Je n’ai jamais été tres attirée par les garçons mais plutot par la complicité d’un moment calin où chacun caresse l’autre et en ressent plein de bonnes choses . L’été de mes 16 ans, j étais sortie avec quelques garçons, allant chaque fois un peu plus loin dans la découverte des choses du sexe mais sans jamais recevoir une verge en moi .Durant l ‘année scolaire qui suivait, j’allai au futuroscope de Poitiers avec le lycée. A cause d’une de la maladie d’une fille du groupe, je me retrouvais seule en chambre, à l ‘hotel. Cela me convenait bien finalement. Alors que tout le monde chahutait dans les couloirs, je pris un bain tranquillement puis me mis au lit avec un bouquin .Vers 22h30, une accompagnatrice , emploi jeune , passa me voir pour savoir si je ne m ‘ennuyai point .C était une fille toujours souriante mais hyper timide, et si je devais la comparer, je lui trouverais un air de Natasha ST Pier, avec des dents blanches et des yeux envoutants .Ces détails me plurent tout de suite en elle, même si je n’avais pas pour habitude de regarder les autres filles, et encore moins une de 24 ans .On parla, rigola un long moment durant lequel une certaine complicité s’etait installée .J’étais bien à ses côtés, et profitais de cette compagnie qui me correspondait si bien .Puis il y eut du bruit dans les couloirs et elle est partie faire la police .A mon grand regret, le temps passait et elle ne revenait pas .J allai donc me coucher en repensant à cette sublime conversation qui me donnait des frisons de joie . Je dormais presque, lorsque un insecte gratta à ma porte .Je me suis levée, et en ouvrant la porte , le doux visage blond de Patricia apparût . »Tu ne dors pas, « me demanda t elle, « puis je m’abriter ici et guêter les fouteurs de m… qui me font tourner en bourrique »?Après avoir refermé la porte, nous etions toutes les deux l ‘oreille collée au bois pour ecouter les bruits du couloirs .Son souffle etait rapide et alors que je m en étonnais elle me dit que son coeur battait à 100 à l heure et me prit la main pour la poser sous son sein gauche, sous son pull .C’est mon coeur à moi qui battait vite à présent .Elle me dit : »cela te gene ? » je secouai la tête de gauche à droite .Elle dit alors : »si quelque chose te déplait, dis le moi tout de suite » . »non c’est bon » lui dis-je .Elle posa alors ma main sur son sein gauche, un 95b ferme, et la pressait bien fort afin que je le caresse . Après quelques secondes, ma main n’avait plus besoin d’être guidée et nos bouches se rencontrèrent , alors que sa main me caressait la poitrine à travers ma chemise de nuit. Mes sens étaient en alerte, pleins de frissons me parcouraient et mon bassin avait la bougeote, faisant craquer la porte en bois contre laquelle j’étais toujours adossée .Puis les choses se corsèrent . Patricia parcouru mon corps de ses lèvres de haut en bas puis , alors que je guidais sa tête vers mon plaisir, elle passa sous ma chemise de nuit, fit entrer sa langue au creux de mes cuisses qui ne tardèrent pas à s’ouvrir .Je suffoquais, hâletais , gémissait en regardant le plafonds .J ‘imaginait que quelqu’un me voyait .Moi Anais P…,16 ans et demi, que mes camarades de lycée surnomaient la bonne soeur, car je ne prenais jamais part à leurs discussions sexe , j ‘étais en train de me faire bouffer le minou, comme on dit, contre la porte de ma chambre d’hotel, par une « emploi jeune »(oh merci Jospin!!!!) et j adorais cela .En quelques secondes, la chemise de nuit sauta, et nous nous retrouvions nues toutes les deux sur mon lit .Patricia vint sur moi, m ‘offrant son entre jambes, en 69, que je lechais gouluement et l’ambiance était ponctuée de bruits de léchouilles et de gémissements .Puis elle me fit comprendre d’arreter mes caresses et me dit: » non, laisses toi faire, ce soir c’est pour toi, alors fermes les yeux et ouvre toi encore plus » .J ‘étais allongée sur le dos, les jambes pliées et écartée et patricia m’electrocutait tout le corps, en aspirant mon sexe dans sa bouche, pinçant mes pointes de sein et me maintenant le bassin car à chaque décharge je sursautais .C ‘était comme si je perdais les pédales, je connaissais mon premier orgasme veritable, celui qui vous fait perdre la tête et le controle de vous même (les filles vous savez de quoi je parle ….).Mon meilleur allié à cet instant fut l ‘oreiller car il me permit de crier mon plaisir sans retenue . Au petit matin, je me reveillais dans ses bras, le visage sur sa poitrine que je suçotais avec tendresse afin de la reveiller en douceur .Notre histoire dura 8 mois, je perdis ma virginité avec un accessoire en plastique manié par patricia avec beaucoup de dextérité .Puis nous nous séparames pour pleins de raisons, mais à ce jour, je suis une lesbienne authentique, multipliant les experiences et je ne le regrette pas .
moi
23. décembre 2022
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5 Minutes de lecture moyenne
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