Son geste était précis, doux et excitant..; Je faisais des efforts énormes pour ne pas jouir tout de suite. Mon gland était maintenant bien décalotté et humide. Elle amorça un petit va et vient et avec son pouce me massait le bout du gland..
Pour une prétendue ingénue, je la trouvais bien entreprenante et experte. Dès que la sève montait, elle le sentait et s’arrêtait donnait une petite pression à la base de ma verge puis continuait sa caresse. Elle finit par retirer sa main de mon slip et ramena la fermeture. J’eus cru qu’elle voulait en rester là, mais elle se pencha vers moi et me dit : dans 2 minutes suis-moi aux toilettes.
Deux minutes après, j’arrivais dans les toilettes des femmes et je vis une porte entrouverte où elle me guêtait.
J’entrais et elle monta sur la cuvette, remonta sa jupe. Elle avait enlevé sa culotte et me dévoilait sa chatte encore mouillée. Chatte que je mis aussitôt sous ma langue que c’était bon cette cyprine. Toute sa chatte était trempée et les poils étaient tout enduit de sa mouille. Je me délectais… Elle me fit redresser puis s’agrippa à mon cou. Je dégrafais mon pantalon qui tomba à mes chevilles et avec une main j’enlevais également mon slip. Elle se souleva, enserra ma taille avec ses cuisses et doucement descendit s’empaler sur mon dard toujours tendu. Son bassin faisait des va et vient et s’excitait sur mon pieu. Elle m’étreignit ensuite très fort et bloqua sa position, elle reprenait son pied pour la deuxième fois. Un flot de cyprine coula sur nos cuisses. elle desserra son étreinte et je pus continuer mon aller retour pour finir par lâcher plusieurs saccades de sperme dans son ventre. Nous restâmes un petit moment comme ça et éclatâmes de rire dès que nos sens reprirent la normale, puis nous nous embrassâmes langoureusement comme des amoureux de longue date.
Dans mon oreille elle me chuchota : « tu es divin, mon cousin ». Je lui répliquais qu’elle m’avait stupéfait, moi qui la prenait pour une vierge effarouchée.
Nous quittâmes les toilettes reprîmes notre place en nous tenant par la main.
Il faudrait peut être comprendre le film, si nos parents nous demandent ce que nous avons vu ? On inventera répondit elle avec le rire de l’adolescente heureuse.
Quel souvenir à jamais gravé dans mon cerveau. Nous avons recommencé à chaque fois que nous avons pu mais nous n’avons jamais retrouvé ce point culminant de la découverte.

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