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Livrée à des racailles

Livrée à des racailles



Pour le plaisir de Christian, avec l’autorisation d’Alain, je suis livrée à une bande de cailleras. Attachée nue et suspendue comme un vulgaire morceau de viande, je suis laissée seule dans une pièce. Le temps me parait une éternité. Même si je dois subir les pires outrages, je suis impatiente d’être confrontée à mes tortionnaires.
Enfin, comme une sorte de délivrance, la porte s’ouvre. Un mec, que je suppose être le chef de la bande, s’avance vers moi. En me claquant violemment une fesse, il me dit :
« Aujourd’hui, on va t’apprendre comment être au service des hommes ! Tu vas passer la journée à sucer et à avaler du sperme. »
Une angoisse me vrille le ventre. Je sais que je vais être utilisée par tous les cailleras de la cité. Pour conclure il me dit :
« Nous avons distribué des flyers dans la cité. Je crois bien que tu ne vas pas t’ennuyer. Regarde, il est sympa ce flyer ! »
Je frémis en voyant une photo de moi, en train de me faire mettre par tous les trous, avec la légende :
« Pipe gratuite. Michèle vous attend. 10€ pour sa chatte et 20€ pour son cul. » 

J’en ai le vertige. Il me baise la bouche devant ses potes pour prouver son pouvoir et m’éjacule dans la bouche en longues giclées crémeuses.
« Avale putain ! Allez pétasse en position de chienne ! »
Il m’attache les chevilles, en m’écartant les jambes. Mes jambes sont écartées et je ne peux serrer les genoux. Je me sens très vulnérable dans cette position. L’idée d’être présentée ainsi à des inconnus est très humiliante.
« Tout sera diffusé sur le net en temps réel. Tu devras sucer tous ceux qui viendront te voir, et les laisser jouir où ils veulent. Tu ne dois jamais te cacher, ni te nettoyer, quoi qu’il arrive. Aujourd’hui, tu n’es qu’une bouche, une chatte, un cul. C’est bien compris ? »
« Oui, Monsieur. »
Sur ces mots, il sort en laissant la porte ouverte. Cinq minutes plus tard, un homme entre en me demandant :.
« Michèle j’imagine ? »
« Oui, monsieur. »
« Qu’est-ce que tu fais là ? »
Je suppose qu’il veut m’humilier un peu plus et me l’entendre dire.
« Je suis là pour vous sucer, Monsieur. »
Il s’avance, ouvre sa braguette et me met son sexe sous le nez.
« Alors suce, vite. J’ai plus important à faire. »
J’ouvre la bouche et commence à le sucer. Rapidement, il jouit sur mes seins en me disant :
« Voilà. Je voulais t’avoir pendant que tu es encore propre. Amuse-toi bien ! »
Il prend mes cheveux, s’essuie dessus et repart.
À nouveau seule, je commence à comprendre à quoi va ressembler le reste de ma journée. La porte s’ouvre à nouveau. Sans un mot, le sexe en main, il me fourre la bouche jusqu’au fond de ma gorge. Il éjacule lui aussi rapidement. J’avale avec difficulté et i repart comme il était venu.
Puis c’est un vrai défilé. Je ne les compte plus. Ils jouissent sur mon visage, sur mes seins, souvent dans ma gorge.
D’autres ayant payé me prennent par le cul et la chatte. Un groupe de trois adolescents arrive en gloussant. L’un d’eux me pince et tire mes seins. Je gémis. Encouragés par ma docilité, les deux autres sortent leurs sexes en même temps, et commencent à se masturber. L’un des trois dit :
« Le premier qui lui jute sur la gueule a gagné ! »
Ils y mettent du cœur. Les trois lascars halète et respire fortement. Tout à coup je reçois des giclées de sperme qui m’éclabousse le visage. Le premier ayant souillé ma figure crie :
« J’ai gagné !!!! »

Aussitôt un des deux autre, se place derrière moi et m’enfile sans autre précaution. Après deux trois vas et viens dans ma chatte et mon cul, ils éjaculent sur mes fesses. Leurs semences coulent sur jusque sur mes cuisses. Ils s’amusent à faire des selfy avec moi et repartent en rigolant et en disant :
« On vas envoyer le mms aux copains en leurs donnant l’adresse de cette pute ! »
J’allais sans doute faire sensation. Attachée, nue, couverte de sperme, je suis devenue une traînée pour le plaisir de ces jeunes salops mais malgré ma déchéance et ma honte, j’y trouve aussi un certain plaisir malsain. Je ne sais pas combien de temps a pu passer. Parfois, il y a une pause entre deux visites, et parfois les sexes s’enchaînent.
J’ai envie de vomir tant j’ai avalé de spermes différents. Depuis des heures les queues se succèdent, les insultes, les pincements et les claques sur mes seins et mes fesses. Je suis le jouet sexuel, l’accessoire, comme la partie intégrante d’une panoplie de sexe shop mais version vivante.
Le dernier, sans doute rentré du travail, a un sifflement ironique en me voyant.
« Eh bien, Michèle, on dirait que tu as été bien occupée. Combien d’hommes as-tu vidées ? »
« Je ne sais pas, Monsieur. Sans doute une vingtaine. »
« Tu te rends compte qu’il y a des femmes qui ne se font pas sauter par autant d’homme en toute une vie ? Et toi, tu viens de vider les couilles d’autant de mecs en une journée et sans les connaître ! »
« Oui, Monsieur. Je suis une chienne en chaleur. »
« Eh bien jolie chienne, j’ai un os à te donner, tiens ! »
Il me tend sa queue, et prend ma bouche. J’ai mal à la mâchoire. Ma gorge est irritée. Mais je suis si excitée que je lui donne ma bouche comme je l’avais fait au début.
Il retire son membre, et jouit dans mes cheveux. Le sperme coule sur mes paupières et mes joues.
Peu après, Christian et Alain me rejoignent. Ils me mettent un miroir devant moi.
« Regarde-toi, Michèle ! Regarde ce qu’ils ont vu, toute la journée ! »
C’est indescriptible. Mes cheveux sont collés, plaqués enduit de semence. Mes joues et le menton luisant de traînés blanchâtres. Je suis l’incarnation de la perversion. Dans ma déchéance, je reste fascinée par mon image.

« Maintenant, va prendre une douche ! Tu pues ! Tu sais combien d’hommes t’ont utiliser, aujourd’hui ?»
« Non ? » 
« Vingt-huit mecs ! »
Je me lève péniblement, soutenue par mes deux hommes qui m’eméne délicatement prendre ma douche.

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