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Marilyn, ma jolie nièce

Marilyn, ma jolie nièce



Chapitre 1 : Confidences

Je suis étendu sur le transat, un Coca dans la main et je la regarde derrière mes lunettes de soleil. Elle est dans la piscine en train de jouer avec ses enfants et elle rit quand l’un deux la chatouille.
J’adore la voir rire, heureuse, loin de ses soucis quotidiens. La vie n’a pas été toujours facile pour elle. Je fais ce que je peux pour l’aider, moralement et financièrement, mais ma femme et moi habitons en province, trop loin d’elle pour être présent quand elle a besoin d’un réconfort quelconque que je voudrais lui donner, dès que le besoin s’en fait sentir.
Elle est belle, rayonnante, quand elle sourit. D’autres que moi la trouveraient peut-être pas si belle, mais elle est vraiment mignonne. Comme j’aime à le dire, elle est craquante. Quand elle me regarde en souriant, j’ai envie de la prendre dans mes bras, de la serrer contre moi et de lui dire : Je t’aime mon Ange…

Cela fait plus de 30 ans que je l’aime secrètement. La première fois que j’ai éprouvé des sentiments contradictoires envers cette femme, elle n’avait même pas 15 ans. Elle n’était pas encore la superbe femme plantureuse d’aujourd’hui. C’était une jeune fille sortant de l’adolescence qui se transformait en femme. Nous étions en vacances en Bretagne. Avec son air angélique, elle vient vers moi en bikini, juste avec son petit slip. À cette époque elle avait déjà une belle poitrine bien ronde et sans bien m’en rendre compte, mes yeux sont restés fixés dessus un moment avant qu’elle ne me dise.

– Tu veux me mettre de la crème dans le dos. Le soleil tape aujourd’hui.

Je lève mes yeux vers les siens qui me regardent en me tendant le tube de crème. Ses grands yeux noisette brillent pour accompagner ce sourire qui la rend si craquante Elle me tend un tube de crème solaire et ajoute avec une légère pointe d’ironie.

– Dans le dos, Tonton.

Et ma Filleule se tourne pour me présenter son dos mais aussi son adorable fessier bien rebondi et à peine caché par son mini slip.
Je mets de la crème dans la paume de ma main et je commence par l’appliquer sur ses épaules. Mes mains grasses glissent ensuite dans son dos que je caresse doucement. Mes yeux sont juste au-dessus de son postérieur et ils s’attardent sur la fente de ses fesses, bien visible au-dessus de son slip qui ne couvre pas la totalité de son cul de jeune fille en bonne santé.

Mes mains descendent dans le bas de son dos, remontent sur ses hanches bien dessinées pour finir sous ses aisselles avec le bout de mes doigts qui frôlent le dessous de ses seins.
Je me reprends un peu et avec une petite tape sur son beau fessier je lui dis.

– Je pense que ça suffit. Tu peux aller te faire bronzer.

Elle file dans le jardin pour s’allonger sur une chaise longue, les seins nus, avec l’insouciance d’une jeune fille de cette époque.

Dans mon short, mon sexe n’est pas tout à fait au repos et c’est ce jour-là que je me suis rendu compte que ma nièce était devenue une très belle jeune fille et qu’elle perturbait la vision que j’avais d’elle.
Je me dis qu’il faut que je me reprenne et que ce n’est qu’une réaction purement masculine devant une jolie fille, sexy au diable. Mon comportement doit être exemplaire devant cette jeune beauté qui est la fille de la sœur de ma femme.
De plus, une amie de ma femme qui est ma maitresse et que j’aime beaucoup à, comme beaucoup de femme au tempérament jaloux, à un sixième sens pour détecter une attirance particulière entre deux êtres du sexe opposé.
Donc, je me dis « ne fais pas l’imbécile et tiens-toi correctement avec cet ange blond. » Ce n’est pas le moment de foutre le bordel dans ma famille et ma relation extra conjugale si elle comprend que mon affection et ma tendresse pour elle s’est transformée en désir malsain.

Sur ses bonnes résolutions, je vaque à des occupations plus sereines en me traitant de pervers lubrique compte tenu que plus de 30 ans nous sépare.
Mais voilà, facile à dire, mais difficile à faire quand cette déesse passe devant mes yeux en me disant.

– Whaou ! Il fait chaud ! Je vais prendre une douche.

Je n’arrive pas à détacher mes yeux de son mignon popotin qui ondule avec grâce devant moi avant de disparaître dans le couloir.

J’entends la douche couler et suis déjà en train de l’imaginer nue sous les gouttelettes d’eau qui ruissellent sur son corps comme une photo de David Hamilton. Ses mains nues caressent son ventre pour remonter sous ses seins afin de les prendre en coupe pour évaluer…ou admirer leur grosseur. Comme toute jeune fille elle doit se demander si elle aura des beaux seins pour attirer le beau jeune homme qu’elle aura choisi et le prendre dans ses filets d’amour.

Reniant toutes les promesses que je viens de me faire et ma femme étant partie faire quelques emplettes, je me dirige silencieusement vers la salle de bain.

Elle est toujours sous la douche et en me maudissant pour ce que je vais faire, je regarde si la porte est verrouillée. A ma grande surprise, celle-ci s’entrouvre très légèrement quand j’appuie sur la poignée. Je reste figé un instant mais rien ne se passe. Me rappelant la configuration de la salle de bain je sais que sous la douche on ne peut voir la porte derrière le pare eau. Comme un voleur…non… comme un voyeur, je pousse un peu la porte et dans la glace au-dessus du lavabo je peux voir, comme une ombre chinoise, le profil de mon ange.

J’entends qu’elle laisse tomber son savon et avec un « Zut ! » sonore qui me fait sursauter, elle se baisse pour le ramasser.
Et là… c’est l’extase ! Son charmant et adorable petit cul dépasse du paravent en verre et je suis ébloui par la beauté de ses courbes.

Malheureusement, de la buée recouvre progressivement le miroir et comme un enfant pris en faute, honteux de ce que je viens de faire, je referme la porte pour retourner m’asseoir dans mon fauteuil en poussant un grand soupir.

La nuit suivante, je suis réveillé par une envie pressante. Lorsque je regagne ma chambre en passant devant celle de ma jolie nièce, j’entends un faible gémissement. Je m’arrête l’oreille aux aguets, déjà inquiet. Un autre gémissement filtre sous la porte et là, je me demande si elle va bien. Je m’apprête à frapper pour m’enquérir de son état, mais réflexion faite, si elle dort je risque de la réveiller.
J’entrouvre la porte de sa chambre et à pas feutrés je m’approche de sa couche. Les rayons de la pleine lune qui passe par la fenêtre ouverte me permettent de voir un ange endormi, couché sur le dos et… entièrement nu !

Sa belle main aux doigts si fins est entre ses cuisses, posée sur son pubis et elle me cache le portail du paradis. La lumière jaune de la lune sur sa peau bronzée crée des reflets dorés sur les courbes harmonieuses de son jeune corps. Parmi les déesses de l’olympe, elle serait Aphrodite, la déesse de l’amour, de la beauté et des plaisirs.
Mais moi je ne suis pas Adonis pour me permettre d’espérer voir dans ses yeux un regard amoureux. Je ne suis qu’un voyeur pervers qui ferme ses yeux pour graver cette image dans sa tête avant de retourner auprès de sa femme.

Je rouvre mes yeux quand j’entends cet ange soupirer et retirer sa main d’entre ses cuisses qui restent écartées. Dans un éblouissement, je vois son sexe, ses lèvres finement ourlées comme les pétales d’une rose, entouré d’une fine auréole de poils blonds bouclés.
Une onde de désir passe dans ma tête et ma langue caresse ma lèvre supérieure comme si c’était la lèvre intime de cette petite chatte qui me nargue sans le savoir.

Je ne me contrôle plus très bien et mon corps est attiré par le sien comme si c’était un aimant. Près d’elle, je me penche pour respirer l’odeur de son corps et une odeur particulière pénètre dans mes narines grandes ouvertes. Cette fragrance douce-acide, c’est celle de son adorable sexe. Je suis maintenant persuadé qu’elle devait faire un rêve érotique et que ses doigts caressaient son joli minou. Je respire à plein poumon pour m’enivrer de ce parfum qu’on ne peut acheter et qu’elle m’offre sans le savoir.
Elle bouge dans son sommeil et je réagis enfin. Je me sauve avant de commettre l’irréparable et que cet ange ne m’envoie brûler en enfer avec ses hommes qu’on appelle pédophiles.

Cette nuit-là j’ai eu beaucoup de mal à m’endormir mais je me suis juré de ne pas recommencer de faire une telle bêtise pour ne pas blesser d’une quelconque façon cette jeune fille que je veux continuer d’aimer comme un Tonton attentionné et non comme l’amant, fort improbable, que je voudrais être pour lui faire découvrir les plaisirs de la chair.

Le lendemain je suis irréprochable. Enfin, presque ! Je me permets quand même de l’admirer en portant mes yeux bien plus souvent sur son admirable fessier et sur ses seins qui promettent d’être de toute beauté dans 1 à 2 ans. Mes mains effleurent ou touchent sa peau si douce dès que j’en ai la possibilité et que ça paraisse normal. Je la prends parfois par les épaules et je suis au paradis quand elle passe sa main autour de ma taille pour marcher avec moi.
Quand elle m’embrasse chastement pour me remercier de quelque chose, je la serre contre moi plus qu’il ne le faudrait. Mais tout cela peut passer pour des gestes de tendresse affectueuse envers une jeune fille de sa famille, qu’on apprécie particulièrement pour sa gentillesse.
J’arrive à contenir, tant bien que mal, ce trop-plein d’amour et de désir que m’inspire cette jeune fille au regard si lumineux avec un corps qui promet tant de délices à celui qui prendra son cœur.

Mais comme le dit Blaise Pascal dans ses pensées, « Le cœur à ses raisons que la raison ne connaît point »
Quand cet ange est venu insidieusement hanter mes rêves, mon esprit immoral et vicieux l’a transformé en Ange pervers prêt à tout pour séduire le faible homme que je deviens quand elle plonge ses yeux dans les miens.

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