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mon métier de médecin – suite et fin

mon métier de médecin – suite et fin



Quelques années d’attente, et je fus accepté comme médecin militaire. Enfin j’allais pouvoir assouvir mon fantasme.

Je fus affecté pas très loin de chez moi dans une caserne de recrutement. Ma fonction et mon grade me donnaient un certain ascendant sur ceux qui venaient me consulter.

La visite médicale était obligatoire pour les nouveaux arrivants. La tranche d’âge était entre 18 et 25 ans. Après être passé par la secrétaire qui m’assistait, je les recevais un par un.
Le scénario était toujours le même. Je leur demandais de se mettre nus. Certains étaient réticents, d’autre sans aucune pudeur. Resté derrière mon bureau, j’avais une vue d’ensemble de ces jeunes hommes parfois très musclés – un régal – d’autres dans la norme, certains plus enrobés prédisposant un futur ventre. Mon regard était toujours plus attiré par leur sexe. Il y en avait dans la norme circoncis ou pas avec des boules bien pendantes, d’autres – qui peut-être ou pas – montraient des sexes petits, des boules remontées, et puis les exceptions, ceux qui étaient hors norme, des verges dépassant leurs boules. Le point commun c’est qu’ils avaient tous encore leur toison pubienne plus ou moins fournie ou entretenue.

Cette inspection terminée, je les mesurais, les faisais se peser, ensuite, je vérifiais leur colonne vertébrale jusqu’aux fesses, puis me positionnais devant pour ausculter leurs jambes remontant des pieds jusqu’en haut de la cuisse ce qui faisait que je frôlais au passage leurs testicules.

Pour l’auscultation, je les faisais s’allonger sur la table prévue à cet usage. Assis, je pouvais promener mon stéthoscope dans leur dos, sur leur torse – ce que je préférais car je pouvais regarder leur entre jambe en même temps – puis je les faisais s’allonger pour palper leur ventre. Pour palper l’aine, je leur écartais les jambes. Arrivait le moment d’ausculter leur intimité. Je commençais par pendre en main leur verge que je décalottais au maximum lorsqu’ils n’étaient pas circoncis découvrant leur gland que j’écartais pour contrôler l’ouverture de l’urètre, puis je tâtais leurs testicules, avec délicatesse prenant du plaisir à le faire. Le moment le plus délicat pour eux et jouissif pour moi était l’examen de leur anus. Je leur disais de placer leurs jambes sur les étriers, et d’écarter leurs fesses pour un examen rectal.
Après un examen visuel, de leur rondelle, j’enduisais mon doigt ganté d’un gel pour l’introduire doucement. Certains résistaient, il fallait que j’insiste, d’autres se laissaient pénétrer comme si passage était déjà fait. Tout en faisant aller mon indexe, je regardais leur visage, qui tantôt se crispait, tantôt semblait éprouver du plaisir. Pour ces derniers, affichant une érection plus ou moins forte, je prolongeais mon introspection anale, voire d’introduire un deuxième doigt. Leur gémissements ne laissaient pas indifférent mon sexe qui prenait du volume dans mon slip. Il est arrivé que les plus excités ne pouvant retenir leur éjaculation maculent leur ventre voir leur torse de leur sperme. Si certains étaient gênés, d’autres me gratifiaient d’un sourire de satisfaction lorsque je leur tendais un essuie-tout. J’imaginais et fantasmais sur les rencontres et les plaisirs qu’ils rencontreraient dans ce monde de garçons, et cela me mettait en très bonne condition lorsque je retrouvais ma femme.

Je mangeais au mess des officiers lorsque j’étais présent à l’heure des repas. J’avais croisé le regard d’un jeune caporal. Nous avons sympathisé, et chaque fois que cela était possible, nous déjeunions à la même table. Nos échanges nous rapprochaient. Il avait 32 ans, faisait du sport le plus souvent possible. Il restait très discret sur sa vie intime.
Lorsqu’un soldat voulait me consulter, il devait avoir l’aval de son supérieur, pour les officiers, il suffisait qu’ils demandent un rendez-vous. Mon caporal m’en demanda un au cours du repas de midi. Je lui en proposais un en début d’après-midi qui était plus calme.
Il est arrivé en tenue, moi revêtu de ma blouse blanche. Je lui demandais ce qui n’allait pas.
Il se plaignait d’un mal au ventre. Je lui demandais d’ôter ses vêtements du haut. Je commençais l’auscultation classique avec mon stéthoscope de son torse à peine musclé, lisse sauf une ligne de poils noirs à partir du nombril, disparaissant dans son pantalon.
Je le fis s’allonger sur la table, lui demandant de dégrafer sa ceinture, déboutonna les premiers boutons de sa braguette laissant voir le début de son slip bleu. Les bras sous sa tête, je palpais son ventre. Je ne découvris rien d’anormal. Il me dit que c’était plus bas. Je glissais mes mains dans son slip pour le palper. Mes doigts touchaient ses poils. En tournant la tête, je vis qu’il avait fermé ses yeux comme pour mieux apprécier ma palpation. Je ne décelais rien de suspect. Pour le rassurer, je lui dis qu’il pouvait revenir quand il voulait. Deux jours plus tard, je voyais qu’il avait pris rendez-vous en début d’après-midi.
En entrant dans le cabinet, il me dit qu’il avait toujours mal. Allongé sur la table, je lui demandais d’ouvrir son pantalon. Il l’ouvrit largement. Je commençais ma palpation au niveau du bas ventre. Comme la première fois, il fermait les yeux lorsque je touchais ses poils pubiens. Je continuais sans trop m’aventurer, jusqu’au moment où sa main saisit mon bras, et poussa ma main dans son slip. J’avais atteint sa verge prisonnière déjà gonflée. Voyant que je ne la retirais pas, il lâcha mon bras. J’investiguais plus en avant. Ma main caressait ses testicules recouverts de poils soyeux.
A cet instant, quelqu’un frappa à la porte du cabinet. Le temps de retirer ma main, j’allais voir qui toquait. C’était la secrétaire qui prenait son service et de m’avertir que le colonel – le boss de la caserne – viendrait pour une consultation dans une heure.
A regret, je dis au caporal de revenir un autre jour pour approfondir l’examen, que le colonel allait arriver. Il se rhabilla, me qualifia d’un sourire ravageur et sortit.
Resté seul, je comprenais mieux ses allusions qui n’étaient pas pour me déplaire, lorsque nous mangions ensembles. Je me demandais jusqu’où cela irait.
C’est l’arrivée du colonel qui me sortit de ma pensée.
Le colonel, un jeune sexagénaire bedonnant venait me consulter pour un vilain bouton sur la verge. Je lui dis me montrer. Le temps que j’enfile une paire de gants en latex, son pantalon et slip étaient sur ses chevilles. La vision était impressionnante. Sa verge dans la norme mais épaisse laissait apparaître un gros gland rose. Ses testicules pendaient comme deux fruits trop mûrs sur une branche morte. Une grande quantité de poils grisâtres et longs habillaient l’ensemble. J’imaginais qu’il ne devait pas s’en servir souvent, et qu’il manquait d’entretien.
Je saisis son membre flasque pour m’informer sur ce bouton.
Rien de grave dis-je, juste un kyste séborrhée. Je luis donnais un tube de pommade, lui prescrivant de s’en enduire la verge matin et soir.
Resté seul, je pouvais comparer la douceur des poils de mon caporal et ceux négligés du colonel.
Lors d’un de nos repas, mon caporal me dit qu’il voulait me revoir. Je lui dis qu’il ne pouvait pas venir la journée, afin de ne pas étonner la secrétaire de ses visites rapprochées. Je lui suggérai de venir un soir de la semaine suivante lorsque je serais de garde. Cela me semblait bien loin, car il occupait ma pensée.
Plus le moment de son arrivée approchait, plus ma tension artérielle augmentait. Il frappa à la porte. En l’ouvrant, mon caporal était en en jogging. A peine entré, il se colla à ma bouche, m’entoura de ses bras. Je ne pus résister à son baiser. Ma bouche s’est ouverte pour accueillir sa langue. Il savait y faire le bougre ! Sa langue cherchait la mienne, l’entourait, explorait ma cavité buccale dans les moindres recoins. La douceur avec laquelle il s’exécutait eut un effet immédiat sur ma queue qui prenait du volume dans mon caleçon. Il ne pouvait pas l’ignorer comme moi je pouvais sentir la bosse de son jogging. Tout en restant aimantés je l’ai dirigé vers la table d’auscultation.
Ayant un mauvais souvenir avec l’interne hospitalier, je voulais diriger la manœuvre. Je l’ai allongé sur la table, retiré son sweat, ses chaussures et chaussettes, son pantalon. Il était allongé entièrement nu, la queue perpendiculaire à son ventre, ses boules reposées sur ses cuisses jointes. Devant cette vision, j’avais l’impression que ma braguette allait exploser tellement elle était tendue par mon érection. Il me dit de l’ausculter.
J’ai commencé par son torse glabre. Je promenais l’embout du stéthoscope sur ses pectoraux, appuyais légèrement sur ses tétons. La fraîcheur de l’appareil le faisait tressaillir. Je lui demandais de se mettre sur le ventre pour continuer l’auscultation. Son dos était régulier, ses fesses magnifiquement rebondies, pas l’ombre d’un poil ne sortait de sa raie. C’est à ce moment que je sentis sa main faire glisser la fermeture éclair de ma braguette, s’introduire, malaxer mon chibre à travers mon slip. Ce moment me fit stopper l’auscultation pour le laisser poursuivre son investigation. Il dégrafa ma ceinture, déboutonna mon pantalon qui tomba sur mes chevilles. Il glissa sa main dans l’élastique du slip. Il était en contact avec ma queue qui demandait qu’à être libérée de son carcan de tissus tellement elle était raidie par l’excitation.
Pour ne pas trop lui montrer ma passivité, je repris mon auscultation en caressant ce dos si attirant, descendant sur les reins jusqu’aux fesses que je massais, puis écartais les deux lobes pour apercevoir sa rondelle presque sans poils. Elle était régulière, rose, luisante. Il la faisait se contracter, se relâcher. Je ne pus résister d’y plonger ma langue. Ses couinements ne faisaient qu’augmenter mon excitation.
Soudain, il se retourna, s’assit sur la table, commença à me déshabiller, ôta ma blouse, chemise, pantalon et slip. Entièrement nu, il me demanda de remettre ma blouse blanche. Il se rallongea sur le dos. J’étais hypnotisé par son corps, sa verge dressée comme un obélisque.
Son corps frissonnait à chaque endroit, mes baisers dans le cou, mes lèvres sur ses tétons, ma joue rugueuse de barbe, caressant son ventre lorsque ma bouche atteignit le bout de son gland humide, parfaitement circoncis, la collerette parfaitement dessiné qui se détachait sur une queue bien droite, pas trop longue, pas trop épaisse. Ma langue le dégustait doucement, le contournait, revenait sur l’urètre pour lécher la goutte de pré-cum. Ma bouche s’ouvrit pour laisser pénétrer sa verge qui l’investit entièrement. Je restais quelques secondes sans bouger, puis me suis retiré pour aller déguster ses deux jolis testicules recouverts d’une toison soyeuse, en faisant glisser ma langue le long de cette hampe, puis revenir sur ce gland.
De sentir son corps frémir lorsque ma langue, mes lèvres parcourent son sexe, ses muscles se tendre lorsque mes mains caressent ses cuisses. Cela m’excitait un maximum. Il fallait que je me contrôle pour ne pas éjaculer. J’ai cessé pour m’allonger sur son corps. Nos peaux se confondaient l’une et l’autre, nos bouches ne faisaient plus qu’une, nos langues s’enroulant l’une à l’autre. Nos sexes raides se pressants l’un contre l’autre. Je sentais son gland passer entre mes cuisses, glissant sur mes bourses remontées. Son mouvement me décalottait. Cette tension de plaisir ne résista pas longtemps, et c’est dans une contraction commune que nous expulsions de concert notre semence. Notre ventre était enduit du résultat de notre plaisir partagé.
Nous sommes restés un instant dans cette posture pour que nos corps récupèrent. Je me suis levé pour prendre une serviette. J’ai essuyé mon caporal. Il s’est rhabillé, a déposé un baiser sur ma joue, m’a gratifié d’un sourire et d’un regard reconnaissant pour ce moment. En quittant la pièce, il me dit : « A bientôt ! ».
Je suis resté seul encore nu et imprégné de son corps. J’ai remis mes vêtements, un dernier regard sur cette salle d’auscultation avant de sortir et de penser que l’armée avait bien raison de se doter de matériel robuste.
Arrivé à la maison, toute la famille dormait. Je me suis glissé dans le lit conjugal pour m’endormir. Au matin, je me suis réveillé avec une érection magistrale. J’ai honoré ma femme comme il y avait longtemps que cela c’était produit. Pendant le petit déjeuner, ses yeux pétillaient, son visage fatigué, irradiait, comme celui d’une femme comblé par le devoir conjugal très très bien accompli.
Ayant fait une garde, j’ai repris mon service l’après-midi. Une enveloppe m’attendait sur mon bureau. Elle contentait un message de mon caporal : « je dois partir en opération, tu vas me manquer. Merci pour ce moment. »
Mes journées étaient souvent les mêmes, même si j’avais pu admirer le corps de cet adjudant taillé comme un athlète venu pour une consultation suite à un hématome sur le haut de la cuisse. Par habitude, systématiquement je demandais qu’ils se mettent torse nu, ce qui me permettais de vérifier le cœur, les poumons, la tension etc…. L’adjudant s’était exécuté, mais en plus avait ôté son pantalon et slip pour que je voyes cet hématome.
Un vrai rugbyman aussi roux qu’un irlandais. Les pectoraux dessinés, des plaquettes de chocolat, des cuisses énormes serrées l’une contre l’autre dégageant ses attributs proportionnels à l’ensemble, sa queue au repos devait faire au moins 15 centimètres, ces boules distendues. En imaginant ce que cela pouvait donner en érection commençait à faire de l’effet dans mon slip. En regardant ce gros hématome, je lui demandais comment il s’était fait cela. Il me répondit qu’il jouait au rugby. J’en profitais pour vérifier s’il ni en avait pas d’autres sur ses fesses. Elles étaient aussi musclées que le reste, bien formées creusées de chaque côté. Sa raie était fournie en pilosité cuivrée. La consultation terminée, je sentais mon slip mouillé. Je suis allé aux toilettes pour vérifier. Comme je bandais encore, je me suis branlé pour me calmer.
L’absence de « mon caporal » me semblait une éternité. J’honorais ma femme en pensant à lui.
Avant de quitter mon bureau, je vis débarquer le colonel. Il venait m’avertir que le groupe parti en opération serait de retour. De graves problèmes s’étant produits pendant leur séjour, ils devaient de soumettre à une visite médicale approfondie avec prélèvement de sperme pour analyse. Je n’avais jamais procédé à ce genre de prélèvement dans la caserne. Les consignes étaient aussi que je devais m’assurer qu’ils le faisaient correctement, leur tendre le tube qui contiendrait leur semence – chacun interprétera comme il veut cette phrase. J’étais gêné et ravi, dans l’armée un ordre est un ordre.
J’avais programmé un planning pour rencontrer les quinze soldats dès leur retour. J’avais prévu la consultation de « mon caporal » en dernier. Les soldats avaient été prévenus.
Je les faisais entièrement se déshabiller afin de vérifier s’ils n’avaient de tâches suspectes sur le corps, ni d’écoulements suspects de leur pénis.
J’ai vu presque quinze attributs différents. Il y avait ceux avec une magnifique toison, deux magnifiques boules pendantes que je palpais généreusement, une verge au repos, des prépuces plus ou moins longs que je faisais glisser pour décalotter des glands biens ronds, ou pointus afin de vérifier un éventuel suintement, il y avait quelques circoncis avec des glands bien dessinés, la collerette saillante, il y en eut deux, qui sûrement stressés, avaient leur sexe rétracté, même des complètement rasés. Arriva le moment de leur masturbation. Ils devaient tous s’allonger sur la table d’auscultation. Pour ceux bien pourvus, j’étais stupéfait de voir les proportions que prenait leur verge en érection, en particulier celui qui prenait ses deux mains, celui qui avait écarté les jambes dont les testicules gigotaient à chaque mouvement, ceux dont les testicules étaient remontés, les circoncis qui me demandèrent du gel pour faciliter le mouvement de va et vient, mais surtout celui qui n’arrivant pas à bander, rouge de honte me demanda de l’aider. J’ai saisi sa verge molle, commencé par le décalotter, titiller le frein, caressé les boules, glissé ma main entre ses fesses. Il s’est laissé faire, j’ai même senti sa queue grandir et durcir entre ma main. Il commença à émettre quelques gémissements lorsque mon doigt a caressé son anus. J’eus juste le temps de saisir le tube lorsqu’il s’est raidi pour recueillir son sperme. Tout en se rhabillant, il me remercia me faisant comprendre son attirance pour les garçons. Je le rassurais, lui proposant de venir me voir pour en parler lorsqu’il le sentira utile.
Je fus surpris de constater que ce n’était pas les plus gros sexes et boules qui crachaient le plus et le plus fort. Il y en eut un qui avait presque rempli le tube.
A l’heure où j’avais convoqué « mon caporal », je savais qu’il n’y aurait plus personne au secrétariat. C’était tendu comme un élastique que je l’accueillis. Nous nous sommes pris dans les bras, serrés fortement l’un contre l’autre pour un baiser sans fin. Nous nous sommes rapidement déshabillés, puis encore enlacés nos sexes collés l’un à l’autre, pour s’allonger sur la table. Ma bouche embrassait son cou, son torse et ses tétons pointant d’excitation. Ne craignant qu’il ne jute, je lui rappelai que je devais prélever un peu de son sperme, qu’il devait se maitriser, mes caresses lui procurant une forte érection. Je ne pouvais pas le sucer, ma salive polluant mon prélèvement, alors je me suis dirigé vers ses couilles dures de plaisir, puis j’ai relevé et écarté ses cuisses pour atteindre sa raie. Il avait pris le relai avec ses mains, écartant le plus possible ses fesses afin que ma langue se pose sur sa rondelle. Je produisais beaucoup de salive pour y introduire mon indexe. Au premier mouvement de va et vient, je l’entendis dire d’arrêter car il allait jouir. J’ai marqué une pause, pris le tube, recueillis plusieurs jets de sperme. Une fois capsulé et étiqueté, j’ai pris sa verge dans ma bouche pour déguster les gouttes restantes et retourner vers son anus, y replonger mon indexe et mon majeur pour le détendre. Son visage était rayonnant de plaisir, alors j’ai présenté ma verge encapuchonnée, puis doucement je me suis introduit en lui. Il fronçait parfois les yeux, alors je marquais un temps d’arrêt, puis reprenais mon intromission jusqu’à ce que mes fesses touchent les siennes, refaisais une pause en m’allongeant sur lui pour prendre sa bouche. J’ai commencé lentement mes aller-retour. Sa verge reprenait de la vigueur lorsque ma main l’a saisie pour la masturber en concert. J’ai accéléré le mouvement aux rythmes de ses couinements. Sentant venir l’explosion, j’ai enfoncé ma queue au plus profond. J’ai éjaculé plusieurs fois, avant de m’immobiliser, et m’allonger de nouveau sur son corps. Je me suis retiré délicatement. Mon plaisir était encore fort. Sa queue étant drue, je l’ai prise en bouche, commencé une fellation espérant qu’il y ait encore de son. élixir. Il lui fallut plus de temps avant de se raidir. Cela signifiait qu’il y en avait à boire, alors j’ai enfourné au plus profond de ma bouche son membre et reçus quelques jets. J’avalais tout comme une liqueur que l’on déguste. Plus aucune goutte ne jaillit. J’ai continué à le sucer jusqu’à ce que je sente sa queue se ramollir. Nous sommes restés un moment l’un sur l’autre sans rien dire juste pour profiter encore de ce moment. Moi pour le plaisir que je lui avais donné, lui pour celui qu’il m’avait offert. Sa passivité me dopait
Les inconvénients de l’armée, est que l’on peut être muté d’un jour à l’autre, ce qui fut le cas pour « mon caporal ». Ce fut une grande tristesse.
Nous avons beaucoup discuté avec le jeune soldat que j’avais aidé pour le prélèvement de sperme. Ces moments de complicité a facilité le contact qui se produisit un soir lorsqu’il est entré dans le cabinet, le visage crispé. Au lieu de me serrer la main, il se jeta à mon cou le visage ravagé par les larmes. Une fois calmé, il m’avoua qu’il avait honte de se masturber en pensant au jour où je l’avais masturbé. Pour le rassurer, je lui avouais aussi que cela m’avait fait aussi plaisir mais que je ne pouvais pas le montrer.
C’est à partir de ce moment qu’il remplaça « mon caporal ». Nous avons passé des instants d’une grande densité et tendresse. Il savait me donner autant que je lui donnais. J’ai même trouvé du plaisir lorsqu’il me prenait avec douceur et vigueur, lorsque nous nous sucions mutuellement jusqu’à jouir de concert dans nos bouches respectives.
J’avais besoin de cette double sexualité pour trouver mon équilibre professionnel et familial.
Les années sont passées, mes enfants grandis, mon aîné approchant de l’adolescence me demanda d’avoir un miroir dans sa chambre. Cela me rappela la demande faite à mes parents à son âge et l’usage que j’en faisais.
Mais ça c’est le début de l’histoire.

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