Je m’appelle Louise, je suis une jeune fille pétillante , charmeuse, espiègle et trés taquine.
Je mesure 1m60 pour 48kg, j’ai de grands cheveux châtain très légèrement ondulés que beaucoup de gens décrivent comme très beaux. Je ne fais qu’un petit 85b mais du fait de ma petite aille je me trouve bien proportionnée. J’ai de petites fesses très légèrement rebondies et surtout fermes, taillés par la GRS que j’ai longtemps pratiqué durant mon enfance, j’ai un ventre plat avec des petits abdominaux, de petites jambes fines et un mont de Vénus intégralement épilé.
A cette époque je loge encore chez ma maman, ce n’est que ma première année de droit et la fac se trouve à peine à 5kms de la maison alors je n’ai pas pris d’appartement en ville pour cette année.
Nous sommes alors 4 à vivre dans cette maison ou plutôt 3 et demi car ma grande soeur Clémence qui a 3 ans de plus que moi est plus souvent chez son copain qu’ici. Les locataires présents sont donc moi, ma maman et mon beau-père. Ce dernier vit avec nous depuis maintenant 5 ans. Je m’entend correctement avec lui, je n’ai jamais eu de problèmes avec lui sans qu’il y ait non plus une quelconque complicité particulière.
Ma mère est jolie mais n’a plus le corps de ses 20 ans et ma soeur est légèrement boulotte à cette époque. Je suis donc un peu comme le petit joyaux de la maison à ses yeux !
Comme vous le savez sans doute, les horaires de cours à la fac sont parfois assez flexibles et en ce mardi du mois de mars je n’ai pas cours l’après-midi. Je décide alors de rentrer chez moi pour travailler un de mes TD. (trop de monde à la BU, je n’arrive pas à me concentrer). Je rentre alors chez moi sur les coups de 14h, pensant être seule car ma mère et Laurent (mon beau-père) travaillent. En passant le pas de la porte je suis donc surprise de voir Laurent dans le salon en train de lire je ne sais quoi.
J’ouvre alors de grands yeux et lui demande « Bonjour Laurent, qu’est-ce que tu fais ici ? Tu ne travaille pas aujourd’hui ? »
« Bonjour Lou, non je suis en RTT aujourd’hui, et toi tu n’as pas cours? »
« Non, pas le mardi après-midi et je préfère travailler au calme dans ma chambre ».
Il me regarde en souriant et en me dévisageant, son sourire est à la fois bienveillant et charmeur, cachant très probablement des arrières pensées.
Ce jour-là je porte un jean bleu foncé Levis assez, pour ne pas dire très, moulant mettant par conséquent parfaitement mes jambes et mes petites fesses en valeur. Et après avoir ôté mon manteau noir en velours, il ne me reste qu’un petit gilet noir ouvert et un chemisier blanc près du corps qui est rentré dans mon jean.
Je sens alors les regards de Laurent sur moi bien qu’il essaie de se cacher derrière son magazine. J’ai remarqué qu’il me matait depuis mes 16 ans mais depuis quelques mois ses regards se font de plus en plus insistant. Je ne sais pas si c’est mon imagination qui me joue des tours mais j’ai parfois l’impression d’entendre son souffle derrière la porte de la salle de bain lorsque je prend ma douche, j’ai également remarqué que certaines de mes petites culottes et de mes tangas chantaient parfois de place mais je n’y ait pas prêté plus que ça attention car je suis assez tête en l’air, je me suis dit que ça devait être moi qui les avaient changé d’endroit.
Laurent est un homme de presque 50 ans, le crâne dégarnit et les cheveux poivrés mais des traits de visage encore très jeune et une silhouette encore bien svelte voir plutôt athlétique pour un homme de son âge. Ce jour là, il porte un pantalon noir assez classe et sobre et une chemise bleu ciel.
Je pose mon sac à main dans le couloir et ôte mes bottines, inutile de vous préciser que je choisis de me mettre dos à lui en me cambrant bien en avant pour ôter mes chaussures.Je pose d’ailleurs ma jambe gauche sur la marche de l’escalier alors que ma jambe droite reste sur le carrelage (je vous laisse imaginer la position) puis je prend ensuite la même posture en inversant les jambes pour ôter l’autre chaussure. Ce petit manège dure environ une minute, je ne me presse pas !
Je ne le vois pas mais je peux sentir ses regards sur moi, sur mes jambes, mes hanches et surtout sur mes petites fesses.
Au moment où je me retourne il lit son magazine d’un air un peu gêné. Je me dirige alors vers ma chambre en lui disant que je vais aller bosser, il me dit juste « travaille bien » d’une voix un peu cassée.
Je passe alors deux heures dans ma chambre à travailler studieusement à l’étage, Laurent lui reste en bas, je ne sais pas ce qu’il fait exactement, probablement qu’il bosse sur un dossier !
J’aime beaucoup jouer avec lui et le tester en le charmant, le provoquant du regard ou en me dandinant devant lui mais je ne pense pas à aller plus loin. Je suis juste une jeune fille de 18 ans qui aime tester son pouvoir de séduction, a fortiori sur des hommes plus âgés.
Au bout de 2 heures je sens le besoin de faire une pause alors je descend pour me faire un thé, j’entend Laurent dans le bureau. Je passe devant et file dans la cuisine. Je vois ensuite Laurent débarquer et je lui demande si il veut quelque chose, il me répond gentiment qu’il va se faire un café. Je le sens passer juste derrière moi pour atteindre la cafetière.
Nous nous asseyons ensuite tout deux à la table pour prendre nos excitants. Après quelques banalités échangés sur mes cours et son boulot il me demande si tout se passe bien dans ma vie privée en utilisant la formule « et les amis, les amours ? tout va bien? ».
Je lui répond spontanément que oui tout se passe bien même si mon couple avec Josselin commence à battre un peu de l’aile. Il n’en demande pas plus. Il a peut être remarqué que je le voyais moins ces temps-ci.
Je remonte ensuite dans ma chambre, et une heure plus tard en regardant mes jolis pieds je constate qu’ils ne sont plus vernis, je décide d’y remédier en descendant en bas. Comme je ne vois pas Laurent je décide de m’installer confortablement dans le canapé du salon pour me les vernir, j’opte pour une couleur rouge sang, comme souvent.
Je commence à appliquer le vernis sur mon pied gauche et c’est à cet instant que je vois Laurent descendre à son tour en me demandant » Ah, c’est ton vernis qui sent comme ça, je me disais aussi que ça sentait fort ».
Je lui répond » Désolée, je vais le faire dans la salle de bain si ça te gêne? »
» Oh non, pour si peu, pas du tout, l’odeur ne me dérange pas »
Je suis assise sur le canapé, les pieds étalés sur la table basse. Il me regarde et viens vers moi et me dit en plaisantant » Tu as besoin d’un petit coup de main ? »
Je lui répond en rigolant » ça ira, je suis pas si maladroite que ça, mais tu peux souffler sur mes pieds quand j’aurais fini pour que le vernis sèche plus vite ».
» Bien, j’arrive ».
A ce moment je finis le pied gauche, je le vois me tendre sa main en me demandant » Le petit peton de mademoiselle Louise ? ».
Je lui tend alors mon pied qu’il prend délicatement dans la paume de sa main, mon petit pied est à peine plus gros que sa main.Je trouve ce geste et cet instant follement érotique et très excitant. Il prend soin de souffler délicatement sur chaque orteil en prenant bien son temps pour savourer ce moment. Je sens que l’on vient de franchir un stade et de dépasser le simple palier des petits regards charmeurs habituellement échangés !!
Il repose délicatement mon pied sur la table, je me met alors à vernir le second orteil par orteil, je lève parfois les yeux pour lui sourire et il me le rend.
Il me dit alors « je n’ai pas l’habitude de flatter cette partie du corps mais….. tu as vraiment des pieds magnifiques Lou ».
» Merci, ce sont des pieds de gymnaste, c’est pour ça hihi »
« Oui effectivement, il n’y a pas de hasard dans la vie… »
Je lui tend alors mon second pied que je viens de finir, il le reprend avec la même délicatesse et souffle sur chaque orteil en amenant cette fois mon pied plus proche de sa bouche puis dépose un baiser sensuel sur le milieu du pied. Je suis un peu surprise mais souris.
Il vient ensuite s’asseoir à mes côtés sur le canapé , me regarde avec envie et hésitation à la fois puis se décide à me dire » Comme tu es belle Louise…. tu ressembles vraiment à ta mère »
» Merci, c’est gentil, je suis quand même un peu mieux faite non? »
» Ha, oui tu as des atouts qu’elle n’a pas c’est sur, tu en as beaucoup d’ailleurs… »
Je le sens à la fois très excité et un peu nerveux.
Je lui demande » Et quels atouts exactement ? »
Il sourie gêné « Oh il y en a tellement, ton sourire angélique et charmeur, tes magnifiques cheveux de princesse, tes belles lèvres lascives, tes jolis yeux en amandes, tes belles et fines jambes fermes, tes très attirantes petites fesses et maintenant je découvre tes jolis pieds… »
Nos regards ne se quittent plus…. ça devient de plus en plus ambigu et chaud.
Après un silence pesant de 30 secondes Laurent pose sa main sur ma cuisse et dit « Tu m’attires irrésistiblement petite Louise, laisse moi te caresser s’il te plait…. »
J’en ai envie mais j’ai du mal à franchir le pas, surtout vis à vis de ma mère « Je ne sais pas, c’est bizarre comme situation »
» Juste une fois ma princesse, laissons enfin parler nos envies, rien qu’une fois… »
« Bon, après tout j’en ai envie aussi et personne ne le saura… »
Je pose alors à mon tour ma main sur sa cuisse et la remonte doucement pour le caresser, il en fait de même et vient passer son autre main dans mes cheveux en approchant sa bouche de la mienne, je lui offre alors mes lèvres qu’il vient embrasser passionnément, mordillant parfois ma lèvre inférieure.
Ma main remonte inexorablement vers son entrejambe et je sens avec surprise qu’il est déjà tout dur comme du roc, chose que j’apprécie plus que tout : être désirée plus que tout.
Sa main suis le même trajet et viens se loger entre mes cuisses, il fait des petits ronds avec pour tenter de faire monter mon excitation tout en jouant avec ma langue dans sa bouche.
Je bascule alors en arrière sur la largeur du canapé et me retrouve allongé sur le dos, il suit mon mouvement et vient s’allonger sur moi, je le prend dans mes bras et nous continuons à nous embrasser de plus en plus fougueusement.
Je sais qu’il commence à se faire tard et que si nous voulons conclure il faut se dépêcher car ma mère ne va pas tarder à rentrer.
Il commence alors déjà, à retirer les boutons de mon chemisier en ne perdant pas une miette de ce qui s’offre progressivement à sa vue, mon soutien gorge en dentelle violette !!
Et au moment où il commence à passer ses mains dessus et à venir embrasser mes seins nous entendons une voiture arriver dans l’allée; je me redresse et regarde; pas de doute il s’agit bien de ma mère !!!
Je me rassied alors sur le canapé en soufflant de façon assez stressée, je reboutonne en vitesse les boutons de mon chemisier et file vers ma chambre, Laurent me demande alors « On remet ça aussi vite que possible hein? »
Je lui répond « Heu je sais pas… » je dois dire que l’excitation vient de retomber et que je ne pense qu’à une chose: que ma mère ne soupçonne pas la moindre ambiguité.
Je remonte alors en vitesse les escaliers et m’enferme alors de façon innocente dans ma chambre au moment où je l’entend rentrer, ma mère vient me saluer 5 minutes plus tard, je lui dis bonjour de la façon la plus innocente qui soit.
Une heure passe et je décide de prendre ma douche juste avant d’aller diner, pendant que l’eau chaude coule sur mon corps il me semble entendre encore un souffle et une présence derrière la porte. Une fois sortie, je retourne dans ma chambre et trouve un petit mot de Laurent sur mon bureau, dissimulé dans ma trousse avec écrit « J’ai tellement envie de toi…. si toi aussi fais moi un signe, n’importe lequel »
Cette fascination qu’il a envers moi ne me laisse évidemment pas indifférente, toutefois avec ma mère rentrée je n’ose plus trop jouer les aguicheuses. Je décide toutefois de lui envoyer un timide SMS mentionnant » Moi aussi mais maintenant ça me semble mort »
Il me répond juste » Laisse moi y réfléchir et tu me diras si tu es cap ou pas.. »
Ce ton mystérieux ne laisse un peu perplexe.
C’est l’heure du diner, je ne vais pas m’étendre sur ce moment mais inutile de vous préciser que je n’étais pas très loquace et Laurent encore moins, il n’y avait toutefois aucun regard ambigu entre nous, aucun de nous deux n’osait se lancer sur ce terrain devant ma mère.
Après le diner je retourna dans ma chambre et reçu sur les coups de 22h un autre SMS de Laurent me proposant une chose on ne peut plus osée » Et si je te proposais de venir me glisser dans ton lit au milieu de la nuit pour te faire l’amour lorsque ta mère dormira profondément, chiche ou pas chiche? »
Je senti mon coeur battre à cent à l’heure, je sentais qu’il était sérieux et j’en avait aussi très envie mais quelle dose de stress…
Je ne vous ai pas encore précisé que leur chambre n’est situé qu’à l’autre bout du couloir de l’étage et que les cloisons ne sont pas très épaisses ??? Voici le tableau !
Ma raison me demande de refuser sa proposition mais mon coeur et surtout mon entrejambe me pousse à dire oui, parce que quand même, bon sang, même si la situation est risquée, quelle situation excitante : Se faire prendre par son beau-père en pleine nuit au nez et à la barbe de sa mère dormante.
Je lui répond alors un court mais clair « Oui, chiche! »
Qu’il répond par un » Parfait, je ferais tout mon possible pour te satisfaire »
Je me coucha sous les coups de 23h30, j’opta comme tenue de nuit pour une nuisette légère noire en satin sans rien en dessous pour l’accueillir directement entre mes cuisses. Je resta éveillée jusqu’à un peu plus d’une heure du matin mais rien…. je me dis alors qu’il n’a pas pu le faire par peur, ma mère ne dort peut être pas assez profondément ? Ou alors il s’est dégonflé ? Que sais-je encore…. Ce n’est peut être pas plus mal, le risque était trop grand après tout.
Je me laisse alors tombée aux bras de Morphée et alors que j’ai l’impression que mon esprit est ailleurs une douce caresse sur mon bras et dans mes cheveux me tire de mon sommeil, j’entend juste un minuscule chuchotement » Lou, Lou ? Tu dors ? Réveille toi ma belle au bois dormant… »
J’ouvre alors les yeux en gémissant instinctivement, comme à chaque fois qu’on est tire brutalement de son sommeil, il met alors sa main sur ma bouche en me faisant signe de me taire avec son doigt puis se glisse tout doucement dans mon lit. « ta mère a des boules quies mais pas de bruits tout de même »
Je regarde alors le réveil, il est 4h35 du matin….
Il se jette sur moi et viens m’embrasser partout : dans le cou, sur la bouche, sur les joues, sur les épaules. Je passe alors mes mains sur son dos pour le caresser. Il est en caleçon !
Il passe alors rapidement sa main sur mon minou à l’air libre car je n’ai rien en dessous. « Hmmmm tu n’as rien en mis dessous petite coquine, tu es toute lisse et douce, c’est magnifique, ça me change de ta mère. »
Lui bande déjà comme un taureau mais moi je ne suis pas encore à fond dans l’excitation, trop surprise pour l’être.
Je lui demande alors « caresse moi bien comme ça » .
Il me répond en murmurant à mon oreille « J’adorerai te caresser et lécher partout pendant des heures mais ne prenons pas de risques, plus cela va durer et plus ta mère peut nous prendre sur le fait. Et comme je tiens absolument à te pénétrer je vais m’introduire en toi rapidement si tu m’y autorises? »
Je lui fais oui d’un signe de tête, il a en effet raison, on ne peut pas se permettre de le faire très longtemps…
Il se met alors à titiller mon clito assez vite en le faisant rouler entre deux doigts, au moment où je commence à entrouvrir la bouche il pose la main dessus en me chuchotant » Je sais que tu as tendance à gémir assez fort, je t’ai entendu plusieurs fois avec ton copain ». Il a raison !
Il frotte bien ma minette encore quelques secondes puis baisse son caleçon à ses genoux et se positionne entre mes cuisses en les tenant dans ses mains, il frotte son gland quelques secondes sur mon clito et entre mes lèvres, ça me rend dingue, je bouge un peu mon bassin, je sens que je suis un peu humide et lui doit le sentir aussi car il me demande « Je peux te pénétrer maintenant ma petite Lou? »
Je lui fais oui d’un signe de tête en souriant. Je le connais depuis que j’ai 12 ans et je sais qu’il ne voit personne d’autre que ma mère, quant à lui il sait également que je n’ai connu qu’un seul homme dans ma vie. Bref, il n’a pas de raisons de mettre un préservatif.
Il s’introduit en moi doucement en ne pouvant contenir un râle qu’il étouffe aussitôt en mordant mon oreiller, il commence de lents va et viens mais profond, il veut me sentir sur toute la longueur de sa queue « oooh, ooooh Mon Dieu, cette petite chatte que j’ai tant désiré » Il coulisse comme ça en moi pendant environ une minute en m’embrassant à pleine bouche. « haan, ça fait au moins 20 ans que je n’avais pas ressenti de telles sensations, ton minou est sensationnel ».
Je gémis doucement en le regardant et c’est à ce moment qu’il commence à accélérer un peu en moi et je l’entend me susurrer assez rapidement » je vais jouir ma puce, je peux plus me retenir haaa ».
Et en effet, je sens plusieurs jets puissants et surtout très abondants, ce qui m’étonne un peu pour son âge, venir me remplir ma petite chatte. Il sait que je prend la pilule et qu’il n’y a donc aucun risque de me mettre enceinte. Alors il se vide, il me donne toute la semence qu’il a dans ses couille et me remplie le minou de son sperme.
Il éjacule longtemps en moi, j’ai l’impression que ça ne va pas finir et j’adore ça, il veut profiter à fond de ce moment qui ne se reproduira peut être pas. Il se retire ensuite après une minute à éjaculer en moi.
Il remet vite son caleçon et m’embrasse tendrement en me disant « je file ma petite chérie, merci pour ce moment magique » et il sort à tâtons de ma chambre en la refermant derrière lui.
Je reste sans bouger quelques instants, les jambes encore tremblantes de plaisir, sentant un peu de son sperme ressortir de mon vagin et couler sur mon anus.
J’allume la lampe de chevet et regarde mon vagin avec le sperme qui s’y écoule, j’att**** un kleenex et essuie ce qui en coule ainsi que ma cyprine.
Puis je me rendors encore toute engourdie de désir, la sensation délicieuse de son sperme au fond de mon abricot 🙂
Après notre étreinte nocturne, l’ambiance fut assez pesante entre mon beau-père et moi, le sentiment d’avoir fait quelque chose de répréhensible de son côté et la peur que ma mère apprenne quelque chose du mien prédominait. Je cherchai à l’éviter tandis que dans ses paroles se dégageait un sentiment de crispation.
Un mois plus tard, tout semblait être redevenu comme avant, comme si ce qui s’était passé pendant cette fameuse nuit n’était plus qu’un souvenir qui ne se reproduira plus.
Plusieurs mois passèrent sans aucune ambiguité de notre part. Mais les vacances arrivent… avec tout ce que cela implique.
Cette année ma mère et mon beau-père ont loué une petite maison au bord de la mer et à cinquantes kilomètres de chez nous pour la dernière quinzaine de juillet alors que je me suis dégoté un job d’été de serveuse dans un bar tout pourri à Rennes. Il n’y aura donc pas de vacances pour moi cette année à mon grand regret.
Ma mère m’a bien proposé de venir passer le Week-end dans la maison de vacances mais je n’en suis pas vraiment très enthousiasmé, je pense avoir en effet passer l’âge d’aller en vacances avec eux et je sens que je vais plus m’y ennuyer qu’autre chose.
Seulement voilà, les semaines passent, mon job est éreintant, je commence à en avoir plus qu’assez d’être enfermée en pleine ville et j’ai vraiment envie de me prélasser sur la plage. J’appelle donc maman pour lui demander si ça ne la dérange pas que je vienne y passer le Week-end avec ma meilleure copine Géraldine, il n’y a pas de problème, ils nous recevront avec grand plaisir.
Nous arrivons le vendredi soir vêtue de petites robes d’été aux couleurs vives. Après avoir défait nos bagages et prit possession de la chambre que nous allons partager pendant deux jours, nous passons à table. L’ambiance est détendue, nous parlons de tout et de rien, de nos boulots, des vacances, des projets à venir, le tout en dégustant une bonne salade mozzarella.
J’ai fait le vide dans ma tête, ma relation avec mon beau-père n’est plus qu’un lointain souvenir, je n’ai plus envie d’y penser, ou plutôt j’essaie…
Je dine à côté de mon beau-père et face à ma mère alors que Géraldine se trouve face à mon beau père et à côté de ma mère.
Le diner se passe normalement, nous rions, Géraldine est d’ailleurs très joviale ce soir, un peu trop même. Laissez-moi d’abord vous la présenter ! C’est une grande blonde très fine avec de magnifiques yeux bleus aussi clairs que l’océan, elle est typée néerlandaise. C’est une fille aussi douce et charmante que redoutable lorsqu’elle désire quelque chose, c’est d’ailleurs cette option de sa personnalité qui est en veille pendant ce diner.
Je remarque qu’elle échange des regards complices avec mon beau-père et qu’elle ne le laisse pas indifférent, je n’y prête pas vraiment attention car je sais que mon beau-père aime séduire constamment mais sans forcément chercher à concrétiser, un peu à l’image d’un homme politique qui cherche à être constamment en représentation et à sonder ses interlocuteurs. Seulement voilà, à mon plus grand étonnement le problème n’est pas mon beau-père ! Géraldine le dévore des yeux depuis plusieurs minutes d’un regard on ne peut plus explicite en les plissant comme une midinette en chaleur et en dégustant son verre de vin de façon on ne peut plus lascive. Cette allumeuse est en train de léchouiller les rebords du verre ! Non mais pour qui elle se prend cette pétasse ? Elle ose allumer mon propre beau-père là comme ça devant moi ? Elle pense que je vais me laisser faire et lui laisser me le voler ?
Je la regarde avec des éclairs dans les yeux, je voudrais lui crever les yeux si je le pouvais. Elle le remarque mais n’y prête même pas attention. Mes nerfs bouillonnent, j’ai tellement envie de lui dire ce que je pense d’elle mais ne vais-je pas risquer de déclencher un scandale avec ma mère ?
Je décide de prendre alors sur moi et d’attendre la fin du repas pour lui dire tout le bien que je pense de son comportement de nymphette en chaleur.
Mais j’ai comme une impression bizarre, je remarque Géraldine se raidir sur son siège et mon beau-père la déchirer du regard. Quelque chose se passe sous la table, oui ça ne fait aucun doute ! Et ma mère qui ne voit rien….
Je fais alors tomber ma fourchette délibérément et que vois-je ? Géraldine qui a retiré ses sandales caressant la jambe de mon beau-père qui lui semble se laisser faire avec plaisir….
Je ne peux plus rester sans rien faire, je vais montrer à cette radasse de quel bois je me chauffe, je ne vais pas la laisser me piquer mon beau-père devant moi sans réagir ! Je prends une grande respiration et me relève l’air déterminé.
– Tout va bien Louise ? Me demande ma mère.
– Ça va très bien maman.
Je lui réponds en posant discrètement ma main sur la cuisse de mon beau-père, heureusement que la nappe permet de masquer en grande partie ce que je vais faire. Ma main caresse en effet le bas de la cuisse de mon beau-père qui tourne instantanément mais discrètement son regard vers moi. Il ravale sa salive, nos sièges sont très rapprochés de la table, ce qui permet de ne pas se faire griller par ma mère. Je ne sais pas si Géraldine continue son petit manège mais peu m’importe, ma main remonte doucement sur la cuisse de mon beau-père qui vient poser également sa main sur la mienne pour me faire comprendre qu’il apprécie et m’encourager à continuer.
Mes nerfs se sont calmés, je n’en veux même plus à cette catin de Géraldine, ce petit jeu m’excite énormément et réveille en moi toutes les sensations éprouvés durant cette fameuse nuit où mon beau-père est venu me baiser dans ma chambre. Je remonte doucement sur son entrejambe pour venir palper son sexe à travers son pantalon en velours, il est déjà bien dur le cochon ! Sentir cette bonne bite qui m’a déjà pénétrée et remplie la chatte me provoque une boule de chaleur dans le bas ventre. A voir le regard de Géraldine elle semble continuer à jouer avec sa jambe mais qu’importe, je suis persuadée qu’il bande pour moi et pas pour cette blondasse ingénue. J’entame des mouvements circulaires sur son sexe et le palpe pour le garder dur sous ma main. Son pouce caresse tendrement ma main, je sais qu’il a toujours envie de moi et savoir que je peux séduire un homme d’une quarantaine d’années provoque en moi une sensation de toute puissance indescriptible.
Le repas se termine, maman demande si nous pouvons l’aider à faire la vaisselle, avec Géraldine nous partons l’aider alors que mon beau-père dit qu’il nous rejoindra dans 2 minutes après avoir passé un coup de téléphone ? Tu parles ! Il attend juste de ne plus bander avant de pouvoir se lever le cochon !
Je ne dis pas un mot à Géraldine durant la vaisselle qui part se coucher avant moi alors que je partage un café avec ma mère et mon beau-père. Je prends ensuite congé d’eux et entre dans la chambre, Géraldine me regarde souriante avec son air de petite l****a innocente, ce qu’elle m’agace !
– C’était très bon, ta mère cuisine très bien Lou.
– Ta gueule Géraldine, je ne suis pas d’humeur!
– Hein ? Mais ça va pas, qu’est-ce qui te prend ?
– Oh fais pas ton innocente, tu crois que je t’ai pas vu sous la table avec mon beau-père ?
– Heu…
– Et ne tente pas de nier, je déteste le mensonge.
– Oui, c’est vrai, j’ai joué un peu avec lui mais il n’y avait rien de méchant, j’ai juste caressé sa jambe avec la mienne et puis tu sais que toi et moi avons toujours aimé les hommes murs.
– Oui enfin là il s’agit de mon beau-père espèce d’idiote, et si ma mère t’avais vu ? T’imagines le scandale ? Ben non tu t’en fiches, c’est pas ta famille.
– Bon excuse moi, j’aurai pas du faire ça c’est vrai, tu me pardonnes ?
– Non, c’est trop facile.
– Et puis tu m’as dit plusieurs fois toi même que le risque t’excitait, je vais finir par croire que t’es jalouse !
– La ferme Géraldine, tais toi et dors au lieu de dire des conneries.
Elle prend un air de petite fille venant de se faire gronder et se met sous les draps, quant à moi je ne peux pas dormir comme ça, je veux avoir une explication avec mon beau-père et mettre les choses au clair ! Je ne veux pas qu’il se fasse Géraldine et surtout je le veux pour moi.
Je lui envoie alors un SMS clair et concis « Je veux te parler, rendez-vous dans 30 minutes à la cave. », ce à quoi il me répond peu après par un « D’accord, j’y serai. »
Je ne parle plus à Géraldine durant ce temps puis me lève et sors de la chambre à l’heure fatidique.
– Je vais prendre ma douche.
– Ok, j’espère que ça te calmera.
– Ouais, et toi tu devrais en prendre une froide pour calmer le feu que tu as au cul.
Je ferme la porte sans la laisser répondre et m’engouffre dans l’escalier menant à la cave. Je descend tout en bas et m’assied sur le capot de sa voiture en laissant juste une petite lumière entrouverte, mon beau-père arrive quelques minutes plus tard, j’ai un pied sur le capot et l’autre à terre ; il me dévisage avec envie et vient se mettre debout face à moi.
– Tu voulais me parler de quoi Lou ?
– De deux choses.
– Je t’écoute.
– Primo, de Géraldine. J’ai bien vu ce qui s’est passé sous la table et l’effet qu’elle te faisait, pourquoi tu ne l’as pas repoussé ?
– Pour ne pas vexer d’une part, ce n’est qu’une gamine de même pas 19 ans encore, elle est comme toi et cherche juste à tester son pouvoir de séduction sur les hommes. D’autre part, elle est très charmante et ce n’était pas déplaisant. Et puis elle n’a rien fait d’extraordinaire, elle m’a juste caressé la jambe, ce n’est vraiment pas grave.
– Et si elle voulait faire plus, si elle te demandait de coucher avec elle ?
– Je ne pense pas que je le ferai, en tout cas pas ce week-end, le contexte est trop compliqué.
– Ok…. elle t’excite plus que moi ?
– Franchement… non, j’ai un tel désir pour toi depuis déjà pas mal de temps que je ne vois pas comment ta copine pourrait m’exciter plus que toi.
– Bien, me voilà rassurée.
– Et la seconde chose dont tu voulais me parler ?
– Et bien…. j’ai envie de baiser avec toi là maintenant, sur ta bagnole.
– Heu, tu sais je viens de te dire que le contexte était compliqué, entre ta mère et ta copine juste au-dessus.
J’écarte alors ma jambe se trouvant sur le capot de la voiture en remontant un peu ma robe pour lui montrer ma petite culotte rose bonbon tout en passant la main dessus et en lui demandant :
– Et comme ça ? Le contexte est toujours compliqué ?
Il me regarde, s’approche et en guise de réponse s’agenouille en déposant en bisou sur le tissu de ma culotte, je passe ma main sur sa nuque et me laisse aller à ses caresses, sa langue s’affole sur le tissu qu’il humidifie de plus en plus pendant que je gémis au rythme de ses caresses buccales. Le tissu de ma culotte est déjà de trop pour moi, je lui écarte et lui offre ma petite chatte intégralement épilée.
Hmmm, ce qu’elle m’avait manqué ta chatte, je vais prendre le temps de bien m’en occuper cette-fois.
J’espère bien, lèche la moi !
Sa langue passe de droite à gauche sur mon clitoris encore caché sous le capuchon puis de haut en bas, il crache dessus, je couine. Sa langue explore ensuite mes grandes et petites lèvres fines et les ouvre comme une fleur au printemps. Ma cyprine commence à apparaître et c’est le moment qu’il choisit pour insérer sa langue dans mon vagin et me pénétrer avec. Il me donne un de ses doigts à lécher puis le place à l’entrée de ma fente et l’enfonce de quelques centimètres seulement tout en cherchant à le crocheter vers le haut pour chercher mon point G, je mord ma robe pour ne pas hurler et gémis tant bien que mal pendant qu’il me procure un plaisir indicible, sa langue tournoie en même temps sur mon petit bouton, je sens mon bas ventre se contracter et une sensation divine venir raidir tout les muscles de mon corps. Je jouis ! Je m’accroche à la carrosserie de la voiture et explose de plaisir, le capot s’imbibe de tout mon désir tout comme le visage de mon beau-père. Son doigt continue à me fouiller doucement, je veux lui rendre le plaisir qu’il m’a donner, je l’att**** par le col de sa chemise et le tire vers moi pour l’embrasser à pleine bouche pendant que ma main palpe son sexe dur.
Je descends de la voiture et me met à genoux face à lui en le regardant, je déboutonne son pantalon et le baisse puis c’est au tour de son caleçon, sa queue jaillit fièrement devant mon visage. Je pose ma bouche dessus et l’aspire tout en faisant tournoyer ma langue autour de son gland durcissant inexorablement dans ma bouche. J’engouffre sa virilité dans ma bouche en la serrant bien entre mes lèvres pulpeuses tout en passant une main sur ses couilles légèrement poilus pour les malaxer, mes va et viens sur son sexe sont lents et réguliers, je le défie du regard pendant qu’il gémit à son tour devant le plaisir que je lui procure avec ma bouche juvénile et gourmande. La cadence augmente crescendo et je sens son désir s’amplifier. Je m’amuse parfois à sortir son membre de ma bouche et à baver sur son gland pour ensuite étaler avec la pointe de ma langue. Cette dernière vient ensuite s’égarer sur ses couilles que je gobe l’une après l’autre tout en masturbant son membre. Je le reprend en bouche et le pompe frénétiquement, ses gémissements se font de plus en plus forts. Il m’att**** alors par une mèche de cheveux et me tire vers le haut en m’arrachant un cri de stupeur. Une fois débout, il me tourne aussitôt face à sa voiture en me prenant par les hanches et me pousse de manière brutale sur le capot, je tombe presque dessus, je suis déjà bien cambrée mais mon beau-père saisit mes mains pour les étaler à plat sur le capot, ses gestes sont très brusques et traduisent une excitation sans doute refoulée durant des mois, depuis cette fameuse nuit…
Il relève tout aussi brusquement ma robe et baisse ma culotte d’un coup sec jusqu’à mes genoux.
– J’ai envie de te baiser, je vais te coller ma bite dans ta petite chatte.
– Oh oui, j’en ai tellement envie, défonce-la moi !
– C’est ce que je compte faire petite salope, tu la veux et tu vas l’avoir.
Je sens son gland durcit par le plaisir se placer à l’entrée de ma petite fente étroite, je veux qu’il me pénètre et prenne possession de mon corps. Il s’engouffre dans ma petite chatte lentement, m’att**** par les hanches et commence à coulisser doucement dans ma minette chargée de désir. Je me mords les lèvres pour ne pas crier et pourtant ce n’est pas le désir qui m’en manque. Mon beau-père me met une claque rude sur la fesse gauche puis la droite en augmentant la cadence de ses va et viens, son gland entre profondément en moi et vient chatouiller mon col de l’utérus. Je tourne la tête pour le regarder me prendre en levrette, ses traits sont durs, il ne ressemble en rien à celui que j’ai connu lors de notre première nuit mais j’en suis encore plus ravie, c’est comme ça que je l’aime !
Plusieurs autres claques viennent faire rougir mes fesses, ma peau chauffe et me brule, j’adore cette sensation. Il s’amuse à sortir sa queue de ma grotte trempée et à la remettre aussitôt d’un bon coup sec pour me faire gémir. Ses coups de reins se font de plus en plus durs, il me défonce la chatte tout en saisissant mes cheveux et me tirant en arrière tout en me murmurant les pires insanités à l’oreille. J’ai tellement rêvé de ce moment, et dire que je me caressai en pensant à cette scène qui devient réalité. Ma chatte se contracte de désir, mes contractions deviennent plus régulières, je branle la queue de mon beau-père de cette façon en le serrant entre mes lèvres vaginales comme pour le garder en moi.
Au moment où il sort sa queue pour venir de nouveau s’amuser à me la remettre, je recule mon bras pour saisir sa queue en main et place le gland à l’entrée de mon anus.
– Encule-moi maintenant !
– Hmmm tu es vraiment une sacrée salope toi dis-donc. Oh oui, je vais bien te ramoner ton petit cul de trainée.
– Tu le fais souvent avec ma mère ?
– Non jamais ! Je vais bien m’éclater avec le tien, où plutôt devrais-je dire que je vais bien te l’éclater.
Il pousse pour rentrer son gland, le début est toujours le plus difficile et son gland en forme de champignon me procure une petite douleur mais sa bite étant parfaitement lubrifiée par ma cyprine abondante, il finit par passer alors que je me mordille la lèvre inférieure. Il reste un peu sans bouger avec seulement son gland enfoncé dans mon cul puis pousse pour enfoncer le reste en fonctionnant par palier, d’abord la moitié de son membre, puis les trois-quarts et enfin la totalité ; chaque pallier me fait ressentir un plaisir non dissimulé. Je le ressens si bien s’enfonçant dans mon rectum. Je passe une main sous mon ventre pour me stimuler le bourgeon pendant qu’il commence à coulisser dans mon petit trou des fesses.
– Je me suis tellement branlé en pensant que je m’introduisant dans ton petit cul de rêve, hmmm quel pied.
– Et tu aimes être dans mon cul ? La réalité est aussi bien que le fantasme ?
– Tu n’imagines pas à quel point petite salope.
Ses mouvements de bassin se font de plus en plus insistants et vifs, je sens mon anus se dilater sous ses coups de reins, comme si il s’habituait à la forme de son sexe, il s’enfonce du gland jusqu’aux couilles et vient presque chatouiller mon ventre avec. J’aime le sentir prendre possession de mon cul et me sentir comme sa petite salope. Plusieurs claques viennent encore s’écraser sur mes fesses alors qu’il commence littéralement à me défoncer le cul. Comme pour ma chatte il s’amuse encore à sortir son sexe de mon anus béant et à la remettre juste avant que mon petit trou des fesses ne se referme. Je sens l’air passer dans mon cul ouvert par ses assauts. Le rythme qu’il adopte est parfait et progressif, il reprend ses va et viens toujours avec ce rythme qui me paraît frénétique, n’étant pas une habituée de la sodomie je dois sans doute avoir une vision déformée de la réalité. Toujours est-il qu’aussi bon que cette sodomie l’est, mes parois anales commencent à me picoter un peu, l’anus n’est pas un vagin et ne se lubrifie pas naturellement, je serre les dents jusqu’à la fin et me caresse le clito de plus en plus intensément pour me focaliser sur mon plaisir.
C’est à ce moment que je sens un liquide chaud et onctueux venir me lubrifier l’anus et me soulager, j’entends mon beau-père gémir, il vient de gicler sa semence au plus profond de mes fesses, son sexe se contracte en moi et il se vide jusqu’à la dernière goutte pour mon plus grand plaisir, je ne peux cacher mon émotion et pousse un long gémissement qu’il vient étouffer en mettant sa main sur ma bouche pendant qu’il finit de déverser son fluide dans mon rectum.
Il se retire ensuite tout doucement, laissant quelques gouttes couler de mon anus défoncé en sortant.
Je remet ma culotte et réajuste ma robe puis tente de me recoiffer comme je peux même si je sais que c’est peine perdue…
– Je vais remonter, attends un peu avant de remonter sinon ça pourrait être suspect.
– Tu as raison oui.
– Bonne nuit, c’était super.
– C’était divin Lou.
je rentre alors dans notre chambre, Géraldine n’est pas encore endormie, elle bouquine, la lampe de chevet est allumé. Elle me regarde d’un air froid et quelque part inquisiteur.
– Bah dis-donc tu en as mis du temps, trente minutes pour prendre une douche !
– Je me suis attardée dans la salle de bain, je ne trouvais plus certains fringues.
– C’est bizarre, tes cheveux ne sont même pas humides alors que tu sors de la douche, ils sont même décoiffés, tu n’es pas changée non plus…. Tu étais où ?
– Nulle part, t’occupes.
– Bon, c’est tes affaires après tout !
– Oui, ce sont mes affaires.
Il va vraiment falloir que je me méfie de Géraldine…..
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